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Informations
Publié par | MIROIR-SPRINT |
Publié le | 28 octobre 1949 |
Nombre de lectures | 30 |
EAN13 | 3607925340640 |
Langue | Français |
Poids de l'ouvrage | 15 Mo |
Extrait
} PRESENTE
| UN NUMÉRO CERDAN SOU VENIR y//v//
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LE CHAMPION
DES
CHAM PIONS
FRANÇAIS
disparu
en pleine gloire
le 28 Octobre 1949 30 frs
24 pages I •
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I/ par extraordinaire, tu avais acheté, Slecteur, ce numéro spécial de « Miroir
Sprint » afin d'y trouver quelque révéla-
tion surprenante sur Marcel Cerdan, alors il ne pousse pas plus avant tes recherches. o 0 En effet, ce numéro ne contient :
Rien de confidentiel sur lui ou les siens;
Rien d'horrifiant sur son accident ou
sur celui de ses infortunés compagnons.
I NOVEM-1
' BRE 4G. La gloire de Marcel se suffit à elle-
— La oonsé-
oratlon d'une même. Nous l'aimions en tant que cham- «m carrière. Mar-
oel déoouvre <* pion prestigieux, en tant qu'homme sim-
l'Amérique que «a
des années de ple et bon et c'est pour cela que nous
guerre ne lui ST\t
avalent jamais avons placé ces pages sous les seuls si-
perm It d'at-
teindre Jus-gnes du sport et de la simplicité.
qu'alors. Et
l'Amérique, De même, poux rester fidèles à cette
o'eit la seule
même ligne d'objectivité, nous n'avons ohanoe de de-
venir oham-pas fait silence sur les « coups durs » ohamplon du
monde. / dont sa carrière n'a pas été exempte.
Pour si grand qu'il soit, un champion
•} DECEMBRE 1946. — Cerdan a n'est pas immunisé contre eux. Le seul
•- fait ses débuts au Madison Ô
Square Oarden de New-York devant fait qu'il vient toujours à bout de l'adver-
l'Amérloaln Qeorgle Abrams. H-3'.re sité exalte précisément sa qualité de ohamplon, victime de furonoulose et pi-
qué avant le matoh, a gagné difficile-champion. ment, surtout grïoa à son énergie.
Celui à qui ce numéro-souvenir est
consacré était le plus grand de nos cham-
pions français.
Que celui qui en doutait encore lise et
médite les chapitres qui suivent. W MIROIR-SPRINT,
7
SPORTIF, SOUVIENS-TOI
Emile Grémaux, Président de la Fédération M• Française de Boxe, a l'intention de faire
adopter par son Conseil an projet tendant à oppo-
ser dans toutes les salles de boxe une plaque ainsi
libellée ...
"Jeune boxeur, souviens-toi de l'exemple du grand
champion Marcel Cerdan. "
Ce projet ne peut évidemment que rallier l'unani- S //"£ mité. Néanmoins, pour qui connaît l'exceptionnelle
carrière de Marcel — et vous n'en ignorerez plus
V
OS* rien après la lecture de ce numéro — il apparaît qu
o*
elle reste un exemple non seulement pour les jeunes m4:
O pugilistes mais encore pour tous les sportifs. «
Et c'est pourquoi, nous ne pouvons que conclure,
SPORTIF, dans les momemts de décourage-
ment, lorsqu'il te faut faire preuve de loyauté,
quand il est nécessaire de t'accrocher pour
triompher de l'adversité.
SOUVIENS-TOI TOUJOURS DE L'EXEMPLE
DU GRAND CHAMPION MARCEL CERDAN
Q JUIN 1949. — Le destin de Maroel a-t-ll NOVEMBRE 1947. — Alerte ! Intoxiqué 5 par un repas pris aiant le matoh de » tourné à Détroit ? Le match a d'abord
Chicago, notre ohamplon n'a pat été Iql-méme été remit de vingt-quatre heures, par suite des *
contre l'Esthonlen Anton Raadlk, qui l'a envoyé olroonstances atmosphériques. Puis, en oom-
trois fols au tapi* dans la dernière minute de bat, dès la deuxième round, l'épaule de Cer-
ce ohoo « terrifie », remporté néanmoln» par dan a cédé. Il a dû abandonner au dixième
le « Bombardier marocain ». round ton titre mondial k La Motta.