Baccalauréat C Amiens septembre
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Description

Niveau: Secondaire, Lycée
[ Baccalauréat C Amiens septembre 1980 \ EXERCICE 1 On considère trois entiers naturels non nuls a, b, c. Le plus grand commun diviseur de a et b est ? ; celui de b et c est ??. Quel est le plus grand commun diviseur de a, b, c ? Sachant que ? = 12, ?? = 18 et que a + b + c = 102, déterminer toutes les valeurs possibles des trois nombres a, b, c. EXERCICE 2 On considère l'équation du second degré dans C ( m2+1)z2+ [1? (2+ i)m]z+1+ i= 0, où m est un paramètre réel. On note z1 et z2 ses racines complexes avec |z1| < |z2|. 1. a. Vérifier que 1 m+ i est l'une des racines. Déterminer l'autre. b. Montrer qu'il existe un couple unique (a;b) ?C??C, indépendant de m tel que : z2 = az1+b, z1 désignant le nombre complexe conjugué de z1. 2. Soit M1 et M2 les points du plan complexe d'affixes respectives z1 et z2. a. Déduire de ce qui précède que M2 est l'image de M1 par une similitude indirecte unique dont on précisera les éléments. b. Montrer que l'ensemble des points M1 d'affixe z1, m décrivant R, est le cercle (?) d'équation x2+ y2+ y = 0 privé de l'un de ses points et préciser ce point

  • racine complexe

  • symétries vectorielles

  • point m2 d'affixe

  • réel euclidien

  • matrice de ?

  • points du plan complexe d'affixes respectives

  • applications ?2

  • couple unique


Informations

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Publié le 01 septembre 1980
Nombre de lectures 26
Langue Français

Extrait

[Baccalauréat C Amiens septembre 1980\
EX E R C IC E1 On considère trois entiers naturels non nulsa,b,c. Le plus grand commun diviseur deaetbestδ; celui debetcestδ. Quel est le plus grand commun diviseur dea,b,c? Sachant queδ=12,δ=18 et quea+b+c=102, déterminer toutes les valeurs possibles des trois nombresa,b,c.
EX E R C IC E2 On considère l’équation du second degré dansC ¡ ¢ 2 2 m+1z+[1(2+i)m]z+1+i=0, mest un paramètre réel. On notez1etz2ses racines complexes avec|z1| < |z2|. 1 1. a.Vérifier queest l’une des racines. Déterminer l’autre. m+i b.Montrer qu’il existe un couple unique (a;b)C×C, indépendant dem tel que :z2=a z1+b,z1désignant le nombre complexe conjugué dez1. 2.SoitM1etM2les points du plan complexe d’affixes respectivesz1etz2. a.Déduire de ce qui précède queM2est l’image deM1par une similitude indirecte unique dont on précisera les éléments. b.Montrer que l’ensemble des pointsM1d’affixez1,mdécrivantR, est le 2 2 cercle (Γ) d’équationx+y+y=0 privé de l’un de ses points et préciser ce point. Déterminer, par ses coordonnées, le centre de ce cercle. En déduire l’en semble des pointsM2d’affixez2quandmvarie.
PR O B L È M E
Partie A Soitfla fonction numérique de la variable réellexdéfinie par Logx f(x)= x où Logxdésigne le logarithme népérien dex.
1.Étudier les limites defaux bornes de son intervalle de définition. Étudier les variations defet tracer la représentation graphique (C) defdans ³ ´ −→ −→−→ un plan rapporté au repère orthogonalO,ı,°ı°=5 mm et −→ °°=25 mm. 2.Pour toutaélément deR, calculer l’intégrale + Z a F(a)=f(x) dx. 1 Déterminer limF(a) et donner une interprétation géométrique du résultat. a0 a>0
Le baccalauréat de 1981
A. P. M. E. P.
Partie B On considère dans cette partie les fonctions numériquesfetgde la variable réelle xdéfinies respectivement par Logx1 f(x)=etg(x)=. x x On noteFl’espace vectoriel réel des applications deRdansRet on désigne par E + le sousespace vectoriel deFengendré par la famille (f,g).
1.Montrer que (f,g) est une base de E. 2.Pour toutuélément de E et pour toutxar :, on délément d eR+éfinitu1p u1(x)=xu(x). Vérifier queu1appartient à E et montrer que l’applicationϕ1de E dans E définie, pouruélément de E, parϕ1(u)=u1est un endomorphisme de E. Vérifier que, dans la base (f,g), la matrice deϕ1est   1 0   2 M1=  1 12 3.IdEdésignant l’identité de E, déterminer l’unique réelλpour lequelϕ1+λIdE n’est pas bijectif. Calculer ensuite ¡ ¢¡ ¢¡ ¢ 2 ϕ1+λIdE=ϕ1+λIdEϕ1+λIdE pour la valeurλ0deλainsi obtenue. 2 4.Pour toutuappartenant à E, on noteϕ(u)=ϕ1(u1)=v1. 1 Pour toutxapparte àRnt, calcule nant+rv1(x) et montrer, après développeme ¡ ¢ 2 deϕ1+λIdE, que tout élémentude E vérifie, pour toutxélément deR + 1 2′′ ′ x u(x)+2xu(x)+u(x)=0. 4 Partie C E étant un espace vectoriel réel euclidien et (f,g) une base orthonormée de E, on définit, pour toutxappartenant àR, les applicationsu2etu3par µ ¶ 1 1Logx u2(x)=uetu3(x)=(u(x)+u2(x)) x x2 1.Vérifier queu2etu3sont des éléments de E et que les applicationsϕ2etϕ3de E dans E, définies, pour toutuélément de E, par µ ¶ 1 1Logx ϕ2(u)=uetϕ3(u)=(u(x)+u2(x)) x x2 sont des endomorphismes de E. Donner les matricesM2etM3respectives deϕ2etϕ3dans la base (f;g). 2.Quelle est la nature géométrique deϕ2? 3 3.SoitΦ=aϕ1+bϕ2+cϕ3avec (a;b;c)R? a.Pour quelles valeurs de (a;b;c),Φestelle une rotation vectorielle ? Dans chacun des cas obtenus, indiquer la matrice deΦet les éléments caractéristiques de la rotationΦ.
Amiens
2
septembre 1980
Le baccalauréat de 1981
A. P. M. E. P.
b.Pour quelles valeurs de (a;b;c),Φestelle une symétrie vectorielle ? Parmi cellesci existetil des symétries vectorielles orthogonales ? Éven tuellement les préciser. 2 c.En rappelant qu’un projecteurpest caractérisé parp=p, pour quelles valeurs de (a;b;c),Φestelle une projection ? N.B.  Pour les questions b. et c. cidessus, on ne précisera pas les éléments caractéristiques des endomorphismesΦ.
Amiens
3
septembre 1980
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