Magazine FestiMode Casablanca Fashion Week 2011

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• Publié par: anna-mode
• Publié le: 14 février 2013
• Nombre de lectures: 512
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 2 Mo

Extrait

11 / 12 / 13 / 14 MAI
AVEC LE SOUTIEN DE03///EDITO
Casablanca,
capitale
de la mode !
Enfn une vraie Fashion Week à Casablanca pour toute la
èmecommunauté de la mode dans notre pays ! Pour cette 6
édition, nous avons décider d’installer, une fois pour toute,
La Fashion Week Marocaine à Casablanca. Une évolution
naturelle de cet événement qui a ambitionné depuis
sa création, de militer pour une plateforme dédiée aux
créateurs de mode au Maroc, d’ici et d’ailleurs.

Jamal Abdennassar Fondateur Après les créateurs de mode de renom et les jeunes
stylistes, FestiMode Casablanca s’ouvre aux jeunes
photographes de mode, à la découverte de nouveaux
talents qui particperont à façonner cette image de la mode
de chez nous. Nous intégrons également «Modexpo»,
une autre manière de présenter les créations couture au
concept de la Fashion Week Casablancaise.
Nous croyons en nos talents, en notre culture, que nous
voulons porter dans les plus hautes sphères de la mode
internationale. Et à l’instar des autres Fashion Week, nous
voulons l’impliquation des investisseurs et acteurs du secteur
de la mode au Maroc pour ces créations “prêtes à exporter” !
Bonne fête à Casablanca, que nous voulons capitale de la mode !11
04///SOMMAIRE 3
274 84 8699 55
6 - CONTRIBUTEURS
6 - CONTRIBUTEURS
8 - HISTORIQUE
8 - HISTORIQUE
12 - PROGRAMME
12 - PROGRAMME
14 - CRÉATEURS
14 - CRÉATEURS
24 - CRÉATEUR EN DEVENIR
24 - CRÉATEUR EN DEVENIR
26 - STYLISTES
26 - STYLISTES
36 - EVENEMENT
36 - EVENEMENT
38 - PHOTOGRAPHES
38 - PHOTOGRAPHES
46 - REMERCIEMENTS
46 - REMERCIEMENTS06///CONTRIBUTEURS
Leila Alaoui, photographe
Née à Paris en 1982, Leila Alaoui a grandi au Maroc, avant de s’installer à New York pour poursuivre ses études. Elle
obtient en 2004 un Bachelor of Science en photographie, puis entreprend un long voyage en Amérique Centrale pour un
documentaire sur la civilisation Maya. De retour à New York, elle acquiert de nombreuses expériences professionnelles
avec des artistes tels que Spike Lee et Shirin Neshat, et travaille dans les plus gros studios new yorkais tel Industria.
Depuis 2008, elle revient régulièrement au Maroc pour développer ses projets personnels, qui traitent souvent du portrait,
des identités culturelles et de la migration. Elle travaille également pour l’agence de mannequin international Ford Models
New York en tant que chasseuse de talents en Afrique. Pour cette édition de la FCFW, elle a sélectionné les jeunes
photographes de mode.
Mouna Anajjar, éditrice
Après une enfance à Agadir et un bac à 16 ans, c’est à Paris que Mouna entame ses études supérieures. Prépa HEC
et spécialisation en marketing lui offrent l’opportunité, à 23 ans, de créer à Casablanca le département marketing et
communication de Wafasalaf. Repérée par l’agence Euro RSCG, c’est à Paris qu’elle poursuit sa carrière. Trois ans plus tard,
après un road trip d’une année aux Etats Unis, c’est vers la création qu’elle se diversife. En s’associant à Jean Jacques Fourny,
elle entreprend une aventure de presse inédite et fonde La Tribune de Marrakech. Le titre de proximité fête aujourd’hui
ses 4 ans de succès avec une franche reconnaissance. En parallèle de ce grand format, le duo lance sur papier glacé le 212.
En 2010, l’aventure a pour nom Marrakech Mag, le premier titre bi annuel, en français et en anglais, offrant un miroir XXL à
la Ville Rouge… Pour FCFW, elle édite la publication offcielle de l’événement.
Fadila El Gadi, créatrice de mode
La noblesse des matières, l’élégance des coupes, la fnesse des broderies : le style de Fadila El Gadi s’inspire de la
couture traditionnelle marocaine dans ce qu’elle a de plus pur. Son mentor n’est autre qu’Yves Saint Laurent, qui a lancé
sa carrière, et ses adresses sont celles des grandes capitales de la mode : son nom est aujourd’hui une valeur sûre. Elle
était déjà sur le podium des créateurs de Festimode 2007, elle revient cette année en tant que créatrice, mais aussi
en tant que membre du jury. Sa personnalité empreinte de grâce et d’élégance naturelle, et sa maîtrise de la couture
traditionnelle sont des atouts certains quant à l’assurance de son jugement.
Hamid Fardjad : cinéaste
Réalisateur de flms depuis les années 60, Hamid Fardjad est né à Téhéran en 1942 ; il est installé à Marrakech
depuis 20 ans, où il enseigne à l’Ecole Supérieure des Arts Visuels. Son premier court métrage, “El Dorado”, fut
sélectionné au Festival du flm de Berlin. Il a également produit et collaboré avec Shirin Neshat, et leur flm “Secret and
absurd” a été sélectionné au Festival Tribeca de New York, et projeté à l’ouverture du Festival du Cinéma du Futur de
Lilles, en 2004. Il dit de la mode : “Cette discipline est également un art qui exige le coup d’œil”, un regard qu’il nous
livre en réalisant la scénographie et la mise en scène de l’exposition “Modexpo”, à la Galerie Shart.
Alexandra Girard : journaliste
Installée à Casablanca depuis 4 ans, Alexandra Girard, originaire de Nantes, est journaliste de mode. Elle est entre autres
rédactrice de la rubrique Tendances pour le quotidien Aufait, ainsi que pour le magazine trimestriel Maroc d’Exception. Elle
s’est formée dans le domaine à Londres entre 1998 et 2001, années où elle a exercé en tant que web journaliste pour
des sites spécialisés dans la mode. Bloggueuse et sapeuse, elle s’adonne à la mode avec passion, mais raison… Son œil
critique fait d’elle un membre de jury averti, dont l’expérience à l’international est une plus value certaine !
Saïd Mahrouf, créateur de mode
Présent depuis la 2ème édition de Festimode en tant que créateur, Saïd Mahrouf était le directeur artistique de FCFW en 2010,
et il devient membre du jury cette année, tout en gardant son statut de créateur star de l’évènement. Happé par le Maroc (il
est entre autres directeur artistique pour “Caftan” et “Absolument artiste”), il se réinstalle cette année à Casablanca, après avoir
vécu et fait carrière entre New York et Amsterdam. Son âme de créateur et d’artiste contemporain (ses œuvres sont notamment
exposées à New York) et son expérience de directeur artistique, font de lui un membre du jury de premier ordre, dont le regard
acéré saura sans aucun doute reconnaître le talent de la “relève”.
Lamia Naji, photographe
Lamia Naji, flle d’une mère française et d’un père marocain, livre à travers ses photos son émotion, sa quête spirituelle et
son désir d’universalité. Bien que ses études initiales en commerce la prédestinaient à une carrière de comptable ou de
commerciale, son besoin d’expression la conduit à devenir artiste, «qu’importe le médium», dit-elle. S’enchaînent les prix,
bourses d’études, ateliers, résidences d’artistes et expositions dans plusieurs métropoles culturelles du monde, mais le
Maroc, son pays natal, exerce encore et toujours une fascination troublante. Elle tente de palper le mystère des Kasbahs,
au détour des villages et à l’ombre des regards ; mais peut aussi bien retranscrire une certaine poésie en photographiant
les boîtes de nuit madrilènes. Avec Leila Alaoui, Lamia est l’autre œil affuté qui a sélectionné les jeunes photographes de
mode cette année.
Hassan Sefrioui, galeriste
“Enfant, je me souviens de mon premier choc artistique face à une toile de Rembrandt dans un musée...” Hassan Sefrioui a
travaillé dans l’industrie avant de revenir à ses premières amours et d’ouvrir sa propre galerie d’art à Casablanca en 2006.
La Galerie Shart propose les œuvres contemporaines de peintres et de photographes d’ici et d’ailleurs. La créativité et la
qualité d’exécution sont les critères de sélection d’Hassan, qui dédie son lieu à la promotion de la scène artistique marocaine
d’aujourd’hui. Il accueille les tenues emblématiques des grands noms de la création marocaine pour “Modexpo 2011”. Un sujet
“hors série