Le 2e trimestre n'a pas evole comme on s'y attendait.
2011. les prix ont de 2.8% sur les trois premiers mois de p.in. l.i 'ilualion ne semble pas piëte a Selon la Chambre des lunaires de Paris. indicateurs avancés sur les avant-contrats montrent que le momenieni de forte hausse des prix paursni\ I'L. ;III moni*- insqii .i hi tin du mois juin. !,cs tensions spécifiques qui affectent le de la tapi laie conduisent à analyser avec l'évolution du marché immobilier. D'un l'offre de biens reste très insuffisante pour face à la demande et cette pénurie attise la moyen terme. Passé le 1er semestre, la situation reste donc incertaine. L'état du marché sera fonction du contexte économique, de l'ampleur des hausses de taux d'intérêt pour les crédits à l'habitat, des perspectives des ménages mais aussi d'anticipations de toute sorte, tant des vendeurs que des acquéreurs. Au global et selon les agences haut de gamme, comme Barnes, Vaneau ou Feau, la tendance est toujours la même. Les beaux quartiers, Ville, Vile, Vie, XVIe, ne connaissent pas de ralentissement, car ils continuent d'être tirés par la demande étrangère qui constitue toujours une proportion de 50% des acheteurs environ. A noter qu'en banlieue, la région ouest continue à tirer son épingle du jeu. Boulogne-Billancourt se rapproche des prix du XVIe et les villes de Châtillon, Malakoff, Clamart sont tirées vers le haut par l'effet tramway.