Biens mal acquis, à qui profite le crime ?

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Biens mal acquis, à qui profite le crime ?
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249

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Français

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2 Mo

 
Biens mal acquis, à qui prote le crime ?
1
urpsui ssq tnaner alec euraîart eupsiesp  abord, de primeiuS  esssecal tgu  drei quitfaidlam nodare eeltutiestila r de a te sneib ed nos irvo
AA détournés. Parmi les autres grands pays récepteurs de tels avoirs suspects, la France est active diplomatiquement, mais semble gênée aux entournures dès qu’il faut passer à l’acte. Le Royaume-Uni, trop soucieux de demeurer la première place financière internationale, ferme volontiers les yeux sur les avoirs d’origine douteuse qu’il héberge. Les États-Unis, enfin, font une utilisation très pragmatique du gel et Chapitre IVde la restitution des biens  mal acquis au gré de leurs priorités géopolitiques.In Restituerfine, l’étude comparée de ,ces quelques cas d’école une question deconfirme ce que nous pressentions : la décision volonté politiquede s’attaquer, ou non, à l’or des dictatures est avant tout une question politique.
Attitude comparée de la Suisse, de la France, des États-Unis et du Royaume-Uni
 mal acquis, à qui profite le crime ?Biens
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