ANDRE MBATA VEUT SE FAIRE CONNAITRE EN SE FROTTANT AUX PLUS GRANDS QUE LUI...UNE JALOUSIE MAL PLACEE QUI N A RIEN DE SCIENTIFIQUE
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ANDRE MBATA VEUT SE FAIRE CONNAITRE EN SE FROTTANT AUX PLUS GRANDS QUE LUI...UNE JALOUSIE MAL PLACEE QUI N'A RIEN DE SCIENTIFIQUE

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ANDRE MBATA VEUT SE RENDRE CELEBRE EN SE FRONTANT AUX PLUS FORTS QUE LUI…UNE JALOUSIE TRES MAL PLACEE QUI N’A RIEN DE SCIENTIFIQUE 1 . 2 3 4 5 6 7 . . . . . . Il y a quelques mois, quand le Professeur Evariste Boshab avait publié son livre intitulé« Entrela révision constitutionnelle et l’inanition de la Nation », le Professeur Mbata, je crois bien qu’il mérite d’être appelé Professeur, avait efectué une sortie humiliante que je n’oublierai jamais de toute ma vie, à cause de la haine et de la jalousie qu’il manifestait en critiquant la personne du Professeur Boshab et non pas ses choix doctrinaux. Aujourd’hui encore, alors que le Constitutionnaliste français Didier Maus venait d’exprimer ses vues sur l’œuvre de la Cour constitutionnelle de la RDC, Monsieur Mbata s’en prend à lui en se servant des termes qu’aucun scientiique ne peut utiliser, se montrant ordurier et mal poli. On l’aurait compris si, dans ce qu’il considère comme étant une réaction, il avait opposé de la contradiction aux arguments scientiiques du Professeur Didier Maus. Mais quelle n’a pas été la surprise de la communauté scientiique, même de ceux qui le prenait au sérieux, de lire des attaques personnelles, ne comportant que des réactions épidermiques, sans contrerélexion.

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Publié le 16 décembre 2016
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Langue Français

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ANDRE MBATA VEUT SE RENDRE CELEBRE EN SE FRONTANT AUX PLUS FORTS QUE LUI…UNE JALOUSIE TRES MAL PLACEE QUI N’A RIEN DE SCIENTIFIQUE
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Il y a quelques mois, quand le Professeur Evariste Boshab avait publié son livre intitulé« Entre la révision constitutionnelle et l’inanition de la Nation », le Professeur Mbata, je crois bien qu’il mérite d’être appelé Professeur, avait eFectué une sortie humiliante que je n’oublierai jamais de toute ma vie, à cause de la haine et de la jalousie qu’il manifestait en critiquant la personne du Professeur Boshab et non pas ses choix doctrinaux.
Aujourd’hui encore, alors que le Constitutionnaliste français Didier Maus venait d’exprimer ses vues sur l’œuvre de la Cour constitutionnelle de la RDC, Monsieur Mbata s’en prend à lui en se servant des termes qu’aucun scientiîque ne peut utiliser, se montrant ordurier et mal poli.
On l’aurait compris si, dans ce qu’il considère comme étant une réaction, il avait opposé de la contradiction aux arguments scientiîques du Professeur Didier Maus. Mais quelle n’a pas été la surprise de la communauté scientiîque, même de ceux qui le prenait au sérieux, de lire des attaques personnelles, ne comportant que des réactions épidermiques, sans contre-réLexion.
Pour ceux qui n’ont pas lu le pamphlet auquel je fais allusion, il devrait retenir qu’en réaction à une prise de position scientiîque de Didier Maus, le Professeur André Mbata, parlant par la bouche du journaliste qui lui a oFert le cadre pour exposer ses insultes, commence par parler de lui en ces termes :
Dans le chapeau de ce pamphlet, aux lignes 15 et 16, il se fait passer pour le plus célèbre des constitutionnalistes congolais… quelle honte pour un enseignant qui sait pertinemment bien qu’il n’est connu que dans son bureau et pas plus. Il est bien conscient qu’il n’est pas plus connu que ESAMBO, que NDJOI, que MPONGO, que IHAU, etc. Il dit être le plus célèbre alors même qu’il n’a pas d’œuvre scientiîque de référence dans son domaine, lui qui ne fait qu’écrire sur des individus. Excellent biographe, il a déjà écrit sur « OBAMA », sur « SARKOZY », sur « MANDEA ». Ce sont donc des individus et leurs vies qui l’intéressent et non le droit constitutionnel.
En faisant écrire qu’il est le plus célèbre des constitutionnalistes congolais, ANDRE MBATA démontre qu’il est imbu de lui-même, et qu’il veut prêcher pour sa propre chapelle au lieu d’avoir des disciples qui le feraient à sa place.
En s’arrogeant le droit de « corriger »(Voir le titre du pamphlet) Didier Maus et même d’ « d’administrer une sévère giLe au Professeur Mampuya» (voir ligne 21 et 22 qui tombe sur le deuxième feuillet du
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pamphlet), il s’attribue des compétences que tout le monde sait qu’il n’a pas, il veut monter sur les épaules des plus grands que lui pour être vu parce que dans le domaine purement scientiîque, qui est exempt des considérations personnelles, ANDRE MBATA est un chétif et il est trop nain. Parler de lui avec Didier Maus et Auguste Mampuya c’est mélanger torchon et serviette.
S’agissant de Didier Maus en particulier, ANDRE MBATA dit de lui au point 4 de son pamphlet qu’il est« spécialiste de la pratique constitutionnelle sous la Vème République française »et au point 1 qu’ilcessé d’être« a Conseiller d’Etat et Rapporteur général de la Commission des archives constitutionnelles de la Vè République française ».En lui reconnaissant cette spécialité et cette expérience professionnelle, le Professeur MBATA estime que du seul fait pour un scientiîque d’aller à la retraite, l’abrutit ou encore, le rend incapable de réLéchir. Mais le même MBATA dit du même Didier Maus qu’ il serait« scientiIquement méconnaissable » sans démontrer pourquoi celui qui est spécialiste et qui a été à la tête d’une aussi prestigieuse Administration française serait devenu méconnaissable simplement parce qu’il ne pense pas comme lui.
On comprend bien que le Professeur ANDRE MBATA se moque là de l’éméritat et à entendre ses moqueries, il ne sera jamais honoré en devenant émérite. En plus, on sent bien son souci qui est celui d’être consulté par le Gouvernement quand il dit que le Gouvernement ne devrait pas consulter les scientiîques à la retraite et qu’il devrait chercher ceux qui sont en action. Malheureusement pour lui, un gouvernement sérieux ne peut pas aller chercher quelqu’un qui ne se fait entendre que quand il insulte ses collègues.
10.S’agissant de l’Eméritat, il faut rappeler à celui qui se fait passer pour le plus célèbre constitutionnaliste congolais, célèbre en insulte peut-être, que l’éméritat n’est pas une révocation, moins encore un licenciement. C’est un couronnement d’une carrière élogieuse. N’accède à l’éméritat que celui qui mérite. Peut-être sait-il qu’il ne sera jamais admis à ce statut parce qu’il ne le mérite pas. Mais cela ne peut jamais le pousser à tourner à dérision ce titre d’honneur pour lequel plusieurs éminents professeurs, vivants et morts, ont réclamé à corps et à cri leur admission. Mettons son acharnement sur l’éméritat dans le compte de l’ignorance et alors, on peut bien l’excuser. Mais le fait pour lui de répéter plusieurs fois que les victimes de ses insultes sont « à la touche ou à la retraite »(voir point 7), qu’elles auraient pu « sortir de leur retraite »(voir point 9), qu’elles seraient « au crépuscule de sa carrière »(voir point 16) démontrent qu’il croit que aller en retraite est une honte ou signe de faiblesse intellectuelle.
11.Au sujet de l’éméritat toujours, il associe l’éméritat à la situation de précarité, comme si les professeurs émérites étaient des révoqués ou des chômeurs, ne touchant plus leurs salaires pouvant leur permettre de vivre dignement. Cette insulte pour l’éméritat devra emmener les responsables
congolais à refuser un jour, s’il venait à le solliciter, de conférer à ce professeur ce titre dont il ne comprend le contenu ni la valeur. Et si on enquêtait sur lui, on trouvera que ses initiatives scientiîques n’ont jamais été désintéressées. Toutes ses sorties sont motivée par un souci de positionnement, lui qui n’a pas pu se faire réélire pour survivre politiquement. Il a été avec le RCD, nous savons comment à cette période où ce parti politique avait une mauvaise presse dans l’opinion, il se faisait passer pour son plus grand chantre laudateur. Il ne s’etait pas arrêté là. Il etait parti dans ce qu’on peut appeler vagabondage, rejoindre l’UNC de Vital Kamerhe avec qui il avait fait sonshow sur le livre du Professeur Evariste Boshab, show pour lequel, comme un catcheur ou un boxeur qui détrône celui qui était le détenteur du titre, il se vente d’être le « TOMBEUR DU PROESSEUR BOSHAB ». (Voir chapeau de son pamphlet page 2 ). Il se réjouit donc, dans une attitude puérile et suïsante, d’avoir aFronté un plus grand que lui, qui du reste ne lui a jamais répondu…aux imbéciles on répond par le silence.
12.Toujours contre Didier Maus, le Professeur ANDRE MBATA estime que, spécialiste du droit constitutionnel français, il ne peut pas intervenir sur des questions constitutionnelles qui se posent en Afrique. Au point 4 de son pamphlet, il dit qu’en se prononçant sur le droit constitutionnel congolais, Didier Maus intervient je citeun champ intellectuel en« dans dehors de ses compétences. »Au sujet du domaine de compétence, ANDRE MBATA oublie que c’est lui qui, s’agissant des sanctions ciblées internationales décidées contre des responsables congolais, domaine dans lequel il ne se reconnat pas, se permet de se prononcer, sans opposer un argument contraire à celui soutenu par le Professeur Mampuya, se permet de raconter du n’importe quoi. Mais le droit constitutionnel congolais ne s’écarte pas des principes généraux qui restent les mêmes, en dépit des particularités qu’aucun scientiîque constitutionnaliste digne de ce titre ne peut ignorer. Au nombre de ces principes que le Professeur MBATA trouve particulier au droit congolais, il cite au point 5 de son pamphlet :« les limites des connaissances du droit constitutionnel congolais par Didier Maus peuvent se comprendre dans la mesure où la Constitution française de 1958 qu’il maîtrise ne consacre pas une disposition intangible semblable à l’article 220 de la Constitution congolaise de 2006 et que la limitation à deux du nombre des mandats présidentiels par cette Constitution a précédé la réforme française de 2008. »C’est donc, selon le Professeur MBATA, à cause du principe de la limitation du nombre des mandats que Didier Maus serait limité à comprendre le droit constitutionnel congolais, comme s’il y avait de la magie à comprendre cette règle qui n’est pas une invention congolaise.
13.S’agissant du Professeur Mampuya, celui-ci est visé par ANDRE MBATA pour avoir écrit, dans un domaine où ce dernier a fait sa thèse il y a à ce jour plus de quarante ans et sur un sujet qu’il enseigne depuis plusieurs dizaines d’années, et dans quel domaine, le professeur MBATA n’est pas diFérent des autres intellectuels profanes du droit. Au lieu de brandir sa
contradiction en disant par exemple que le droit international autorise des sanctions unilatérales, il se permet d’insulter gratuitement le Professeur Mampuya à qui du reste, il se félicite de donner une giLe. Ce n’est pas un exemple pour les jeunes chercheurs et scientiîques que nous sommes d’avoir un homme qui n’est pas tolérant. Quand c’est lui qui quitte un camp pour un autre, il n’appelle pas cela vagabondage, quand c’est quelqu’un d’autre qui fait ce qu’il aurait voulu faire même s’il sait pertinemment bien qu’il n’en a pas compétence.
14.Il a très bien fait de suggérer la saisine de la Cour et c’est cela l’une des suites à donner à cette pratique illicite qui se répand de plus en plus dans les relations internationales. Ce n’est un déî pour personne mais c’est déjà une solution qui est retenue et il faut laisser le temps au temps. Car, si cela doit se faire par voie de la protection diplomatique, les individus victimes de ces mesures doivent épuiser les voies de recours internes dans les pays qui les ont sanctionnés. Si c’est par voie d’avis, il faudra passer par des organes de l’ONU pour înalement avoir une position jurisprudentielle de cette institution. ’aFaire Nottebohm aurait pu servir de précédent si la Cour avait examiné le fond. En eFet, saisie par le iechtenstein qui agissait en faveur de Nottebohm son ressortissant par naturalisation victime d’une décision de séquestre des biens prise par les autorités du Guatemala, la Cour internationale de Justice, avait déclaré irrecevable l’action mue en vertu de la protection diplomatique du fait de l’absence du lien de nationalité eFective devant établir lejus standi, condition exigée pour recevoir un Etat agissant dans ce cadre. N’eut été cela, la Cour aurait pu se prononcer sur la licéité de ces mesures de séquestre qui se rapprochent du gel des avoirs décidé contre des responsables congolais. Mais l’ouvrage publié par le Professeur Mampuya fournit les décisions de justice les plus importantes sur cette question, en particulier dans le cadre de l’Union européenne. N’ayant trouvé aucune contradiction à opposer, c’est décevant qu’il ait là manqué au moins une occasion de se taire.
15.Il faut signaler que le Professeur MBATA qualiîe le livre du Professeur Mampuya de « publication locale », de « bouquin sans grande valeur dans les milieux scientiîques internationaux», sans dire ce qu’il entend par « publication internationale ». D’abord, tout le monde sait, il ne peut prétendre avoir une notoriété internationale comparable à celle du Professeur Mampuya. Bon. Ayant soutenu sa thèse en Afrique du Sud, peut-être qu’il ne connat pas trop bien l’homme dont il parle. Pour preuve, il dit du Professeur Mampuya qu’il a été admis à l’éméritat sans former un seul docteur (voir point 17). C’est une ignorance Lagrante qui atteste que soit c’est de la mauvaise foi, soit c’est de l’ignorance impardonnable pour un homme du rang auquel il prétend appartenir. Il dit qu’ailleurs, il est exigé que pour être admis à l’éméritat, il faut avoir formé des docteurs. Mais Monsieur le Professeur MBATA, ailleurs ce n’est pas en RDC. Vous voulez faire application d’une exigence étrangère en RDC ?
16.Néanmoins, point n’est besoin de lui étaler la longue liste des éminents Professeurs de Droit international qu’il a encadré et dont il a promu des thèses. On s’arrête pour son information qu’au Professeur TSHIBANGU KAAA dont le niveau de connaissance du droit n’a rien à envier à celui qu’ il étale dans ses multiples pamphlets. Que des citoyens congolais, guinéens et autres qui ont été formés par le Professeur Mampuya se manifestent pour aider le Professer MBATA à comprendre qu’il n’a pas à aïrmer des choses sans vériîcation. C’est pour sa crédibilité.
17.S’agissant du caractère international d’une publication, il faut rappeler que là encore, c’est un complexe incompréhensible pour un Professeur. Des traités importants du droit pénal, international et dans d’autres disciplines, ont été publiés en RDC. Si pour lui, une publication locale est celle faite en RDC, c’est un complexe dont il doit trop vite se débarrasser parce que les spécialistes du livre en RDC lui diront que dans ce pays, il est possible de réaliser des publications internationales. En plus, la valeur scientiîque d’un ouvrage ne dépend pas de celui qui l’a édité. Il faut que le contenu convainque les scientiîques et dans ce domaine, ce n’est pas à MBATA de refuser ce merite au Professeur Mampuya. On peut même se demander quels milieux scientiîques fréquente-t-il vraiment où il ne rencontre pas le Professeur Mampuya. C’est certainement des milieux diFérents de ceux que des véritables scientiîques comme le Professeur Mampuya et Didier Maus ont l’habitude de fréquenter, chacun a son niveau et ils ne fréquentent pas les mêmes personnes.
18.S’agissant de l’allégation que le Professeur Mampuya a été chantre du régime Mobutu, il faut carrément pour ne lui consacrer des lignes entières dire que malheureusement pour le Professeur MBATA, il n’a jamais eu la chance de travailler avec un grand homme politique de ce pays comme le Marshall Mobutu. En faisant cette critique, il oublie son passé dans diFérentes milieux politiques et il oublie aussi qu’il parle de nombreux autres monuments que la science du droit a eu dans ce pays comme Marcel ihau, Vunduawe Te Pemako, ulkulia, etc qui, comme le Professeur Mampuya, ont travaillé avec le Marshal Mobutu ; comme si, travailler avec Mobutu dénie à quelqu’un sa valeur scientiîque. Il convient de préciser que le Professeur, en citant le Professeur Mampuya, fait allusion à sa ème déclaration, sous la 2 République, en faveur de l’élection par acclamation, au moment où, le régime proposait une élection à une seule liste, n’oFrant donc aucune possibilité de choix aux électeurs. Dire que dans ce cas le vote ne servait à rien et qu’il aurait carrément fallu applaudir la liste proposée est une opinion que moi, je soutiendrais aujourd’hui, si je me trouvais dans les mêmes circonstances. Ce même Professeur, au cours de son show, avait soutenu au sujet de ces propos que c’était le Professeur Boshab qui avait mal cité le Professeur Mampuya pour s’attirer la sympathie de ce dernier. Il se contredit aujourd’hui.
19.Au sujet des prétendues contradictions qu’il aurait trouvées au près du Professeur Mampuya, il faut que le Professeur MBATA critique les
arguments du Professeur Mampuya en s’opposant à lui et non pas en opposant le Professeur Mampuya à lui-même, se servant de ses réLexions. En plus, il faut bien vériîer, quand on accuse quelqu’un de se contredire, que ce n’est pas soi-même qui n’est pas capable de lire tous les textes ou de comprendre les textes lus. C’est seulement après s’être assuré qu’on a bien compris la pensée de l’auteur que l’on peut lui opposer une contradiction.
20.En somme, le Professeur MBATA continue dans le ridicule. Personne ne va le suivre. En tout cas pas ceux qui ne sont pas comme lui. Il est simplement jaloux que Didier Maus ait été consulté alors que lui vit et existe au Congo. a preuve de cette jalousie est donnée lorsqu’au point 6 il dit :tendance d’un gouvernement en panne d’arguments à« Cette dilapider les fonds publics pour payer les politiciens, des fonctionnaires ou des universitaires retraités au lieu de se conIer aux compétences nationales actives et reconnues est bien déplorable ». e Professeur Mampuya n’est pas Chef du département de droit public international. a aculté de droit de l’Université de Kinshasa connat un Département de droit international public et relations internationales et non, celui de droit public international.needrviatapsUnProfesseuraçredi!
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Maitre Trésor LUNGUNGU KIDIMBA
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