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Langue Français
Poids de l'ouvrage 6 Mo

Extrait

 
 
           Remerciements à :  Nicolas Marotte – Directeur de la Business Unit Petit Déjeuner, pour avoir accepté avec flegme de m’y intégrer, malgré mon inexpérience totale dans le marketing.  Clémence Blanc– Chef de Produit sur la marque Heudebert, pour avoir daigné être ma chef de stage et pour m’avoir confié des missions résolument variées et enrichissantes tout au long de ces trois mois.  Charles-Henri Nicq Assistant Chef de  –Produit sur la marque Heudebert, pour sa fraîcheur et son soutien permanents.  Christel Mourgous– Assistante Marketing, pour les aides précieuses qu’elle m’a distillées à propos de formalités administratives, techniques ou procédurières, ainsi que pour son dynamisme communicatif.  Alexandra Caillon à travers Poitiers et sa région aiguillé– Category Manager Magasin, pour m’avoir lors d’une tournée terrain qui reste assurément comme un des instants les plus enthousiasmants de ce stage.  Dans l’anarchie hiérarchique la plus complète, mais dans l’ordre alphabétique le plus rigoureux, merci également à : Fabienne Attal, Jean-Francis Beaulieu, Monique Bétaille, Isabelle Champenois, Sébastien Emeriau, Sylvette Hochet, Els Jansen, Raf Loeys, Valérie Luap, Agnès Mignonac, Sophie Moustache, Jean-David Oftinger, Didier Pépin, Clotilde Pes, Anne-Marie Petitta, Claudie Pitaud, Michèle Proczek, Sonia Renucoli, Cédric Thomas (et tous ceux que j’ai inévitablement oubliés) pour leur collaboration indéfectible. Et un merci groupé à tous les stagiaires parfaitement intraitables avec qui j’ai partagé ces nombreuses semaines.                     
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 Avant propos (1 page)  Cette expérience s’inscrit à la suite d’une licence d’Economie Appliquée, spécialité économie et gestion, et devait être obligatoirement effectuée pour ne pas réfréner l’obtention de la maîtrise d’Economie Appliquée l’année prochaine. Il s’agit de mon second stage (si l’on passe outre la semaine d’accoutumance à l’entreprise proposée en classe de troisième), le précédent, datant de juillet et août 2003, s’était soldé par une excursion épique de deux mois en Angleterre chez Schneider Electric, au gré du rythme imposé par les départements de finance puis de développement commercial.   Le choix de mon orientation pour les années suivantes stagnant encore dans le flou artistique le plus complet, ce stage devenait alors l’occasion rêvée pour éclaircir ma vision du marketing comme possibilité d’orientation, et pour bouter hors-champ mes préjugés sur cette discipline.  A l’origine, je souhaitais en profiter pour mettre un premier pied dans l’industrie fascinante du jeu vidéo et c’est dans cette optique que j’ai entrepris, de décembre 2003 à avril 2004, d’égrainer les propositions de ce monde, tout en envoyant une flopée de démarches spontanées auprès de ses acteurs-clés, qu’ils soient francophones ou étrangers.  Elles ont connu un « succès » unanimement tonitruant, majoritairement à cause de la limite temporelle imposée : la plupart des employeurs proposaient des stages de six mois incompressibles, quand bien même nous ne disposions que de quatre mois de vacances au grand maximum. Le salut est finalement venu de l’appui de Jean-Marc Delrieu, alors directeur commercial de LU France, indirectement sollicité par mon père, il s’agit donc bien ce qu’on appelle mécaniquement un « piston ».  La suite se trouve à la fin du mois d’avril, dans les locaux de LU France, à Rungis, lors d’un entretien avec Nicolas Marotte, le directeur de la Business Unit (1) Petit Déjeuner pour fixer les modalités du stage : nous partons sur une base de trois mois au lieu de deux, pour que ce stage leur soit profitable (car en toute logique, ils prennent exclusivement des stagiaires de six mois), pas de promesse initiale de subvention, exceptée une réduction non négligeable sur les tickets de restauration.  La direction des ressources humaines me re-contacte à la fin du mois de mai pour parachever les formalités écrites (fiche de renseignement, convention de stage…) et me confirmer leur accueil en stage d’école lié par convention, du lundi 7 juin (premier jour ouvré après nos partiels de licence) au vendredi 27 août 2004, parmi la direction marketing Petit Déjeuner de LU France à Rungis, sous la responsabilité de Clémence Blanc, chef de produit Heudebert.                      (1)   (iciLU France) en plusieurs groupes spécialisés dans desLa Business Unit est un outil de décomposition d’une entité domaines d’activité spécifiques et uniformes. Ici : le petit déjeuner, le goûter, la pâtisserie…)
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