Revue de presse « Défense » Date : 5 mai 2011 Sommaire des ...
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Revue de presse « Défense » Date : 5 mai 2011 Sommaire des ...

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Revue de presse «Défense »
contact : adulou@numericable.fr Votre avis nous intéresse : si vous voulez réa ir à un article de la Revue de resse, vous pouvez soit contacter directement le responsable de thème de Défense soit réagir sur les forums de discussion de laCommunauté deDéfense,en cliquant sur le lien :www.revue-defense-ihedn.fr (si vous n’y arvenez as, reco iez le lien dans votre moteur de recherche L’équipe de la Revue de presse Défense vous remercie de votre confiance et de votre intérêt our son travail, toutes vos su estions sont les bienvenues.
Le « Very Large Array », A l’écoute des ondes radio de la galaxie de la voie lactée, Découvertes le 5 mai1933  Date : 5 mai 2011 Sommaire des articles proposés 1 Enjeux de la Défense, Doctrine, Concepts, Missions :  L’insider Turc 2Relations internationales - Europe de la défense - OTAN :  Forum algéro-Français : tout est prêt   El Gueddafi à uitterAnkara a elle l’autre bataille le ouvoir perdue pour Tripoli   ar la mort de Ben LadenTel Aviv embarrassé 3Armements - Industries - Économie :     avant travaux eCrise de la dette : dernier sauveta  Chine : le cam libéral tente de faire entendre sa voix 4Les forces armées - Air - Marine - Terre - Gendarmerie :   à l’IHEDN uetGérard Lon  réunion du rou e à Rome e de contact sur la Lib  Guerre des mines : à bord de l’Orion 5Zones de conflits :  Polémique sur les auteurs de l’attentat de Marrakech   rie, deux nouvelles villes assié éesEn S   eance tués en Irak : ven d’Al-Qaïda ?21 oliciers  Indonésie : les terroristes n’ont pas dit leur dernier mot 
Resnegineemnts etm enaces:  
6  Rensei nement et er et formation dans la lutte antiterroriste : Al Washington main dans la main   : de l’autocratie à la bureaucratie autoritaireAl érie  Lib e our : un vivier de recrues rou les terroristes ? es 7Sécurité intérieure :  Marseille : Guéant annonce des renforts oliciers a rès la mort d’un jeune de 15 ans 8Énergie environnement climat :  la ville de demain sera connectée pour l’énergie, pas pour le reste.  Les Fran ais et la vo ue des « clean tech » américaines 9Géopolitique de la culture :  Mort de Ben Laden : est-ce la fin de l’histoire ? 10Géopolitique de l’information :  Pour les e et de SFR, la ré atrons d’Oran bride la ulation croissance , pas pour Free   data :O en en eux uels our la France ?   ortail data. ouv.fr, la FranceAvec la mission Etalab, et le ro et de est-elle entrée dans l’ère de l’Open-Data ?  Forrester : pourquoi le débat ‘siteLa tribune de Thomas Husson web’ contre ‘application’ mobile n’est pas pertinent  Julian Aussange (Wikileaks) : Facebook est une épouvantable machine à espionner  Révolution des ‘chips’ ? Intel insère la 3D dans les transistors  Total met de l’ordre dans ses courriels 11Jour après Jour :le 5 mai 12Revue de presse internationale en langue étrangère :  Army-to-navy Transfer of US JHSVs Finalized  GE, Rolls-Ro ce in 2012 ine To found F-35 Alt-En  Romania Us Conclude Talks on Missile Shield 13Titres d’articles publiés sur le site de la revue Défense de l’IHEDN :http://www.cybel.fr/html/Communaute/defense/forums/index.php  *****  Votre avis nous intéresse : si vous voulez réa ir à un article de la Revue de resse, vous pouvez contacter directement le responsable de thème ou réagir sur les forums de discussion de la Communauté deDéfense, en cliquant sur le lien :www.revue-defense-ihedn.fr (si vous n’y parvenez pas, recopie le lien dans votre moteur de recherche  1/ ENJEUX DE LA DEFENSE - DOCTRINE - CONCEPTS - MISSIONS   THEME 1 - 1:L’insider Turc Source, journal ou site Internet : L’Orient le Jour 
Date : 5 mai 2011 Auteur : Christian Merville Adressé par : Jean-François Mazaleyrat  Arrêtons un tem s de arler de « rintem s arabe ». Le Proche-Orient n'est as Pra ue - il s'en faut - , nous ne sommes plus en 1968 et Issam Charaf ne s'appelle pas Alexander Dubçek. Évoquons plutôt le spectre de cette « nouvelle guerre froide », comme l'appelle le Wall Street Journal, dont les grandes lignes se précisent et se font chaque jour plus inquiétantes. L'œil rivé sur les revendications des masses, l'observateur en vient à ne voir que les mouvements populaires et non pas le grand duel Iran-Arabie saoudite aux enjeux aussi énormes ue l'étaient ceux du conflit lanétaire a ant mar ué la ériode com rise entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et l'effondrement de l'Empire des glaces. Depuis l'avènement en 1979, sur l'autre rive du Golfe, de la révolution islamique, le royaume wahhabite a vu se mettre en place une toile d'araignée qui doit, il faut le dire, tout autant aux circonstances qu'à l'habileté d'un adversaire convaincu d'être l'héritier de l'empire de Cyrus II. De Bagdad à Sanaa, en passant par Beyrouth, Damas et Gaza, un axe s'est formé qui ermet à ses ins irateurs de rom re un isolement condamné à n'être en rien « s lendide », contrairement à celui du défunt Benjamin Disraeli. À la mi-mars, le minuscule royaume de Bahreïn, en proie à une inquiétante agitation de sa majorité chiite (près de 70 pour cent de la population), voyait déferler sur son territoire chars et soldats saoudiens - quelques centaines selon la version officielle mais en réalité plusieurs milliers. Depuis, l'ordre règne à Manama au prix, dit-on, d'arrestations en masse suivies d'actes de torture et de dis aritions inex li uées d'o osants. À Washin ton, on dai ne de tem s à autre es uisser un bien timide rappel de certaines règles humanitaires aussitôt noyé sous les flots de sévères condamnations des exactions en Syrie, en Libye, au Yémen. Le programme nucléaire iranien ? Momentanément oublié car, pour l'heure, la Maison-Blanche et le département d'État n'en ont que pour le grand méchant léopard perse, soupçonné de vouloir ne faire qu'une bouchée des moutons de la bergerie arabe. Or si l'avenir de la dynastie des al-Khalifa, ou encore les modestes 40 000 barils uotidiens roduits ar les uits du a s, n'intéressent ue modérément l'administration Obama, la présence dans les eaux bahreïnies de la Ve Flotte est vitale pour la mission de l'US Nav . Et l'Arabie saoudite trouve son com te, dont les sous-sol recèle le uart des réserves mondiales de brut. Si l'on ajoute à cela le fait que le cinquième du pétrole consommé dans le monde est acheminé à travers cette zone et qu'en l'état actuel des choses, l'effet domino est quasi garanti, on comprend combien pour l'avenir du monde est important le bras de fer actuel, comment les États-Unis, sous le fallacieux prétexte de l'avènement de la démocratie, s'y trouve aussi profondément impliqués et pourquoi ils soutiennent avec une telle ardeur leurs roté és saoudiens. Dimanche dernier, le énéral Hassan Firouzabadi, chef d'état-major de l'armée iranienne, a évoqué la menace de troubles intérieurs dans le royaume des Saoud en raison de l'intervention à Bahreïn, « un comportement anti-islamique », selon lui. Une publication proche d'Ahmadinejad parle de « bains de sang » à Manama et sur le Net, des blogueurs appellent à la création d'un Hezbollah local. Un tel état d'esprit fait qu'aujourd'hui, l'établissement de relations diplomatiques (1928), les visites du roi Fa al à Téhéran et du chah à Ri ad (1966) ne sont lus u'un lointain souvenir ue nul ne s'aventurerait à évoquer. Dans un tel contexte qui verrait la température de cette guerre froide monte dangereusement - ou, à tout le moins, tiédir quelque peu -, on comprend la diligence mise par Ankara à vouloir calmer le jeu. Par deux fois à la mi-mars le chef de la diplomatie turque, Ahmet Davutoglu, a pris contact avec ses homologues iranien, Ali Akbar Salehi, et saoudien, l'émir Saoud el-Fayçal, pour les appeler à la retenue. Le Premier ministre Rece Ta i Erdo an à son tour est monté au front (sans mauvais eu de mots) dans l'intention de prévenir tout ce qui serait susceptible de provoquer un embrasement régional. Ce n'est pas la première fois que la Turquie du Parti de la justice et du développement revendique un rôle de leader proche-oriental. Elle dispose pour cela de tous les atouts, ou presque : l'histoire, la géographie, l'économie, un islam bon teint, le poids militaire. Elle vient de rappeler à l'ordre le régime de Bachar el-Assad ; elle s'est a é le luxe de tourner le dos à cette Euro e ui rétendait re eter sa candidature ; elle est davantage qu'un simple contrepoids à l'envahissante République islamique et enfin sa connaissance des lieux fait d'elle un partenaire incontournable. Le vent du changement souffle sur le Proche-Orient. Il serait turc qu'il ne faudrait pas s'en étonner. Démocratique aussi, bien sûr.
 2/ RELATIONS INTERNATIONALES - EUROPE DE LA DEFENSE -  OTAN :  THEME 2 - 1:Forum algéro-Français : tout est prêt Source, journal ou site Internet : Le quotidien d’Oran Date : 5 mai 2011 Auteur : Ghania Oukazi Adressé par : Jean-François Mazaleyrat Jean-Pierre Raffarin et Pierre Lellouche, le ministre français du Commerce, sont attendus à Alger le 29 mai prochain en prévision du forum algéro-français qui se tiendra les 30 et 31 du même mois au chapiteau de l'hôtel Hilton d'Al er. Les deux res onsables fran ais rocéderont con ointement avec le ministre al érien de l'Industrie et de la Promotion de l'investissement (MIPI), et probablement avec celui du Commerce, à l'ouverture du forum algéro-français sur le partenariat pour lequel la liste des participants est déjà bouclée. Le directeur général d'Ubifrance Algérie en parle avec beaucoup d'enthousiasme puisqu'il a consacré ses journées et même ses nuits à sa préparation. Il affirme, en effet, que les organisateurs s'attentent à l'arrivée le 29 mai au soir de « Monsieur Al érie » fran ais our les affaires économi ues ainsi ue du ministre fran ais du Commerce et bien sûr du grand patron d'Ubifrance. Les organisateurs attendent en même temps des députés et des personnalités politiques françaises impliquées dans le dossier Algérie. Il y aura aussi l'arrivée des représentants des 140 entreprises françaises qui devront y participer aux côtés de ceux des 350 entreprises algériennes. La liste est close, nous avons terminé l'ensemble des enregistrements des artici ants, nous avons même refusé les retardataires arce ue nous estimons u'il ne reste lus beaucou de temps pour finaliser le tout », nous dit Alain Boutebel. Le DG Ubifrance Algérie estime ainsi que « c'est le bon nombre pour pouvoir réussir une meilleure mise en contact entre les entreprises algériennes et celles françaises ». Le coup de starter pour ce rendez-vous a été donné au lendemain de la visite de Raffarin en Algérie. Il a été procédé à la mise en place d'un comité de pilotage restreint où siégeaient avec Boutebel, un re résentant du ministère de l'Industrie, un autre du Commerce ainsi ue le directeur énéral Euro e du ministère des Affaires étrangères. « Nous avons arrêté ensemble les grandes lignes du forum », dit-il en précisant que « ce n'est pas un forum de vente - le mot en est banni - mais de partenariat pour les entreprises qui veulent s'impliquer dans des partenariats économiques en Algérie ». L'objectif étant pour notre interlocuteur très clair à savoir «permettre à l'Algérie de diminuer du volume des importations en essayant de l'aider our lui ermettre de roduire 5%, 4 ou même 2% des marchandises u'elle im orte.  4.000 rendez-vous prévus   Ce serait un sacré coup de fouet à la balance des paiements et une fragilité moindre pour les indicateurs macroéconomi ues.» «50% des 140 entre rises fran aises attendues sont s écialisées dans les infrastructures (construction, BTP…) et aussi dans les énergies renouvelables «pour lesquelles les Français ont une offre véritable qui a fait ses preuves», précise le responsable Ubifrance français en Algérie. 20% d'entre elles produisent des services divers et font dans l'engineering. Les 15% autres activent dans les TIC et les 5% restants sont spécialisées dans l'agro-industrie et le machinisme agricole «un créneau très important pou l'Al érie», estime-t-il encore. Il fait savoir en outre ue 55% des entre rises al ériennes artici antes activent dans la construction, le BTP et autres équipements. outebel note au passage que «c'est Ubifrance qui s'occupe de toute la préparation, du forum, de la logistique, du montage et du financement». La partie algérienne, elle, s'active à lister les contacts avec les partenaires algériens. «Le comité de pilotage a été élargi aux institutions comme la CACI, l'ANDI et autres la CAGEX ainsi qu'aux organisations patronales», affirme notre interlocuteur. Les lus rands efforts des or anisateurs ont été dé lo és our réussir les mises en contact entre les Algériens et les Français. «Nous aurons 4.000 rendez-vous et même plus à raison de 12 à 14 RD par entreprises», indique Boutebel. L'ensemble des contacts sont mis à partir d'aujourd'hui sur la toile et
peuvent être consultés sur Futur Allia. Pour lui, ce forum est «exceptionnel et unique parce que c'est pour la remière fois ue les entre rises euvent cibler et choisir elles-mêmes leurs vis-à-vis our discuter de partenariat, elles pourront le faire à partir de ce logiciel puisqu'elles ont tous les détails nécessaires pour ouvoir le faire». tablie dès au ourd'hui donc, cette connexion ermettra aux entre rises al ériennes et françaises de s'autochoisir entre elles sans intermédiaires, selon leurs activités, leurs besoins et leurs projets. « Elles vont pouvoir faire du shopping toutes seules, c'est ça l'originalité ! », s'exclame Boutebel avec un sourire. Il ense - il l'a constaté sur le terrain - ue les Al ériens sont demandeurs de maintenance industrielle et de sous-traitance. Pour cela, dit-il, « on doit encourager l'implantation d'entreprises locomotives en Al érie».   L'oreille attentive des Français   En plus, il estime que les chiffres des échanges entre les deux pays méritent bien qu'on s'y attarde pour en déduire l'essentiel. «Les 5,5 milliards d'euros d'ex ortations fran aises vers l'Al érie sont l'œuvre de PME, on voit bien qu'elles travaillent ensemble parce qu'il y a des traditions, la langue qui facilite les choses et il y a une histoire commune», souligne le DG Ubifrance Algérie. Mieux, selon lui, «la France détient 15,3% des arts du marché al érien, elle reste tou ours en tête de liste suivie de la Chine ui est à eine à 11%, l'Italie et l'Espagne viennent bien après». Autre élément de satisfaction à ses yeux, «Ubifrance accompagne 700 à 800 entre rises fran aises ar an our artici er à des salons ou des ex ositions en Al érie et nous or anisons près de 24 opérations de rencontres par an». Alain Boutebel veut alors que «ce forum renforce ce lien et devienne un véritable trait d'union entre les PME des deux pays en vue, dit-il, «de créer la confiance pour des relations érennes ». Pour lui, l'en ouement our artici er à ce rendez-vous, d'un côté comme d'un autre, a été largement exprimé. Quand M. Benmeradi a fait son discours à Paris, il a été écouté par 250 « entre rises fran aises, c'est vous dire ue les Fran ais rêtent une oreille attentive à l'économie al érienne », dit-il. Et, affirme-t-il, « ce ne sont pas les 51/49% qui les empêchent d'investir, ils ne les craignent nullement, cette loi existe dans bien d'autres pays à travers le monde, mais les entreprises françaises souhaitent avoir un cadre uridi ue stable ». l est révu durant le forum une table ronde sur les o ortunités et ro ets d'investissement qu'animera le DG de l'ANDI et trois ateliers répartis sur les deux jours. Le premier, dans l'a rès-midi du 30 mai, abordera les artenariats ublics et rivés soutenu ar des témoi na es d'entre rises algériennes et françaises qui, dit Boutebel, « ont réussi leur partenariat en Algérie (eau, transport, ciment, assurances…)», et suivi par des entretiens avec des experts. Commencent alors les contacts entre Algériens et Français ui ont été ré ro rammés sur inscri tion via le lo iciel Futur Allia. Le deuxième atelier traitera de la formation et du transfert de savoir-faire et le 3ème sur les innovations en Algérie. Les débats qui en suivront ermettront aux artici ants de oser leurs uestions. «J'es ère avoir toutes les ré onses aux questions posées par la salle. J'espère que la Banque d'Algérie sera présente pour informer les entreprises su la réglementation en matière de contrôle des changes, les douanes pour expliquer les procédures d'accès des marchandises aux orts et la DGI our ce ui concerne les im ôts et les taxes». a clôture du forum se fera le 31 mai dans l'après-midi en présence en principe du MIPI, Mohamed Benmeradi, et de Jean-Pierre Raffarin. Mais la veille, Ubifrance or anisera un dîner ala our lus de 800 personnes sous le chapiteau du Hilton.  THEME 2 - 2:Ankara appelle El Gueddafi à quitter le ouvoir l’autre bataille erdue our Tri oli Source, journal ou site Internet : El Watan Date : 5 mai 2011 Auteur : Fa al Métaoui Adressé par : Jean-François Mazaleyrat
 Le dictateur de Tripoli ne peut plus compter sur «une caution islamique» à sa prétendue lutte contre l’opposition diabolisée à outrance.
La Tur uie, seul a s islami ue membre de l’Or anisation transatlanti ue nord (OTAN), a chan é complètement sa position par rapport au colonel Mouammar El Gueddafi, au pouvoir depuis 42 ans. Mardi soir, Rece Ta i Erdo an, Premier ministre turc, a ouvertement demandé, devant la resse, au diri eant libyen de partir : «Nous souhaitons que le leader libyen quitte la Libye et cède le pouvoir immédiatement, pour lui et l’avenir de son pays, afin de ne plus provoquer davantage d’effusion de sang, de larmes et de destruction.» Il si nait ainsi un tournant di lomati ue. rès lusieurs tentatives d’ouvrir des né ociations entre le régime de Tripoli et le Conseil national de transition (CNT, opposition), Ankara a compris u’El Gueddafi ne voulait rien savoir et u’il était rêt à embraser l’ensemble du a s our conserver son «trône». «Nos initiatives n’ont malheureusement pas été prises en compte par l’administration de Tripoli. El Gueddafi, au lieu d’écouter nos conseils en faveur d’un arrêt de l’effusion de sang, a choisi l’oppression, l souffrance et les atta ues contre son ro re eu le», a reconnu M. Erdo an. es eunes révoltés du 17 Févrie exigent le départ d’El Gueddafi et de sa famille avant toute solution à la crise qui va bientôt entrer dans son troisième mois. Les milices du chef de Tri oli continuent de bombarder, avec des ro uettes Grad, les villes de Misrata et de Zenten sans faire de différence entre civils et révoltés. D’autres villes, telle Ras Lanouf, sont livrées à un véritable embargo. Les milices d’El Gueddafi n’ont pas hésité à lancer des roquettes sur le territoire tunisien our tenter de récu érer un oste-frontière, du côté de Dehiba. Cha ue our, ce oste reçoit, selon les agences de presse, des milliers de civils fuyant la guerre en Libye (il est tout de même curieux ue les frontières al ériennes ne re oivent as autant de monde ue celles de la Tunisie). ’a rès l’agence AFP, près de 42 600 personnes ont passé la frontière ces quatre dernières semaines dans le Grand Sud tunisien. vec le ralliement de la Turquie, qui semble abandonner temporairement la défense de ses intérêts économi ues straté i ues en Lib e aux a s ui demandent au chef de Tri oli de artir our épargner à son pays un enlisement violent, El Gueddafi et ses fidèles perdent «un allié» de taille. La voix d’Ankara est écoutée à l’OTAN, à l’Union euro éenne, à l’Or anisation our sécurité et la coo ération en Europe (OSCE, à l’ONU et à la Ligue arabe. Le régime s’est donc renfermé sur lui-même. L’opposition v pouvoir avoir un soutien logistique et opérationnel plus important étant donné qu’Ankara était le principal obstacle à l’armement des rebelles. La Tur uie sera résente, au ourd’hui à Rome, lors de la réunion du groupe de contact sur la Libye. Elle sera représentée par son ministre des Affaires étrangères, Ahmet Davuto lu. ussi, est-il aisé de enser ue Mouammar El Gueddafi n’a, sur le lan di lomati ue et oliti ue, aucun soutien extérieur qui puisse contrer «le consensus» international contre son régime. Mettre en avant le prétendu risque Al Qaîda dans la zone sahélo-saharienne, discours relayé à Alger et à Bamako, ne servira à rien surtout a rès la neutralisation d’Oussama Ben Laden, tel u’annoncé à Washin ton. rès le el, ar la Suisse, de ses avoirs, El Gueddafi devra faire face aux accusations de la Cour pénale internationale (CPI) our «crimes contre l’humanité». Luis Moreno-Ocam o, rocureur de la CPI, a annoncé, hier à New York, devant le Conseil de sécurité de l’ONU, qu’il va demander trois mandats d’arrêt, dont un contre le dirigeant libyen. «Les preuves collectées sont suffisantes pour penser que des attaques étendues et systématiques contre la o ulation civile ont été et continuent d’être commises en Lib e, com ris les meurtres et les persécutions qui sont des crimes contre l’humanité», a estimé Luis Moreno-Ocampo, repris par les agences de presse.
 THEME 2 - 3:Tel Aviv embarrassé par la mort de Ben Laden Source, journal ou site Internet : Yediot Aharonot (Courrier international) Date : 5 mai 2011 Auteur : Eytan Gilboa Adressé par : Jean-François Mazaleyrat 
Obama, auréolé de son succès, est en position de force pour exiger de l’Etat hébreu plus de concessions.
Dans la "situation room", le président et son équipe ont suivi le déroulement de l'opération qui a conduit l'élimination d'Oussama Ben Laden - Crédit : Pete Souza United States Government Work Oussama Ben Laden était l’homme le plus haï des Américains, le mal incarné dans toute sa splendeur. Le traumatisme qu’il a causé a déclenché une guerre en Afghanistan qui est toujours en cours et une autre en Irak qui n’est pas davantage près de se terminer. Il ne fait aucun doute que sa liquidation est un succès pour les Etats-Unis et pour Obama. La liquidation de Ben Laden envoie aux groupes extrémistes qui s’en inspirent un message aussi cin lant ue celui énéralement délivré ar Israël en areilles circonstances : même si cela doit nous prendre du temps, nous avons le bras long et nous finissons toujours par vous rattraper. Durant les trois premières années du mandat d’Obama, les Etats-Unis avaient perdu beaucoup de leur superbe au Moyen-Orient. Jusqu’ici, Obama n’avait réussi à atteindre aucun des objectifs ambitieux qu’il avait lui-même placés en tête de ses priorités. Pour ses ennemis comme pour ses amis, il passait pour un dirigeant faible et inex érimenté ui ne savait tro où il menait les Etats-Unis. Ces doutes n’avaient fait ue se renforcer ces derniers mois, alors que sa diplomatie multipliait les décisions contradictoires envers les révoltes qui touchent les Etats arabes. La liquidation de Ben Laden lui donne maintenant l’opportunité de restaurer le statut des Etats-Unis et de mettre à profit ce retour à une position de leadership. Encore faut-il qu’il démontre sa capacité à saisir cette opportunité. Dans son discours le 2 mai, Obama a réitéré la distinction entre, d’une art, l’islam violent et extrémiste re résenté ar Ben Laden et ui doit être combattu ar la force, et, d’autre part, l’islam modéré, avec lequel il entend coopérer. Cette distinction, il l’avait déjà soulignée au début de son mandat, lors des discours du Caire et d’Ankara. Jusqu’à présent, cette stratégie n’a pas été payante. Les sondages d’opinion réalisés dans le monde arabe témoignent au contraire d’une large et profonde hostilité envers les Etats-Unis. Il n’est pas sûr que la liquidation de Ben Laden et la distinction d’Obama entre islam extrémiste et islam modéré arviennent à susciter la coo ération à la uelle il as ire. Il est même robable que l’hostilité antiaméricaine au Moyen-Orient ira s’aggravant. Obama risque également de croire qu’il est désormais davantage en mesure d’exercer des pressions sur plusieurs acteurs du Moyen-Orient qui, jusqu’à présent, boudaient ou sabordaient les initiatives de Washington. C’est ainsi qu’Obama risque de faire pression pour qu’Israël reprenne les négociations avec les Palestiniens. Lors de son prochain voyage à Washin ton, le Premier ministre Ben amin Nétan ahou ris ue donc fort de se retrouver face à un résident américain beaucoup moins accommodant. Bref, la liquidation de Ben Laden risque d’avoir des conséquences cruciales pour le Moyen-Orient et tout particulièrement pour Israël.
 3/ ARMEMENTS - INDUSTRIES - ECONOMIE   THEME 3 - 1 :Crise de la dette : dernier sauveta avant e travaux Source, journal ou site Internet : Der Standard (Presseurop) Date : 5 mai 2011 Auteur : Andras Szigetvar Adressé par : Jean-François Mazaleyrat
Vlahovic 
Si l'Europe ne réorganise pas de fonds en comble l'union monétaire, le Portugal aura été le dernier pays européen à pouvoir bénéficier d'un plan d'aide, estime Der Standard. En règle générale, les syndicats communistes, les défilés où l’on brandit des portraits de Che Guevara et les slogans socialistes ne sont pas associés à la droite. Au Portu al, c’est ourtant le cas, ces ours-ci. Quand on les interro e sur les causes des déboires financiers du Portugal, les camarades lisboètes de la confédération syndicale ouvrière CGTP et les députés conservateurs livrent la même réponse : c’est l’euro qui est la cause de tous nos maux. Avan l’introduction de la monnaie unique, en 2002, le pays pouvait surmonter ses mauvaises passes financières en dévaluant son escudo. La dévaluation permettait d’abaisser le prix d’une partie du service de la dette et d’améliorer la compétitivité du pays à l’international en proposant sur le marché des produits à prix réduits.
Des fados dédiés à l'escudo
Cette é o ue est révolue, et la situation du Portu al soulève enfin la uestion cruciale : une monnaie uni ue peut-elle fonctionner dans une communauté aussi hétérogène sur le plan économique ? En Grèce, on a affirmé que les manipulations budgétaires avaient été responsables de la débâcle. En Irlande, les banques sont ointées du doi t. Au Portu al, aucun de ces faux-fu ants n’a été mis en avant. Les cito ens, l’Etat et les banques se sont trop endettés par rapport à leurs performances économiques. Depuis dix ans, le pays n’ uère enre istré de croissance. L’euro a a orté des taux d’intérêt bas, ce ui a conduit à l’ex ansion du crédit, et à un plan de sauvetage aujourd’hui. Vu sous cet angle, les Portugais vont encore dédier de nombreux fados à leur cher escudo. Les élites politiques, toutefois, se cramponnent encore à l’euro. Le roblème de fond réside dans les désé uilibres économi ues et sociaux. Les a s riches industrialisés comme l’Allemagne ou l’Autriche se retrouvent en situation de concurrence avec des pays qui exportent peu comme le Portu al et la Grèce, dans les mêmes conditions de marché. Jus u’à résent, cela ne s’est as bien passé. Si on veut que cela change, il faut changer d'approche.
Un pacte trop évasif et unilatéral
Tout d’abord, les ro rammes d’austérité im osés ar l’Union euro éenne et le Fonds monétaire international doivent être remaniés. Les mesures mises en œuvre en Grèce et en Irlande n’ont fait qu’élargir les fossés, faisant lon er les deux a s dans la récession là où ils auraient eu besoin de croissance. Au Portugal, un premier redressement a eu lieu, grâce à des conditions plus clémentes. Toutefois, le pays ne pourra pas faire l’économie de coupes budgétaires et d'une pression fiscale accrue. Une récession se profile à l’horizon. Mais les mesures à court terme ne suffiront pas. Pour l’instant, la politique de la Banque centrale européenne (BCE) s’est résumée – conformément à sa mission – au contrôle de l’inflation. Les effets en ont été limités. Seul un défaut de surveillance a ermis l’ex losion du crédit ui a été fatale à l’Es a ne et au Portugal. Des propositions comme celles de l’économiste américain Roman Frydman, qui réclame une ingérence plus ferme de la BCE pour freiner les octrois de crédits en période d’expansion, ont été jusqu’à présent écartées. Certes, ces questions seront traitées dans le cadre du nouveau pacte de compétitivité de l’UE. Mais ledit pacte est trop évasif et unilatéral. Il pénalise les Etats très déficitaires tout en poussant les a s affichant des excédents à l’ex ortation, comme l’Allema ne, à faire mieux – en stimulant leur demande intérieure, par exemple. La bonne nouvelle est que les idées de bon sens ne manquent pas. La mauvaise est que l’Europe semble suivre actuellement une toute autre orientation, comme le montre le succès électoral des
“Vrais Finlandais”.
 THEME 3 - 2 : libéralChine : le cam tente de faire entendre sa voix Source, journal ou site Internet : Le Temps Date : 5 mai 2011 Auteur : Brice Pedroletti Adressé par : Jean-François Mazaleyrat
Le ré ime de Pékin est en désarroi, estime le rofesseur de droit He Weifan . D’où le retour des méthodes répressives d’un autre âge Dans le climat de répression accrue et de reprise en main politique qui règne en Chine, faire entendre sa voix d’intellectuel libéral est une gageure. He Weifang, professeur de droit à l’Université de Pékin, en sait quelque chose: quand il a tenté de faire paraître un papier d’opinion sur les dérives de l’exercice de la justice dans la ville de Chongqing (sud-ouest), où une «campagne rouge» bat son lein, les trois titres les lus ouverts de la resse chinoise se sont vu refuser l’autorisation de le faire. Seul un quotidien de Shanghai a osé. «Vous comprenez, Bo Xilai [chef du Parti de Chongqing] peut faire chanter des chansons rouges et dire que c’est socialiste, mais les libéraux peuvent difficilement exprimer ouvertement leurs critiques. Sinon, ils sont épinglés comme faisant le jeu de l’Occident et comme ennemis de la Chine», nous explique-t-il. La pirouette idéologique qui a permis de lancer les réformes économiques en Chine communiste il a trente ans – «Ce u’on ne eut as dire, on eut le faire. Ce u’on eut faire, on ne eut pas le dire», avait lancé Deng Xiaoping – devient un exercice périlleux dans les périodes de tension, comme aujourd’hui, où la Chine craint une contagion des révoltes arabes.
Hystérie sécuritaire
Jeudi 28 avril, le camp libéral, une nébuleuse intellectuelle et sociologique davantage que politique, pourtant tenté de donner de la voix. Sous la forme d’un article d’opinion cinglant publié par le très officiel Quotidien du peuple. Une citation attribuée à Voltaire – «Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais e me battrai us u’à la mort our ue vous a ez le droit de le dire» – ouvre la danse. Une «forme d’ouverture et surtout de confiance», continue l’auteur, alors que «les insultes et les batailles rangées» sont un «signe de faiblesse et d’étroitesse d’esprit». La Chine est à «un tournant historique», où «la diversité est le secret de la prospérité». L’éditorialiste fustige ceux qui, face à la critique, «utilisent leur pouvoir pour faire taire ceux qui ont une voix distincte». Cette apologie de la tolérance est une attaque ouverte contre l’hystérie sécuritaire ui a conduit ces dernières semaines à des dizaines d’arrestation d’avocats, mais aussi de l’artiste Ai Weiwei, toujours au secret. Le même jour, le premier ministre Wen Jiabao, le seul des hauts dirigeants chinois à encourager une réforme politique du régime, réitérait lors d’une rencontre avec la presse chinoise à Kuala Lumpur (Malaisie), où il était en visite officielle, l’obligation pour la Chine «de faire avancer les réformes politiques, économiques et judiciaires». La chose «la plus importante pour le développement futu de la Chine», a-t-il insisté, est de « romouvoir une manière de ensée indé endante et la créativité». Ses propos n’ont pas été repris par la presse chinoise, et sont surtout le signe, juge le politologue Joseph Cheng, de la City University de Hongkong, de la «frustration» d’un homme d’Etat qui, même en tant que premier ministre, n’a pu initier les réformes politiques malgré des appels répétés en ce sens. Selon Joseph Cheng, cité par le South China Morning Post de Hongkong, Wen Jiabao multiplie ce genre de messages, car il n’aura plus voix au chapitre après son départ à la retraite en 2012.
Aristocratie rouge-brune
S’il n’y a pas de fracture au sein des instances dirigeantes du Parti, comme il y en eut en 1989, au momen des événements de Tiananmen, la remise au goût du jour du maoïsme et de méthodes répressives
anachroniques est très mal ressentie par les milieux les plus libéraux de la société et du Parti. Le durcissement est attribué à une artie de l’élite au ouvoir, une sorte d’aristocratie rou e-brune ui défend bec et ongles ses prébendes. Le pouvoir et l’argent à sa disposition lui ont permis de soumettre, ou de coo ter, un rand nombre d’alliés. La ré ression dont font les frais les avocats et les voix dissidentes traduit une crise plus profonde: un désarroi du régime face aux aspirations de moralité, de justice et de spiritualité de la population, estime He Weifang. «Tout le monde se rend compte qu’il faut un système judiciaire juste, estime-t-il. Mais la ca acité des avocats à révéler les d sfonctionnements du s stème à l’o inion ubli ue, et à s’appuyer sur la loi pour défendre des victimes, a poussé le gouvernement à réagir. La haute direction du a s les considère comme des fauteurs de troubles, comme une source de roblèmes et de dan ers. La construction du système judiciaire est donc tout à coup passée au second plan.» He Weifang est un lecteur assidu d’Alexis de Tocqueville, en particulier de L’Ancien Régime et la Révolution. On y comprend, ex li ue-t-il, comment la monarchie française a raté le tournant, ris en An leterre avec l’habeas cor us, ui a consenti plus d’espace à la défense des droits et aux avocats. Une lecture, qu’il conseille, dit-il aux… dirigeants chinois.  4/ LES FORCES ARMEES - Air - Marine - Terre - Gendarmerie   THEME 4 - 1: uet à l’IHEDNGérard Lon Source, ournal ou site Internet : defense. ouv.fr Date : 5 mai 2011 Auteur : Eléonore Krempff Adressé par : André Dulou Les auditeurs de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) accueillent le ministre de la Défense et des anciens combattants, Gérard Longuet le 6 mai.
Gérard Longuet, Ministre de la Défense et des anciens combattants se rend ce vendredi 6 mai à l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), sur l’invitation du vice-amiral d’escadre Richard Laborde, directeur de l’établissement. Le Ministre s’exprimera devant les auditeurs des deux sessions nationales de l’ IHEDN réunies pour l’occasion. Depuis cette année en effet les sessions se déclinent en deux branches : « oliti ue de défense » et « armement et économie de défense ». Le thème d’étude our l’année 2010-2011 est « La France, l’Union européenne, leurs alliés et partenaires face aux défis de l’arc de crise ». L’IHEDN réunit des responsables de haut niveau et a pour vocation de les former aux questions de défense au-delà du seul cadre militaire, et de renforcer le lien armée-nation.  THEME 4 - 2: à e de contact sur la Lib e rouréunion du Rome Source, journal ou site Internet : defense.gouv.fr Date : 5 mai 2011 Auteur : Linda Verhaeghe
Adressé par : André Dulou La seconde réunion du rou e de contact sur la Lib e se tient à Rome. Au cœur des discussions, les modalités du soutien au Conseil national de transition libyen.
Le groupe de contact sur la Libye se réunit pour la seconde fois, à Rome (Italie), sous la double présidence de Franco Frattini, ministre Italien des Affaires étrangères et du Cheikh Hamad Bin Jassim Bin Al-Thani, Premier ministre et ministre Qatari des Affaires étrangères, jeudi 5 mai 2011. L’objectif de cette nouvelle rencontre est de trouver une solution face à l’enlisement ui menace le conflit, ainsi u’au ris ue d’aggravation de la crise humanitaire qui sévit dans ce pays. Les discussions devraient aborder la question du financement des opposants libyens, à travers la commercialisation sur le marché international du pétrole sous leur contrôle, provenant de l’est du pays. Les membres du groupe de contact devraient également discuter de la question de l’éventuelle fourniture d’armes aux opposants libyens. Le groupe de contact sur la Libye a été mis en lace à Londres, en mars 2011, et s’est réuni our la remière fois à Doha (Qatar), le 27 avril 2011. Ce groupe pilote politiquement les opérations menées par l’OTAN. Ce groupe comprend aussi bien des pays occidentaux, tels que la France, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et l’Italie, que des pays Arabes, à l’instar du Qatar, des Emirats-Arabes-Unis et du Liban, que des organisations internationales, comme les Nations-Unies, la Ligue Arabe, l’ Otan, ou encore l’Union européenne.  THEME 4 - 3:Guerre des mines : à bord de l’Orion Source, journal ou site Internet : defense.gouv.fr Date : 4 mai 2011 Auteur : Sté hane Du ast Adressé par : André Dulou Parmi les nombreuses missions menées ar la Marine nationale, la chasse aux mines est tou ours d’actualité. Détecter les mines posées sur le fond, les repérer une à une, puis les classifier avant, éventuellement, de les détruire selon leur dangerosité, telles sont les missions assignées aux marins spécialistes de la chasse aux mines. Représentant une grave menace pour les forces maritimes et le trafic commercial sur les océans, les mines ont été employées de manière intensive au cours des deux derniers conflits mondiaux. Depuis, elles ont é alement été utilisées endant les uerres de Corée et du Viêtnam et au cours des conflits du Mo en-Orient. Pourvus de sonars spéciaux à haute définition, de coque, remorqués ou propulsés et naviguant sur l'avant, ce sont les Chasseurs de Mines Tripartites (CMT) qui mènent la chasse aux mines. Fournissant une image du fond de la mer, les CMT sont aidés dans leurs tâches par des engins sous-marins télécommandés e autopropulsés. Désignés dans la Marine nationale par l’acronyme PAP, signifiant « Poisson Auto Propulsé », ces en ins modernes sont munis de caméras ermettant une identification lus récise des ob ets détectés et la dépose éventuelle à proximité d’une charge explosive pour détruire l’objet considéré dangereux. Lorsque les eaux sont troubles ou que les conditions l’exigent, il est fait appel à des marins aguerris, les plongeurs-démineurs, procédant eux-mêmes à l'identification et à la pose d’explosifs pour la destruction (« pétardement » selon le terme consacré) de la mine. Reportage au cœur de la « guerre des mines ». par le ca itaine de corvette Louis Tellier, commandant du CMT Orion et la hoto ra he re orter Marie Babe , embarquée à l’occasion d’une mission « sous haute tension ».
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