Hugues Pierron de Mondésir
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Courrier des Alpes II. Contre Boubée : de s'être rendu com- i mois. Nous avons l'exi-mple des deux amnis- ses. A dix heures et demie, tous les fidèlesdeux jeunes gens de seize à dix-huit ans, •Mais il faut y renoncer, mon pauvre Pa- plice du délit commis par Labrousse, iusar- ties! Le grand argument qu'on nous donnait auxquels pour la circonstance on donnait le étaient en place pour le quadrille. pour voler la première, c'est qu'elle nous triote. Avec des électeurs indépendants ettieulé et qualifié, en fournissant à celui-ci l'article incriminé dont il est l'auteur rédac- débarrasserait do la seconde. Elle n'a fait que Je me sais arraché aux séductions de la libres, plus soucieux de leur dignité que denom de Lowtons ou Louveteaux. La salle teur, sachant qu'il était destiné à la publi- la préparer. de bal était un temple, l'estrade un autel et valse à trois temps, enchanté d'avoir assisté cité. Non, non, ne nous amusons pas à courir votre bon plaisir, plus désireux de bien III. Tresvaux deFraval : d'avoir, dans le éternellement les aventures, et, puisque nous le grand-prêtre de cette singulière Eglise pre- aux cérémonies d'un culte aussi jovial.

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Publié le 12 août 2013
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Langue Français
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Extrait

 II. Contre Boubée : de s'être rendu com- i mois. Nous avons l'exi-mple des deux amnis-plice du délit commis par Labrousse, iusar- ties! Le grand argument qu'on nous donnait tieulé et qualifié, en fournissant à celui-ci pour voler la première, c'est qu'elle nous l'article incriminé dont il est l'auteur rédac- débarrasserait do la seconde. Elle n'a fait que teur, sachant qu'il était destiné à la publi- la préparer. cité. Non, non, ne nous amusons pas à courir  III. Tresvaux deFraval : d'avoir, dans le éternellement les aventures, et, puisque nous numéro du journal VAniiradical de la avons enfin un a*il^, soyons sages, et tenons-Mayenne, lequel est distribué à Paris, com- nous-y. mis le délit d'offense au président de la Ré- Ne pas oublier que M. Parent et les amis publique, en publiant un article intitulé : du Patriote sout partisans de la revision. « Grévy l'iconoclaste » et commençant par ces mots : t Leurs vieilles et récentes hontes,»  et en y insérant les paragraphes extraits de  l'article publié par Labrousse et ci-dessus  mentionnés et qualifiés, sous les numéros 1,M. Paul Bert pendant la guerre.  2, 3, 4 et 5.  Délits prévu» par les articles 26, 23, 4'J, 43, M. Paul Bert s'est permis récemment   46 Vdeo ilcai  luoni  darut i2cl9e j udilul eGt a1u8l8o1is, ,s duûr  lsaa lnisb edrotuétede dire à une association d'instituteurs  de la presse. es laï :  Vous êtes des Français I cequi veut diro à la plume de M. Jules Simon, directeur de                                                   que les autre», les instituteurs r« elLiag ideiusxti,nction est facile à faire entre vous ce journal, que nous recommandons à l'at- « et ceux dont le voisinage vous a 'porté tort.  na sont pas Français 1 « La formule qui vous différencie est aisée à t  e n  t i  o  n    d  e s    é l  e c  t e  u  r s    s  éR  né a v t io s ir i o a n u.  x .  IAl sc eatp -impudent langage, l«<a tdBreoosuu rvFgerrao:ng çnVaeio»u.s  »êtes des libéraux, vous êtes prendront, non pas de nous, monarchistes,  répond : mais d'un vieux républicain, ce qu'il faut  Et c'est lui, P. Bert, qui a osé dire cela ! penser de la Revision.  Et le front de cet homme n'a point rougi,  Le sort en est jeté ; la France a maintenant lorsque sa langue a proféré un pareil lan-ses électeurs sénatoriaux. Pousseront-ils à la gage ! revision de la Constitution T Personne ne le  Ignore-t-il donc et l'histoire et son passé, sait. On annonce qu'ils sont modérés ; mais pour se permettra une vilenie aussi outra-chacun définit le modéré à sa guise. Pour geante T nous, l'électeur modéré, c'est celui qui ne  II faut le croire. revise pas.  Mais puisqu'il oublie, nous allons lui rafraî- Personne ne l'aurait contesté il y a six chir la mémoire. mois. A cette date reculée, personne, excepté  Quelle a été, pendant la guerre, la conduite les intransigeants, ne songeait à remettre la de P. Bert ? Car s'il existe une occasion Constitution sur le métier.  de faire preuve de patriotisme, c'est, assuré- Les intransigeants y songeaient, par l'ex- ment, quand l'ennemi foule le sol sacré de cellente raison que c'e3t leur unique affaire, la Patrie. et voici comment. Toute leur politique re- P. Bert était encore jeune en 1870. A-pose sur la tolonté du peuple ; — il n'y a t-il quitté, —comme M. Keller, par exemple, pas pour eux d'autre principe ;— le peuple — sa famille et son pays pour aller faire le  élit ses mandataires pour un temps tris coup de feu, et se battre comme font les  court ; les mandataires font les lois, et nom- « Français. »  mentdes commissaires chargés d'en surveil- Une brochure, publiée en 1871, sous ce ler et d'en diriger l'application. Voilà, en titre : L'Invasion allemande, à Sens, va trois mots, la corps politique organisé. Y a- nous édifier sur son compte. t-il une organisation plui simple, plus déga-L'auteur, M. Billebault, interpelle M. P. gée de rouages inutiles î Dans ces conditions, Bert en ces termas : la seconde Chambre est une superfétation ou« Votre maître, à vous, c'est votre intérêt.  un obstacle, et il est urgent de la réviser à« Moi qui ne suis rien, je me suis présenté fond. Cela fait, on revisera à son tour le pré-le premier devant les Prussiens et je leur sident. On n'a pas même besoin d'une Cons-ai réclamé impérieusement la liberté d'un titution ; car, dans la rigueur du principe,homme qu'ils avaient fait prisonnier avant l'assemblée issue du suffrage universel estd'occuper Sens ; tandis qu'il n'y a qu'une toujours constituante.voix à Auxerre pour dire que vous, fonc- tionnaire, secrétaire général de la préfec- Mais tous ceux qui veulent de la stabilité  ture, pâle comme un mort, vous trembliez dans la forme du gouvernement, de la matu- comme la feuille devant l'ennemi à son rité dans la discussion des lois, la possibilité  entrée dans notre ville. Aussi ètes-vous de revenir sur une résolution irréfléchie, la  allé à Bordeaux pour éviter sa seconde vi-séparation des pouvoirs, fondement nécessai- c site. » re de la liberté, en un mot, autant de garan- Voici ce que M. Billebault, sous le coup ties contre les votes révolutionnaires que con- d'une indignation bien légitima, disait en tre les bandes révolutionnaires, ceux-là pen- 1871. saient, il yasixmois, qu'on vivait tranquil- M. P. Bert a-t-il démenti depuis ces gra-les, que les lois étaient exécutées, que l'im- ves accusations ? Nullement. pôt rentrait bien, que l'armée se reconstituait,Quand il le fera, quaud il voudra prou-que des école* s'ouvraient de tous côtés et ver que sa conduite pendant la guerre a été pour tous les besoins intellectuels, que la ré- irréprochable, nous lui donnerons volon-publique se consolidait, et qu'il n'y avait pas tiers les colonnes de ce journal pour se lieu de réunir un Congrès pour remettre tou- défendre.  Mais tant qu'il n'aura pas justifié ss con-tes ces bonnes choses en question. Le chef ac- duite, n o m aurons le droit de dire à cet tuel du gouvernement était de cet avis, ce  homme qui nous insulte : qui prouve sa sagesse. Dans un discours  « Vous n'avez, mensieur, qu'un droit, adressé à ses fidèles amis et concitoyens de la celui de vous taire. » ville de Cahors, il faisait l'éloge delà Consti-tution, et vantait surtout l'habileté de ceux qui refusaient de la modifier avant d'en avoir                                                              Une Fête Maçonnique. fait un essai loyal, c'est-à-dire un essai pro-longé.  Extrait du National pour l'édification de  Il ne se peut rien de plus raisonnable, de plus pratique, de plus gouvernemental. Sans nos Vénérables .•. de Chambéry. doute, M. Gambetta a tenu, quelques semai-Il faut savoir varier ses plaisirs.i nes après, un langage différent, parce qu'ilJ'avais pris l'habitude d'aller passer ma n'aime pas à refuser longtemps ou avec obs- journée du dimanche au milieu d'excellentes tination; cequi faisait dire à M. Thiers, quand gens dont la plus innocente manie est de dé-il parlait de lui avec ses intimes : € C'est un sirer le retour des massacres de Septembre. Jbon enfant. » II s'est dit que, pour faire plai. En conséquence, chaque fois que revenait le sir aux intransigeants, on pouvait bien adop- jour consacré au repos je me dirigeais vers ter ce moyen terme, de réunir le Congrès, une salle de bal dans le noble espoir d'enten-mais en lui donnant un mandat impératif dre le citoyen Pierron et de contempler le qu'il ne pourrait dépasser : système ingé- profil grec de la citoyenne Louise Michel. nieux, agréable pour les intransigeants, et peu Mais on se lasse de tout ; après un mois de rassurant pour les autres.  joie sans mélange, je commençais à trouver  Ce mandat, si c'est M. Gambetta qui le cela monotone et je désirais des variantes : je dicte, comme tout le fait espérer, sera sans souhaitais par exemple que Louise Michel fit doute sagement restrictif. Mais l'engage- teindre son ondoyante chevelure en jaune, ment sera-t-il tenu ? M. Gambetta l'affirme, et que Letailleur chantât ses discours en s'ac-M. Clemenceau le nie, le Congrès souverain compagnant au piano. C'était rêver l'impos-jugera. Les électeurs sénatoriaux veulent-ils sible ; aussi avais-je organisé un loto mons-courir cette chance, ou plutôt veulent-ils nom tre pour tromper les longueurs de la journée la faire courir ? Y est-on condamné ? Y a-t-on dominicale, quand j'appris par les gazettes quelque intérêt, quand on n'est pas intransi- que, moyennant huit francs, il me serait per-geant ?  mis de prendre part à une de ces solennités  En admettant même, ce que nous regar- maçonniques généralement entourées du plus dons comme probable, que le mandat sera religieux mystère, et que je serais nourri respecté, que feront les intransigeants le len- par-dessus le marché. Une heure après, le demain de la revision ? Ils demanderont la concierge du Grand-Orient de France, rue révision — une revision plénière après la Cadet, me remettait une carte d'admission. révision partielle. Et que feront leurs adver- Les réjouissances ont commencé à une saires? Ils la refuseront pendant trois mois heure dans une salle de bal terminée par une avec éloquence ; et Us céderont, le quatrième estrade. 11 s'agissait de recotoir et d'investir
Courrier des Alpes  ses. A dix heures et demie, tous les fidèlesdeux jeunes gens de seize à dix-huit ans, •Mais il faut y renoncer, mon pauvre Pa-auxquels pour la circonstance on donnait le étaient en place pour le quadrille.  triote. Avec des électeurs indépendants et  Je me sais arraché aux séductions de la libres, plus soucieux de leur dignité que denom de Lowtons ou Louveteaux. La salle de bal était un temple, l'estrade un autel et valse à trois temps, enchanté d'avoir assisté  votre bon plaisir, plus désireux de bien le grand-prêtre de cette singulière Eglise pre- aux cérémonies d'un culte aussi jovial.  faire que d'être agréables aux gens en place, nait le titre de « vénérable maître.» C'étaitCharles FLOR.                                                                                                        demander... etpolimeut.M. Edouard Lepelletier, du Mot d'Ordre. Mail faut se résigner à plumese refuse absolument à accoler le qua-Et quand vous aurez dCemHandRé, eOt soNlli-IQUE lificatif de vénérable à ce nom de Lepelletier.  cSité,Aet rYedeOmaIndSéIenEcorNe...Neh bEien lTOUS  Estimable, recommandable, me paraîtraient  attendrez, et vous verrez l déjà suffisants. Vénérable est impossible.                                                                           AVIS  Mettons le cure Lepelletier, et n'en parlons plus.JHonself i t a r l'Archevêque.                                                          Désormais nous prions les personnes qui  Donc le curé Lepelletier — une bonne tète  de ratichun — occupe l'autel, qui supporte auraient quelques communications à adres- Aujourd'hui vendredi, MonseigneurLeail- un flambeau à trois branche». Il est revêtu de ser au Courrier des Alpes, d'écrire:  lieux est parti pour Rome. Sa Grandeur  ses ornements sacerdotaux, c'est-à-dire d'unePour ce qui concerna l'administration et  sorte de baudrier en soie bleue brodée d'une les annonces, à M. Châtelain, imprimeur du était accompagnée de M. le chanoine Si- ruguet, vicaire général.foule de choses en or. Sur un signal du curé,  journal ;  un desservant, également agrémenté de soie  bleue, apporte des épies. On va donc s'égor-Pour cequi concerne la rédaction seule,  Nomination ecclésiastique.  ger! Ces dpées se terminent par une poignée 1 M. le Rédacteur en chef du Courrier des  en forme de croix, comme les ipôes que les Alpes, avenue du Champ-de-Mars, 4.  Par décision de Mgr l'Archevêque :  soldats tiennentsuspenduessur la tête de Mô- M. l'abbé Sylvestre Guy, curé d'Hante-phistophélcs dans l'acte de la kermsise de  Faust. — C'est une croix qui de l'enfer nou-Election des délégués sénatoriaux.ville, a été nommé curé d'Arvillard, en rem- ou-ous gar-arde I Le clergé maçonnique se  placement de M. Vallet, nommé curé-ar- partage ces glaives et se partage sur deux  Décidément les élections sénatoriales ré- chiprôtre de la Motte-Servolex.  rangs à l'entrée de la salle. Je prévois un car- nage ; mais non. On frappe à la porte, et le servent au Patriote et à ses amis de sé- Assises de la Sarole.                                                        rieuses déception  s .  cturriéo, tsee, t enco aàni  tqnuavelnçall ,ipte,ip uieq cra 'éyset euqlepm,s:  " Le journal officieux a pris la p ine de pu-— Frère premier, qui frappe à la porte du     ît  o   n!  s^6 !?'^!      mo n tent     "!.. ^à.   a ' t ul e ; ,. ! ^"^l  e l  p  a  io n       ^1s'arrête1   0 ' h ^u   e     d '  a  p  r è     Mse  d es renrcider          sei         tamennig am p    a   sé tt én e péeela  il-us,carfinois lilidaercreMe t aissaiarmpcovade lnteed    t  e  m Lpel ec uTrbél iLeer,p de'llaetpireèr sa lue sp rresnmieunicipaux de la aS-lébles 23 soc 7iesnm sl :plaeo t  dn-réis tlnoewmenrg         oT n ablemo Vnénér as esnfe s urctlox onwtostnd uert,ec  emaî? doute, la         telis   è t e  o  m pl   c     y le juréd-ed s  lielalf ur Csienaap Aln is'ddie-dl suop e eéplucni ,trofue aieoBJ dt, n,aoasgeshp               u  A   l woot nse ndcot.araM                                      ov        i e                                                      a f    ntsde iv  c i dlaosép dint ontiaoitité ntaettnt atux estueince5  0ocsna niis: s,ervateursantiea ccedxu        iodle . : vitoénmso uUsant                         qui aspirent à la lumiè:re,          — Ton nom T e t xlu d   u o   0 3    elrud  e stegééuniacilbupér et e s   r l e t   o u  tet, avecest ppél sus .'Cna?t                   usVo       mu H     ez urj.é  t i na de rester fidèles à l (   n  u a n  c  e  Pa  r               lensabispeind        igétn,)eo lbe ts  srt tapténa e'sn sec rertdnuep  s.ertuieF a   nltasàe ré pvéoude d nteréchalowtons..                                                      unvaé rmitaaçbolne- plaisir que ous avons par-     n    e E riLnete rs?é ed eduexs ldoewutxo jnesu :nes gens. Les hommesà l'audience, l'Ia l  f f a a vi  or e u   aa   é     stqué           alot tler su d            renvoyée à la   M* Déne-prs séugéléd   s e  éarié, dépéula, na-dnef ruel edcni'                          sur leurs têtes. péescette longue liste. Nous y avonsarmés brandissent les  couru                           NC  ' oe  us st     lb ei   e j nu , r   oM  n as  r. a  t   ;   c '  e s  t   p  a  r f  a i t ,    H  u   m  a  -                        t o r i a sssee èrmi ,xutuaf li om c     i  o n                            erptrco 9  7de 1882.naf à eriué issr son clacquittel  ehcfeeitns rusetrureav ste    nLiet éc. oDm'apilolseituersu,r  vfroèsr ep aBrreani-nTs aryéopuoxn dfeaintt  edneten- ti ouvé un b i en pl  u s gr a  nd nombre dedeo msiov ltea o tbne uels circonastttaén-ces  Ministère public : M. Toubln.     vd  ro eu  Esa.tu  l Depa icanunsr   lbar amesos 1rcMahme ésasbreonvuaexuf èr- s   q ue n o us   n ' o s  ... ntiupe,al   pseads dneMs- seluei nmdoaens     e inos50,      l t 'seéper.rodtue  , 1   8           uLxe! succa'L .fehc erut'a lurpos tean u-nPaou duxteLe 18s  é até éoc-n  re». Défenseur : M°Bourgeois.    honLne.  cLuer sé uLisespee lplreéticeèrd ep rle dn plaolarete  b «ispre  d.ont à énmasna sior   t      f a nd  a n i sè t r o e   e g     c       .             ruop el rtaPe-toliaont douteux que ens      gue » les cérémonies ridicules do la religion Nous sommes convaincus que les élection catholique. Ministère public : M. Toubin.  Eh bien ! franchement, les cérémonies ma- du 8 janvier tromperont une fois de plus çonniques sont également ridicules. Ces ** épées, ces noms de Marat et d'Humanité, ces les calculs du journul de M. Parent. Quand serments, ces embrassades, ces insignes sa- convenable, de dénombrer un  iamclo élègeudJeli,ne cnro eua aettentc-Dateàvloai rp*u -de* maires pendant le mol* cerdotaux, ces faveurs bleues nouées autourilt osr'ammocig'd téll elc tel tiaf ur ds,ecis,ibrens ltoyeotriatP?e du cou, tout cela est enfantin. deur. Clamont, ancien agent voyer, de la do décembre.  En avant, la musique sacrée ! d'hommes intelligents, sachant régler l ur     Le frère Limât, de l'Elen-Concart, chantecé  ol neAcdt-ute-iiutler  lsda ' prétentiéel sno s rèapsli'ed cuq evapt d'tcrneéd a'stde m eeniedncvaSe cre?  fairontrerèlme,s BaitCi -reo t i xau tse féd udnerap f" MisRodeac'ti ceenes drdrsaLide.é sd sesenim rtsi Les Marrons sculptés.'lles quti d snde eosrgienemtnosmesué'accf.Lmatifira tcidrev nu dne rryjue rtpoapr  chaque jou dr  Nous entendoni ensuite : Gré nom de violenter ulee  u el   r  sedp ird ue xnandamné à  est co        p  i  r       ed  t e   semmoh seroasf.fn?geusDu i'ltes.   ucTau 10.— Comptabilité communale.               nom ! et le Cheveu à Mathieu, par le frère  PatrEst-ce leiotes'im Paulus, de l'Alcazar ; Entre la poire et le fro-àcelui q uqi ureé flpéacr har -igait, est-iop lbss ,l-tseisara d mage et Trop sensible , par le frère Pacranbelircaaiti nqsu, ei,l  rméêalmisee apbsomliu lme»e nétl, elcutie uetr ss ersé pcua-n-  L eLse  m3a1i.r es  dCaos mcoptmabmiluitnée sc ooùm rméusindaelen.t  les fils; Ma femme est en voyage et C'est pas didats, l'idéal et le modèle du parfait répu- percepteurs sont appelés à constater l'exis-vrai, par la petite Zizi ; Jules, éloigne x-vous, blicain ? tence, au 31 décembre, des valeurs maté-par lasœur Céline Dumont ; J'voudrais (être ue dé une rosé, pas le frère Valéry, du Châtelet ; s  eCcrheatqde sa cloéngsucéi esnécnea tloer ivaol tpe oqrtue'i ld daonsn nleerarielles qui représentent l'excédent des re-Y Impôt sur Us célibataires, par la sœur Kai- Il n'a fait connaître à ser, de l'Epoque, et Je suis dans l'mouve-le 8 janvi, enr i pàr ovcohuasi nm.essieurs du Patriote,ecte tétteasb lsiusrs elems edépenses de chaque commune ment, par le frère Libert, de l'Alcazar. personne 'i nt, ainsi qu« de chacun des      Il n'y a encore que la musique religieuse.tnei: iàd  nfoaiurse .conservateurs, le choix qul en-seet ràv ipcreosc déodentr  làe lsa  ccolômtputraeb ldeess  sroengti sctrheasr.g Cése,s Ces hymnes, ces in vocations,ces harmonies cé- fonctionnaires, assistés d'un membre du lestes montant vers les voûtes du temple, lais- conseil municipal, dressent à cet effet ua sent une impression profonde. On na se doute rocès-verbal  pas à quel pointLa Soupe et l'bœuf, monolo-pbordereau de ,s itetu aftoinotn  éstoabmlimr aài rl'ea. pIplsu it ruanns-gue, par Pacra fils, remue, les âmes et ra-mène les fidèles aux pieds des oaints au- mettent ces deux pièces au sous-préfet de tel»!... Un dignitaire de la maçonnerie, placé Comme le juré qai assiste aux débals "irrondissement. près de moi, a formulé une appréciation d'une grande cause, il écoute d'une or=-ïllo qui traduisait exactement la pensée de l'au-jautsteqnut'iavue  dleer rnéiqeru ismitoomireen te ti ll ar odsétfe ejnusgee.  sMoai-s ditoire : verain, maître absolu de son t il u vote ; e faut une singulière audace pouroser, comme le fait le Patriote , affirmer, plus d'un mois Etat civil. — Le 31 décembre au soir, le à l'avance, qu'il votera ainsi et non pas au- maire doit clore et arrêter les deux doubles trement. des registres de l'état-civil. Le procés-ver-bal de clôture énonçant le nombre des actes inscrits au registre, doit être dressé, sans laisser aucun blanc, immédiatement après  Il faut que M. Parent et ses amis renon- le dernier acte.  — Est-ce que ce n'est pas bien plus rigolo cent complètement à leur manière de faire. Engagements volontaires. — Les regis-qu'à Notre-Dame ! Ce n'est pas en prétendant s'imposer et tres des engagements volontaires reçus dicter leur loi au collège électoral qu'ils ar s-lieux de can- Ça, c'est vrai, incontestablement vrai. Les arriveront a un résultat favorable. Comme p MM. les maires des chef ocroateur» sacrés semblent ternes, si on lesnous, comme le commun des martyrs, ilston sont clos et arrêtés par eux à la fia de uxm pare aux chanternets  udnue  Gcrrâanned  idOrient. C'estplaideront leur cause devant les déléguésl'année, de la même manière que les regis- re  elLiegq ifourièn .rveo uTso dnyo nRnévillon est venu épre odn'ounn-esénatoriaux, qui sont leurs juges et non  trePs edned la'éntt alte  cimvoili.s.  Pâturages.  Le pas leurs valets. Comme nous, ils tâcheront cer un discours, au grand désappointement de faire valoir le plus adroitement possible maire adresse, avant le 31 décembre, à l'a-dféer eMr alrea ft reètr ed 'PHaulmuas.n itLée,  dqéupi uptaér adies sCaiheanrto nprnée-les quelques arguments qui plaident en leur gent forestier local, l'état des bestiaux que u faveur. Comme nous, enfin, ils ne devront chaque usager possède, avec la distinction dda eep  lbaaro lémB abdsaetri ltdloeeur,  tl,d eedsse sn ifhrsiaalninscttsse-.s ml,  iaq çauo 'iélnt séa,   dedoxec u1us7é9s3,eisep aéurrear  léet sé uccocnèvs eqnua'baluet aentt  leqsu ea rlga upmlaeindtosi- de ceux qui servent à son propre usage et  pasx, ca-rdécisifs. de ceux dont il fait commerce. (O. 1 eraoût 1837, art. 118.) reusi seasntt , msioeuurxi.ant, féroce; il a été court, ce     Mercurialps. q— Je suis bien fatigué, disait-il au curé Le, Subsistances (poids légal des grains). — pelletier. Dans les trois derniers marchés qui se tien- — Vous aurez encore fait la noce cette nent au mois de décembre dans la com- n  uLita,  frêitpeo ss'teas tc ec ovnétniénruaébel ep aerc culné sbiaasntqiquuete.. Au   Mais voilà bien ce qui embarrasse le Pa-  smpuéncei,a llee,  fmaaiti rpe,r oacsésidsetré a du'upnees acgoe mdme ils'hsieocn-dessert, le frère Clovis Hugues a bu à la sup- triote. Ce sont les bons arguments qui lni mem- manquent le plus. Combien il serait plus pression du Sénat ; le àf lr'èarfef raAnmouroux,commode de remplacer arguments, sollici- tolitre de froment, d'orge et de seigle de bfreem dme el a;  dC'aoumtrmesu nfreè, res à une fcohuislse edme ecnht od-e latations et plaidoiries par un simple com-mandement, un j e veux bien senti, tel que tait les prononcer M. Nicolas Parent.
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