De Moscou à Pékin en passant par la Sibérie et la Mongolie
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De Moscou à Pékin en passant par la Sibérie et la Mongolie

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lle est ingrat :réporo ttel  aivajtr eetrenta l eL sur deuâce, unes na srgmmuelbsensme eesve aimc tavo,noine xnér , pl, etagefaudcéahue xgnre taduspl, leil vlae d ehcorppa no suv eiliel sovtiru embouteillages,oimau sn sésl te despaistera cs,reena tleLc tn .sineimouiress noab sednaid serrt esl iegr, isgrl  iags ditbue uaerop xt ru suoles grands groupsem luitanitnouasi qux enchfiafv snas t.engogre
La majorité de la population de la Sibérie se concentre le long du Transsibérien où se trouvent quelques bassins industriels importants dont le Kouzbass. Il existe un Rossiya qui circule tous les jours entre Moscou et Vladivostok. On compte également deux trains sur le même itinéraire en direction de Pékin : l’un se nomme le Trans-Mandchourien (via Harbin) de l’administration Russe et l’autre le Trans-Mongolien des chemins de fers chinois. Les voyageurs du Rossiya n’effectuent que des distances moyennes en se contentant de relier les villes les plus importantes autour de Moscou. Ceux qui font le voyage jusqu’au bout se sont armés de patience et de volonté, car ce trajet reste malgré tout un voyage aux dimensions épiques. Il existe deux niveaux de confort : les sièges peuvent être tapissés, en plastique ou en cuir. Les deux types de banquettes se transforment en lit pour les voyages nocturnes. Parmi les voitures lit on trouve des espaces à deux couchettes de "type européen," puis de quatre et plus et des grandes salles non cloisonnées de type dortoir. »
« Le Transsibérien ou Transsibirskaya est une voie ferrée de Russie (souvent  confondue avec le train qui y circule, on parle du Transsibérien en français pour désigner autant la voie que le train) qui relie Moscou à Vladivostok sur 9238 kilomètres. Il ne traverse pas moins de 990 gares. La durée du voyage dans sa totalité est d’une semaine.
 
jeudi 10 août 2006 par Gérard Filoche
 
Pendant la file dattente, (au tronpg )l ocontrôle de descendtea vion, à laéroport, il y a des publicités sur un grand écran Sony, Canon, Mercedes, Budget, PhilipBsC,,  HetS pléthore de banqs.u eLors de mon dernier passage en 1987, il y faisait aussi sombre, mais iluyn  eottuseamqreud  y a la . Là, iléL eeninartrd ti itpovaa les multinationales : elle sont reenst,r éaujourdhui elles sont toutes là. 
Moscou : 5 juillet 2006, Cheremetevo
De Moscou à Pékin en passant par la Sibérie et la Mongolie
Notes du transsibérien, juillet 2006
ré pa dude drès  df litn etaete èdcc ae itsuenrueh xuey nO .seJai voulu vn sousmaéeolLa.  rioinéLd en snaer el sic ud etsôt cpsort,oidré aftio  notrul  es po san suvoil tiec eeucr ,liulsecl éréaile, d reirrè eedl  atête dabord, put  eneurton  or,ep nu etnomer nolumiune ers u, verove tn :norè et en dennipéembl à totâtecsenadnand escans un gr seln ioilred naèrmi pe,itet mes tîap nenielul eGrévin. Il apparc moema  uuMés esépoom crecie  dsiv nu smêlb egacada ce  maivre,icer t »uqàxu , « nnietp emu saesnmêt s.oie  Cc teetf  eosellir vers l remonteed te erdnecsede rdet anAv. esrd sag rel éapersse, p vitter,arrêtcoi ndnut lem ausolée. « Faite,tub ed lruhc retronlae on crustni,eL nétir a avn, daisoe déès ladjedaNkspuorK a  la,aïdee mmfeirla pe,nnro cée .sptiteroc petide, livianc m racaehuotsetm ors tetipe, nsailb tnorf ,sellieommunards » de lveqieu,sl se« c x auéaid buxchold ,eoc eartn eriune our lutirévoamsu n «» p loeéden ie b uirât b,euqopétiatéc atilenv  ,amsiS re vivree la faiiartd erel tnoc ittaou t !oné Csiemicla &osit eocra DémLireà. (jéd rerretnel eutdos an sitlaoualàalp » ecpxe qulit-aileelon c sodcnd seé ocels, des crèches, euq ec t eninéL memêi-luitraau, elp rt e tedorejline Staces, « reêtin aptcedé » émnE .e isuabmet jamai voulu, ruia tca slin atron cdee osche riannoitulovér-e y asilet,  effleuq nuqb eiavtiéeolusMa lnsda, rreD ).a el erèie leriqus co pluosdr eédsioterh Muu dur re Kinmlelpma ,tip ud de grands bolchevi ,el sotbmsed sessa sruel ed te esquritois hesquua xruer .oBilen Stadontns, assiiJ  iarlbme.seés messra vettiicalc ohsimoebe  nsur ta tcracher ,id  ,uqos nna s en n°3ier févrep ,3991,sèrpa u lc,on d dupcoe éat tamqnéud se bureaucrates stnilasneioc ,ertnor Gtcbav he letouvode pise a pren ,tlisraE rip nier dent aitrtib A « : egap erèusolée das le ma»  ,errp eéLinenars meguanenlet puorïaks stnK eda cade ldes façaed sue xted M no :esstnionsiesprmid noitcelloc ne bellezanne. Ubrte ,éCsi.)C uoquhafoe ntve c àm sueméa seerbrsi eafaleratdtEe vui un la e de lI .)sessua a ys teou tpéougrreuleell sea avtiexposition lorsqj( navav sil uédthlerae  dueRol aref ne no ,sintlaaln  eurtoe c  ereém,nf meilns p. Tai-làjeudrdnativo snixelA dtéKru , chcôà ei.nO  nsiastnb aux jardrevient  ces(le s urleoui seuelbd seésiravoron f toui de,sm ojruifuqgainlo fe pé Jden-eatpaBetsiroC m to au Musée Pouchkni e :liy a u en
« La place Rouge était vide » encadrébea rdrieè res empêchanty  dmarcher librement. 
On nous loge dans un hôtel de 27 étages, « Into uàr icstô t»é, dun parc dattroanc tide type folklore-land. On y a vue au loin sur la ville, par-delà une immzoeneseverte et on est sur la ligne du métro pour le Kremlin, le lendemain matin. On mange dans une »« t exrtanent cellfu- «œbaifbar ou pteetsiruotuop nu ,is Strogonoff » avec de la bière.
Réveil early. Métro célèbre, magnifique. On estspéraenr lpiee  ntourt enn. Eatiotuj itrooïchol Bler sue ul é-i même de chantiers. Excepté la Loubianka, eil lep,a rqauît comme neuve etu jtoours aussi massivement « impressionnante ».
Petite dépouille pour un grand homme
 .nl  aefmmri( odtnlin de le au Mouon emmatag attelteuils it)enns enoéceuf b el tnehemerancis f, maiusnE .eélcâb tnnoRes dea n  otessi Odilon Redon , àôcétd  elcée ol Vdennie Ke,tmillec av aeib t to sonà : us lye ,ySlsra,oiPss, etan M Vs,gaDe.hgoG naua a nO 
? 7 06 2raphe Unlanab esiug ud e Londe «Planely q ute» e tnnoa ilt O dobct 1re 719snad al ssuRie et dans le modn ene2 10 7 ?nE
1917-2007 : être historien en Russie ?
Il y a un Musée dhistoire qui sar raêut eXIX° siècle... Ça doit être duêrt rde professeur dhistoire en 2007. Raconter comme nos gandins parisiens que « Stalitn ed aéntsa iLénine » et la « contre-révolution dans la révolution » ? Comme lors de lna trceo-révolution blanche en France, refuser de prononcer les « r » pour manifester son regret lad e mort du roi Louis XVI ? 
L’histoire n’est pas écrite par les seuls vainqueur à ce qu’on dit, et puis les « vainqueurssa,irceomnet nt » changent avec le temps : lhumanité se souvineontm  ddu e Spartakus, pas ndou m du gouverneur romain qui a décidé de son exécution.
Lhistoire change donc : la Commduen eP aris navait pas la même presse en 1881 (on se contentait, devant linterdiction de lévoqu dere, chanter « le temps des ceris- ecsh a» nson préférée de ma mère),  
  en 1891 (les héros survtisv,a dnabord envoyés au baganveai, ent été graciés en 1985)  
 en 1901, (l’approche du « Bloc des gauches » était imminente)
 en 1911 (le nationalisme était reparti),
 en 1921, le mouvement socialiste et communiste divisé ne l’appréhendait pas de la même façon)
 en 1931.. 1941 (n’en parlons pas...) `
 en 1951...1961...
 a iu
Derain, Vlaminck (petit tableau que jaime à A-suuvre-rOsise). Bonnard (dont deux pas beaux), plusieurs Signac, trois Picasso, un Eugène Boudin que j’aimiesdsi,nsekLy  geétr e ,uDyf,  ,puljuqssuu ràsn uMKa tnia un Miro. Là, on a vraiment pris plaisir.
A côté, en sortant, à gauche, sleé golirthodoxe Saint-Sauveur, flambant neuf, moche en réalité : elle a remplacé la plus grande piscine dsec oMuo... et en face il y a cette imapbrleo bstatue noire géante de Pierre le Grand sur un bateau aux voriles  ,otruénlpéiseson que and s grua ,abet..t.esouls er vulp tse rast eL louvrage doit mesurer trente m èdtree shaut... Ridicule. Cest Lyoukloe v,m aire libéral qui a imposé ces deux monuments, hisrteo isans doute de se faire  bvioeinr des popes et du passé... 
Malheureusement, pas de livre réclaaptià e  labrliriaip sad  eoi,nc raeproduct ni de rple  dnie,ttueaqt ,fu sortie.
sniauop l erm see,agvo écer oy vc iremd uq e «elovsk » qe Sverdls,ntpr a mès 6ail ,8r iuidnetner un immense hommga.eQ unes re ar ou p71ntcen soo erianeec sed ùnes ntaiillide medm re sseatnafi  en 19
eur à celui de tuo sel s «lAilsésee e,ul p aé ayt nuubirus tirép-17 1914 Rus? Laà e is,eottull eagng eondat enemug al sn ed erre ieptul eRde )uQer ? Pases effacm elednorèln tne Jren oh ( »lire «iD 7 :er1 tcboébraqui urs x joertne ,sinuér »  O7.91 1et4 91 1 « etluc eru ! »s nodimé, astrno ramnim si eus rquelque soit leuot ne ,t ,sac tuni, redèulsaas Dsi ,ruotgarainL hett Haci Coe, nalérc, rsveib ll sninue siad tde à Par à la moalt èhesifuq e :cipai asqunioutlovér enu tuf erctob dOtionvolu aértnl elemiFannodroéxel én mil 7,5avecar,  estral sip ocmm sdee ncueéqnsco ,strom ed snoilTsar... ille du  ealf maucitnod ri cs meas pes lvéneuqosiaM li t, pdébu Au me !pscerierul ssap  c àopSt! r geanâfni erreug ettevis de ls vis-à-ègere  t aobluna qnt lueeutumese ed iraPep eelpurbni ,meadsnug ésale sa rre  guep nos edrim tite..n.toliartse  Lerufés: n  iapni, ni paix Louis d tenimoap ées rco tiurnssaa , amia liuq sérgiéms mi aes srndjeio,er ernn àaVrti t paétaiXVI .num aL trosmoc nuonn  u ols cntlp.e..I s nop uetage queit davanu  e a ybrom ndecstup « lI ? » h, cillet unétai eedrpsiaBtsl  a4  1iljut le8919açna esirtneel ela Révolution Frue xpésidosed  eétct ait ese qu hcsM .»« nutup z donc dais alleuq ealr fénerd e90 1den ioutolévtup « nu tiaté 5 la  que» etsch  e91nod ulitérové 71tiatrté ègna àrea  lntteivat euq ilvaia trpécédé 12 ans plu ? tôt s cnodllAr veouprs lee qusen amsstnp yo oué as jôl de r érpféré lue ttédre quiou défenne ralp el rast inmaniteleabe  dtn.)reec yxe isa qu en il yce ( eénruoj al ceva- t enemuvmoe  L a chassé le tsaed sefmmse- q iuaiavcot enmm pcéne rvéf reir 71 ecturespmenteuseiud ral ed rmenaaip «la m A».x ap « ud  te » niinfluencient en slg gaanotrb.eI remboc,  st,teepne sûoa tiroeria majenus devsont71 )iu nnej rt een rkitsro Tu,fo ruop essap li - sidet sdvair ltre pris - thèseop eiovuep rê tue tr det qit lueroqs- l r neulia Réis ltionvoluod snas amaj etunel iquitraer vd tinavelbiaassiidnds atlet cas noituniaacedstc rre et ft la gueenrevuog el euqs ikevchen mntmeia,nelp xi , aaplorse, aterr la que lsion cnutineia à tgixel ree milliers, touts milpmene tapcrrsiellmisilu p ànec srued seniatls se, ipassont  elpséd ru ssuei.I..repiEml, atrivmuirt el ,rodsode épiplesultiedm ss i aua l yeurr lr, ly,Tea  ,sémlaVé sergimt Thermiégaux, ene ted s eoMvumestnemevèssam ed , ceor fulsos denoujalc nod arites ee, lés, nraged n991 l ,3c sela, on Citstioutsn ,ed socpu sedlubs, les jacobier stiianiroihm-Lénier (évrien fiamitse élixe en7  1ervian jent tcoisnà l seé ela daoût la doum..ereL .pes bmetksvirc abos helc promentire,visoj uol se sednreéetllui jut ple, K ed hcs,volinros, de façon condneés,ee tnerf véerrit  etooce br: 71 el vuogenreiud appà l nestrgums, affre chi,sevuerp ,erèiti litfai -cuiel cntme le guarreièpa, anys, nem ,eissa ,evrvuo qui souffraientedc ue xdneb saen mmefâ lr pég al ed ni erreunskiKereeren : Krap  estap riu sd tn àjénemoeiat qrs fuictdieuatuQ ilaalitno.. .e-révolula controlinroK ed hcstu pLe? r neag gitv vinaecists aért l ceNon,v ? ,r( teL uosiX IV) Pas besoin diqovn reu« nutup h scpo»  curprom.e( nerd« l iLertoirhis la e deitulovéressur noTre  d »oùi skota tout sski tomb tapcr emilpmeneou vitlaiqunel  renitassap nod peup au tionsfc mêl seopruel ,étu qnssoai resast el ébmot tia
Pour autant fallait-il « laisser » gagner les « blarnécasc t»i onnaires et autres ignobles forbans ? Le choix nétait pas entre révolution et nouvelle société ré fiol rémtéaiet, entre la prise du Palais dhiver, et les dictatures des Kornilov, nDikéine, Wrangel, Koltchak, le "Baroun "f oUrgern Von Sternberg en Mongolie, à Ulan-Baatar et autres barbares.
»)s . snad nu luesyap  so« socialisme  eoctnarri evacem iats,eA ll snene, emagranden Guop erûmér enu rontiluvoliiaoc s nuRsseiq eul  asituation était  snop edasya .sn nCetaé pit ease quà cusqun, jesl  eidlani etStaé cr,tepérée oissesbo ruel ti nont jlcheviksss éedl maia sec, ne FenBre-ageteL( ob scnar...en Re Johce jed, ere neococer tneou, intee irel rd smlif sniesiE ). Les bolcheviedW raer neBtaytincat  eRe« » d nruosilaa etirém rnud seter veioou voi tsch »,  ud up «résielbam.selliv vé siaM ntmeemidnes il, tpme tes71 ,rb e lesdansndes graod irvu,sre te  yil1 a m50liils appiune tuq esur 2,5 millionsaintlovoins ntra al tnengag ,serle r-il fautks, gionua xel rpaepnniet eni qu tseoc ,naru niftûoa à toutemajoritéceitno s sel slé
Koltchak  Une statue de plus de cinq mètres représentant l’amiral Alexandre Koltchak, grand chef des forces armées “blanches” durant la guerre civile russe, a été inaugurée fin décembre 2004, le jour du 130ème anniversaire de sa naissance, à Irkoutsk (Sibérie, à côté du lac Baïkal). La statue réalisée par Viacheslav Klykov a été érigée dans l’enceinte de la cathédrale de Znamensk où sont enterrés de nombreuses personnalités de l’histoire russe. Le monument se situe non loin de l’endroit où l’amiral Koltchak avait été fusillé et son corps jeté en février 1920 dans la rivière Angara. Une plaque à la mémoire de l’amiral a aussi été inaugurée à Omsk sur ce qui fut le bâtiment de l’état-major des “blancs” lors de la guerre civile russe. L’amiral Alexandre Koltchak, né en 1874 fut un acteur de la guerre perdue russo-japonaise. Lorsque la révolution éclata en 1917, il démissionna du commandement de la flotte de la mer Noire, puis il gagna la Sibérie où il instaura un gouvernement militaire il commit de nombreux crimes de guerre avec son armée jusqu’à la Volga avant d’être isolé et vaincu par les bolcheviques et d’être fusillé. La guerre civile, en Russie, commença après la victoire des bolcheviks. La première armée blanche (anti-bolchevique), que l’on appela l’"Armée des volontaires", fut formée durant l’hiver 1917-1918, dans le pays cosaque au sud, sous le commandement du général Denikine. Une autre armée se créa en Sibérie occidentale autour d’un contingent de 45000 anciens prisonniers de guerre tchèques, armés par le gouvernement tsariste pour combattre l’Allemagne. En novembre 1918, l’amiral Alexandre Koltchak prit le commandement de cette armée, s’auto proclama "chef suprême de toutes les Russies" et installa sa capitale à Omsk. D’autres armées, plus modestes, se formèrent au nord-ouest, au nord et en Sibérie orientale. À peine signé, le traité de Brest-Litovsk fut violé par l’Allemagne qui envahit l’Ukraine, la Géorgie et la Crimée, en avril 1918. Les Britanniques, hostiles au régime bolchevique depuis le traité de paix qu’ils considéraient comme une trahison, apportèrent leur soutien militaire aux armées blanches. Ils occupèrent Mourmansk (mars 1918) puis Arkhangelsk (août 1918), à l’extrême nord de la Russie, dans le but prétendu de contrer l’avancée allemande sur Petrograd (aujourd’hui Saint-Pétersbourg) ! ; ils décidèrent les Japonais, aidés d’un corps expéditionnaire américain, à occuper Vladivostok en Sibérie orientale (avril 1918), avec pour objectif prétendu de réactiver le front oriental. Les contingents français et américains déployés sur le territoire russe se retirèrent après l’armistice. Les Britanniques restèrent jusqu’à l’automne 1919. Leur soutien aux forces anti-bolcheviques fut surtout une aide financière et en matériel militaire. Devant ces assauts, l’Armée rouge fut créée début 1918 Au plus fort du conflit, elle devait compter près de cinq millions d’hommes. Les batailles décisives de la guerre civile eurent lieu en 1919. Koltchak lança au printemps 1919 une offensive contre Moscou ; il atteignit les rives de la Volga, où il fut arrêté par l’Armée rouge et contraint de se replier. Son armée se désintégra peu de temps après et il fut fait prisonnier et exécuté le 6 février 1920.(lire "Corto Maltese d’Hugo Pratt) "  
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