background image

Escp eap 2004 mathematiques iii classe prepa hec (ecs) mathematiques iii 2004 classe prepa hec (ecs)

3

pages

Français

Documents

Lire un extrait
Lire un extrait

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne En savoir plus

Découvre YouScribe et accède à tout notre catalogue !

Je m'inscris

Découvre YouScribe et accède à tout notre catalogue !

Je m'inscris

3

pages

Français

Documents

Lire un extrait
Lire un extrait

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne En savoir plus

ESCP 2004 math III. Durée 4 heures EXERCICE 6On désigne par E l’espace vectoriel R et par B sa base canonique : B = (e ; e ; e ; e ; e ; e ) . 1 2 3 4 5 6On pose B = (e ; e ; e ) et B = (e ; e ; e ) et on désigne respectivement par E et E les 1 1 2 3 2 4 5 6 1 2sous-espaces vectoriels de E engendrés par B et B . 1 2 021Enfin, A est la matrice carrée d’ordre 3 à coefficients réels suivante : 201 −22 −1 1. Soit u l’endomorphisme de E dont la matrice dans la base B est A . 1 1Déterminer les valeurs propres de u ainsi qu’une base de vecteurs propres. 2. Soit f l’application linéaire de E vers E définie par : f (e ) = e , f (e ) = e et f (e ) = e . 1 2 1 4 2 5 3 6−1Montrer que f est un isomorphisme et déterminer la matrice de son isomorphisme réciproque f relativement aux bases B et B . 2 13. a) Montrer que, si (x ; x ) est un élément de E × E vérifiant l’égalité x + x = 0 , les vecteurs x 1 2 1 2 1 2 1et x sont nuls. 2b) En déduire que, si (x ; x ) et (y ; y ) sont deux éléments de E × E vérifiant l’égalité 1 2 1 2 1 2x + x = y + y , alors on a : x = y et x = y . 1 2 1 2 1 1 2 2 4. Pour tout vecteur x de E dont les coordonnées dans la base B sont ( λ ; λ ; λ ; λ ; λ ; λ ), on 1 2 3 4 5 6pose : − 1x = λ e + λ e + λ e , x = λ e + λ e + λ e et F(x) = u(x ) + f (x ) + f (x ) 1 1 1 2 2 3 3 2 4 4 5 5 6 6 1 1 2a) Prouver que l’application F qui à ...
Voir icon arrow

Publié par

Langue

Français

ESCP 2004
math III
. Durée 4 heures
EXERCICE
On désigne par
E
l’espace vectoriel
R
6
et par
B
sa base canonique :
B
= (
e
1
;
e
2
;
e
3
;
e
4
;
e
5
;
e
6
) .
On pose
B
1
= (
e
1
;
e
2
;
e
3
) et
B
2
= (
e
4
;
e
5
;
e
6
) et on désigne respectivement par
E
1
et
E
2
les
sous-espaces vectoriels de
E
engendrés par
B
1
et
B
2
.
Enfin,
A
est la matrice carrée d’ordre 3 à coefficients réels suivante :
0
2
1
2
0
1
2
2
1
1.
Soit
u
l’endomorphisme de
E
1
dont la matrice dans la base
B
1
est
A
.
Déterminer les valeurs propres de
u
ainsi qu’une base de vecteurs propres.
2.
Soit
f
l’application linéaire de
E
1
vers
E
2
définie par :
f
(
e
1
) =
e
4
,
f
(
e
2
) =
e
5
et
f
(
e
3
) =
e
6
.
Montrer que
f
est un isomorphisme et déterminer la matrice de son isomorphisme réciproque
f
−1
relativement aux bases
B
2
et
B
1
.
3.
a) Montrer que, si (
x
1
;
x
2
) est un élément de
E
1
×
E
2
vérifiant l’égalité
x
1
+
x
2
= 0 , les vecteurs
x
1
et
x
2
sont nuls.
b) En déduire que, si (
x
1
;
x
2
) et (
y
1
;
y
2
) sont deux éléments de
E
1
×
E
2
vérifiant l’égalité
x
1
+
x
2
=
y
1
+
y
2
, alors on a :
x
1
=
y
1
et
x
2
=
y
2
.
4.
Pour tout vecteur
x
de
E
dont les coordonnées dans la base
B
sont (
λ
1
;
λ
2
;
λ
3
;
λ
4
;
λ
5
;
λ
6
), on
pose :
x
1
=
λ
1
e
1
+
λ
2
e
2
+
λ
3
e
3
,
x
2
=
λ
4
e
4
+
λ
5
e
5
+
λ
6
e
6
et
F
(
x
) =
u
(
x
1
) +
f
(
x
1
) +
f
1
(
x
2
)
a) Prouver que l’application
F
qui à tout vecteur
x
de
E
associe le vecteur
F
(
x
) , est un
endomorphisme de
E
.
b) Déterminer le noyau de
F
et en déduire que
F
est un automorphisme.
c) Montrer que la matrice
M
de
F
dans la base
B
peut s’écrire sous la forme :
M
=
0
2
1
1
0
0
2
0
1
0
1
0
2
2
1
0
0
1
1
0
0
0
0
0
0
1
0
0
0
0
0
0
1
0
0
0
5.
On suppose, dans cette question, que μ est une valeur propre de
F
et que
x
est un vecteur propre
associée à μ ; on définit les vecteurs
x
1
de
E
1
et
x
2
de
E
2
comme dans la question précédente.
a) Justifier que la valeur propre μ n’est pas nulle.
b) Utiliser les résultats de la question
3.
pour prouver que les vecteurs
x
1
et
x
2
sont tous les deux
non nuls et que
x
1
est un vecteur propre de
u
associé à la valeur propre μ − 1/μ ·
6.
Étudier la fonction
ϕ
définie sur
R
*
par
ϕ
(
x
) =
x
− 1 /
x
et en donner une représentation graphique.
7.
On suppose, dans cette question, que
λ
est une valeur propre de
u
et que
x
1
est un vecteur propre de
u
associée à
λ
.
a) Montrer que l’équation d’inconnue μ suivante :
λ
= μ − 1/μ admet deux solutions distinctes μ
1
et μ
2
.
Voir icon more
Alternate Text