Jig - Dossier de Presse
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Les 40èmes championnats du monde de danse irlandaise ont eu lieu en mars 2010 à Glasgow où 6 000 danseurs, leurs familles et professeurs ont afflué des quatre coins du monde pour une semaine riche en émotions !
JIG suit une année durant une dizaine de jeunes participants depuis leur préparation jusqu’à la compétition finale. Le film accompagne ces danseurs venus d’Irlande, des Pays-Bas, de Grande-Bretagne, des Etats-Unis et de Russie et raconte leurs efforts et leurs espoirs. La réalisatrice nous ouvre ainsi les portes d’un monde méconnu du grand public, un monde fait de travail acharné, d’obsession, de passion, de recherche de la performance, de succès et d’échecs et nous livre un étonnant spectacle où étranges perruques, maquillages colorés, diadèmes à strass et costumes chatoyants habillent cette quête obstinée de la perfection.

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Publié le 30 novembre 2011
Nombre de lectures 126
Langue Français

Extrait

W W W . D I S T R I B F I L M S . C O M
ON
ENTRE VICTOIRE ET DÉFAITE, IL N’Y A QU’UN PAS.
UN FILM DOCUMENTAIRE DE SUE BOURNE
Sortie Nationale le 30 novembre 2011
33 Avenue Sainte-Foy 92200 Neuilly s/Seine Tél. : 01 78 14 08 72 Fax : 01 78 14 08 71 Mail :afischler@distribfilms.com
DURÉE : 1H37
PROGRAMMATION DOGMA FILMS julie.dogmafilms@orange.fr Tél. : 01 43 14 01 61 charles.dogmafilms@orange.fr Tél. : 01 53 28 06 69
RELATIONS PRESSE LES PIQUANTES Alexandra Faussier,Florence Alexandre & Fanny Garancher 27 rue Bleue - 75009 Paris Tél. : 01 42 00 38 86 Mail :alexflo@lespiquantes.com www.lespiquantes.com
Synopsis èmes Les 40championnats du monde de danse irlandaise ont eu lieu en mars 2010 à Glasgow où 6 000 danseurs, leurs familles et professeurs ont afflué des quatre coins du monde pour une semaine riche en émotions ! JIG suit une année durant une dizaine de jeunes participants depuis leur préparation jusqu’à la compétition finale. Le film accompagne ces danseurs venus d’Irlande, des Pays-Bas,de Grande-Bretagne, des Etats-Unis et de Russie et raconte leurs efforts et leurs espoirs. La réalisatrice nous ouvre ainsi les portes d’un monde méconnu du grand public, un monde faitde travail acharné, d’obsession, de passion, de recherche de la performance, de succès et d’échecset nous livre un étonnant spectacle où étranges perruques, maquillages colorés, diadèmes à strasset costumes chatoyants habillent cette quête obstinée de la perfection.
Note d’intention de Sue Bourne surJig Jusqu’au début de l’année dernière, j’ignorais presque tout de la danse irlandaise.Comme tout le monde, j’avais entendu parler de Michael Flatley et du phénomène « Riverdance »,mais mes connaissances s’arrêtaient là. Puis Julie Heekin, journaliste indépendante à Glasgow,èmes m’a contactée. Elle avait vu mes films et avait un sujet à me proposer : les 40Championnats du monde de danse irlandaise organisés à Glasgow l’année suivante et ses 6 000 danseurs qui viendraient du monde entier pour remporter 22 titres mondiaux.
Je ne connaissais peut-être rien à la danse irlandaise mais je savais reconnaître un bon sujet quand il m’était proposé. Pour un cinéaste, ouvrir les portes d’un monde totalement nouveauet inconnu est l’une des choses les plus excitantes qui soit. C’est encore plus intéressant lorsque les personnes de ce monde sont motivées, dévouées et ambitieuses, lorsque des enfants,des enseignants et des parents sont concernés, lorsque les danseurs portent d’étranges costumes ornés, des strass, du maquillage et du fond de teint et que ces costumes coûtent les yeux de la tête.C’est aussi un monde fait de larmes, de tensions et de drames, de gagnants et de perdants,de succès et d’échecs. J’avais hâte d’y entrer et de commencer.
Il y avait un film génial à faire. Le seul problème était que les instances dirigeantes de la danseirlandaise, An Comissiun, ne nous laisseraient pas entrer pour le faire. Aucun étranger n’avaitjamais pu y entrer. Ils s’opposaient à la présence permanente des caméras autour desChampionnats du monde parce qu’ils craignaient le favoritisme à l’égard des danseurs et le vol des chorégraphies. Si nous voulions faire ce documentaire, une tâche difficile nous attendait. Mais le potentiel de ce film était si grand que nous ne pouvions abandonner au premier obstacle.
Nous avons commencé les recherches, d’abord pour déterminer ce qui nous empêchait defilmer et comment nous pouvions dépasser ces objections. Heureusement pour nous, l’idée selon laquelle il était temps d’ouvrir les portes au monde extérieur faisait son chemin dans le petit cercle de la danse irlandaise. Enfin, nous avons été invitées à Dublin pour soumettre notre proposition aux instances dirigeantes d’An Comissiun et à son comité composé de 80 membres. Je me suisprésentée devant eux et j’ai parlé. Ils m’ont posé toute une série de questions difficiles etexigeantes. Nous sommes partis pour prendre notre avion pendant qu’ils débattaient du documen-taire et procédaient au vote. Et alors que nous attendions le taxi, Sean McDonagh, le président,est sorti de l’hôtel pour nous annoncer que le vote nous accordait la permission de faire notreèmes documentaire autour des 40Championnats du monde de Glasgow l’année suivante.
Ensuite les vraies recherches ont commencé. Il fallait creuser pour dénicher les meilleurs sujets,les meilleurs personnages. Des histoires et des gens qui conféreraient au film la variété et la richesse nécessaires pour rendre ce long métrage de 90 minutes captivant. Nous devionsrestituer la portée mondiale de la danse irlandaise, car elle est désormais pratiquée dans des régions aussi inattendues que la Russie, l’Europe, l’Extrême-Orient, l’Amérique du Sud ou l’Afrique, en plus des États-Unis, de l’Angleterre, de l’Écosse et de l’Irlande. Nous ne voulions pas faire un film sur les gagnants mais plutôt sur des histoires montrant différents aspects de la vie et de la danse.
Nous savions qu’à ce niveau, ils pouvaient tous être de grands danseurs et qu’ils travailleraient tous d’arrache-pied en vue des mondiaux. Mais nous cherchions plus que ça.
Nous avons estimé qu’il nous fallait 6 à 8 histoires dans le monde entier pour que le film fonctionne. À partir de cette liste d’histoires potentielles, nous avons réduit le nombre d’histoires à inclure dans le documentaire et nous sommes allées à Moscou, en Autriche, aux Pays-Bas, à New York, Chicago et Détroit. Plus près de chez nous, nous nous sommes rendues dans de nombreuses écoles d’Angleterre, d’Écosse et d’Irlande à la recherche des bonnes personnes et des bonnes histoires pour le film.
Le tournage a commencé la première semaine de janvier et n’a pratiquement pas cessé jusqu’au jour de la finale début avril et ce partout dans le monde. Le programme était éreintant mais il était fantastique de passer d’un pays à l’autre et d’observer la danse irlandaise exécutée dans tous ces lieux différents par tous ces danseurs.
Les dix derniers jours de tournage ont été assez abominables. Je crois qu’aux mondiaux,notre équipe de vingt personnes, deux équipes de cameramen et cinq caméras HD,faisait des journées de 10 à 15 heures. Il fallait se lever tôt le matin pour filmer les danseurs qui sepréparaient dans leur chambre d’hôtel puis les suivre tout au long de leur angoissante journée de danse.Nous devions ensuite attendre la toute fin de la journée pour savoir s’ils avaient remporté ou pasle titre mondial. Mais malgré la fatigue, c’était fabuleux de se retrouver au cœur de l’action.Être avec des gens que nous avons vraiment fini par connaître. Être avec eux dans leur instantde gloire ou dans la déception de leur défaite. Nous avons tous beaucoup appris en voyant ces enfants de 10 ans prendre la défaite avec tant d’humilité - l’un des moments les plus forts dufilm pour moi.
Ce n’est pas l’amour de la danse qui m’a poussée à faire JIG, mais j’ai été incroyablementimpressionnée par la danse, les danseurs, leurs familles et leurs professeurs. La danse irlandaise semble envoûter tous ceux qui en tombent amoureux. Difficile de ne pas se laisser emporter par ce que vous voyez dans JIG : la complexité et la rapidité des pas, la difficulté de la chorégraphie, la grâce et l’agilité.
Les danseurs et leurs histoires BROGAN MCCAY DE DERRY, IRLANDE DU NORD. JULIA O’ROURKE DE LONG ISLAND, NEW YORK, ÉTATS-UNIS.
Nous voulions parmi nos histoires celle d’un enfant de 10 ans se rendant pour la première fois aux mondiaux. Nous avons rencontré de nombreuses petites filles mais pendant longtemps,l’histoire (et la danseuse) parfaite nous échappait. Puis nous avons rencontré Brogan et nous avons sutout de suite que c’était elle. Brogan peut représenter la Grande-Bretagne. Elle est l’une des petites filles les plus vives et bavardes que j’ai rencontrée. Avec un sens de l’humour particulièrement aiguisé,ce qui est rare chez les enfants de 10 ans ! Brogan était adorable mais elle dansait aussi à merveille.Et elle prenait des cours dans cette fameuse McConomy School de Derry où l’on travaillait pour lesChampionnats du monde comme si rien d’autre n’existait.Les professeures de Brogan,Rosetta et Elisabeth,sont deux autres personnages clé de cette histoire, deux formidables sœurs qui consacrententièrement leur vie à la danse irlandaise. Que demander de plus ? Eh bien ce que nous voulions, c’était trouver la meilleure concurrente de Brogan, l’autre petite fille de 10 ans en mesure d’empêcherBrogan de remporter les mondiaux. Nous avons découvert que Julia O’Rourke représentait sa plus grande menace. Une autre petite fille incroyablement mûre qui vivait à Long Island à New York. Elle suivait aussi les cours d’une école de danse tenue par deux sœurs, Lisa et Karen Petri. L’histoire de Julia nous a appris quelle pouvait être la portée et la force d’attraction de la danse irlandaise. La mère de Julia était originaire des Philippines et son père, bien que de descendance irlandaise, ignorait toutde cette discipline. Une véritable compétition allait se tenir, et personne ne pouvait savoir qui allaitremporter le titre mondial convoité.
JOE BITTER DE LA CAREY ACADEMY, BIRMINGHAM.
L’une des premières histoires dont nous avons entendu parler est celle d’un garçon appelé Joe Bitter.Il a aujourd’hui 15 ans et est en passe de devenir l’un des plus grands danseurs irlandais au monde.Mais le caractère unique de son histoire tient à la manière dont il a atterri à Solihull, dans les Midlands anglais, pour y vivre. Joe et sa famille sont américains. Ils menaient une vie aisée et heureuse dans la Silicon Valley, en Californie. Rien ne les rapprochait de la danse irlandaise, mais leur père a un jour amené à la maison un DVD de Riverdance. Et Joe et sa sœur ont regardé le DVD et commencé à copierles pas. Joe était plutôt doué et se mit à rouler les tapis pour s’entraîner à reproduire les pas, sans relâche.Nicole, sa mère, lui a trouvé un professeur de danse irlandaise dans le coin et le destin de Joe s’est scellé.Il a gagné les 17 premières compétitions auxquelles il a participé et ils ont tous compris qu’il était « plutôt bon là-dedans ». Mais les Bitter sont une famille qui pousse l’excellence dans ses derniersretranchements. Pour que Joe puisse s’entraîner avec le meilleur professeur au monde, ils ontdécidé de changer de paysage pour s’installer à Birmingham. Joe détient désormais trois titres mondiauxet a remporté d’autres titres. Tout le monde vient voir la performance de Joe Bitter parce qu’avec John Carey comme professeur, la chorégraphie et la danse ne peuvent-être qu’hors catégorie. Vous savez, quand vous regardez Joe et John s’entraîner ensemble, que vous avez devant vos yeux un partenariat formidablement fécond. Ce que JIG a capté avec l’histoire et la performance de Joe est la naissance de l’un des plus grands danseurs au monde, au moment où il prend son envol.
JOHN WHITEHURST, DE LA CAREY ACADEMY,BIRMINGHAM.
Le petit John Whitehurst est le Billy Elliot de la danse irlandaise : le petit garçon habitant un HLM qui découvre son remarquable talent pour la danse. John n’a que 10 ans mais il semble beaucoup plus jeune que ça. Il est le seul de la fratrie de six garçons à danser… Il dit qu’il donne 10 sur 10 à la danse mais seulement 2 sur 10 au football. Les parents de John expliquent que son amour pour la danse ne lui a pas rendu la vie facile : on se moque de lui à l’école et dans la rue et les autres enfants le traitent d’homosexuel. Son père et sa mère, John Senior et Mandy, soutiennenténormément le petit John et sa danse irlandaise, qui engloutit une grande partie du salairede Mandy. Il semble qu’il prenne de l’assurance. Mais il y a un problème : récemment, il s’est arrêté au beau milieu de sa performance. Il semble se déconcentrer et oublier ses pas. Son professeur sait qu’il est particulièrement nerveux à propos des mondiaux. Les bons jours, il dit que le petit John peut être magnifique. Mais il peut se déconcentrer, s’arrêter et oublier. Et faire voler en éclats toutes ses chances de gagner. La compétition sera angoissante car tous prient pour que le petit Johnse souvienne de ses pas et montre au reste du monde ce qu’il sait faire.
CLAIRE GREANEY, HESSION SCHOOL, GALWAY,IRLANDE SIMONA MAURIELLO, MAGUIRE O SHEA SCHOOL,LONDRES SUZANNE COYLE, MCLAUGLIN SCHOOL, GLASGOW,ÉCOSSE.
Ces trois jeunes filles dansent les unes contre les autres depuis toujours. Elles ont maintenant19 ans et à différents moments, chacune d’entre elles s’est imposée comme la meilleure. Bien que Simona n’ait jamais gagné de titres mondiaux, elle était celle qui raflait tout quand elles étaient petites. Puis ça a été au tour de Suzanne qui a gagné quatre fois le titre mondial. Maintenant,c’est Claire qui remporte tous les prix. Ces trois filles iront à Glasgow des espoirs plein la tête :Claire veut conserver son titre, Suzanne veut récupérer le titre sur son territoire. Et Simona veut ce titremondial, le seul qu’elle n’ait jamais remporté et après 15 ans, elle y tient absolument. Les trois histoires s’entremêlent en ce que nous prenons conscience de ce qu’elles ont sacrifié à la danse irlandaise. De leur rapport particulièrement intime à leur mère. Et de leurs rêves qui sontirrémédiablement liés à la victoire de ce titre mondial tant convoité après toutes ces années de danse…
SANDUN VERSCHOOR, ROTTERDAM,PAYS-BAS.
Sandun est l’un des personnages les plus surprenants de la danse irlandaise. « Ils m’appellent le Hollandais volant », raconte-t-il. Mais l’intérêt de cette histoire ne tient pas qu’au fait qu’unhollandais pratique la danse irlandaise. Sandun est né au Sri Lanka, il a été adopté par Hanset Helma qui l’ont emmené avec eux à Rotterdam. Sandun et sa famille racontent commentla danse irlandaise les a sauvés. Comment elle a empêché Sandun de quitter le droit chemin.Et comment le talent de Sandun en tant que danseur est source de fierté pour lui et une chose pour laquelle il est respecté. Ce qui a maintenu la cohésion de la famille dans les moments difficiles.
À 16 ans, Sandun est l’un des danseurs les mieux classés en Europe. Il a fini 7ème aux mondiaux de l’année dernière et vient à Glasgow avec la ferme intention d’arriver dans les cinq premiers. Mais s’est-il suffisamment entraîné ? Accomplira-t-il son rêve de faire partie des cinq premiers ? ANA KONDRATYEVA ET L’ÉQUIPE DE CÉILÍ DEMOSCOU.
Le dernier endroit où l’on s’attendrait à trouver de la danse irlandaise est probablement Moscou. Mais la magie de l’enchantement exercé par la danse et la musique a opéré jusqu’en Russie et en Europe de l’Est. Les danseuses y sont exclusivement adultes et Ana et ses coéquipières font partie des danseuses les plus dévouées au monde. Les danseuses russes dépensent jusqu’à leur dernier sou dans cette discipline. Elles participent à des compétitions partout en Europe. Elles économisent pour voyager, font des stages de danse, paient pour faire venir des professeurs et font des ateliers avec eux. Enfin, elles ont réussi à réunir suffisamment d’argent pour s’offrir les véritables robes céilíque toute l’équipe portera pour la compétition. Ana et ses coéquipières parlent de leur amour pour la danse irlandaise. Du bonheur que la danse et la musique leur procurent durant les longs et tristes mois d’hiver. « Il n’y a que la danse irlandaise pour vous faire véritablement voler ! » Elles travaillent incroyablement dur et prennent leur danse très, très au sérieux. Et leur professeur Shane tente aujourd’hui d’améliorer leur performance. Il voudrait qu’elles donnent l’impression de s’amuser plutôt que d’avoir l’air si sérieuses. Mais réussiront-elles à maîtriser cette intensitéet à sourire sur la scène des mondiaux ? Un désastre de dernière minute pourrait venir gâcher des mois de dur labeur.
Liste technique
Produit et realisé par SUE BOURNE
Producteurs associés GRANT MCKEE RUTH REID
Directeur de la photographie JOE RUSSELL
Son PETER BRILL
Compositeur PATRICK DOYLE
Monteur COLIN MONIE
D’après une idée originale de JULIE HEEKIN
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