Jules et Jim de Truffaut Francois
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Langue Français

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Jules et Jim de FranÁois Truffaut FICHE FILM Fiche technique
France - 1962 - 1h40 N. & B.
RÈalisateur : FranÁois Truffaut
ScÈnario : FranÁois Truffaut Jean GruaultdÕaprËs Henri-Pierre RochÈ
Musique : George Delerue
Chanson : Le tourbillonde Boris Bassiakint. par Jeanne Moreau
InterprËtes : Jeanne Moreau (Catherine) Oskar Werner (Jules) Henri Serre (Jim) Marie Dubois (ThÈrËse) Boris Bassiak (Albert)
L E
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comprendre que des trois couples qu leur trio pouvait former, un vient d sÕanÈantir dans la riviËre et les deu autres de se dÈfaire ‡ jamais. Robert Kanter Express - 25 Janvier 196
Truffaut aborde avecJules et Jimle drames de lÕamitiÈ et de lÕamour. Mai refuse de les traiter dramatiquement ses personnages ne sont jamais en Èta de crise. Leurs sentiments sÕexprime avec une discrÈtion et une retenue qui traduisent une sorte de tendresse d lÕauteur ‡ leur Ègard. Pourtant le sujet deJules et Jimpour rait Ítre celui dÕun vaudeville ou servir d prÈtexte au romanesque le plus conven tionnelÉ CÕest le thËme dÕune comÈdi de boulevard. Mais lÕhistoire sÕÈtale sur quinze an Jim est FranÁais et Jules Allemand, cÕe la Grande Guerre qui les sÈpare et le alternances sentimentales de Catherin la conduisent ‡ entraÓner Jim dans l mort. Ce pourrait ÍtreAutant en empor te le vent. Mais les aventures importent moins ici que les grands thËmes comme lÕamiti entre adolescents ou la difficultÈ d crÈer un couple, et le film brasse le idÈes de lÕÈpoque sur lÕÈmancipation la femme et son droit de vivre lÕamour ÈgalitÈ avec les hommes. Comme le deux autres films de FranÁois Truffaut Jules et Jimtraite en effet un problËm de moraleÉ Ici comment une femme peut se conduire dans un monde o˘ l moralitÈ est faite ‡ lÕusage de hommesÉ Jules et JimnÕest pas un hymne lÕamour libre, mais plutÙt un constat d la difficultÈ de vivre et dÕaimer san rËgles. J. L. Tallena TÈlÈrama - 11 FÈvrier 196
CÕest une histoire dÕamour et dÕamit Truffaut conte quÕune femme peut ai
deux hommes ‡ en mourir et que lÕamiti entre deux hommes peut Ítre assez pro fonde, assez pure pour battre en brËch les morales traditionnellesÉ Nous sommes plongÈs dans un mond lyrique qui mÍle assez curieusement - o plutÙt de maniËre fascinante - un roman tisme pudique cachÈ derriËre des image dÕune Èpoque dÈsuËte et une cruautÈ, u pessimisme profonds cachÈs sous un forme Èclatante et un constant sourire e demi-teinte. Tout dans ce film est sen sible et tendre, passionnÈ et tragique on dirait quÕen adaptant ce roman dÕ vieillard, Truffaut se soit senti libÈrÈ. Il peut Ítre ‡ mÍme de dire - et avec quell virtuositÈ dans la palette - que rien n vaut contre lÕamitiÈ et lÕamour. P. Bretign Image et Son n∞14
Le roman de H.P. RochÈest celui dÕun amitiÈ ´coup de foudreª entre deu hommes. TransposÈ ‡ lÕÈcran et gr‚ce ou ‡ cause - de Jeanne Moreau qui tien le rÙle de Kathe, cÕest un vaudeville noir LÕamitiÈ entre les deux hommes subsist certes, mais la femme envahit, submerg le sujet. CÕest elle qui donne le ton d film par son caractËre insolite. ´Elle fai toutes les choses ‡ fond, une ‡ une comme un cataclysmeª. ´CÕest une vrai femme. CÕest elle que tous les homm dÈsirentª. ´Elle saute dans les homme comme elle saute dansÉ la Seineª. Et, en effet, elle trompe alternativemen Jules et Jim avec le premier ou le dernie venu ´pour repartir ‡ zÈroª comme ell dit. Elle repart constamment ‡ zÈro san doute en quÍte dÕinfini, je veux dir dÕabsolu. Jeande LibÈration - 29 Janvier 196
Je prononÁais ‡ lÕinstant le mot ´tendre seª; CÕest en effet une des clefs du fil Tendresse de lÕamitiÈ virile. Tendress de lÕamour, jusque dans ses chaos et s
SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.25.11.83
dont lÕun est Autrichien (Jules) et lÕautre FranÁais (Jim), aiment la mÍme femme (Catherine), sans que leur amitiÈ en soit atteinte. Cette femme de son cÙtÈ aime les deux garÁons. Elle ira de lÕun ‡ lÕautre, au grÈ dÕune humeur terriblement fantasque et passionnÈe. Dans notre gÈomÈtrie morale conventionnelle, une telle situation ne peut engendrer que lai-deur, sottise et vulgaritÈ. Disons que la gÈomÈtrie morale deJules et Jimest une gÈomÈtrie non euclidienne. Le film de Truffaut est le contraire dÕun film sca-breux, dÕun film ´bien parisienª. Jules et Jim ne sont ‡ aucun moment ridicules et, sÕil arrive ‡ Catherine dÕÍtre irritante, elle nÕest jamais odieuse. Une sorte dÕinno-cence, de puretÈ fonciËre, les prÈservent, tous les trois, de la bassesse. Quoi quÕen puissent penser les hypocrites, leur his-toire est une belle et douloureuse histoi-re dÕamour. Le mÈrite essentiel de Truffaut est de nous avoir fait croire ‡ cette innocence et ‡ cet amour. Jean de Baroncelli Le Monde - 27 Janvier 1962
Jim est grand et mince ; Jules est petit et rond. Entre ce Don Quichotte et ce Sancho Panza Èclate une amitiÈ profonde - autre coup de foudre. Deux coqs vivaient en paix, une poule survintÉ Cette fable Èternelle et ricanante, on frÈ-mit ‡ la pensÈe de ce quÕelle e˚t donnÈ dans lÕesthÈtique du film rÈaliste ou dans celle du long mÈtrage ´parisienª. FranÁois Truffaut procËde ‡ une stylisa-tion pudique. LÈger recul, toujours de dis-crÈtion. DÕo˘ cette politesse, ou plutÙt cette dÈlicatesse envers les choses et les Ítres ; dont la premiËre marque est le vous quÕemploient entre eux sans dÈfaillance les deux insÈparablesÉ Jules aime Jim, Jim aime Jules. Jules et Jim aiment Catherine qui aime Jules puis Jim. Les intermittences du cÏur. Le va-et-vient des amours - concrËtement tra-duit sur lÕÈcran par ces aller et retour de chemins de fer et par le tragique malen-
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LÕamour menace-t-il lÕamitiÈ ? ou lÕa peut-elle se ranger au service de lÕam lÕamour et lÕamitiÈ se nourrissant a mutuellement ? Le couple nÕest p lÕidÈal, avait dÈj‡ soutenu Pierre K dansLa morte saison des amour DÕaccord rÈpond Truffaut. Mais le mÈ ge ‡ trois, solution prÈconisÈe par Ka ne conduit pas, pense Truffaut, au bo heur. Alors ? Peu importe la rÈponse. qui compte, cÕest que Truffaut pose ‡ tour la question, et quÕil la pose s inutile provocation, mais sincËreme franchement, proprement, loin de tou hypocrisie bourgeoise. Sans doute faut rÈinventer lÕamour. Arts - 6 FÈvrier 19
Entretien avec le rÈalisateu
Un jour, jÕai achetÈ par hasardJules Jimdans une librairie du Palais-Roy Tout de suite le titre mÕa plu et quand lu sur la couverture que cÕÈtait le pre roman dÕun homme de soixante-seize jÕai ÈtÈ encore plus intÈressÈ: jÕaime rÈcits ´vÈcusª, les mÈmoires, les souv nirs, les gens qui racontent leur vie. J trouvÈ le livre merveilleux et jÕai ÈtÈ fr pÈ ‡ la fois par le caractËre scabreux d situations et la puretÈ de lÕensemble. J pensÈ quÕil nÕÈtait pas possible d donner une Èquivalence au cinÈ jusquÕ‡ ce que jÕaie vu plus tardNak Dawn, dÕUlmer. CÕÈtait un wester quatre sous, mais pendant un qua dÕheure on y montrait, comme dansJul et Jimet avec la mÍme fraÓcheur, u femme hÈsitant entre deux hommes Èg lement sympathiques. Dans ma critique du film -je travailla alors pourArts- jÕai mentionnÈ le ro de RochÈ, qui mÕa envoyÈ une lettre p me remercier. Nous avons continuÈ nous Ècrire et je lui ai dit que je rÍvais tournerJules et Jim. Nous avons par de lÕadaptation et il imaginait des d logues ´aÈrÈs et serrÈsª. Il les aura Ècrits s˚rement sÕil nÕÈtait mort j avant la sortie desQuatre cent coup
Comment avez-vous procÈdÈ ‡ lÕadapt tion ? Sur le livre, que je connaissais par cÏur, jÕai marquÈ dÕune ou de plusieurs croix qui me plaisait le plus, jÕai inscri quelques commentaires et jÕai donnÈ to Áa ‡ Jean Gruault, coadaptateur et dialo guiste du film. Il a Ècrit un texte de deux cents pages que jÕai repris, travaillant la colle et aux ciseaux, et me rÈservant dÕimproviser au tournage les scËnes q me sembleraient indispensables au der nier moment. Par exemple jÕai lu le lettres quÕApollinaire Ècrivit dans l recueilTendre comme le souvenir. Au fu et ‡ mesure de la lecture, elles mÕÈtaie plus intimes, plus familiËres, jÕen parlai jÕen faisais un monologue que je donnai ‡ lÕacteur et qui peu ‡ peu devenait un scËne. Ainsi, quand la fiction nous entraÓ-ne parfois loin de la vie, on dit tout ‡ coup ce quÕon pense, on se sauve par l sincÈritÈÉ JÕai conservÈ au long du film un co mentaire ´offª chaque fois que le text me paraissait impossible ‡ transformer en dialogues ou trop beau pour se laisse amputer. Je prÈfËre ‡ lÕadaptation cla sique, transformant de grÈ ou de force u livre en piËce de thÈ‚tre, une form intermÈdiaire qui fait alterner dialogues et lecture ‡ haute voix, qui correspond e quelque sorte au roman filmÈ. Je pense dÕailleurs queJules et Jimest plutÙt u livre cinÈmatographique que le prÈtext ‡ un film littÈraire.
Quel est le thËme deJules et Jim? Il y a une chanson dans le film : elle sÕappelle leTourbillon de la vie; elle e indique le ton et elle en rÈvËle la clÈ. Peut-Ítre parce quÕil a ÈtÈ Ècrit par u vieillard, je considËre queJules et Ji est un hymne ‡ la vie. Pour cette raison, jÕai voulu crÈer une impression de gran laps de temps marquÈ par la naissance des enfants, mais aussi coupÈ par la guerre, par la mort, qui donnent un signification plus complËte ‡ une exis-tence entiËre. -
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film de vieillard, mais ce recul mÕa fasci-nÈ qui me permettait dÕarriver ‡ un cer-tain dÈtachement. Il me paraissait plus facile dÕy parvenir parce que lÕintrigue autant que lÕÈpoque mÕÈtaient Ètran-gËres, parce que, refusant de prendre parti, je voulais amener le public ‡ Ítre aussi objectif que moi. CÕest Ègalement une histoire sur lÕamour, avec cette idÈe que, le couple nÕÈtant pas toujours une notion rÈussie, satisfaisante, il semble lÈgitime de chercher une morale diffÈren-te, dÕautres modes de vie, bien que tous ces arrangements soient vouÈs ‡ lÕÈchec. Cependant, et en dÈpit de son apparence ´moderneª, ce film nÕa pas de caractËre polÈmique. Sans doute la jeune femme deJules et Jimveut-elle vivre de la mÍme maniËre quÕun homme, mais cÕest l‡ seulement une particularitÈ de son caractËre et non une attitude fÈministe et revendicative. On peut dire de ce personnage de femme - incarnÈ par Jeanne Moreau - quÕil est fait ‡ la fois de poncifs et dÕantiponcifs. Aussi, quand elle devient trop Scarlett OÕHara, je lui mets des lunettes, jÕessaie de la rendre plus humaine, plus rÈaliste. Je voulais faire du bien ‡ Jeanne Moreau actrice, et il mÕa semblÈ que je devais lÕempÍcher de devenir prestigieuse, quÕil fallait lui Èpargner toute exhibition. JÕai cherchÈ ‡ la ´dÈsintellectualiserª par rapport ‡ ses films prÈcÈdents et ‡ rendre ‡ la fois son rÙle et son jeu plus physiques et plus dynamiques. Dans ce sens, jÕavais dÈj‡ travaillÈ avec Jean-Pierre LÈaud pour lesQuatre cents coupset avec Charles Aznavour pour Tirez sur le pianiste.
Y a-t-il des points communs entre ces deux films etJules et Jim? A la fin de chaque film - et jÕinclus mon court mÈtrageLes Mistons- jÕessaie de tirer une sorte de ´leÁonª. CÕest pourquoi jÕai le sentiment queJules et Jimest une synthËse de mon travail passÈ. Il a desMistonsIÕimportance de la nature, le retour au commentaire et lÕintroduc-
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plastique. Il est Ègalement un peu, comme dans lesQuatre cents coupsle rÈcit dÕun engrenage, la description dÕu situation difficile qui devient de plus en plus inextricable. JÕai tentÈ aussi dan les deux films de faire admettre un ado-lescent, une jeune femme, bien quÕil agissent lÕun et lÕautre dÕune mani habituellement rÈprouvÈe par la morale. EnfinJules et JimprolongeTirez sur le pianisteparce quÕici et l‡ jÕai vo Ègaliser les personnages afin quÕils insp rent la mÍme sympathie et que lÕon so tentÈ de les aimer pareillement.ª Propos recueillis par Yvonne Baby FranÁois TruffautJules et Jim DÈcoupage Èd. Point Film
Le rÈalisateur
Ses dÈbuts dans la vie sont ceux dÕu futur rÈalisateur maudit : enfance mal-heureuse, service militaire interrompu par la dÈsertion, etc. Rien alors ne laisse prÈvoir que Truffaut deviendra le reprÈ-sentant officiel de la France dans les grands festivals. AndrÈ Bazin lui ouvre Les cahiers du cinÈma: Truffaut sÕy fa remarquer par la virulence de ses cri-tiques; il exÈcute la plupart des grands rÈalisateurs du moment (Delannoy, Cayatte, Autant-Lara...) et exalte les cinÈastes amÈricains de sÈrie B. Le cinÈ-ma quÕil aime nÕest pas celui quÕil fera apprÈciait le sens de lÕaction des petit maÓtres amÈricains, leur virtuositÈ tech-nique et la dÈsinvolture de leurs scÈna-rios ; les films de Truffaut seront clas-siques, pour ne pas dire acadÈmiques, et son bref passage dans le thriller ou la science-fiction catastrophique. Ni Siegel, ni Heisler, ni Seller nÕauraient manqu les adaptations des deux-chefs dÕÏuvr dÕlrish,La mariÈeetLa sirËne du Mississipi, ni le superbeFahrenheit 451de Ray Bradbury. DÕemblÈe, dËs so court mÈtrageLes Mistons(IÕÈveil de l sexualitÈ dans un groupe de garÁo
durant les vacances dÕÈtÈ), il montre o˘ Filmographie va se situer : dans une tradition franÁais fondÈe sur lÕobservation de la vie quot dienne et sur lÕÈtude de caractËre Une visite1955 OubliÈ Hitchcock auquel il consacra u (court mÈtrage) grand livre.Les quatre cents coup Les mistons1958 ouvrent le cycle Doinel qui va fonder l (court mÈtrage) rÈputation de Truffaut :LÕamour ‡ vin Histoire dÕeau ans,Baisers volÈs,Domicile conju (court mÈtrage) galÉ On y apprend comment beurrer des biscottes sans les casser ou se fairLes 400 coups payer ses leÁons de violon sans vexer l Tirez sur le pianiste1959 client. FraÓcheur et gentillesse que lÕo Jules et Jim1961 retrouve aussi dansJules et Jim LÕautobiographie est Èvidente, mÍmeLÕamour ‡ vingt ans Jean-Pierre LÈaut admirable de naturel,(un Èpisode) fini par absorber Antoine Doinel au dÈtri La peau douce1963 ment de Truffaut. Celui-ci en revanch Fahrenheit 4511966 nÕa pas la tÍte tragique.Tirez sur l pianistetourne vite ‡ la pochade, malLa mariÈe Ètait en noir1967 grÈ le patronage de Goodis : IÕun de Baisers volÈs1968 gangsters affirme quÕil dit vrai et le jur La sirËne du Mississipi sur la tÍte de sa mËre sinon quÕelle su combe ‡ lÕinstant. Plan suivant : on voLÕenfant sauvage1969 une vieille dame qui sÕÈcroule, mort Domicile conjugal1970 Imagine-t-on une scËne pareille che Les deux anglaises et le continent1971 Hawks ? MalgrÈ le souvenir tragique de annÈes dÕOccupation, on pense sanUne belle fille comme moi1972 arrÍt ‡ Sacha Guitry dansLe dernie La nuit amÈricaine mÈtro. Une tentative aussi originale qu LÕhistoire dÕAdËle H.1975 La chambre verte, Èvocation dÕun cult maniaque des morts, surprend tellemenLÕargent de poche de la part de Truffaut que le film est u LÕhomme qui aimait les femmes1976 Èchec commercial. Oui ‡ ´lÕhomme q La chambre verte1977 aimait les femmesª, thËme trËs franÁai donc digne de Truffaut, non ‡ ´lÕhommLÕamour en fuite1978 qui aimait les mortsª un sujet pris Le dernier mÈtro1980 Henry James, trop macabre pour l La femme dÕ‡ cÙtÈ1981 cinÈaste desQuatre cents coups Reste que Truffaut est le seul auteur d la Nouvelle Vague ‡ avoir poursuivi un Ïuvre personnelle sans avoir perdu, sauf le cas exceptionnel deLa chambr verte, le contact avec le public. SÕil nÕ pas devenu Hitchcock, il a ÈtÈ notre nou veau Renoir. Sa mort prit la dimensio Documents disponibles au France dÕun deuil national. Jean Tular Documentation UFOLEIS Dictionnaire des rÈalisateur Synopsis par Carole Le Berre - Èd. Nathan - -
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