aimants iixes, au lieu d'employer à cet usage une partie des hélices

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aimants iixes, au lieu d'employer à cet usage une partie des hélices

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• Langue: Français

Extrait

70

cinrbfm

de

i

’

pouce

carré ;

la

lumière

des

deux

lampes

est

équi-

valente

à celle

de 1200

carcels

brûlant

40

grammes

par

heure;

à

i o0o

tours

par

minute,

le

courant

ibnd 12

pieds

d’un

fil

de

fer

de 75 1000

de

pouce

de

diamètre.

Le

poids

de

fil

de

cuivre

de

l’appareil

est

de

356

livres

pour

les

électro-aimants

fixes,

et

de

26

seulement

pour

les

armatures;

le

fil

avait 75 1000

de

pouce

de

diamètre,

de

sorte

que

chaque

électro-

aimant

fi ’B.t’

portait

659

pieds

de

fil,

et

chaque

électro-aimant

mo-

bile 11 G

piads.

Les

dimensions

totales

sont

environ

3

pieds

de

rayon

sur 4

pieds

dans

le

sens

de

l’axe,

y

compris

le

double

com-

mutateur,

l’un

pour

le

courant

excitant

les

électro-aimants

fixes,

1 autre

pour

le

courant

externe.

Lorsque

l’appareil

ne

doit

pas

être

transporté,

l’auteur

conseille

de

se

servir

plutôt

d’une

macliine

auxiliaire

alimentant

les

électro-

aimants

iixes,

au

lieu

d’employer

à

cet

usage

une

partie

des

hélices

mobiles,

ce

qui

complique

la

construction

de

l’appareil.

L’auteur

insiste

sur

les

très-grands

avantages

que

l’on

trouve

à

ne jamais

rompre

les

circuits

complétement,

les

contacts

des

com-

mutateurs

étant

disposés

de

telle

sorte

qu’il y

ait

toujours

commu-

im

ation,

et

qu’au

point

de

nul

courant

les

trotteurs

portent

à

la

fois sur

b s

deux

segments

du

commutateur;

c’est

dans

un

but

ana-

logue

qu li

a

disposé,

aux

extrémités

des

noyaux

mobiles,

des

pla-

ques

circulaires

d’un

plus

grand

diamètre.

A.

POTIER.

.

MARANGONI

ET

P.

STEFAKELLI. 2014

Monografia

sulle

bolle

liquide

(Monographie

des

bulles

liquides) ;

Nuevo

Cumento,

t.

VII-VIII,

p.

30I,

et

t.

IX,

p.

236-256.

Après

avoir

résumé

brièvement

les

travaux

antérieurs

relatifs

à

ce

sujet,

les

auteurs

passent

à

l’exposé

des

expériences

qui

leur

sont

propres.

ils

étudiant

les

diamètre

maxima

que

peuvent

acquérir

dans

l’air

les

bulles

d’eau

de

savon

et

d’autres

liquides,

et

constatent

qu’elles

restent

toujours

beaucoup

en

dessous

des

dimensions

théo-

riques

calculées

cm

partant

dc

la

connaissance

de

la

tension

super-

ficielle

du

liquide

employé.

Elles

grossissent

plus

facilement

quand

un

lcà

Llit

reposer

sur

une

atlllosphèrc

plus

dense,

et,

en

se

servant

pour

cela

de

vapeur

de

sulfure

de

carbone,

les

autcurs

ont

réussi

à

obtenir

deux

bulles

de

60

centimètres

de

diamètrc :

ce

sont

sans

doute

les

plus

grosses

qu’on

ait

encore vues.

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http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01874003007001