Pourquoi les pouvoirs publics ne peuvent se désintéresser des ...
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Journées de recherche sur « Les crises financières internationales » Orléans  -   6 - 7 mai 2004  Pourquoi les pouvoirs publics  ne peuvent se désintéresser des crises financières Robert Boyer, Mario Dehove et Dominique Plihon 1  Mars 2004 2   Les économisst e  ss ont souvent divisés sur le rôle des autorités pubolimqauiense  d aen s le d la régulation financière. Pour les uns, la concurrence et la discipline de marché se cha sélectionner les banques bien gérées et les meilleurs plac ePomuern ltes s fianuatnrceise ras.u contraire, les pouvoirs publics se devaient d’émettre des règles afin d’éviter les co néfastes des comportements opportunistes des agents les mieux informés. L’e accumulée et les progrès des théories ont paesrsmeirs  cdeett ed éo p position dichotomique. D’une part, la récurrence des crises financièr n e o s le a n c s o v n o ld l eu e si n t s a  utorités monétaires à intervenir dans lorganisation èdmees s sfyisntanciers. Dautre part, les analyses en term dasymétrie dinform adtiaolné,a moral ou encore déconomie industrielle mointtér ent la néc de règles s’imposant aux  acteurs.  Il existe aujourd’hui un très large consensus parmi les économistes quant à l’ interventions publiques face aux crises financièsr,e isl.  yT oa uutenf odiébat sur lampleur et la nature de laction publique qui tient largement aux différentes reiqpruée s  ednet altai ons théo finance (Plihon, 2001). Deux paradigmes principaux s’opposent. D’un côté, les te lhypothèse defficience drcesh ésm apréconisent une intervention minimale des autorit publiques essellnetimeent pour assurer la transparence de linformsacitipoli n  ee td leas  di marchés. Ils mettent en avant les effets pervers des interventions publiques. De l’au éconoimstes keynésiens considèrent que les marchés fi n adnacmieerns tsaolentm feont instables et que des interventions publiques fortes et hors marché sont nécessaires pour prévention et la gestionis edse .s cr  Cet article analyse les principoanlse sq ruia ifsondent lintervention des pouvoirs publics fac aux crises financières. Trois séries de séries de facteurs sont discutées. La premièr nature de bien public de la stabilité financière qui requiert  hdoer s  pmoalirtci qh».ué eLsa  « deuixème raison est liée à la mémoire  d: e ls eas cotepué r sateurs de marché ont une mémoire courte, et une grande propension à l’oubli, d’où une faible capacité d’apprentissag crises, tandis que les institutions publiques bénéféicmieoinrtel o dnugnu e   qmui leur permet de tirer profit de l’expérience passée. En troisième lieu, les progrès de la théorie écono permis de mieux repérer les failles des différents marchés, et de définir les moyens d’ appropriés. Enfin, on montruerrqau poio il est possible de relativiser largument de laléa m souvent avancé pour mettre en cause l’efficacité des politiques de régulation publique                                           1  Respectivement Cepremap, et Centre dEcono-Nmoired  d(eC EPParN-iCsNRS ) 2  Ce texte reprend des analyses présentés par les auteurs dans un rapport pour le Conseil d’Analyse  Les crises financi–è rAens alyses erto p osition»s. «  
      
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