Lagardere, le show-biz au zénith Le 5 avril, Lagardere Unlimited, la branche du groupe Lagardere dédiée au sport et à l'entertainment, annonçait la création d'une nouvelle entité : Lagardèreé:Lagardère
Le 5 avril, Lagardere Unlimited, la branche du groupe Lagardere dédiée au sport et à l'entertainment, annonçait la création d'une nouvelle entité : Lagardèreé:Lagardère Unlimited Live Entertainment. La structure compte jouer sur trois domaines de compétence : la production de spectacles déjà initiée avec la production de spectacles musicaux comme «Cendrillon», «Dracula» ou «Mozart» ; la gestion de salles, dont la 1ntla1ère pierre est une prise de participation dans la société d'exploitation du Zénith de Paris ; la représentation d'artistes, «en s'appuyant sur l'expertise de Lagardere Unlimited dans la représentation de sportifs et la gestion de leurs droits marketing», annonce le communiqué.
Le groupe chercherait-il à élargir ses domaines d'intervention ? «Nous ne sommes pas là pour faire du 360°», coupe Jérôme Langlet, DG de la nouvelle structure. « Nous n'avons pas vocation à produire des disques. Nous allons nous concentrer sur les domaines où nous avons un savoir-faire et une valeur ajoutée et où nous pouvons créer des synergies avec d'autres branches du groupe». Dernier arrivé, La gardère rique d'accuser un temps de retard sur les autres entreprises du secteur. « Chaque spectacle est un nouveau projet», répond Jérome Langlet. « Et la base, c'est l'artiste. Même si les autres ont un temps d'avance, j'estime que nous disposons d'atouts. D'autres ont investi en achetant... mais nous, nous possédons le savoir-faire ». S'appuyant sur ce savoir-faire, Jérôme Langlet refuse l'idée de créer des économies d'échelle par une concentration verticale : «L'objectif est de travailler au mieux pour un artiste. L'enjeu n'est pas de créer des économies d'échelle en ayant tous ses droits». Le développement du groupe sera donc mené à l'intérieur des trois domaines connus, notamment la production de comédies musicales et de tournées d'artistes «'artiistes«en développement et confirmés», ainsi qu'en se positionnant sur des appels d'offre de Zénith et salles parisiennes. «À terme, le développement se fera aussi en dehors de la France», même Jérôme Langlet.