scanner anti-virus - ClamTk
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scanner anti-virus - ClamTk

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Langue Français

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linuxfresh
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Fiche technique
40
Linux+ 8/2005
ClamTk
– scanner anti-virus
L
a première idée qui nous vient
en tête après avoir entendu les
mots « scanner anti-virus pour
Linux » est – « pourquoi faire ?
Linux n'est pratiquement pas vulnérable
aux virus »... C'est vrai, mais souvent
Linux est utilisé comme serveur de fi-
chiers ou de messagerie pour des clients
fonctionnant sous Windows. Il peut aussi
coexister avec le système de Redmond sur
le même ordinateur. Et dans ce cas, un pro-
gramme anti-virus peut s'avérer fort utile.
À l’origine, le programme
ClamAV
a été
prévu pour scanner le courrier passant par
le serveur de messagerie à la recherche des
virus et des vers Internet, mais il peut être
également utilisé pour scanner des fichiers
spécifiques ou des répertoires entiers sur le
disque dur (y compris le contenu des archi-
ves). Quant à ses avantages, on peut énu-
mérer le code ouvert, la gratuité et le temps
de réaction très court en cas d'apparition de
nouveaux virus (grâce à la collaboration de
plusieurs utilisateurs). Vu que la ligne de
Jean-Pierre Féval
commande n'est pas toujours commode
pour tous les utilisateurs, il existe quelques
interfaces graphiques, comme par exemple
ClamTk
. Cette interfaceconvient parfaite-
ment aussi bien à la mise à jour de la base
de virus (et plus précisément, leurs signa-
tures) qu'au scanning du disque dur.
Avec
Aurox
et des distributions de
même type, l'installation ne pose pas de
problèmes, bien qu'il faille satisfaire à cer-
taines dépendances. Outre le paquet
RPM
créé par l'auteur, la version est disponible
dans le référentiel
DAG
. Bien sûr, il est
nécessaire d'installer aussi le programme
ClamAV
en tant que tel (les paquets
clamav
et
clamav-db
). Ils sont à télécharger à partir
du référentiel
DAG
, de même que d'autres
paquets
indispensables :
perl-File-Find-
Rule
,
perl-Number-Compare
,
perl-Text-Glob
et
perl-Gtk2
. Ce dernier paquet est fourni
avec
Aurox
, mais il est préférable d'en
installer une version plus récente. À partir
de ce même référentiel, il est possible de
télécharger les paquets
Rar
ou
Unrar
, ce
qui permettra au scanneur d'analyser le
contenu des archives
RAR
.
L'interface
ClamTk
peut être démarrée
après la sélection de l'option appropriée du
menu ou en tapant la commande
clamtk
.
Si une erreur «
:locale_h » is not exported by
the POSIX module
se produit, le plus simple
est d'éditer le fichier
/usr/bin/clamtk
et d'y
retrouver la onzième ligne contenant le
texte :
use POSIX qw/strftime locale_h/;
Il suffit de changer de place des mots
strf-
time
et
locale_h
, pour que le programme
démarre correctement. La ligne se présen-
tera alors ainsi :
use POSIX qw/locale_h strftime/;
Au début, il est conseillé de mettre à jour la
base de signatures. Pour cela, il faut lancer
ClamTk
avec les droits root. Dans le menu
Help
l'option
Signature Date
permet de véri-
fier quelle est la date de la base de signa-
tures installée. À l'aide de l'option
Update
Signatures
, elle peut être mise à jour.
Pour le fonctionnement normal, les
droits d’un utilisateur ordinaire sont suf-
fisants. Il est important d'avoir les droits
sur les fichiers scannés. Au début, il est
recommandé de vérifier comment réagira
le programme après avoir trouvé un fichier
infecté. Par défaut, il ne fait rien, hormis
l'affichage des informations dans la fenêtre
principale du programme. Mais on peut
changer cela dans le menu
Take This Action
.
On peut, par exemple, isoler le fichier
(
Quarantine
) ou le supprimer (
Delete
). La
dernière option doit être employée avec
précaution car le programme n'est pas
infaillible et peut se tromper.
Il est possible d'enregistrer les infor-
mations sur les scannings effectués. Mal-
heureusement, seule la date de scanning, le
nombre de signatures et de fichiers scannés
Figure 1.
Le scanning d'un grand nombre de fichiers peut prendre un peu de temps
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