S yndicat N ational des K inésithérapeutes de G roupe « La vérité est toujours du côté de la minorité » Søren Kierkegaard S ommaire Les contes de la cour ........................ 2 Action Syndicale ............................. 3-5 Marc Viard ................................................ 5 Libre opinion ......................................... 6 Kinésiologie ............................................. 7 Le doigt de savoir ....................... 8-11 Cybersyndicalisme ................. 11-13 Kinépanorama .................................... 13 En bref .............................................. 13-14 Ok kiné ............................................ 14-15 La Louarme à l’œil ................. 15-16 La pierre à Briquet .......................... 16 Pourvu qu’on soit livresque ... 17 Imprimé par Imprimerie Nouvelle Quimperlé Siège Social et Présidence (Bretagne) Robert MARCHAND Kerfourcher 29300 TRÉMÉVEN Tél./Fax 02 98 96 25 39 robert.marchand29@orange.fr Trésorerie (Champagne-Ardennes) Marc VIARD 24, avenue Président-Auriol 08000 CHARLEVILLE-MÉZIÈRES Tél. 03 24 37 83 00 madevigi@wanadoo.fr Secrétariat Général Jean-Jacques REINIG 54, avenue de la Croix Rouge 13013 MARSEILLE jj.reinig@sfr.fr SNKG le seul Syndicat de Groupe ouvert aux praticiens individuels
états majors syndicaux constituent déjà des listes électorales, avant même dexposer leurs programmes : sous Sarkozy tout va plus vite ! Ces élections professionnelles, avatars de la dite loi, vont affirmer la représentativité de tel ou tel, à savoir celui qui sera désigné doffice pour engager toute la profession dans lécheveau des diktats venus den haut. Les anciens se souviennent de la lue effrénée, naguère de nos représentatifs, pour être les premiers à signer les « quotas » de funeste mémoire, aujourdhui nommés « référentiels ». On ne voit pas tout de suite lintérêt dun vote qui à priori ne devrait rien changer sinon léclosion de nouvelles baronnies régionales, et donc lavènement de nouveaux « égos ». La néo démocratie que nous avons tant souhaitée sera financée par un nouveau prélèvement obligatoire sur nos revenus conventionnel de lordre de 0,1 à 0,5% du plafond de la sécu. Le syndicalisme conventionnel obligatoire sans réelle capacité décisionnelle est une grande première, d autant quil permet dexclure toutes les communautés de pensées minoritaires, sommées de se joindre aux listes traditionnelles. Un grain de sable sest toutefois glissé dans ce rouage pré-huilé, il sagit du syndicat Alizé, réfractaire à lOrdre, et dont le Ministère a souhaité garder les listes, en dépit de lavis négatif du-dit Ordre. Bienque dans ce type délections étatiques les dés soient pipés, ces URPS sont un début de modélisation camériste que nous ne pouvons que saluer. Si daventure il fonctionne il amènera forcément les syndicats à reconsidérer leurs divisions infructueuses, et à les orienter vers de nouvelles conceptions de la défense professionnelle. Nous engageons vivement les adhérents du SNKG qui souhaitent participer à la vie conventionnelle, à se présenter sur les listes de leurs régions, et ce avant la date limite du 11 Octobre 2010.Merci de nous contacter rapidement.
Robert MARCHAND Président National
É ditorial
J uillet - A oût - S eptembre 2010 LeCourrier desadhérents
URPS.......DU VAiN NoUVEAU ?
L es contes de la cour
genres de f arce, certaines lui coupaient lappétit et pourtant j euner nest pas r igolo. Avec sa p eine à l ire, il aurait préféré quon tire un trait d un seul coup . Il détestait les traces de gl aise sur sa b otte, et craignait les sales n otes dans la tour m ente. Livre VII, Chapitre XI Un seul mot dOrdre : On fait bloc Des ava n ies pour les pi r es face aux dé lations ». UN CA N ARD SUR LE F EU QUE DE FoUS DANS CE CoM PtoiR Trahi par un él u de son c am p, li v idesenserrantDleasndse l n Utsn.iLoen,Coannanradpalvuasitqbu r à ûlb é ra leduerrp en sées obsédaient le Chevalier dAirain. camp et la p eine les m inait. Le palmipède enchaîné le soupçonnait Jusquà présent ils avaient réussi à davoir airé des é cu s dans son t ron c et davoir engrangé un horrifiq u e bénéfi c e. Il aurait p asser au milieu des ch utes, aujourdhui, ils confondu di r ection et g estion. é meentdLeesur c o prarretcetniaoirnes.allait-ilcon fesser ses Dénonçant des fo nd s c ur ieu x , le volatile était dé rou tédevantlespetitslpé rij e m ct e i s o,ns.achantquecertainsr ites amènent à pi stons.E ffl anqués dans une mauvaise p ente, Aujourdhui il avait du mal à se faire ils manquent de b onus et ils se t aisent. c oter laf fr eux, alors que dans son clan, tout le monde était d acc ord sur le b ut. Avec Rocky, ils subissent le j eu du n éant sans broncher. QCAUS êQtEUEEtCESoLLECtioNDEgenredeD tr é o so u rpmea?isC,choezmemuexn,tpca o s m deble d rocnesc oûteux, car on commençait à distinguer le étaitbienvLee n sufae,ubxiaenmiqsuterjouusvqauieenlàt,qleusecsuam piu l lesf ond des c aisses, mais en même temps, on trouvait si p eu de mecs pour faire léq u ipe. n noetleusi.avaientpasfaitcraindredemauvaisesAllezlesgars,ilnesuffitpasdeLe Xav lavait dailleurs fait déco r er, b ou der, il faut aussi p en ser. quel ho nn eur ! En fait, il avait été dé cor é sans LES F oNDS DE C oLE êtreef euQréu.andilm et sa ca squette dex- Berjolais nouveau avait appris à cal culer en cent leçons. Il se méfiait de la pàrbéosiudtepnot,rtilatnrt,ouetvielp se é n siebnlteb doeusilelfoanirneer t i d r èerspé tulance des a eurs, qui au t ennis le ta p aient très fort. quonla cc Suasrea. ge lui servait de ver ve , « e ff acez Il craignait quon le bas cule sur le mon m alus » hurlait-il. terrain de l en quête car lui aussi avait puisé dans les f onds dé c ole, mais après tout, on ne fait pas la l ippe quand on p èche. MASQUER L’AFFAIRE Les chi ff res le b assinaient, mais les t racasjAlaubergeduroiRené,onavaitduf onds diminuant, les c aisses restaient vides. usqu au c ou.Sonp ignon gardait royale m ine, avec D habitude, il était plus facile de les élections, il pourrait sans doute toucher des islafiaslilralitéb c i h eenllqeupialsrtloem b abse.ntUsnujroduergoruosla d u é tlrites,s ommes m ensuelles, reste à savoir où il allait vi cieu f ourrer les b illes. x. Parfois dé p assé par les l uttes, il A présent le v eau gr as geint ! en plus il envisageait des c ieux beaucoup plus p âles. m ent de b Eonuts,ce r t u p t launstillemg e a n rs t,,ipllussavilai s toquiulelel.eBienquenétantpasdugenreàsec oucher sur la t ouche, il rêvait de s e re tirer en s ou pirant, vain cu resterait dans son co eur car sa g esse est nonsans avoir aé les Fennecs, car ses biz u ths sourcedef Coeit.tefois,ilsnepourrontpasserestentdanslec ou p. Il dé test ait les ri dicules et se méait contenter dune l ue p assive, que de b rouillesdesp oisons qui t uent. Il ne souhaitait pas, à envuepoLureuronic Raesndéhnoeng noeûutra!itpastouslessontour,monteràladé f ense du m alus, quie à tourner son d o s aux goguen ar ds ! 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
C RiER LA V EU A la SKUDERIA, on aimait les petits p a piers bien c on densés. On dé mê lait la co rde en se p assant le m ot. On dénonçait les s orts f alots, ceux qui ra c olent des f onds véreux. On com ptait les points en exigeant que la v eu soit c rié. Aucune pitié pour les r igolos qui sont â g és, et pour ceux qui ont f ailli sans c esse en allumant des c a s f u meux. Ils r ient en ch icanant devant tous ces tyranneaux quils rêvent de faire dégo mm er grâce à lassaut dau d its. Ils rêvent de t roupes sans vieilles bi qu es, on vi re les so ts et on les br û le dans la p en te. Un vrai c o mité de sal u t public ces gaziers ! tENiR LE L itE EN B AiSSE Bien qu elle naime pas la pr esse spécialisée dans le f oot, Roselyne prône les s a lles de sh oo t, garnies de bonne ch aise, cest b eau ! Mais où va- telle p êcher ces l ubies ? Il nest pas toujours facile de prendre les ch oses en r iant, mais elle aime bien voir sh ooter les petits g ars : « Plus de b ut, plus de p èze » répétait-elle. Malgré ses petites affaires, son n om était toujours bien c oté, mais il lui faudrait beaucoup de c ourage pour parvenir au b ut ; peut-être même devra-t-elle se retrou v er jusquau c entre. Comme Rama, quand ça b ar dait, elle restait sur les d en ts. Avec son cu l ot, elle bran ch ait tout le monde, et elle tenait du coup, lé l ite en b aisse. Elle savait rebondir, chaque ch ute lui dilatait la r ate, même quand son c am p était victime dun coup de sem on ce ! Certains la trouvaient bê t e à chauffer la bi l e, en fait, elle sarrangeait pour ne pas se s ouiller les m ains ; pour ça il faut être f erme dans le sp ort . Elle navait pas peur que len tr ain g êne, et avec Rama, elles aimaient quon mee l a cc ent sur leur sé m antique. Bref, elle montrait la spér ité qui fait jaillir le cha rme, jusquà ce quon lui emboîte le pas avec con science, elle nest pas près de p asser la Rose l yne. Hercule Lakiné Muscléopathe
Achat, Vente ou Expertises juridiques d’un Cabinet ou de parts de Cabinet, contactez l’AEECMK ( A ssociation des E xperts en E stimation de C abinet de M asso-K inésithérapie) ASSOCIATION LOI 1901 (sans but lucratif) CRÉÉE PAR DES KINESITHERAPEUTES POUR LES KINESITHERAPEUTES 81 Membres, répartis sur toute la France, tous MK libéraux. Pour connaître les coordonnées de l’expert le plus proche : AEECMK 54, avenue de la Croix Rouge - 13013 MARSEILLE Tél./Fax : 04 91 06 34 02 - http://www.aeecmk.net