Diamants sur canapé de Edwards Blake
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Langue Français

Extrait

Diamants sur canapÈ Breakfast at TiffanyÕs de Blake Edwards FICHE FILM Fiche technique
USA - 1961 - 1h55 Couleur
RÈalisateur : Blake Edwards
ScÈnario : George AxelroddÕaprËs Truman Capote
Musique : Henry Mancini
InterprËtes : Audrey Hepburn (Lullaby ´Hollyª Golightly) George Peppard (Paul Varjak) Patricia Neal (Edith Parenson) Buddy Ebsen (Doc Golightly) Martin Balsam (O. J. Berman) Mickey Rooney (M. Yunioshi)
L E
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de survivre, sÕamuse ‡ produire de ce objets fragiles, dÕune joliesse ‡ faire frÈmi La conscience de leur inutilitÈ signale che leurs auteurs lÕinsolence de lÕorgueil, m aussi lÕamertume dÕune complaisance lu de. (É) Cette passion de lÕindÈcis trouve sÕÈpanouir dansBreakfast at TiffanyÕ.sE thÈorie, le film raconte lÕidylle dÕune call-et dÕun gigolo, qui pirouettent de lÕargen lÕamour, en passant par dÈpit, solitude mÈlancolie. En rÈalitÈ, imagine-t-on une ren contre entre la dÈbauche sans go˚t pour l plaisir et la virginitÈ dÈpourvue de curiosit pour les sens ? Ce mariage de la carpe et d lapin est ici enfin rÈalisÈ. Tout respire l vraisemblance, au dÈpart, mais lÕirrationnal tÈ de la peinture conduit le rÈsultat ‡ frÙle la dÈsincarnation. Devant cette fuite d concret, la plupart des critiques nÕont su pa ler du film quÕen sÕappuyant sur le livre d il a ÈtÈ tirÈ. Ce rÈflexe de cuistre est banal me rÈtorquera-t-on. Bien s˚r, mais voici qui lÕest moins : la nouvelle de Truman Capot pastiche un certain fond littÈraire, tant pou le style que pour lÕanecdote et les perso nages. La mise au go˚t du jour ne reprÈsen te ‡ ses yeux que la sauce destinÈe ‡ rendr comestible un plat artificiel de conserves Pourquoi bl‚merait-on cette cuisine d seconde main, ces exercices de virtuosit dont raffole, chez nous, un Jean Cocteau ? condition de ne pas prendre pour une satir taillÈe sur le vif les maniÈrismes dÕun pet maÓtre occupÈ seulement ‡ ciseler, pa nÕimporte quel artifice, la poÈsie du pitt resque, il nÕest pas interdit de se laisser gr ser par cette fantaisie de magazine huppÈ MÍme sÕil nÕappartient pas au Sud do nous rÍvons et que Faulkner a construit pou le tourment de notre imagination, Truma Capote, sincËre au-del‡ du fard et de l brillance, ne renie pas les jeux dÕune sociÈt dÈcadente qui connut son apogÈe ‡ la veill de la guerre de SÈcession et qui prolonge e prÈfigure le destin des Èternelles Byzances. Loin de restituer la chair et le sang ‡ c conte de fÈes, George Axelrod et Blak Edwards ont accru la distance, nous impo sant de ne percevoir le spectacle quÕau tro siËme ou au quatriËme degrÈ. Cela impli
un accord des entendements, une complicitÈ de caste. La dÈlectation pour les idÈes sau-grenues, les Ítres en marge, les aventures bizarres, ainsi que pour une misogynie de grand faiseur et des astuces ‡ sourire imper-ceptiblement, possËde le charme, lÕÈlÈga ce, et lÕinclination ‡ lÕirrÈalitÈ qui dÈsign le styleNew Yorker, par opposition au style Saturday Evening Post, jadis ‡ lÕhonneur. La premiËre sÈduction du film Èmane de cet arbitraire absolu qui rÈgit la description dÕu monde lui-mÍme soumis ‡ lÕarbitraire dan son existence et son Èvolution. La comÈdie amÈricaine est ici pÈtrifiÈe, rÈduite ‡ des schËmes, au contraire de ces canons de rÈa-lisme, mÍme convenu et trËs stylisÈ, qui bor-naient ses excËs et sa verve, en dehors des burlesques. Mais si la dÈsinvolture de Blake Edwards et du scÈnariste nous vaut une petite rÈvolution, cela ne signifie point que leur film est soumis au dÈlire de lÕanarchi LÕimpression inverse, de stricte raideur refl terait plus justement la direction de leur effort. A la rËgle du genre, ou de lÕhistoir ou de la psychologie, ou de lÕÈcriture, ils o substituÈ la rËgle du film. Il nous faut admettre, ou renoncer ‡ comprendre, les avatars dÕun Ítre qui est donnÈ a priori po aussi brut que le chapeau ou la robe dont il sÕaffuble (les fluctuations des rapports entr Holly et son ancien mari Èvoquent assez bien cette forme dÕapprÈhension ex nihilo... Et comme notre frËre le fond ne va jamais sans sa petite sÏur la forme, la mise en scËne dÕEdwards applique le mÍme syst me, ce qui justifie la singularitÈ de certaines prises de vue en plongÈe, moins inspirÈes quÕon pourrait le croire par le souci du chi et de lÕoriginalitÈ. Au risque de me faire taxer de frivolitÈ et de snobisme, je dirai volontiers que cette petite musique emprunte, ‡ sa faÁon, au dodÈca-phonisme (atonal et sÈriel, pourquoi pas Breakfast at TiffanyÕsbafoue le vrai en gÈnÈral, mais offre dans le dÈtail une vue trËs juste des sentiments et du dÈsarroi naÔf dÕune ´certaineª jeunesse, flore et proie de villes moites comme des serres). LÕaute nÕhÈsite jamais devant la scËne ‡ faire, tout, au niveau du dÈtail, sÕy dÈroule ave
SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.25.11.83
heurt. Preuve : le morceau de bravoure de la rÈception, au dÈbut, ou encore celui de la visite ‡ la bijouterie, dÕune ligne mÈlodique impeccable, sans bavure. La prÈciositÈ nÕaboutit pas forcÈment ‡ la dÈliquescence. En fait, cet art de distiller le charme de lÕauthentique en rÈunissant la somme de lÕartifice, loin de se fondre dans un esthÈtisme poussiÈreux, nous souffle une tonifiante leÁon de morale. Ce New York laquÈ, tout en verre et en mÈtal, o˘ les plus chaudes couleurs, sous lÕobjectif magique de Franz Planer, revÍtent lÕÈclat lunaire de lÕacier poli, nous apprend que lÕapparence est un vieux sophiste qui suggËre ‡ nos sens la thËse et lÕantithËse, sans jamais rien prouver. Combien il est plaisant dÕentendre certains se plaindre de cet aspect mignard, et soupirer aprËs leur chËre crasse. Mais quÕest-ce que la crasse ? LÕaffaire dÕun regard. LÕhomme, aussi bien que lÕenfant, sÕaccoutume au mensonge de lÕobjet. En face de la vÈritÈ de lÕhomme, le dÈcor le plus abject, mÍme rÈel, est aussi faux que lÕautre. A lÕopposÈ de la conception minnel-lienne, ici le dÈcor nÕexprime pas le person-nage et moins encore le conflit pour sa pos-session. Illisible, il rÈvËle simplement la faussetÈ intrinsËque des opinions que sa prÈsence aurait pu susciter. Quant ‡ Audrey Hepburn, sa marque de phÈ-nomËne asexuÈ suffit pour anÈantir les vel-lÈitÈs du rÈcit ‡ une modulation sensuelle. PrÈcieuse lapidifique, ce mannequin ne trouble pas le dÈsordre savant dÕun monde qui ne gagnerait rien ‡ feindre le naturalis-me sur lequel il sÕassied avec impertinence et fatuitÈ. Michel Mardore Cahiers du CinÈma n∞129 - Mars 1962
(É) En 1961, Kennedy Ètait prÈsident des USA, Pierre Salinger Ètait au sommet de sa forme littÈraire, dÈj‡Playboyavait supplan-Esquireet menaÁaitThe New Yorker. Bref, on ne sÕembÍtait pas, mais Hollywood suivait avec prudence lÕÈvolution des mÏurs. Aussi incroyable quÕil puisse
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at TiffanyÕsmarqua les vrais dÈbuts derriË re la camÈra dÕun scÈnariste passÈ ‡ la rÈ lisation ‡ force dÕinsistance, au sein dÕ systËme encore en bon Ètat de marche, e gr‚ce ‡ un relais dÕamitiÈs. ScÈnarist essentiellement visuel, plus dessinateur qu peintre peut-Ítre, Blake Edwards sÕest expl quÈ, en ces annÈes-l‡, dans une interview CinÈmonde: ´Diamants sur CanapÈest u film dont je me suis rÈjoui dËs le dÈbut. JÕaimais beaucoup le livre de Truma Capote, mais il fallut changer bien de choses (...). Cependant le film prÈsente pa mal de perspectives dÕabord dissimulÈes, comporte certains arriËre-plans, et finale ment les personnages ne sont pas trop Èdul corÈsª. Ils sont en effet, moins ÈdulcorÈs que mÈta morphosÈs : IÕÈvacuation de la composant homosexuelle vaut ‡ Patricia Neal, dirons nous hÈlas, dÕassumer un rÙle analogue (e plus cru) ‡ celui de Nina Foch auprËs d Gene Kelly dansUn AmÈricain ‡ Paris (Par parenthËse, Edwards parle dÕelle, dan les feuillets jaunis o˘ je puise lÕinspiratio avec une sympathie personnelle elle-mÍm empathique.) Nullement mÈprisable, Georg Peppard occupe la place tournante du dispo sitif avec le rien de nonchalance que lui confËre une ´neutralitȪ alors de bon ton. Nous nÕavons pas tellement le sentime dÕun film ‡ gros budget, mais cÕen fut (dans une firme, il est vrai, plutÙt connu pour son luxe modeste, et dËs cette Èpoqu en sÈrieuse difficultÈ). Ce budget Èvidem ment salvateur pour le cinÈaste dÈbutan Ètait d˚ ‡ la prÈsence (dÈlibÈrÈe) de notr chËre fausse maigre et faux garÁon manquÈ jÕai nommÈ Audrey Hepburn, qui voulait s relancer tous azimuts, et qui dÈsirait donne ‡ Roger Tailleur lÕoccasion dÕun de ses ap rismes les plus inoubliables. ´Le charm peut tout (...). Le plus court chemin qui mËn au cÏur nÕest pas forcÈment la ligne courb dÕune Èpaule ou dÕun sein.ª Touchan rÈserve, si lÕon songe que Roger consacre l moitiÈ dÕune courte notuleP(ositif n∞45, 1962) ‡ ´dÈfendreª Audrey contre certa railleurs ´positivistesª. Est-ce assez de d que la happy end, parfaitement aussi invr semblable que tout le reste de cette co
die peu comique, ne nous touche que ´nÈga-tivementª ? Ce que se dit le couple sous une pluie battante, et que nous nÕentendons pa entÈrine seulement le soulagement de voir Holly Èchapper ‡ un ridicule mariage brÈsi-lien, tout en rÈcupÈrant le chat qui est son double (ne sÕappelle-t-il pas ´Golightly ´marche lÈgËrementª ?). LÕadaptation circule entre deux pÙles : de scËnes brillantes mais bavardes, o˘ se fait sentir (heureusement plus proche deThe seven year itchque deBus stop) la thÈ‚-tralitÈ de George Axelrod, et dÕautres scËne o˘ Edwards ruse avec cette thÈ‚tralitÈ (je nÕen veux pour preuve que lÕidÈe incongr de filmer frÈquemment les appartements et les arriËre-cours ‡ la verticale, comme du point de vue dÕun chat sur un toit br˚lan risquerai-je) ; Audrey Hepburn, pour cette rentrÈe dÈlicate, semble avoir choisi Blake Edwards sans vraiment espÈrer obtenir ce dÈj‡ spÈcialiste du scabreux farfelu, voire sophistiquÈ : il la gratifia dÕun des rÙles le plus typiques de sa rare (et tout compte fait si rÈussie) carriËre. Il nÕest que plus fascinant de lire, ‡ traver cette ´commandeª, les linÈaments petits ou grands des ´rencontres-surpriseª qui Ètof-fent lÕunivers, eh oui, de Blake Edward Nous ne sommes pas, comme chez Fellini, en prÈsence de films-gigogne ´ressassantª un monde intÈrieur que sa rÈsurgence mÍme, en fonction de chaque Èpoque, sauve de lÕexploitation monotone. Mais, malgr lÕattachement dÕEdwards ‡ la comÈdie tra tionnelle, aux gags finalement enregis-trables (par exemple ici, le ´slow burnª inversÈ dans la bijouterie), il ne sÕagit pa non plus dÕune pratique du type ´Laurel Hardyª ou ´dessin animȪ (malgrÈ le masque de Droopy dÈlÈguÈ non par hasard ‡ Paul - George Peppard - quand il va jouer le ´Bon Samaritainª). La subversion oblique dÕun genre, subversion sans ´prÈtention est la ligne de force centrale : car lÕhistoir dÕun gigolo et dÕune croqueuse de diaman
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Vacances ‡ Pariset omniprÈsent depuis, ni de la savante gÈomÈtrie des dÈplace-ments et dÈmÈnagements dans les fenÍtres et les escaliers, jÕallais dire les coursives : je craindrais de rÈpÈter ce que jÕai dÈj‡ Ècrit plus dÕune fois peut-Ítre dansPositif. Il est Èvident que la ´partyª ÈtriquÈe et pourtant excentrique qui a lieu ici est le brouillon de laPartyfilm-sommet du Blake Edwards ´sociologueª et analyste des couples faus-sement mal assortis (encore une rencontre due ‡ un quiproquo, comme lÕest aussi ici celle de Paul avec un faux dÈtective, subtile-ment dÈcouvert comme lÕÈpoux attardÈ de Holly). Reste ‡Breakfast at TiffanyÕsun charme en effet plus spÈcifique, celui du marivaudage suspendu comme hors du temps (la prÈcensure aidant ‡ abrÈger un strip-tease regardÈ par Holly en sÈvËre, peut-Ítre jalouse, critique), marivaudage qui fera le prix de laPanthËre rose. Ce mari-vaudage vaut ‡ son tour par le jeu ‡ facettes dÕAudrey Hepburn, impeccable dans un gag algÈbrisÈ (la perruque de la commËre qui prend feu), impayable de fausse innocence (quand elle se croit ´casÈe ª, elle sÕempÍtre dans les innombrables clÈs quÕelle a fait faire de son appartement) et exquise de vraie candeur (‡ Sing-Sing, ou dans ses manoeuvres dÕapproche dÕun milliardaire). Le dÈtail de la mise en scËne est plus dÕune fois ‡ lÕunisson : un canapÈ apparaÓt, muni de deux coussins roses, quand nous pensons que les amants vont sÕÈtreindre. Amorce de plan remarquablement balancÈe, chaloupÈe mÍme, mais cÕest leur premiËre violente dis-pute qui Èclate autour du canapÈ dËs le plan suivant. LÕensemble du film est visuellement disposÈ en rosace coulissante autour dÕAudrey Hepburn. MÍme si celui des films ultÈrieurs joue dÈsormais en rÈcurrence, cÕest donc bien le charme, Ètincelant, de Miss Holly quÕil faut cÈlÈbrer. Tel celui du chat de Cheshire, ou tel plus dÕun chat, son sourire persiste alors que le film est fini. GÈrard Legrand ∞ -
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Le rÈalisateur
DansOperation Petticoat, Cary Grant, sauf erreur, affirmait, pÈremptoire : ´Au-dessous de seize ans une fille est protÈgÈe par la loi et au-dessus de soixante par la nature.ª Le ton de lÕÏuvre de Blake Edward Ètait donnÈ. Ce grand amateur de jolies filles (il contribua au lancement de Bo Derek dansTen) et de Laurel et Hardy (auxquels est dÈdiÈeThe great race) fit ses dÈbuts ‡ Hollywood comme acteur (Ten gentlemen from West Point) puis comme scÈnariste de Richard Quine (All ashore, Drive a crooked road. My sister Eileenet Operation mad Ball). Tout en continuant dÕÈcrire des scÈnarios pour Quine (The notorious Landlady), Nelson (Soldier in the rain) et Yorkin (Inspector Clouseau), sans oublier une importante activitÈ ‡ la radio et ‡ la tÈlÈvision, il commence ‡ diri-ger des films en 1955. Se succËdent une admirable comÈdie satirique sur lÕarrivism (Mister Cory), de bons thrillers (Experiment in terror), des drames sociaux (Days of wine and rosessur lÕalcoolisme The Carey treatmentsur lÕavortement dÕagrÈables comÈdies sophistiquÈes ave Audrey Hepburn (Diamants sur canapÈ) ou lÕÈpouse de Blake Edwards, Julie Andrew (Darling Lili), un solide western (Wild rovers). Edwards fit mÍme un remake (mauvais) de LÕhomme qui aimait les femmesde Truffaut. Mais le genre o˘ Edwards va se rÈvÈler comme un vÈritable gÈnie, cÕest l burlesque. Il a su reconstituer avec des per-sonnages de chair lÕunivers dÈlirant du ca toon.The great race, qui oppose dans une compÈtition automobile Tony Curtis ‡ Jack Lemmon retrouvant toutes les mimiques du chat Sylvestre, est le film le plus extrava-gant jamais tournÈ, allant de batailles de tartes ‡ la crËme ‡ la parodie duPrisonnier de Zenda, ne laissant pas au spectateur le temps de reprendre son souffle jusquÕau images finales qui nous montrent la tour Eiffel en train de sÕÈcrouler. CÕest pourt La panthËre rosequi lui valut la cÈlÈbritÈ. Cette histoire de diamant volÈ avait p
vedette David Niven ; en rÈ teurs nÕeurent de regard q chargÈ de lÕenquÍte lÕins jouÈ par le gÈnial Peter Sell nÈ, ayant autant de flair q balai, incapable de toucher casser, Clouseau dÈclench passait les pires catastro ments ravagÈs et cataclysm divers se succÈdaient ‡ une en sortait toujours plus ou pour aller semer ailleurs la mÈlange de Stan Laurel et Dupond Èlevait la gaffe et manuelle au niveau dÕun n deLa panthËre roseq thËme de Henry Mancini, int Johnson et que prÈcÈdaie gÈnÈriques animÈs dus ‡ plusieurs Èpisodes, tous i mort de Sellers interrompi sÈrie dont le public ne se las une variante non moins Party.(É)
Dictionnaire
Filmographie
Bring your smile along He laughed last Rira bien Mister Cory LÕextravagant M. Cory This happy feeling Le dÈmon de midi The perfect furlough Vacances ‡ Paris Operation Petticoat OpÈration jupons High time Breakfast at TiffanyÕs Diamants sur canapÈ Experiment in terror AllÙ, brigade spÈciale Days of wine and roses Le jour du vin et des roses The pink panther La panthËre rose A shot in the dark
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The great race1965 La plus grande course autour du monde What did you do in the war, daddy ?1966 QuÕas-tu fait ‡ la guerre,Papa ? Gunn1967 Peter Gunn, dÈtective spÈcial The Party1968 La partie Darling Lili1970 Wild rovers1971 Deux hommes dans lÕOuest The Carey treatment1972 OpÈration clandestine The tamarnd seed1973 Top secret The return of the pink panther1975 Le retour de la panthËre rose The pink panther strikes again1976 Quand la panthËre rose sÕemmÍle Revenge of the pink panther1978 La malÈdiction de la panthËre rose Ten1979 Elle S.O.B. 1981 Victor Victoria1982 Trail of the pink panter A la recherche de la panthËre rose Curse of the pink panter1983 The man who loved women1984 LÕhomme ‡ femmes Micki and Maude1985 Micki et Maude A fine mess1986 Un sacrÈ bordel, ThatÕs life Blind Date1987 Boire et dÈboires Sunset1988 Meurtre ‡ Hollywood Skin Deep LÕamour est une grande aventure Switch1991
Documents disponibles au France
Cahiers du cinÈma n∞ 129 - Mars 1962 Positif n∞321 - Novembre 1987 CinÈma n∞64 - Mars 1962 ∞ -
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