Affaire Cahuzac : le rapporteur général de la commission des finances du Sénat appelle à ne pas céder à la tentation du « contrôle spectacle » (communiqué de presse)

Description

François Marc (SOC - Finistère) s’étonne qu’à la suite des dernières rumeurs relayées par la presse concernant l'Affaire Cahuzac, les présidents des commissions des finances aient choisi de prévenir les médias avant de se rendre dans les locaux du ministère de l’économie et des finances pour enquêter. Il appelle à ne pas céder à la tentation du « contrôle spectacle ».

Sujets

• Spectacle
• Contrôle
• Communiqué de presse
• Rapporteur parlementaire
• Jérôme Cahuzac
• Finance

Informations

• Publié par: Fil_Politique
• Publié le: 12 avril 2013
• Nombre de lectures: 31
• Langue: Français

Extrait

Affaire Cahuzac : le rapporteur général de la commission des finances du Sénat appelle à ne pas céder à la tentation du « contrôle spectacle » Vendredi 12 avril 2013 Depuis la révélation de l’«affaire Cahuzac », les présidents des commissions desfinances de l’Assemblée nationale et du Sénat ont larement fait usae desouvoirs d’investiation ueleur confère la loi orani ue relative aux lois de finances (LOLF). François MarcSOC  Finistère, raorteur énéralde la commission des finances,considère cette démarche comme léitime et commeartici antau fonctionnement démocratiue des institutions. Toutefois, s’il est nécessaireue les élus exercentleinement leurouvoir de contrôle, celuici anerait à être utilisé avec responsabilité. Enl’espèce, les précédentes démarches engagées par Gilles Carrez et Philippe Marini leur ont permis d’obtenir tous les renseignements demandés dans un délai rapide.Aussi, ils ont pu constater la parfaite coo érationdu Gouvernement et de l’administration fiscale. François Marc s’étonne donc,u’à la suite des dernières rumeurs relaées arla resse,les résidentsdes commissions des finances aient choisi de mener leurs investiations enrévenant les médias avant même de se rendre dans les locaux duministère de l’économie et des finances. C’est pourquoiil appelle à ne pas céder à la tentation du « contrôle spectacle ».  Contact(s)presse : Maria Pihini 01 42 34 25 [e-mail]