Baccalauréat C Antilles Guyane juin
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Description

Niveau: Secondaire, Lycée
[ Baccalauréat C Antilles-Guyane juin 1981 \ EXERCICE 1 4 POINTS Soit f la fonction numérique de la variable x définie par f (x)= log(e2x ?3ex +2) . 1. Étudier la fonction f et construire sa courbe représentative C dans un plan affine euclidien rapporté à un repère orthonormé. On montrera notamment que la droite d'équation y = 2x est asymptote à la courbe C . 2. Soit g la restriction de f à l'intervalle ] log2 ; +∞[. Montrer que g admet une fonction réciproque g?1. Calculer g?1(x). EXERCICE 2 3 POINTS n étant un entier relatif quelconque, on considère les entiers relatifs a et b définis par a = n3?2n+5 ; b = n+1. 1. Montrer que P.G.C.D. (a, b) = P.G.C.D. (b, 6). 2. Pour quelles valeurs de n, a-t-on, P.G.C.D.(a, b)= 3 ? 3. Déterminer n pour que le nombre a b soit un entier relatif. PROBLÈME 3 POINTS On appelle F l'ensemble des applications de R dans R deux fois dérivables sur R. On sait que F, muni de l'addition des applications et de la multiplication par un réel est un espace vectoriel sur R.

  • ?n

  • addition des applications et de la multiplication

  • base bk

  • loi ? de composition des applications


Informations

Publié par
Publié le 01 juin 1981
Nombre de lectures 22
Langue Français

Extrait

[Baccalauréat C AntillesGuyanejuin 1981\
EX E R C IC E1 4P O IN TS Soitfla fonction numérique de la variablexdéfinie par ¡ ¢ 2x x f(x)=log e3e+2 . 1.Étudier la fonctionfet construire sa courbe représentativeCdans un plan affine euclidien rapporté à un repère orthonormé. On montrera notamment que la droite d’équationy=2xest asymptote à la courbeC. 2.Soitgla restriction def;à l’intervalle ]log 2+∞[. Montrer quegadmet une 11 fonction réciproqueg. Calculerg(x).
EX E R C IC E2 3P O IN TS nétant un entier relatif quelconque, on considère les entiers relatifsaetbdéfinis par
3 a=n2n+5 ;b=n+1. 1.Montrer que P.G.C.D. (a,b) = P.G.C.D. (b, 6). 2.Pour quelles valeurs den, aton, P.G.C.D.(a,b)=3 ? a 3.Déterminernsoit un entier relatif.pour que le nombre b
PR O B L È M E3P O IN TS On appelleFl’ensemble des applications deRdansRdeux fois dérivables surR. On sait que F, muni de l’addition des applications et de la multiplication par un réel est un espace vectoriel surR. ′ ′′ Sifest un élément deF, on notefla fonction dérivée defetfla fonction dérivée seconde def. Partie A ωétant un réel non nul, on considère le sousensembleEωdeFdes applicationsf qui vérifient ′′2 f= −ωf. 1.Démontrer queEωest un sousespace vectoriel deF. 2.On considère les fonctions numériquesǫ1etǫ2définies pour toutxréel par
ǫ1(x)=cosωxetǫ2(x)=sinωx. Montrer que {ǫ1,ǫ2} est une partie libre deEω. 3.Montrer que, quel que soit l’élémentfdeF, il existe deux fonctions numé riquesuetvde la variablex, dérivables surtelles que pour toutxréel : ½ f(x)=u(x)ǫ1+v(x)ǫ2(x) ′ ′f(x)=u(x)ǫ+v(x)ǫ(x). 1 2
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A. P. M. E. P.
4.Montrer que la condition nécessaire et suffisante pour quefsoit élément de Eωest que pour toutxréel
′ ′ u(x)=v(x)=0.
En déduire que (ǫ1,ǫ2) est une base deEω. ′′ 5.Résoudre dansFl’équationf+9f=0. Montrer qu’il existe une solution unique telle que p 2 f(0)=3 etf(0)=. 2 6.Montrer que, quel que soit l’entier naturelnnon nul, tout élémentfdeEωest nfois dérivable surR. Montrer, à l’aide d’un raisonnement par récurrence que pour toutxréel ³ ´ nπ (n)n f(x)=ωf x+. 2ω (0) (n) f=fet pour tout entier naturelnnon nulfest la fonction dérivée d’ordrendef.
Partie B Dans la suite du problème on donne àωlà valeur 1. On appellee1,e2,ukles fonctions numériques de la variable réellexdéfinies par e1(x)=cosx,e2(x)=sinx,uk(x)=k, kest un réel strictement positif. On considère l’espace vectoriel H engendré pare1,e2,uk. 1.Montrer queBk=(e1,e2,uk) est une base de H et queE1est un sousespace vectoriel de H dont on donnera une équation dans la baseBk. En déduire que tout élémentgde H s’écrit de façon unique,g=f+afest un élément deE1et a une fonction constante. 2.Montrer que l’on peut définir une applicationΦde H×H dansR, qui à tout ¡ ¢ élémentg1,g2de H×H associe Z ¡ ¢1 Φg1,g2=g1(t)g2(t) dt. 2π π0 ¡ ¢¡ ¢¡ ¢ ExprimerΦg1,g2en fonction des coordonnéesα1;β1;γ1etα2;β2;γ2 deg1etg2dans la baseBk. 3.Montrer queΦest un produit scalaire. Déterminerkpour que la baseBksoit orthonormée pour ce produit scalaire. Partie C On munit H de la multiplication scalaireψet on rapporte H à la base orthonormée p B2. 2 ′′ 1.SoitΨl’application qui à tout élémentgde H associeΨ(g)=g. Montrer queΨest un endomorphisme de H. On note I l’application identique dans H. Montrer queΨest la composée de l’application (I) et d’une application que l’on caractérisera.
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Le baccalauréat de 1981
A. P. M. E. P.
2.Pour tout entier natureln, on considère l’applicationϕnde H vers F, qui à tout élémentgde H tel queg=f+aassocie la fonction
n+1 (n) ϕn(g)=(1) [f+a]. a.Montrer queϕnest un endomorphisme de H et que
ϕn+4=ϕn. b.En déduire, suivant l’entiern, l’expression analytique deϕndans la base p B2. 2 c.Déterminer suivant les valeurs den, la nature deϕnet préciser, dans chacun des cas, ses éléments remarquables. d.SoitΘnla restriction deϕnau plan vectorielE1. Montrer que l’ensemble {Θ0,Θ1,Θ2,Θ3} muni de la loide composition des applications est un groupe commutatif.
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