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CCIRHÔNE-ALPES COUP DE PROJECTEUR , ÉCLAIRER L’ÉCONOMIE DE RHÔNE-ALPES ) 95,(5 _1r À la conquête des marchés mondiaux LES IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER DES ENTREPRISES DE RHÔNE-ALPES ',72 RV HQWUHSULVHV U« 1 JLRQDOHV VRQW SDU WRXW GDQV OH PRQGH /H WUDYDLO GLGHQWLዾFD WLRQ PHQ« SDU OD &&, GH U«JLRQ PRQWUH TXH SUªV GH HQWUHSULVHV GH 5K¶QH $OSHV VRQW LP SODQW«HV ¢ O«WUDQJHU ¢ WUDYHUV SOXV GH «WDEOLVVHPHQWV &HX[ FL Crédit photo : Céline Vautey VRQW U«SDUWLV VXU OHV FLQT FRQWLQHQWV DYHF GHV FRQFHQWUDWLRQV PDUTX«HV GDQV FHUWDLQV SD\V WDWV 8QLV &KLQH $OOHPDJQH HW GDQV FHUWDLQHV U«JLRQV ¢ FRPPHQFHU SDU OD &DWDORJQH 6KDQ JKDL HW OD /RPEDUGLH &HV LPSODQWDWLRQV VRQW VRXYHQW WUªV U«FHQWHV HW OHXU QRPEUH HVW HQ DXJPHQWDWLRQ 'DQV OLPDJLQDLUH FROOHFWLI GH QRV FRQFLWR\HQV OLPSODQ WDWLRQ ¢ O«WUDQJHU HVW VRXYHQW DVVLPLO«H ¢ XQH SHUWH GH VXEVWDQFH VRXV OD IRUPH GH G«ORFDOLVDWLRQV GDQV GHV SD\V ¢ EDV FR½WV GH SURGXFWLRQV GHVWLQ«HV DX PDUFK« QDWLRQDO &H SK«QRPªQH HVW XQH U«DOLW« DYHF OLQWHU QDWLRQDOLVDWLRQ GHV FKD°QHV GH YDOHXU GDQV OD SURGXF WLRQ GHV ELHQV HW LO SHXW ¬WUH XQH FRQGLWLRQ DX PDLQWLHQ GH OD FRPS«WLWLYLW« GHV HQWUHSULVHV IUDQ©DLVHV 0DLV LO QHVW TXXQ DVSHFW GH OD SU«VHQFH GH FHV HQWUHSULVHV ¢ O«WUDQJHU (Q HዽHW FRPPH OH PRQWUH FH &RXS GH SURMHF WHXU OLPSODQWDWLRQ ¢ O«WUDQJHU HVW VXUWRXW XQ PR\HQ GH FRQTX«ULU GH QRXYHDX[ PDUFK«V HQ VHQ UDSSURFKDQW /D JUDQGH PDMRULW« GHV LPSODQWDWLRQV UK¶QDOSLQHV VRQW HQ HዽHW

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Publié par
Publié le 02 mars 2016
Nombre de lectures 117

Extrait

CCIRHÔNE-ALPES
COUP DE PROJECTEUR IÉCLAIRER L’ÉCONOMIE DE RHÔNE-ALPES
FÉVRIER 2016|N°17
À la conquête des marchés mondiaux LES IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER DES ENTREPRISES DE RHÔNE-ALPES
ÉDITO
os entreprises ré-N gionales sont par-tout dans le monde ! Le travail d’identiዾca-tion mené par la CCI de région montre que près de 600 entreprises de Rhône-Alpes sont im-plantées à l’étranger, à travers plus de 2 500 établissements. Ceux-ci Crédit photo : Céline Vautey sont répartis sur les cinq continents, avec des concentrations marquées dans certains pays (États-Unis, Chine, Allemagne…) et dans certaines régions, à commencer par la Catalogne, Shan-ghai et la Lombardie. Ces implantations sont souvent très récentes et leur nombre est en augmentation.
Dans l’imaginaire collectiï de nos concitoyens, l’implan-tation à l’étranger est souvent assimilée à une perte de substance, sous la ïorme de délocalisations, dans des pays à bas co½ts, de productions destinées au marché national. Ce phénomène est une réalité, avec l’inter-nationalisation des cha°nes de valeur dans la produc-tion des biens et il peut être une condition au maintien de la compétitivité des entreprises ïran©aises. Mais il n’est qu’un aspect de la présence de ces entreprises à l’étranger. En eዽet, comme le montre ce Coup de proec-teur, l’implantation à l’étranger est surtout un moyen de conquérir de nouveaux marchés, en s’en rapprochant. La grande maorité des implantations rhônalpines sont en eዽet situées dans des pays développés, à ïort niveau
de revenu, tant pour les services, le commerce que pour l’industrie. Leur rôle consiste avant tout à servir de point d’appui pour commercialiser des biens ou des services.
Deux autres points sont à souligner. La place des TPE-PME tout d’abord. Si la maorité des implantations sont le ïait d’entreprises de taille intermédiaire et de grandes entreprises, il ïaut relever que sept sociétés mères sur dix sont des TPE-PME. L’implantation à l’international n’appara°t donc pas comme un mode de développe-ment réservé aux entreprises de grande taille, même si e suis persuadé que ces dernières peuvent et doivent servir de point d’appui aux PME pour conquérir les mar-chés. La place prépondérante de l’industrie mérite aussi d’être soulignée : près des deux tiers des implantations sont le ïait de sociétés industrielles.
Alors que le développement de la région passe de plus en plus par l’international, une présence physique à l’étranger peut être un moyen déterminant pour accé-der à de nouveaux marchés. C’est pourquoi les CCI, à travers CCI International Rhône-Alpes sont au côté des entreprises pour les aider à déዾnir et structurer leurs démarches export, mais également leurs démarches d’implantation à l’international. Elles ont ainsi dévelop-pé une nouvelle prestation  CCI Implantation  } aዾn de simpliዾer l’installation des TPE-PME à l’étranger, enles accompagnant à chaque étape de leur proet.
Jean-Paul MAUDUYPrésident de la CCI de région Rhône-Alpes
SOMMAIRE
P.2Le profil
des sociétés mères :
surtout des TPE-PME
et des entreprises
industrielles
P.6Des implantations
partout dans le monde,
mais avec de fortes
concentrations dans
certaines zones
géographiques
P.11Des implantations
qui semblent guidées
avant tout par la volonté
de conquérir des marchés
2/
LE PROFIL DES SOCIÉTÉS MÈRES : SURTOUT DES TPE-PME ET DES ENTREPRISES INDUSTRIELLES
D’après le dernier recensement effectué par la CCIR (1) Rhône-Alpes mi-2015 , 572 sociétés de la région étaient implantées à l’étranger, au sens où elles détenaient ou contrôlaient, suite à une création ou un rachat, au moins une entreprise localisée hors de rance.
TOP
DES ENTREPRISES
DE RHÔNE-ALPES
AYANT LE PLUS
D’IMPLANTATIONS
À L’ÉTRANGER
6ource  CCIR Rhône-Alpes septemEre 21
Au total, mi-2015, les entreprises de Rhône-Alpes (3) disposent de 2.574 implantations à l’étranger
La présence massive des entreprises rhônalpines à l’étranger est un phénomène qui tend à se développer.
Cette présence à l’étranger repose le plus souvent sur plusieurs implantations. Dans 60 % des cas, ces sociétés possèdent en eïïet au moins deux implantations.
Si certaines entreprises sont présentes dans plusieurs di]aines de pays (voir ci-dessous), il est rare cependant que le nombre d’implantations soit très important :les trois quarts des entreprises ont moins de 5 implantations. En moyenne, (2) chaque société mère compte 4,5 implantations.
MARKEM-IMAJE
BIOMERIEUX
SEB
SANOFI PASTEUR
SCHNEIDER ELECTRIC IT FRANCE
SOMFY
GL EVENTS
LYONNAISE DE BANQUE
SNF
CLASQUIN
JACQUET METAL SERVICE
BOCCARD
MERIAL
ETS ZILLI
AMARIS
60 implantations
25 implantations
En 2012, dans les mêmes conditions de recensement, 2 298 implantations - réalisées par 483 entreprises de Rhône-Alpes ૱ avaient été identiïiées, soit une augmentation de 12 % en 3 ans.
1- Voir note méthodologique. 2} renvoie généralement à la notion de société possédant des ᇏliales. 0¬me si comme on le verra plus loin les implantations ne sont pas toutes- L’e[pression de  société mère des ᇏliales l’e[pression société mère sera utilisée par ïacilité de langage pour désigner toutes les entreprises a\ant des implantations à l’étranger qu’il s’agisse ou non de ᇏliales. 3- Il s’agit Eien à proprement parler d’implantations étrangères les implantations recensées dans les '0-70 n’ont pas été prises en compte dans l’anal\se.
SEPT SOCIÉTÉS MÈRES SUR DIX AYANT DES IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER SONT DES TPE-PME, ELLES REPRÉSENTENT PLUS DU TIERS DU TOTAL DES IMPLANTATIONS
Les entreprises rhônalpines implantées à l’étranger sont très maoritairement des sociétés de petite taille :62 % d’entre (4) elles sont des PME et 7 % des TPE.
Les Grandes Entreprises (10 % du total) et les Entreprises de Taille Intermédiaire (21 %) représentent ensemble moins du tiers des entreprises rhônalpines implantées à l’étranger.
ENTREPRISES DE RHÔNE-ALPES A<ANT DES IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER (SITUATION 2015). RÉPARTITION SUIVANT LA TAILLE DES ENTREPRISES
Part du total monde
70% 60%
50%
40%
30%
20%
10%
0%
69%
37%
TPE-PME
Sociétés mères
31%
63%
ETI et Grandes Entreprises
Implantations à l’étranger
6ource  CCIR Rhône-Alpes septemEre 21
De manière générale,plus les entreprises sont de taille importante, plus leurs implantations dans le monde sont nombreuses.nombre moyen d’implantation par Le
NOTE MÉTHODOLOGIQUE
Cet état des lieux des implantations à l’étranger des entreprises de Rhône-Alpes repose sur une analyse des inïormations présentes, à la mi-2015, dansla base de données de la CCIR Rhône-Alpes sur les entreprises régionales implantées à l’étranger.
Cette base recense les sociétés mères (tous secteurs d’activité conïondus et tous eዽectiïs) dont le siège social se trouve en région Rhône-Alpes et l’ensemble de leurs implantations dans les pays étrangers (ዾliales et autres ïormes d’implantation : bureau de représentation, agence commerciale… etc.) ainsi que dans les départements et territoires ïran©ais d’outre-mer. Ce ዾchier existe depuis 1995 et est mis à our quotidiennement, gr¤ce à une veille presse validée. De plus, une ïois tous les deux ans, une enquête systématique est eዽectuée par courrier auprès des entreprises possédant des implantations ou susceptibles d’en posséder. Pour chaque implanta-tion, diverses inïormations (localisation, activité, statut, appartenance à un
COUP DE PROJECTEUR
ÉCLAIRER L’ÉCONOMIE DE RHÔNE-ALPES
entreprise est un peu supérieur à 2 pour les TPE-PME. Il est de 9 pour les ETI et les Grandes Entreprises.
Ceci explique qu’une nette majorité (63 %) des implantations soit le fait des ETI et Grandes Entreprises. Il ïaut cependant souligner qu’à 37 % la part des TPE-PME est très signiïicative.
L’implantation à l’international n’apparaît donc pas comme un mode de développement réservé aux entreprises de grande taille.Ce constat est renïorcé par le ïait qu’au sein de l’ensemble  Grandes Entreprises et ETI }, les deux tiers des implantations sont dues à des ETI.
L’importance notable des TPE-PME dans la genèse des implantations se retrouve dans tous les grands secteurs d’activitéelles sont à l’origine de 40 % des : implantations dans les services, de 37 % dans l’industrie et de 31 % dans le commerce. Elles sont très nettement maoritaires dans le TP.
À l’exemple de Renault Trucs, membre du groupe olvo, un certain nombre de sociétés rhônalpines implantées à l’étranger ïont partie de groupes internationaux à capitaux (5) maoritairement non ïran©ais , généralement européens ou américains. Ces entreprises dont la tête de groupe est étrangère représentent environ 15 % du total des sociétés mères. Si on ne tient pas compte de ces sociétés, l’importance du tissu régional des TPE-PME dans les implantations rhônalpines appara°t encore plus grande. Hors groupes à capitaux étrangers, la part des TPE-PME monte en effet à 78 % des sociétés mères et à 47 % des implantations.
groupe, eዽectiï…) sont collectées auprès des entreprises et validées par elles. L’ancienneté de la base et le soin apporté à sa mise à our lui permettent de rendre compte de manière asse] ዾdèle d’une réalité de terrain complexe et
ïortement évolutive. Pour autant, la base ne saurait prétendre à l’exhaustivité.
Des extractions à la demande, soumises à redevance, sont possibles en ïonction de diዽérents critères de sélection : localisation du siège dans la région, eዽectiï du siège, activité (code NA), pays ou ]one géographique d’implantation (contact  'ocumentation régionale  4.2.11.43...
Pour les besoins de l’analyse, les inïormations de la base ont été complétées d’un certain nombre de données regroupées au sein deBASECO Rhône-Alpes, l’observatoire économique mutualisé créé par la CCI de région Rhône-Alpes et les Chambres de Commerce et d’Industrie de Rhône-Alpes.
4- Le classement des entreprises s’est ïait essentiellement en s’appu\ant sur des données d’eᇎectiï   - 7P(  moins de 1 salariés  - P0(  moins de 2 salariés  - (ntreprise de 7aille Intermédiaire (7I  moins de   salariés  - *rande (ntreprise  à partir de   salariés. - Ces sociétés ont néanmoins été considérées comme des entreprises rhônalpines car leur siège social se situe dans la région.
3/
Informatique, électronique
Automobile, mat. transport
Textile, cuir, chaussures
Plasturgie, caoutchouc
IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER DES ENTREPRISES INDUSTRIELLES DE RHÔNE-ALPES (SITUATION 2015). RÉPARTITION PAR GRAND SECTEUR D’ACTIVITÉ
25 %
6ource  CCIR Rhône-Alpes septemEre 21
12 %
… NOTAMMENT DES ENTREPRISES DES MACHINES/ÉQUIPEMENTS ET DE LA MÉTALLURGIE
- Le classement d’une implantation dans un secteur d’activité est lié à l’activité principale de la société mère et non à la nature de ses activités. Ainsi une agence de commercialisation d’une entreprise industrielle sans ïonction de production est considérée comme une implantation de l’industrie. L’appartenance d’une société mère à un secteur d’activité a été principale-ment déᇏnie sur la Ease de la omenclature d’Activités )ran©aise. Les entreprises a\ant les codes A) 42= activités des sociétés holding et 1= activités des sièges sociau[ ont été reclassées suivant la nature réelle de leur activité.
Commerce de détail
Commerce de gros
23 %
62 %
1 % 1 %
En moyenne, les entreprises mères commerciales sont celles qui comptent le plus d’implantations : 5,4 contre 4,7 pour l’industrie et 3,9 pour les services.
LE PROFIL DES SOCIÉTÉS MÈRES : SURTOUT DES TPE-PME ET DES ENTREPRISES INDUSTRIELLES
59 % des sociétés possédant une implantation à l’étranger sont des sociétés industrielles et elles représentent près (6) des deux tiers (62 %) du total des implantations .
LES IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER SONT D’ABORD LE FAIT DE L’INDUSTRIE…
Entre 2012 et 2015, on n’observe pas d’évolution signiïicative dans les poids respectiïs des grands secteurs d’activités.
Lesentreprises de services représentent 27 % des sociétés mères et 23 % des implantations. Deux secteurs prédominent, chacun d’entre eux regroupant près d’un tiers des implantations des services : les activités spécialisées, scientifiques et techniqueson y retrouve en particulier des sociétés de conseil et d’ingénierie, l’information et la communication, essentiellement dans le domaine numérique (édition de logiciels, programmation, conseils en systèmes) avec, par exemple, des sociétés comme Cegid Group ou Sopra Steria Group.
Avec 24 implantations identiïiées, la place duBTP appara°t marginale. Les entreprises concernées sont pour beaucoup des PME travaillant dans le second ĕuvre et positionnées sur des marchés de niche.
Pharmacie
Chimie
Les autres activités de services concentrant le plus d’implantations sontle transport et la logistique (avec des sociétés comme Clasquin SA, ;PO Logistics Europe ou le groupe SAMAT), l’évènementiel (GL Events) et les services bancaires (Lyonnaise de anque).
En matière d’eïïectiïs salariés, la prédominance de l’industrie est encore plus ïorte : elle regroupe80 % des effectifsconnus travaillant dans l’ensemble des implantations rhônalpines à l’étranger (75 % dans l’Union européenne).
7 %
Métallurgie, produits métalliques
Équipements électriques
IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER DES ENTREPRISES DE RHÔNE-ALPES (SITUATION 2015). RÉPARTITION PAR GRAND SECTEUR D’ACTIVITÉ
Machines et équipementsy compris installation/réparation
Industrie
Services
4 % 4 % 6 %
11 %
4/
12 % des sociétés mères et 14 % des implantations relèvent dusecteur du commerce. La part du commerce
8 % 10 %
Les 337 sociétés mères industrielles recensées et leurs 1 584 implantations à l’étranger appartiennent à de nombreux secteurs d’activité. On observe cependant une asse] ïorte concentration dans quelques secteurs.
Ce poids du commerce de gros, avec de nombreuses entreprises membres de groupes internationaux ayant une activité de production industrielle, renforce le constat déjà fait d’une prédominance de l’industrie dans la genèse des implantations à l’étranger.
de détail est ïaible (1 % du total des implantations). Pour l’essentiel, les implantations appartiennent à des entreprises ayant une activité de commerce de gros (13 % du total). À titre d’exemple, on peut citer les implantations des sociétés Descours  Cabaud ou Orapi international.
13 %
6ource  CCIR Rhône-Alpes septemEre 21
BTP
13 %
L’installation directe à l’étranger, via la création ou le rachat d’un établissement, est donc un mode de développement qui concerne avant tout l’industrie.
Autres
90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0%
Emballage
Matériel médical
Part des TPE-PME Forte Moyenne Faible
Pharmacie
Métallurgie
Agroalimentaire
Équipements électriques
Automobile et matériels de transport
Machines et équipements
Chimie
Plasturgie
En ce qui concerne leur origine géographique,les sièges sociaux des 572 sociétés rhônalpines implantées à l’étranger sont répartis sur l’ensemble du territoire régional, dans
plus de 250 communes différentes. Aucune commune, à part Lyon, Grenoble et illeurbanne, n’accueille plus de 10 sièges sociaux.
ÉCLAIRER L’ÉCONOMIE DE RHÔNE-ALPES
IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER DES ENTREPRISES DE RHÔNE-ALPES (SITUATION 2015). PART DES IMPLANTATIONS DUES À DES TPE-PME DANS DIFFÉRENTS SECTEURS INDUSTRIELS
Informatique, électronique
6ource  CCIR Rhône-Alpes septemEre 21
Lamétallurgie et produits métalliquesest le deuxième secteur le plus important avec 13 % des implantations industrielles. Celles-ci sont le ïait de nombreuses entreprises qui ne comptent généralement qu’une ou deux implantations. uelques sociétés atteignent ou dépassent cependant la di]aine d’implantations (A Raymond, inoa, ollhoïï Otalu, Techniques Surïaces André]ieux - HE).
Suivent ensuite leséquipements électriques (12 % des implantations industrielles), lachimie%), la (10 pharmacie(8 %), le secteurtextile, cuir, chaussures (7 %) et la plasturgie(6 %).
COUP DE PROJECTEUR
Le secteurmachines et équipements(y compris installation et réparation) est le plus actiï en matière d’implantations à l’étranger. Il regroupe 402 implantations, soit le quart des implantations industrielles. Elles sont le ïait de 74 sociétés mères diïïérentes  6 d’entre elles atteignent ou dépassent la vingtaine d’établissements possédés en propre dans le monde : Marem-Image, occard, illion SAS, ManitoZoc Crane Group rance SAS, Haulotte Group, St¦ubli averges.
5/
L’observation par secteurs d’activité amène également à nuancer le constat ïait précédemment sur l’importance relative des TPE-PME dans les implantations industrielles. Si elles sont en eïïet à l’origine de 37 % du total de ces implantations, ce taux varie ïortement selon les secteurs d’activité. Il est très ïaible pour la pharmacie ou les équipements électriques alors qu’au contraire la place des TPE-PME est prépondérante pour le matériel médical, l’informatique, électronique et la métallurgie et les produits métalliques. Ces résultats correspondent globalement à la physionomie des diïïérents secteurs.
Textile
Ces 7 secteurs concentrent 80 % des implantations industrielles rhônalpines à l’étranger.
Les principaux secteurs représentés sont tous des secteurs maeurs de l’industrie rhônalpine et, grossièrement, la structure des implantations à l’étranger reïlète la composition du tissu industriel régional. On observe cependant quelques écarts. Ainsi le secteurmachines et équipements, qui pèse environ 10 % des eïïectiïs industriels régionaux, occupe une place plus importante en termes d’implantations. Dans une moindre mesure, c’est aussi le cas pour lamétallurgie et les produits métalliques. À l’inverse, d’autres secteurs sont moins présents  c’est le cas des industries agroalimentaires pour lesquelles on dénombre moins de 30 implantations.
6/
DES IMPLANTATIONS PARTOUT DANS LE MONDE, MAIS AVEC DE FORTES CONCENTRATIONS DANS CERTAINES ZONES GÉOGRAPHIQUES
ÉTATS-UNIS, CHINE ET LES PRINCIPAUX PAYS EUROPÉENS EN TÊTE
Les 2 574 implantations à l’étranger des entreprises de Rhône-Alpes se situent dansune centaine de pays différents.
Avec respectivement 239 et 232 implantations recensées, c’est aux États-Unis et en Chine (y compris Hong Kong) que la présence des entreprises rhônalpines est la plus forte.Chacun de ces deux pays représente 9 % du total des implantations.
Le classement des 10 premiers pays d’accueil est complété par les principaux pays de l’Union européenne avec des résultats très proches - l’Allemagne (169 implantations), l’Espagne (164), l’Italie (157) et le Royaume-Uni (126) - puis par la elgique (87), le Canada (75), la Suisse (75) et la Pologne (67).Ces 10 pays concentrent plus de la moitié des implantations.
Afrique du Nord
ALENA (États-Unis, Canada, Mexique)
Europe hors UE
Hors Europe, Chine et Amérique du Nord, les principaux pays sont le résil (63 implantations), le Maroc (63), la Tunisie (63), l’Inde (58) et la Russie (51).
COUP DE PROJECTEUR
La taille moyenne des établissements au Maghreb est plus importante et le poids relatiï de l’Aïrique du Nord (12 % des eïïectiïs) appara°t sensiblement plus ïort, alors qu’à l’inverse celui de l’Asie est plus ïaible.
Par rapport à 2012, le poids respectif des différents pays évolue peu.peut cependant remarquer que les On
Asie
Si on regroupe les implantations par grandes ]ones géographiques,européenne est de très loin l’Union la première zone d’installation des entreprises rhônalpines: elle accueille 43 % du total des implantations. Ce pourcentage appara°t stable par rapport à 2012, même s’il s’érode de deux points.
Si on aoute à l’Union européenne les autres pays européens (7) (Suisse et Turquie essentiellement) et le Maghreb (Algérie, Maroc, Tunisie) on constate queplus de la moitié des implantations rhônalpines à l’étranger se situent sur des marchés internationaux de proximité.
À noter que de 2012 à 2015, le nombre d’implantations au Proche  Moyen Orient a légèrement augmenté, essentiellement en raison d’une progression aux Emirats arabes unis qui, avec 36 unités, concentrent plus de la moitié des implantations de cette ]one.
Avec une implantation sur cinq, l’Asie est la deuxième ]one d’accueil devant l’ALENA (États-Unis, Canada, Mexique) qui concentre 13 % des établissements de Rhône-Alpes à l’étranger. Les autres ]ones ont une importance nettement moindre, de 6 % pour l’Aïrique du Nord à 2 % pour l’Océanie.
7/
Proche & Moyen CEI Orient(Communauté des États Indépendants)
10%
15%
20%
0%
5%
Union européenne
Amériques Centrale et Sud
2012
Océanie
2015
Afrique (hors AFN)
Part du total monde 50% 45% 45% 43% 40%
35%
30%
25%
6ource  CCIR Rhône-Alpes septemEre 21
4%4%
2%2%
2%2%
Les implantations en 7urquie ont toutes été comptaEilisées en (urope sachant qu’en grande maMorité elles se situent à IstanEul ou dans sa région.-
ÉCLAIRER L’ÉCONOMIE DE RHÔNE-ALPES
Des pays comme le Canada, l’Inde ou la Turquie (41 implantations) ont par ailleurs enregistré une sensible progression depuis 2012.
PLUS DE QUATRE IMPLANTATIONS SUR DIX SE SITUENT DANS L’UNION EUROPÉENNE
États-Unis, deuxième il y a trois ans, sont repassés uste devant la Chine qui occupait le premier rang en 2012.
3%2%
2%2%
6%6%
5%5%
20%20%
13% 12%
IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER DES ENTREPRISES DE RHÔNE-ALPES. RÉPARTITION PAR GRANDE ZONE GÉOGRAPHIQUE EN 2015 ET 2012
Si on raisonne en termes d’eïïectiïs salariés, l’importance respective des grandes ]ones géographiques n’est guère modiïiée. La suprématie del’Union européenneest conïirmée, voire accentuée : elleregroupe 48 % des effectifs connus de l’ensemble des implantations rhônalpines dans le monde.
6ource  CCIR Rhône-Alpes septemEre 21
La structure des implantations dans le monde suivant la taille des sociétés mères (pour rappel TPE-PME : 37 %, ETI : 41 % et Grandes Entreprises : 22 %) ne se retrouve pas à l’identique dans tous les pays.
CEI Proche & Moyen (Communauté Orient des États Indépendants)
ETI
15% 14%
19% 17%
11%11%
Afrique (hors AFN)
Amériques Centrale et Sud
Europe hors UE
ALENA (États-Unis, Canada, Mexique)
TPE
6ource  CCIR Rhône-Alpes septemEre 21
Union européenne
1%1%
PME
0%
10%
90%
100%
20%
30%
Chine + HK
Royaume-Uni
Suisse
Espagne
Tunisie
États-Unis
Allemagne
Canada
Grandes Entreprises
80%
70%
50%
60%
40%
3%3%
Asie
8/
IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER DES ENTREPRISES DE RHÔNE-ALPES. RÉPARTITION DES EFFECTIFS PAR GRANDE ZONE GÉOGRAPHIQUE EN 2015 ET 2012
DES IMPLANTATIONS PARTOUT DANS LE MONDE, MAIS AVEC DE FORTES CONCENTRATIONS DANS CERTAINES ZONES GÉOGRAPHIQUES
48%48%
35%
30%
25%
20%
Part du total monde 55%
50%
45%
40%
LA TAILLE DES SOCIÉTÉS MÈRES ET LEURS SECTEURS D’ACTIVITÉ VARIENT SUIVANT LES PAYS
10%
15%
0%
5%
Turquie
Pologne
IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER DES ENTREPRISES DE RHÔNE-ALPES (SITUATION 2015). RÉPARTITION SUIVANT LA TAILLE DE LA SOCIÉTÉ MÈRE POUR DIFFÉRENTS PAYS
Russie
Italie
Brésil
Afrique du Nord
1%1%
1%1%
0%0% Océanie
On n’observe pas d’évolution particulière entre 2012 et 2015 dans la répartition géographique des eïïectiïs par grande ]one géographique.
3% 2%
2012
2015
6ource  CCIR Rhône-Alpes septemEre 21
39
39
ÉCLAIRER L’ÉCONOMIE DE RHÔNE-ALPES
COUP DE PROJECTEUR
dessous de la moyenne pour l’ensemble des pays. En Suisse, elle est très exactement identique à cette moyenne.
47
49
- Le rattachement d’une implantation à une région s’est ïait généralement sur un critère administratiï précis états américains l¦nders allemands régions espagnoles ou italiennes provinces chinoisesਐ ou à déïaut sur un critère géographique de pro[imité autour d’un grand pôle urEain.
9/
40
38
36
28
28
29
29
30
30
33
35
34
Un quart des implantations rhônalpines dans le monde sont concentrées dans 13 régions, la moitié dans une quarantaine de régions.
IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER DES ENTREPRISES DE RHÔNE-ALPES (SITUATION 2015). PALMARÈS DES 20 PRINCIPALES RÉGIONS D’ACCUEIL
52
LA CATALOGNE, SHANGHAI ET LA LOMBARDIE, TIERCE GAGNANT
La prédominance de l’industrie dans les implantations (62 % du total mondial) se retrouve globalement partout, avec cependant des nuances. En Aïrique (hors Aïrique du Nord) et au Proche  Moyen Orient, l’industrie est à l’origine d’un peu moins de la moitié des implantations. Dans toutes les autres grandes ]ones géographiques, les implantations d’entreprises industrielles sont maoritaires (avec notamment des taux de 62 % dans l’Union européenne et de 66 % en Asie).
Alger Pékin Dubaï MoscouoPaulo Flandres Istanbul Bruxelles Shanghai Sã New York Singapour Hong Kong Casablanca  Piémont Rhénanie N. W.  Lombar ie  Québec Bade-Wurtemberg  Catalogne Communauté de Madrid
Unpointimportantàsoulignerestquelaproximitégéographique n’apparaît pas comme un facteur déterminant dans l’engagement des TPE-PME.Leur part dans les implantations rhônalpines dans l’Union européenne est de 34 %, soit 3 points en
Shanghai avec 84 implantations se situe au même niveau ou presque.La Lombardie, avec essentiellement le pôle deMilan, arrive en troisième position avec 74 établissements recensés. Suivent ensuite le uébec (52), le ade-urtemberg (49) et la communauté de Madrid (47).
Si on ]oome sur la localisation précise des implantations rhônalpines à l’étranger, l’importance spéciïique de certaines (8) régions appara°t . Avec 86 implantations identiïiées,la Catalogne et Barcelonela première région qui attire les sont entreprises rhônalpines. Ce nombre d’implantations est supérieur à ceux observés dans des pays comme la Pologne, le résil, l’Inde ou la Russie.
90 86 80
Nombre d'implantations 100
84
74
Les implantations en Tunisie, et plus largement en Afrique du Nord, sont essentiellement dues à des TPE-PME. En Allemagne et aux États-Unis, une implantation sur deux est réalisée par une TPE-PME.En Chine, la place des TPE-PME est supérieure à la moyenne observée pour l’ensemble des pays  pour toute l’Asie elle est identique.
60
70
30
40
0
50
10
20
Les activités tertiaires - commerce et services - sont cependant maoritaires dans certains pays comme le Maroc, la Suisse, le Canada ou les Émirats arabes unis.
À l’inverse,les ETI et les Grandes Entreprises jouent un rôle particulièrement prépondérant dans des pays comme la Russie et la Turquie et, de manière générale, dans tout le Proche & Moyen Orient.
Autres
États-Unis
Californie
DES IMPLANTATIONS PARTOUT DANS LE MONDE, MAIS AVEC DE FORTES CONCENTRATIONS DANS CERTAINES ZONES GÉOGRAPHIQUES
Suivant les pays, les implantations rhônalpines sont très concentrées dans une ou deux régions ou, au contraire, se répartissent sur divers pôles.
LA CONCENTRATION TERRITORIALE DES IMPLANTATIONS EST TRÈS VARIABLE SUIVANT LES PAYS
Rhénanie N.W.
En Chine, malgré l’importance de Shanghai, on observe aussi un certain équilibre entre diverses provinces.
Pékin
IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER DES ENTREPRISES DE RHÔNE-ALPES (SITUATION 2015). RÉPARTITION DES IMPLANTATIONS PAR RÉGION D’ACCUEIL POUR DIFFÉRENTS PAYS
Nombre d’implantations
Autres
Ontario
Autres
Latium
10/
Massachusetts
Piémont
Aucun état des États-Unis ne concentre plus de 13 % des implantations du pays alors que dans le Canada voisin, le uébec (essentiellement Montréal) accueille 69 % des établissements rhônalpins du pays.
Bade-Wurtemberg
Shanghai
Dans diïïérents pays du monde, une région est archi dominante, attirant une large part des implantations. C’est le cas notamment des régions d’Alger, Duba±, Séoul, udapest, ango, Istanbul ou Moscou qui concentrent entre 70 et 90 % des implantations rhônalpines existantes dans leur pays.
Espagne
Catalogne
Lombardie
Hong Kong
Madrid
Autres
Autres
Guangdong
Autres
Chine
New York
Allemagne
50
6ource  CCIR Rhône-Alpes septemEre 21
200
La part de l’industrie appara°t asse] variable suivant les régions. Elle est très ïorte dans la province du iangsu (Chine), à Mumbai-MahÃrÃshtra (Inde), dans la région de uenos Aires ou au Texas et, inversement, très ïaible dans le canton de aud, en Caliïornie et au uébec.
Les TPE-PME sont à l’origine de plus de la moitié des implantations dans le gouvernorat de Tunis, en Géorgie (États-Unis), en Caliïornie, dans le Massachusetts, dans le ade-urtemberg, à Shanghai, au uébec et à NeZ <or.
100
150
250
Hesse
Québec
Canada
Italie
0
À l’évidence, toutes ces situations reflètent pour beaucoup le poids économique des régions d’accueil et l’organisation territoriale des différents pays. Mais certaines régions, avec lesquelles Rhône-Alpes et ses entreprises ont des liens particuliers, captent une part des implantations rhônalpines qui va bien au-delà de leur poids économique. C’est le cas en particulier de Shanghai, de la Catalogne, du Québec ou du Bade-Wurtemberg.
En Europe, l’Italie et encore plus l’Espagne se caractérisent par la domination quasi exclusive de deux pôles, Lombardie et Piémont pour la première, Catalogne et région de Madrid pour la seconde. La situation appara°t plus équilibrée en Allemagne, même si le ade-urtemberg et la Rhénanie-du-Nord૱estphalie regroupent à eux deux la moitié des implantations situées dans le pays.
COUP DE PROJECTEUR
ÉCLAIRER L’ÉCONOMIE DE RHÔNE-ALPES
DES IMPLANTATIONS QUI SEMBLENT GUIDÉES AVANT TOUT PAR LA VOLONTÉ DE CONQUÉRIR DES MARCHÉS
Ce Coup de proecteur - ïondé sur l’analyse de statistiques globales - ne permet pas de rendre compte en détail de la nature et du rôle oué par les implantations rhônalpines à l’international. Certains éclairages généraux peuvent cependant être apportés sur diïïérents points, à commencer par l’ancienneté de cette présence.
DES IMPLANTATIONS SOUVENT TRÈS RÉCENTES
Certaines implantations rhônalpines à l’étranger sont très anciennes, une quin]aine d’entre elles ont été créées avant la e deuxième guerre mondiale, deux datent même du ;I; siècle. Mais ces cas ïont ïigure d’exception. Dans l’ensemble, les implantations ૱ créations ex nihilo ou rachats ૱ sont récentes, voire très récentes.
71 % des implantations recensées au 31 décembre 2014 ont été réalisées depuis l’an 2000, un quart d’entre er elles n’existaient pas au 1 janvier 2010.
IMPLANTATIONS À L’ÉTRANGER DES ENTREPRISES DE RHÔNE-ALPES (HORS IMPLANTATIONS RÉALISÉES EN 2015). RÉPARTITION SUIVANT LA PÉRIODE DE CRÉATION
Part du total monde 50%
45%
40%
35%
30%
25%
20%
15%
10%
5%
0%
3%
Avant 1970
3%
1970-1979
6ource  CCIR Rhône-Alpes septemEre 21
7%
1980-1989
Cette « jeunesse » des implantations se retrouve dans toutes les grandes zones géographiques, avec cependant des nuances.
e La part des implantations réalisées au ;;I siècle est ainsi particulièrement élevée au Proche  Moyen Orient (94 %), en Russie et dans l’ensemble de la CEI (87 %) et sur tout le continent aïricain. Elle est relativement moins importante dans l’Union européenne (66 %) et pour l’ALENA (65 %).
16%
1990-1999
45%
2000-2009
26%
2010-2014
Dans le détail des pays, on observe des diïïérences plus e marquées. Ainsi, au Mexique et en Australie, la part du ;;I siècle est inïérieure à 50 %. Elle n’est que de 25 % au apon. À l’inverse elle est proche ou dépasse 90 % en Chine, en Turquie, en Inde et aux Emirats arabes unis.
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