Vie et mort du terroriste le plus recherché au monde
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MMAÉTRÉDOI3DMALAIG2E0R11:HORAIRES DES PRIÈRES 11°C/ 22°C Dans la journée : VLeégntèràep2l1uiekm/hAssar : 16h32 Humidité: 76 %Maghreb : 19h41 Dans la nuit :Ichâ : 21h09 Averses au débutMercredi 4 mai 2011 Vent à13 km/h Humidité: 91 %LINFORMATION AU QUOTIDIENFedjr : 04h13 IN : algerie.meteosun 05h51Chourouk : BEN LADENMPOeNDdANTlÀcL'iI NVàIT ATWIONaDsE HhILiLAnRYgCLtINoTOnN Vie et mort du terroriste'inevitation de son homologue, Hill le plus recherché au mondeocïunceeAeamériccapitalnicediaenqiuhiéereaamntnadalsivetisamodel-nnonreorfetuhctrdlecaudrdsaha,a'lceva,reirdnlagltaeineen-éirurad,MoelciMedtnilCyracel,noldefheompldiaa,e'dirtsaudïlAQOussama Ben Laden. La visite intervient sur Le terroriste le plus recherché fond de renforcement de la lutte antiterroriste cdeur le développement de la coopération au rmo o1n ddee, slÉetnanemi publimais permettra aussi d'aborder en profon-numé ts-Unis dontbilatérale dans tous les domaines, à un moment clé de la sous-région maghrébine. Il est évident et patent qu'outre les relations, au était mise à prix pussi et surtout, question la tète ourderuemtnaecxenells,tentelrelg'AréeietelÉsatst-Unis,ilseraa des centaines de millions dela guerre qui sévit en Libyede la situation de dollars à été froidementaux frontières de l'Algérie. Mais aussi des révoltes et soulèvements que connaît le abattu dans un faubourgmonde arabe. Le chef de la diplomatie algé-rienne ne manquera pas d'expliquer la posi-tion de l'Algérie, pas toujours bien comprise, dIslamabad au Pakistan, parvis à vis de la guerre en Libye. La situation un commando US. Sa mortdans le Sahel où l'activité d'Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) ne cesse d'inquié-ter après l'approvisionnement d'Aqmi en été annonpcaér el ee np rgérsaidndearmes de guerre libyennes sera aussi abor-pompe entdée .Il existe de nombreux points de conver-gence entre l'Algérie et les États-Unis sur la américain Barack Obama,lutte antiterroriste, comme de ne faire aucune concession au terrorisme international, qui compte bien en tirer desnotamment le paiement de rançon aux terro-ristes. Il faut, par ailleurs, noter que les rela-tions bilatérales entre Alger et Washington se bénéfices pour sa campagnesont nettement renforcées faisant de l'Algérie un a électorale qui démarre sousptrnecniotnoanrupelbreaitrségatueiqnU-statÉselruoégrneunsda,isseùoloin de bons hospices.s.aitsnaapiktesesrcceserviessredtnereocSvolsequesiéticlavettlulIressesbuisedpsarlintermédiaiediaedCal,AIiquitfaratitnsUSA entendent jouer un rôle majeur. Mme Clinton et M. Medelci feront le tour de la é à Riyad en Arabie Saoudite en rad t la ris 1957,Oussama Ben Laden étu-voiir caàu x,Kjaubsoteu l avpaanr les ptalibe adnsu. pBoeu-ntfioerntsn e,deu nl a grGoaupmea fao nald-éI slpaamr iyleysa  Férgèyrpe-slntresioégdnsuquestirouponeuiqcedsedtseppolevésgéomenttiqupolieucseqsîesnoan die le génie civil et le commerce Laden y met en place des camps d’en- musulmans, avant de rencontrerMaghreb et du Moyen-Orient et devront exa-à la prestigieuse université King Abdul traînement terroristes qui attirent des Oussama Ben Laden en Afghanistan, etaretèisnieérlmnire'élttasdelarenoitibsétalelarsqui,selon Aziz de Djeddah, au sein de laquelle il se milliers d’hommes venus du monde de cofonder avec lui Al-Qaïda. Sa têtegiaffAsedartéseres,ngèrconnont«erunuec-fnrouncmouminuqéudmni lie dès 1973 à des groupes islamistes. musulman et planifie une série d’at- demeure mise à prix pour 25 millions dement substantiel» au cours des dernières Ses amis de l’époque décrivent un jeune taques meurtrières qui l’élèvent au rang dollars. Au sein d’al-Qaïda, les «prin-années, précisant que le chef de la diploma-homme pieux, réservé, assidu dans d’ennemi public numéro 1 aux États- cipaux changements dans le contrôletie algérienne «mènera avec ses interlocu-l’étude des textes principaux du wahha- Unis. opérationnel et la direction sont déjà-norofltatonsuappionsteunaselcdaerdu'rsaméricains,dgéreilud,rcsedinogaldeuenuve bisme. Le parcours de Ben Laden Ses attentats les plus spectaculaires, intervenus», selon les experts de la luttedies sur les questions politiques internatio-semble tout tracé : intégrer le groupe avant ceux du 11-septembre 2001, ont anti-terroriste et le rôle de Ben Ladennales et régionales (situations au Maghreb, familial et ses multiples filiaux. Mais, lieu en août 1998, lorsque des véhicules était davantage un symbole idéologiquetecolutque,Afrienilstocfntn,êmmLe.)»....mesirorretelertne-chieOrl,heroi-PaS après l’invasion de l’Afghanistan par les piégés frappent simultanément les que l’instigateur d’opérations. D’autanttraditel'exuitneececllunmmcoeajéquC«:etuosivette troupes de Moscou en 1979, il répond ambassades américaines en Tanzanie et que la nébuleuse terroriste s’est étoilé endes relations entre les deux pays» et souligne à lappel du djihad.Avec la bénédictionamue nKt ednuy a W(o2r2l4d  mTroardtse).Après lleefsf oÉndres--dqiuffeénrte,nntso tagrmomuepnets  au qYuéi msene n( Arqepvae n- dail--qu'elle«itnreivnetadsnleersedioéssrcessablspononsedegallisetesivisseeubrm-des autorités saoudiennes, il entreprend Center, tatd’organiser le soutien logistique aux Unis lancent une vaste traque pour Qaïda ) dans le Sahel (Aqmi - al-Qaïdapolitiques, parlementaires et du monde des moudjahidines afghans. Il sillonne la retrouver le chef d’al-Qaïda. Ils offrent au Maghreb islamique), voire enriseqiufaaftantdesontautroppaérnfcorruxaeraptrtnépuogaeéesdsignvolo'une péninsule arabique pour y lever les fonds 25 millions de dollars, plus tard 50, Indonésie sont en réalité des entitésalgéro-américains une dimension plus ambis et sinstalle à Peshawar,base arrière aupour toute information permettant saaetu tnonoobémisess eqntu iq uonàt  lleeuurrs  ppropre lohgeifque'dsevnisitsemesie-teustenmeeri-olpnsoissucsidsedegmar.Enats»nari-reteaptedtns Pakistan de laguérilla antisoviétique,capture.Ben Laden,qui échappe finCependantla mort der oBpreens  cLades.n,tiques, sera également abordée, indique-t-on où il rencontre celui qui deviendra son 2001 à l’intervention des troupes améri- , mentor,lePalestinien Abdullahcaines enAfghanistan,est localisé pourreste un sty mdbeso ler éevto lpteesu t ardaobnens ere tl iedueosnttuienomsiocs,dceelaqrleaneemsêrueorstcrememlaeidpaysetlesdeuxdear-p Azzam, l’un des principaux organisa- la dernière fois par des témoins en au momen teurs de la résistance antisoviétique. novembre 2001 à Kandahar dans le l’interventionnisme militaire occidentalpeler qu'en termes d'échanges commerciaux Les volontaires affluent et Ben LadenSud afghan.Les services de renseigne-à ulsac itvearl odreiss avtioocna tidoun s tmeartyri sq usip opnetuat-Unisats-sÉt,lemeeierptnl«osaprnetreriammoccierdall'egéAlirevaceunovulmeglo-bald'échuqsegnaettaaièsprtinm16edli-les accueille, les encadre, et élabore ment régionaux ou occidentaux ont s ées. rror steliards de dollars en 2010». pour cela une base de données qui se longtemps estimé qu’il se cachait dans la n transformera au fil des ans en une zone bordant la frontière entreMokhtar BendibM. B. organisation, al-Qaïda («la base»). l’Afghanistan et le Pakistan. Mais les l’aide indirecte de la CIA, qui fait tran- n’avaient aucune piste sérieuse. C’est laLE TRAIT DU COURRIER Il lutte contre les Soviétiques avec spécialistes confessaient en privé qu’ils siter ses subsides par l’intermédiaire raison pour laquelle la mort peu glorieu-des services secrets pakistanais. Après se de Ben Laden revet une significa-la déroute russe, en 1989, il rentre en tion hautemen mbol r les héros dans son pays,où ilmultiplie lesÉtats-Unis,quti  osnyt pouri qpurien cippoeu de ne conférences, dans les mosquées et les jamais « lâcher » leurs ennemis . C’est écoles, sur les succès du djihad. Après bien pourquoi ils ont célébré sa mort . l’attaque du Koweït par l’armée irakien- L’Amérique fière d’elle-même était de ne, il propose au roi Fahd de bouter retour. Même si la traque a été longue. l’envahisseur hors de la péninsule avec Même si, commencée au début du pre-l’aide de sa « légion islamique » d’an- mier mandat d’un président, la chasse à ciens de l’Afghanistan. Le souverain l’homme a seulement abouti après deux saoudien refuse : Oussama Ben Laden années et trois mois du mandat de son s’estime trahi, estimant que le sol sacré successeur, la promesse de George Bush de son pays est souillé par la présence a été tenue : «Dead or alive», mort ou vif, de milliers de soldats américains. En nous aurons Ben Laden, avait-il juré. 1992, Riyad, inquiet de ses critiques et Obama a tenu sa parole. Que restera-t-il de son soutien à l’opposition, lui retire de l’organisation qu’il avait créée, après son passeport. Il s’installe au Soudan, la mort de l’homme le plus recherché du avec la bénédiction des autorités de monde ? Khartoum. En 1996, le Soudan, soumis La figure de Ben Laden appartenait à des pressions internationales, lui depuis longtemps déjà au passé. Et à demande de partir. Il refait surface avec l’évidence, il n’a jamais été l’idéologue hommes, armes et bagages en d’Al-Qaïda. Ce rôle, est tenu par Afghanistan, d’où il lance de nouveaux Ayman al-Zawahiri, médecin égyptien appels anti-américains, de plus en plus de 60 ans qui fut l’un des hommes
BEN LADEN Vie et mort du terroriste le plus recherché au monde Page 24 LES JOUEURS DE LA JSK ACCUEILLIS EN HÉROS À TIZI Quand Belhout LINFORMATION AU QUOTIDIENremporte la bataille Q u o t i d i e n n a t i o n a l d  i n f o r m a t i o n - P r i x A l g é r i e 1 0 D A - F r a n c e 1 E u r otactique de la finaPlagee 15 Mardi 3 mai 2011-u r r i e r - d a l g e r i e . c o mw w w. l e c o  -N ° 2 1 7 8 - 8ea n n é e PRESSE ALGÉRIENNEzMESKIANA (OUM EL BOUAGHI) Saisie de 3000 litres de gasoil P2 zBANQUE EXTÉRIEURE D'ALGÉRIE Ouverture de la Lire en page 3première agence libre-service P4 zSELON LE DIRECTEUR DE L'OAIC Importation d'au moins 50 000 tonnes d'orge P4 zRÉPONDANT À L'INVITATION DE HILLARY CLINTON Medelci à Washington P24
ENVIRONNEMENT ILS SE SONT HEURTÉS À UN IMPRESSIONNANT DISPOSITIF SÉCURITAIREÉNERGIE SOLAIRE Les étudiants empêchés de marcherPage 2 BOUIRA Un commerçant enlevé p r dePage 2La tour de BourkiPakgea5 a s terroristes
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