Baccalauréat C La Réunion septembre
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Description

Niveau: Secondaire, Lycée
[ Baccalauréat C La Réunion \septembre 1983 EXERCICE 1 1. Montrer que, pour tout réel x positif, on a x? x 2 2 6 ln(1+ x)6 x (où lnx représente le logarithme népérien de x). 2. En déduire la limite de la suite (un )n?N de terme général un = ( 1+ 1 n2 )( 1+ 2 n2 ) · · · ( 1+ n?1 n2 ) ( 1+ n n2 ) . On admettra que n ∑ k=1 k2 = n(n+1)(2n+1)6 . EXERCICE 2 Dans C, le corps des nombres complexes, on considère l'équation : (E )z3? (5+11i)z2+ (16i?4)z+12?28i = 0. 1. Vérifier que (E) admet une racine imaginaire pure z0. Après avoir écrit le pre- mier membre de (E) sous la forme (z? z0) ( z2+?z+? ) , où ? et ? sont des nombres complexes à déterminer, résoudre (E). On notera z1 et z2 les solutions de (E) distinctes de z0, avec |z1| < |z2|. 2.

  • repère orthonormé direct

  • courbes avec le demi-plan

  • représentation graphique de f?

  • image de l'intérieur du triangle abc

  • courbe c?


Informations

Publié par
Publié le 01 septembre 1983
Nombre de lectures 32
Langue Français

Extrait

[Baccalauréat C La Réunion\ septembre 1983
EX E R C IC E1 1.Montrer que, pour tout réelxpositif, on a 2 x x6ln(1+x)6x 2 (où lnxreprésente le logarithme népérien dex). e la suitee terme général 2.(En déduire la limite dun)nNd µ ¶µ ¶µ ¶ ³ ´ 1 2n1n un=1+1∙ ∙+ ∙1+1+. 2 22 2 n nn n n X n(n+1)(2n+1) 2 On admettra quek=. 6 k=1
EX E R C IC E2 DansC, le corps des nombres complexes, on considère l’équation :
3 2 (E)z(5+11i)z+(16i4)z+1228i=0. 1.Vérifier que (E) admet une racine imaginaire purez0. Après avoir écrit le pre mier membre de (E) sous la forme ¡ ¢ 2 (zz0)z+αz+β, αetβsont des nombres complexes à déterminer, résoudre (E). On noteraz1etz2les solutions de (E) distinctes dez0, avec|z1| < |z2|. ³ ´ 2.Soit P un plan orienté, rapporté à un repère orthonormé direct O,u,v. On considèreΩle point d’affixe 2i. On appelleM1etM2les points d’affixes respectifsz1etz2. Montrer qu’il existe une unique similitude directe de P, notéeS, de centreΩet telle queS(M1)=M2. Déterminer ses éléments caractéristiques.
PR O B L È M E ⋆ ⋆ Suivant l’usage,RetRdésignent respectivement l’ensemble des nombres réels + non nuls, et l’ensemble des nombres réels strictement positifs. Soit P un plan rap ³ ´ porté à un repère orthonormalO,ı,. Préliminaire ⋆ ⋆ ,b)R×Rn associe l’applicatio À tout couple (a+n, oϕa,bde P dans P qui, à tout pointMde coordonnées (x;y), fait correspondre le pointMde coordonnées ¡ ¢ ′ ′ x;ytel que ½ x=a x y=b y. ⋆ ⋆ 1. a.Soit (a,b)R×R. Montrer que l’on a +
ϕ=ϕϕ=ϕϕ. a,b a, 11,b1,b a, 1 Préciser la nature deϕa, 1et deϕ1,b.
Le baccalauréat de 1984
A. P. M. E. P.
b.SoitMle point de coordonnées (1 ; 2) ; choisissanta=2 etb=3, on pose ′ ′ m=ϕ2, 1(M) etM=ϕ1, 3(m), doncM=ϕ2, 3(M). Dessiner les pointsM,metM. c.Déterminer suivant les valeurs deal’ensemble des droites du plan P in variantes parϕa, 2(c’estàdire les droitesΔtelles queϕa, 2(Δ)=Δ).
Partie A On considère les applications numériques deRdansR
λ f r acmx fλ,m:x7e , 2 x λetmétant des paramètres,λ]0 ;+∞[ etmR. On noteCλ,mla représentation graphique defλ,mdans P.
1.Étudierf1, 0et dessinerC1, 0. 2.Étudier les variations def1, 1. Calculer les limites def1, 1aux bornes de son en µ semble de définitionpour calculer la limite def1, 1(x)quandxtend vers0par valeurs inférieures on pourra p f1, 1(x) Calculer la limite dequandxtend vers 0 par valeurs inférieures; que x déduiton de ce dernier résultat ? TracerC1, 1. ⋆ ⋆⋆ ⋆ 3. a.Montrer que, quel que soit (λ,m)R×R, il existe (a,b)R×Rtel + + queC=ϕ(C). λ,m a,b1, 1 b.Pour toutλ>0 montrer qu’il existebRtel que +
C1, 0)=ϕ1,b(C1, 0). ⋆ ⋆ 4.Soit (λ,m)R×R. Trouver une primitive defλ,msur ]0 ;+∞[. + Partie B Les notations des parties précédentes sont conservées. Soit P1l’ensemble des points Mdu plan P dont les coordonnées (x;y) vérifientx6=0, et soit P2l’ensemble des pointsMdont les coordonnées vérifient :x6=0 ety>0. ¡ ¢ ′ ′À tout pointM(x;y) de P on associe le pointMdont les coordonnéesx;ysont données par : 1 x= x 2x y=xe
1.Montrer qu’on définit ainsi une bijection de P1sur P2; dans la suite, cette bi jection sera notéeT. 1 Déterminer l’application réciproqueT. Dans tout ce qui suit, si E est une partie du plan P, l’image de EP1parTsera appelée (abusivement) : image de E parT. 2.Déterminer l’image parTde la droite d’équationx=k(k6=0). 2 3. a.Soit (α,β)Ret Dα,βla droite d’équationy=αx+β. Montrer qu’il existeλ]0 ;+∞[ etmRtels queCλ,msoit l’image de Dα,βparT. b.Réciproquement, toute courbeCλ,mestelle l’image parTd’une droite Dα,β?
La Réunion
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septembre 1983
Le baccalauréat de 1984
A. P. M. E. P.
4.On considère les points, donnés par leurs coordonnées : µ ¶ 1 A(1 ; 1),B ;0 etC(1 ; 0). 2 ′ ′ a.et CDéterminer les images A, Bde ces points parT. b.Quelles sont les courbesCλ,mimages parTdes droites (AB), (BC) et quelle est l’image de la droite (AC) ? Sur un même graphique représenter l’intersection de ces courbes avec le demiplan constitué par les points d’abscisses strictement positive. c.Préciser, sur le graphique, l’image de l’intérieur du triangle ABC et déter miner l’aire de cette image.
La Réunion
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septembre 1983
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