La cérémonie de Claude Chabrol
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Description

Fiche technique du film " La cérémonie "
Produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Langue Français

Extrait

FICHE FILM
La cÈrÈmonie
www.abc-lefrance.com
D O C U M E N T
Sophie quitter le pays sans qu'aucu ÈvÈnement ne se passe, l'efficacitÈ dra matique du film Ètait considÈrablemen attÈnuÈe. La radicalitÈ pour laquelle il optÈ peut apparaÓtre, en revanche, sur ajoutÈe, sorte de surenchËre malhabil dans la violence. Mais c'est de cette radicalitÈ que v naÓtre le malaise. Un malaise ‡ la foi moral (car, aprËs tout, ces deu monstres sanguinaires, nous Ètions jus qu'ici plutÙt de leur cÙtÈ) et esthÈtiqu (cf. l'aspect artificiel et parachutÈ d l'exÈcution), invitant le spectateur rechercher rÈtrospectivement des signe prÈcurseurs de la tragÈdie, et donc s'interroger sur ces deux acolytes ave lesquels il a fait un petit bout de chemi et dont il pensait avoir cernÈ le fonction nement. De fait, siLa CÈrÈmoniees un rÈcit linÈaire, il n'empÍche que s lecture est beaucoup plus complexe ca elle invite ‡ la relecture, en une sorte d va-et-vient incertain pour tenter de per cer le mystËre de deux figures fÈmi nines. MystËre sur lequel le voile ne ser jamais complËtement levÈ, Chabrol s rÈvÈlant, une fois de plus, l'un de maÓtres dans l'art de mettre en scËn des personnages tout en leur prÈservan des zones d'ombre sur lesquelles achop pe notre curiositÈ. Zones d'ombre enco re plus nombreuses que dans cet autr personnage fÈminin qu'ÈtaitBetty. L passÈ de l'hÈroÔne venue de l'univers d Simenon Ètait reconstituÈ par des flash backs. Et mÍme si ceux-ci laissaient l sentiment tenace de ne pas rÈsoudr totalement ´l'Ènigme Bettyª, fidËles e cela au refus de la dÈmarche chabrolien ne de rÈduire ses personnages ‡ u ensemble de motivations psycholo giques, il n'en demeure pas moins vrai qu'ils nous donnaient surBettyde points de repËre objectifs. Points d repËre qui nous sont refusÈs dansL CÈrÈmonie. Nous ne saurons jamais si Jeanne est responsable de la mort d son enfant, Sophie de celle de son pËre Comme nous ne saurons pas si le pass de la famille LeliËvre est aussi troubl que le sous-entend Jeanne. Bettynous prÈsente un couple d femmes, Betty et Laure, sorte de doubl dont Betty va comme pomper la s
stance pour s'en sortir. DansL CÈrÈmonie, le couple Jeanne/Sophi ne fonctionne pas sur un rapport d similaritÈ, mais, au contraire, de franch opposition. Jeanne est exubÈrante bavarde, Sophie introvertie, silencieuse Jeanne aime lire, Sophie est analphabË te. Les rondeurs de l'une font ressorti les lignes anguleuses de l'autre. Elles s rejoignent nÈanmoins sur un terrain celui du social. Toutes les deux sont de exclues du monde bourgeois, symbolis par la famille LeliËvre. C'est certainement dans cette portÈ sociale qu'est ‡ rechercher ce parfum d mystËre si tenace qui entoure les per sonnages. Chabrol, avec Jeanne e Sophie, dessine de remarquables por traits de femmes, tout en nuances et e non-dits. Mais il va encore plus loin, e leur confiant un pouvoir quasi mÈtaphy sique, celui de justiciËres sociales d'anges exterminateurs. A plusieur Ègards, les deux femmes semblent n venir de nulle part. Outre l'ignoranc concernant leur passÈ, leur marginalit (Jeanne s'Èvade dans ses dÈlires et se lectures, Sophie refuse un monde don elle ne maÓtrise pas les codes), il y a l maniËre dont elles font leur apparitio dans le rÈcit. Jeanne surgit de faÁon totalement inat tendue, imposant brutalement sa prÈ sence et son flot de paroles ‡ Catherin LeliËvre, qui vient dÕaller cherch Sophie ‡ la gare. Les ÒapparitionsÓ d Sophie sont encore plus explicites. L film sÕouvre sur Sophie traversant la ru et pÈnÈtrant dans le cafÈ o˘ elle a ren dez-vous avec sa future patronne, scËn dont la surexposition et la virtuositÈ ins taurent dÕemblÈe un climat quelque pe surnaturel et que lÕon retrouve encor plus marquÈ lorsque Catherine v accueillir Sophie ‡ la gare. Le train entr en gare, les voyageurs descendent tous le quai se vide peu ‡ peu. Catherine s retrouve seule, prolonge une attente qui se fait pesante. CÕest alors que nou apercevons Sophie, sur lÕautre qua atterrie l‡ comme par enchantement LÕexplication est rationnelle (Sophie pris le train prÈcÈdent) et fonctionn comme un des premiers signes du han dicap de la jeune fille. Elle nÕarriv
SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.32.07.09
la tension instaurÈe par une telle sÈquence, et un sentiment dÕÈtrangetÈ subsiste. (É) Fort d'un climat et de personnages envo˚tants,La CÈrÈmonieest une Ïuvre dÈstabilisante, invitant sans cesse le spectateur ‡ rÈviser son juge-ment sur la rÈalitÈ qui lui est donnÈe ‡ voir. Chabrol n'est pas un cinÈaste cÈrÈ-monieux et c'est un film diablement sub-versif et culottÈ qu'il nous offre ici. Claire VassÈ Positif n∞415 - Septembre 1995
La CÈrÈmonieest le nom qu'on donnait autrefois aux exÈcutions capitales mais on a toutes les chances de ne pas le savoir. Que le film de Chabrol porte bien son titre, on a en revanche la chance, le plaisir de le voir, d'en Ítre continuelle-ment le tÈmoin, guidÈ par une mise en scËne dont le mouvement implacable, lÕexÈcution magistrale, nous laissent ter-rassÈs, de stupeur, d'Èmotion, d'admira-tion. La violence du sens donnÈ ‡ cette cÈrÈmonie est contenue dans chaque plan, et le finale ne fera que la libÈrer, car, comme en les circonstances aux-quelles le titre renvoie, on sait de toute faÁon dËs le dÈpart ‡ quoi s'en tenir : si le film s'achËve sur une mise ‡ mort, il s'ouvre sur une mise en joue. PremiËre scËne, premiËre rencontre, dans un cafÈ, de Sophie (Sandrine Bonnaire) et de Madame LeliËvre (Jacqueline Bisset), charmante bourgeoise ‡ la recherche d'une domestique ‡ demeure. MarchÈ conclu, ainsi qu'entre deux amies ou presque (Sophie est un peu raide), Madame LeliËvre ne tenant visiblement pas ‡ jouer la patronne. Visiblement, quelque chose d'autre se passe cepen-dant aussi. La scËne est, en effet, construite autour d'un axe correspon-dant ‡ la position de Madame LeliËvre : c'est elle qui commande d'abord l'angle de vision et qui, dÈj‡ attablÈe, ne laisse ‡ Sophie que le choix de sa place. La scËne d'accord cordial, informel, se double ainsi d'une mise en scËne dont la signification est au contraire trËs forma-lisÈe : qui a une place (Madame LeliËvre, installÈe dans le plan et dans tous les sens du terme), qui prend celle '
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l'espace (la maÓtresse de maison), qui doit en respecter l'ordre et l'agencemen (l'employÈe de maison), qui gouverne e qui est gouvernante. Chabrol situe d'em blÈe son film sur le terrain du rapport d domination, de classe, avec une subtilit savoureuse, perverse. Le troisiËm terme de cette suite logique - place regard - est forcÈment celui de cible. C'est la question que sous-tend le film dËs son ouverture : qui, dans cette mis en place, sera le plus facilement mis e joue ? La rÈponse, dÈj‡ livrÈe en partie, n reste pas longtemps un mystËre. A cett premiËre scËne, d'un principe trËs hitch cockien (le dialogue dit une chose, l mise en scËne en dit une autre), rÈpond aprËs un petit tour dans l'intimitÈ de l famille bourgeoise (fantasmes ancil laires du jeune fils ‡ l'annonce de l'arri vÈe d'une bonne, dÈbat politiquemen correct de propriÈtaires sur le thËm faut-il appeler notre bonne une bonne ? tout cela savoureusement croquÈ : l caricature pointe d'elle-mÍme, jamai forcÈe), la scËne de la deuxiËme ren contre de Sophie et de Madam LeliËvre. Celle-ci est venue l'attendre la gare de Saint-Malo, mais, sur le quai nulle bonne en vue. ContrariÈe, Madam LeliËvre attend. Soudain, elle aperÁoi Sophie, dÈj‡ arrivÈe, sur un autre quai pas du tout l‡ o˘ elle devait apparaÓtre. Cette scËne si banale suscite un puis sant sentiment de malaise et d'inquiÈtu de - ‡ la mesure de ce que rÈussissai Hitchcock, l‡ encore, dans ce registr difficile qu'il affectionnait , qui repos entiËrement sur la valeur donnÈe ‡ s construction spatiale : en changeant d place, Sophie organise la rencontre rompt avec la situation de soumission laquelle Madame LeliËvre l'avait tacite ment assujettie, et inverse le rapport d forces. L'ordre qu'elle impose et son diri gisme contre-carrÈs, Madame LeliËvr apparaÓt alors dans toute la fragilitÈ d sa position : son bon droit Ètabli invaria blement, toujours ‡ la place qui lui revient, elle est une cible facile, dÈsi gnÈe (a sitting duckdans la langue d Ruth Rendell, dont Chabrol adapte ici L'AnalphabËte, souvent considÈr comme son meilleur roman ; l'expres sionshooting a sitting duckpourr
quant ‡ elle, se traduire partirer u [Le]liËvre au gÓte). La rËgle vaut pou toute sa famille, les LeliËvre ayant un faible - c'est le mot - pour les posture arrÍtÈes, qui confortent et concrÈtisent leur statut de maÓtres : attablÈs (au cafÈ, ‡ la cuisine, ‡ la salle ‡ manger) ou campÈs sur le grand canapÈ du salon. leurs risques et pÈrils. (É) FrÈdÈric Straus Cahiers du CinÈma ∞494 - Septembre 9
Entretien avec le rÈalisa-teur
(É)On a beaucoup pensÈ ‡ Hitchcoc aprËs avoir vu le film... Ah! Je suis trËs hitchcockien en ce moment. Je suis hitchcockien ‡ chaque fois que je revoisNotorius...(Rires). Il faut dire que cÕest assez difficile ‡ Èg ler. Cela dit, je nÕai pas conscienc dÕune influence quelconque. En ce q concerne la forme, certainement pas. Il y a cependant un plan qui produit un effe totalement hitchcockien. Quand je l'ai tournÈ, j'ai souffert et je l'ai traitÈ de sale con. MalgrÈ tout, c'Ètait le seul moyen pour que l'effet existe et qu'il soit invisible. C'est au moment o˘ il sont tous les quatre en train de regarde la tÈlÈ, chacun dans son truc, et puis on voit Sophie et Jeanne monter l'escalier. Ce plan Ètait extrÍmement compliquÈ, bien qu'il n'en ait pas l'air. La camÈr prend les deux filles et monte en mÍm temps qu'elles. Et ‡ cÙtÈ d'elles, il y a une espËce de petit tortillon qui fait bizarre. L‡, j'ai vraiment pensÈ ‡ Hitchcock. A un moment donnÈ, j'Ètais complËte ment langien et je trouvais intÈrieure-ment que le pËre Hitch' en faisait un pe beaucoup. Et puis finalement non, c'es fait avec peu de choses. En outre, se effets sont plus sensibles, au sens d'un plus de sensibilitÈ, que ceux de Lang. Je crois qu'avec l'‚ge on devient hitchcoc-kien...(É)
L'autre cinÈaste auquel nous avon pensÈ est BuÒuel.. Oui,La CÈrÈmonieest un petit pe buÒuelien, mÍme dans la faÁon de tour
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la fois par exemple. Et puis, je serai toujours reconnaissant ‡ BuÒuel de m'avoir rÈvÈlÈ la petite boÓte, le moniteur vidÈo. Il a utilisÈ la vidÈo bien avant tout le monde, sur le tourna-ge duCharme discret de la bour-geoisie.CÕest fou ce quÕon peut gagner comme temps, surtout pour moi qui suis vigilant et qui me prÈoccupe de la vites-se dÕun panoramique ou dÕautres bÍtises de ce genre.
Il y a aussi lÕapparente platitude de la mise en scËne qui fait la force de BuÒuel... Oui, cÕest ce qui lui permet de dÈcoller plus vite. DÕun seul coup, on voit une corne pousser au milieu du front et cÕest trËs dÈroutant ! Il y a autre chose qui nous lie, BuÒuel et moi : nous avons des relations iden-tiques aux deux corps sociaux que sont la bourgeoisie et le clergÈ.(É) Propos recueillis par Marie-Anne GuÈrin et Thierry Jousse Cahiers du CinÈma n∞494 - sept.1995
On a l'impression, mÍme si l'expression est un peu sËche que le film marque un retour au politique. Plus directement, oui. Je me suis aperÁu que le dernier film comportant un ÈlÈ-ment politique ÈtaitPoulet au vinaigre. Ce qui m'avait intÈressÈ dans ce film, c'Ètait de montrer le bourgeois de province sans courroie de transmis-sion, de maniËre lÈgËre mais importan-te. Ces derniËres annÈes, je ne voyais pas d'ÈlÈment particuliËrement stimu-lant. Depuis deux ans, j'ai un peu chan-gÈ d'avis. En discutant avec un petit lou-bard, j'ai eu l'impression que la sociÈtÈ allait exploser, ou plutÙt imploser, pas seulement ‡ la pÈriphÈrie. Alors j'ai dÈcidÈ de traiter le sujet, mai pas de maniËre prÈcise, documentÈe. J'ai bien fait car j'aurais ÈtÈ battu ‡ plate couture par Kassovitz avecLa haine. Nos films sont proches, je crois, dans leur dÈmarche, sur un dÈmarrage de l'explo-sion. Lui envisage la possibilitÈ d'une explosion, moi d'une implosion. Le jeune loubard en question pensait que les choses ne pourraient pas durer plus de
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deux ans devant nous !Noces. J'ai gardÈ beaucoup travaill Le film propose une vÈritable Èpure del'intÈrieur de l'opÈ lutte de classes.enchaÓnÈ ‡ l'int Oui. Je me souviens d'un article, je nedeux filles sont e sais plus de qui, aprËs la chute du murEnchaÓnÈ : ´Bon. de Berlin, qui disait que la lutte desdix minutes d'opÈr classes s'Ècroulait avec le Mur. Seul unune invention ; on nanti peut Ècrire une chose pareille ; il faut demander ‡ la classe infÈrieure si lapar P. Berthomi lutte des classes peut cesser ! La CÈrÈmoniem'a donnÈ l'occasion deP traiter du sujet. Une fois un scÈnario prÍt, j'essaie toujours de voir ce que je peux fourrer de mes petites prÈoccupa-Le rÈalisate tions personnelles. Ici, l'ensemble fonc-tionnait trËs bien : c'est effectivement le Du trio magique principe mÍme de la lutte des qu'il constitua av classes.(É) il est le plus insol plus prolifique. L N'y a-t-il pas une rupture de ton entre la go˚t pour l'incong fin et le reste du film ? plus variÈ pour l' Il faut que la chose se dÈclenche ‡ un qui le voit passer moment. Comme dans mon esprit, la de l'Ètude de m notion dominante est lÕimplosion, il e genre, du polar a amusant de partir de la tÈlÈvision, ÈlÈ-plus prolifique, ment dÕimplosion caractÈrisÈ. A scËne trente et moment o˘ l'opÈra commence, l'Ïuvre sketches) pendan s'achËve. annÈes de carri avant tout, un ca L'Ècriture change ‡ ce moment. Il y a par boulimie cinÈmato exemple recours au montage parallËle, sans logique app classique. trales et canulars JÕai voulu Èviter l'effet ‡ ce moment. O prestige et films imagine bien des effets de ralenti avec toires et revers. S les corps qui tombent, du gore. Ici, la ce, elle rÈside da chose aurait ÈtÈ catastrophique. J'ai native : Claude Ch t‚chÈ d'atteindre au maximum de sËche-bÍte de spectacl resse avec la musique qui l'est le moins surface aprËs au monde,Don Juande Mozart. Quand pÈriodes de bid j'Ècris un scÈnario, je me pose tous les d'abandonner un problËmes possibles,et jÕessaie de le livrer ses br˚lots rÈsoudre. Le tournage s'en trouve facili-Ainsi, toute idÈe tÈ: j'ai ‡ peu prËs prÈvu tous les pÈpins ! ne ‡ une Ïuvre d Je m'Ètais demandÈ : Rendell a choisi fue relËve de la va Don Juan, avec les rapports paradoxaux 250 cinÈastes eu entre la progression deDon Juanet Europictures - 199 celle de la cÈrÈmonie, mais le fonction-nement ne serait-il pas visuellement meilleur avecLes Noces de Figaro? J'ai Filmographi essayÈ. En vain. J'aurais ÈtÈ obligÈ de changer complËtement la progression du Le beau Serge carnage. Elle a travaillÈ comme une bÍte Les cousins pour faire son bouquin, elle doit avoir A double tour ses raisons pour avoir choisiDon Juan. Les bonnes fem Elle aussi a certainement pensÈ a
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Les 7 pÈchÈs capitaux1961 (1 Sketch) LÕÏil du malin OphÈlia1962 Landru Les plus belles escroqueries du monde1963 (1 sketch) Le tigre aime la chair fraÓche1964 Le tigre se parfume ‡ la dynamite1965 Marie-Chantal contre le Dr Kha Paris vu parÉ La ligne de dÈmarcation1966 Le scandale1967 La route de Corinthe Les biches La femme infidËle1968 Que la bÍte meure1969 Le boucher1970 La rupture Juste avant la nuit1971 La dÈcade prodigieuse Docteur Popaul1972 Les noces rouges1973 Nada Une partie de plaisir1974 Les innocents aux mains sales Les magiciens Folies bourgeoises1975 Alice ou la derniËre fugue1976 Les liens du sang1977 Violette NoziËre1978 Le cheval dÕorgueil1980 Les fantÙmes du Chapelier1982 Le sang des autres1984 Poulet au vinaigre1985 Inspecteur Lavardin Masques1987 Le cri du hibou Une affaire de femmes1988 Jours tranquilles ‡ Clichy1989 Docteur M1990 Madame Bovary1991 Betty1992 LÕÏil de Vichy1993 LÕenfer1994 La CÈrÈmonie1995 Rien ne va plus1997 Au cÏur du mensonge1999
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