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BUC EN YVELINES PRES VERSAILLES
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Français

BUC EN YVELINES près Versailles
Je suis arrivée à BUC (ancienne Seine et Oise) aujourd’hui dans les Yvelines, en octobre 1954. Je venais de quitter une ville de la périphérie parisienne où mes parents tenaient une pâtisserie et, je me retrouvais soudainement dans un entourage de conte de fées, devant un château magnifique entouré d’un parc immense ! Le bonheur quoi… pas tant que ça au début…. Mais quel était donc ce château ? Le château du Haut-Buc (photo Ch.Tétard ©) NOTREMAISON,ELLEAUSSIA SONHISTOIRE.Dans le fond de la vallée de la Bièvre se trouve donc une petite bourgade s'étendant en un long ruban. Elle est traversée par une construction tricentenaire que l'on doit à l'Ingénieur GOBERT et qui lui conserve l'image d'un passé, certes révolu, mais ô combien prestigieux ! Ce village BUC se trouve à quelques pas de VERSAILLES, et, s'il a désormais sa propre identité, il fut, jadis, du temps de ses seigneurs, partie intégrante duGRAND PARCdont l'enceinte l'englobait avec d'autres villages alentours. Cet aqueduc est, il est vrai, un véritable monument mais, cette petite ville garde, également, parfois cachées aux yeux des promeneurs, quelques maisons dignes d'une HISTOIRE par comme les autres ! Depuis plus de vingt ans, BUC est devenu une ville où, semble-t-il, il fait bon vivre, bourgade moderne possédant encore quelques beaux spécimens de châteaux ou demeures somptueuses dont certaines arrivent tout droit de l'époque où Louis le Treizième parcourait la campagne en quête de giboyeux terrains de chasse, montrant à son fils du bout de sa lorgnette l'étendue de ses domaines, ce qui donna ma foi à ce jeune futur roi, l'envie de s'y faire construire le plus magnifique des châteaux, digne de sa propre magnificence, lui qui se prenait pour le SOLEIL en personne … Certaines de ces belles demeures ont subi des ravages, furent même mises à bas, pour renaître, sous d'autres temps, figurant à nouveau la splendeur de jadis en des agencements que l'Art, même s'il n'est pas tout à fait authentique, a malgré tout touché de son aile. Cette maison où nous venions d’arriver, peu après la seconde guerre mondiale, je l'ai aimée, pour ma part, passionnément ! Maintenant qu'elle n'est plus, que des machines meurtrières ont abattu ses pauvres murs lézardés pour ne laisser qu'un paysage au relief façonné et, il est vrai, agréablement agencé, il est juste de se pencher sur son passé au travers d'une recherche qui me conduisit à sa genèse ou presque… Peut être, que toutes les âmes immortelles qui ont laissé leurs traces invisibles dans ces murs évanouis, vagabondent encore au-dessus de ce sol planifié… Je ne sais, mais une chose est certaine,
DOSSIER PROPRIETE PRIVEE MADELEINE ARNOLD TETARD ©
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