Correction du baccalauréat S Asie juin
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Description

Niveau: Secondaire, Lycée
[ Correction du baccalauréat S Asie 18 juin 2008 \ EXERCICE 1 5 points 1. a. On a la loi binomiale X ,?B(8 ; 0,1), de paramètres n = 8 et p = 0,1.. b. p(A)= p(X = 0)= (8 0 ) ?0,10 ?0,98 ≈ 0,430≈ 0,43, à 10?2 près. p(B)= p(X > 1)= 1?p(X = 0)= 1?p(A)≈ 0,57, à 10?2 près. p(C )= p(X = 2)= (8 2 ) ?0,1?0,96 ≈ 0,148≈ 0,15, à 10?2 près. 2. a. On a l'arbre de probabilités suivant : D0,1 E0,2 E0,8 D0,9 E 1 b. En utilisant les branches conduisant à E et en utilisant la formule des probabi- lités totales : p(E )= p(D)?pD (E )+p(D)?pD (E )= 0,1?0,2+0,8?1 = 0,92. c. pE (D)= p(E ?D) p(E ) = 0,02 0,92 = 1 46 ≈ 0,0217 ≈ 0,022, à 10?3 près.

  • symétriques autour de l'axe des réels

  • demi-axe contenant les points d'affixes négatives

  • cercle de centre

  • axe des abscisses

  • centre de gravité du triangle

  • ??


Informations

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Publié le 01 juin 2008
Nombre de lectures 14
Langue Français

Extrait

[Correction du baccalauréat S Asie 18 juin 2008\
EX E R C IC Epoints1 5 1. a.On a la loi binomialeX,Bde paramètres0, 1),(8 ;n=8 etp=0, 1.. ¡ ¢ 8 082 b.p(A)=p(X=0)= ×0, 1×0, 90, 430près.0, 43,à 10 0 2 p(B)=p(X>1)=1p(X=0)=1p(A)près.à 100, 57, ¡ ¢ 8 62 p(C)=p(X=2)= ×0, 1×0, 90, 148près.0, 15,à 10 2 2. a.On a l’arbre de probabilités suivant : 0, 2 E 0, 1 D E 0, 8 1 0, 9D E
b.En utilisant les branches conduisant àEet en utilisant la formule des probabi lités totales : p(E)=p(D)×pD(E)+p(D)×p(E)=0, 1×0, 2+0, 8×1=0, 92. D p(ED) 0,02 1 3 c.pE(D)= == ≈0, 0217près.à 100, 022, p(E) 0,92 46 3.On a à nouveau une épreuve binomiale de paramètren=8 etp=10, 022=0, 978. La probabilité qu’il n’y ait aucun stylo avec un défaut dans ce prélèvement de huit stylos est : ¡ ¢ 8 8 12 (0, 978)×0, 022=≈près.à 100, 84 0 Conclusion : ce contrôle permet de presque doubler les chances d’avoir un lot de huit stylos sans défaut.
EX E R C IC E2 Partie A
5 points
1.Le tableau de variations permet d’énoncer que la fonctionfest définie sur ]0 ;+∞[, i ih h 1 1 2 2 croissante sur0 ;e ,décroissante sure ;+∞avec un extremum (maximum) 11 2 en eégal à. 2e Les démonstrations : – Variations. La fonctionfest dérivable sur ]0 ;+∞[ comme fonction de fonctions déri vables le dénominateur ne s’annulant pas. Sur cet intervalle on a : 1 2 ×x2xln(x) x2xln(x) 12 ln(x) x f(x)== =. 4 43 x xx 3 Commex>0, le signe de cette dérivée est celui de 12 ln(x). On a 1 1 2 12 ln(x)>0= ⇐⇒ln(x)< ⇐⇒x<e .De même : 2 1 1 2 12 ln(x)<0= ⇐⇒ln(x)> ⇐⇒x>e . 2 i ih h 1 1 2 2 Donc la fonctionfe ;décroissante sure et0 ;est croissante sur+∞. 1 ³ ´ 1 11 2 2 2 fa donc un maximum en eetfe= =. ³ ´ 12 2e e 2
Baccalauréat S
A. P. M. E. P.
– Limites. Limite en 0 : limf(x)= −∞. x0 Limite en+∞. ln(x) limf(x)=lim=0 (par croissance comparée). 2 x→+∞x→+∞ x 2.La fonctionfest dérivable sur ]0 ;+∞[, donc son graphe a une tangente en chacun de ses pointsM(X;Y). lnx12 lnx On aM(X;Y)(T)⇐⇒Yf(x)=f(x)(Xx)⇐⇒Y− =(Xx)⇐⇒ 2 3 x x lnx12 lnx Y= +(Xx). 2 3 x x 1+2 lnxlnx1+3 lnx DoncX=0 entraîneY= +=. 2 2 2 x x x 11 DoncY=0⇐⇒ −1+3 lnx=0⇐⇒lnx= ⇐⇒x=e . 3 3 Il existe donc une tangente àCcontenant O : c’est la tangente au point d’abscisse 1 x=e etl’équation de cette tangente est : 3 1 Y=X. 3e Partie B Z x 1. a.gest définie parg(x)=f(t) dt, alors c’est la primitive defsur ]0 ;+∞[ qui 1 s’annule en 1 :fest donc la dérivée degsur ]0 ;+∞[. b.Il en résulte que le signe deg(x) est celui def(x) ou encore celui de ln(x) 2 puisquex>0. La fonctiongest décroissante sur ]0 ; 1] et sur [1 ;+∞[. g(1)=0 est donc le minimum degsur ]0 ;+∞[. Z 3 2.La fonctionfest continue et positive sur l’intervalle [1 ; 3], alorsg(3)=f(t)dtest 1 donc égale à l’aire, en unités d’aire, de la surface limitée par (C), l’axe des abscisses et les droites d’équationsx=1 etx=3. Z ZZ 1 1 1 ¡ ¢ 2 1 De mêmeg=f(t) dt= −f(t) dt=(f(t)) dt. On a vu que sur l’inter 2 1 1 1 ¡ ¢ 2 2 1 valle d’intégration la fonctionfest négative doncfest positive etgest égale à 2 l’aire, en unités d’aire, de la surface limitée par (C), l’axe des abscisses, et les droites 1 d’équationsx=etx=1. 2 3. a.On pose : (1 u(t)=ln(t)u(t)= t 1 1 v(t)=2v(t)= − t t Toutes ces fonctions sont dérivables, donc continues : on peut donc intégrer par parties et · ¸Z µ¶ ·¸ x xx ln(t) 1lnt+1 lnx+1 ln1+1 lnx+1 g(x)= −+dt= −+ == −1. 2 t tx1x 1 1t1 lnx1 b.On ag(x)=1− −. La limite des deux derniers termes est clairement nulle, x x donc : limg(x)=1. x→+∞
EX E R C IC E3
Asie
2
5 points
18 juin 2008
Baccalauréat S
A. P. M. E. P.
µ ¶ 2 6 1. a.u1=1+u0+ =3×5+6=21. 1 1 b.On obtient :d1=u1u0=16,d2=u2u1=24, puisd3=32,d4=40,d5=48. On peut donc conjecturer que la suite (darithmétique de raison 8 et) est n nN de premier terme 16. vl 2.Soit (n)nNa suite arithmétique de raison 8 et de premier termev0=16. On sait que, pour tout entier natureln,vn=16+8n=8(n+2). La sommeSndesnpremiers termes est :Sn=v0+v1+ ∙ ∙ ∙ +vn1=n×v0+8+2×8+ n(n1) 2 ∙ ∙ ∙ +(n1)×8=16n+8× =16n+4n(n1)=4n+12n. 2 3.Démonstration par récurrence : – Initialisation:u0=5 : vrai 2 – Hérédité: supposons qu’il existenNtel queun=4n+12n+5. µ ¶µ ¶ 2 62¡ ¢6 2 Alorsun+1=1+un+ =1+4n+12n+5+. n+1n+1n+1n+1 2 22 2 Or 4n+12n+5=4(n+1)8n4+12n+5=4(n+1)+4n+1=4(n+1)+ 4(n+1)3. En reportant dansun+1au dessus, on obtient : µ ¶ 2£ ¤6 2 un+1=1+4(n+1)+4(n+1)3+ = n+1n+1 6 6 2 2 4(n+1)+4(n+1)3+8(n+1)+8− + =4(n+1)+12(n+1)+5. n+1n+1 La relation est donc vraie au rangn+1. Conclusion : on vient de démontrer par récurrence que, quel que soitnN, 2 un=4n+12n+5. 4.SoitnN, d’aprèsles questions précédentes, on déduit que :dn=un+1un= ¡ ¢ 2 22 2 4(n+1)+12(n+1)+54n+12n+5=4n+8n+4+12n+124n12n5= 8n+16=vn. Conclusion : la suite (darithmétique de raison 8 et de premier terme) estd= n nN0 16.
EX E R C IC E4 Candidats n’ayant pas suivi l’enseignement de spécialité
5 points
2π 1.Par définition de l’expression complexe de la rotation de centre O et d’angle: 3 2π i 3 z=ez. 2π2π π i ii iπ Donc, en particulier :zB=ezA=e×e=e= −1 3 33 2π2π5π π i iiπii De même :zC=ezB=e×e=e=e=zA 3 33 3 Donc A et C sont symétriques autour de l’axe des réels. 2. a.|zA| = |zB| = |zC| =1, donc : OA = OB = OC = 1. Les trois points A, B et C sont à la distance 1 du point O : ils appartiennent au cercle de centre O (C) circonscrit au triangle ABC. Construction : on dessine le cercle (C) et le cercle de centre le point d’affixe 1 et de rayon 1 ; ces deux cercles sont sécants en A et C, le point A étant celui qui a une ordonnée positive. B est le point d’intersection de (C) avec le demiaxe contenant les points d’affixes négatives. b.On azA+zB+zC=0, autrement dit O est l’isobarycentre des points A, B et C, donc le centre de gravité du triangle (ABC). Ce triangle est isocèle en B. De plus ³ ´ π4π 5π πi i i i e×e1 3 3 zCzAee 3 3 π i 3 =π=4π=e . i i z3 3 zB A1e e1 Le module de ce complexe est égal à 1, donc AB = AC et en conclusion le tri angle (ABC) est équilatéral.
Asie
3
18 juin 2008
Baccalauréat S
A. P. M. E. P.
3. a.Cf. figure. b.Le triangle PQR homothétique de ABC est semblable à ce triangle, donc lui aussi équilatéral. 4. a.L’écriture complexe dehest : z= −2z. b.zA+zB+zC=0 est l’affixe du vecteur OA+OB+OC . O est le centre du cercle circonscrit au triangle équilatéral ABC, il en est aussi le ~ centre de gravité (isobarycentre des points A, B et C), alors OA+OB+OC=0. 1 Par conséquent :zA+zB+zC=0⇐⇒zA= −zBzC⇐⇒zA=(2zB2zC)= 2 1¡ ¢ zQ+zR. 2 Cette égalité signifie que A est le milieu du segment [QR]. c.Par définition de l’homothétie P, O et A sont alignés. La droite (PA) médiane du triangle équilatéral (PQR) est aussi hauteur ; donc (OA) est perpendiculaire à la droite (QR). Conclusion : cette droite (QR) est la tangente en A au cercleC.
B
R
P
C
O
A
C
Q
EX E R C IC E4 5points Candidats ayant suivi l’enseignement de spécialité 1. a.L’écriture complexe des1estz=a z+bavecaR,a6=0,bR. Les deux points A et B sont invariants pars1ce qui se traduit par : ½ 2+i=a(2i)+b3+i 3(par différence)+i=a(3i)⇐⇒a= ⇐⇒ 5+2i=a(52i)+b3i 2 (3+i) 8+36i 4 a= == +i. (3+i)(35i) 10 5 µ ¶ 4 38 En reportant dans la première équation :b=2+i(2i)+i=2+i− − 5 55 3 64 13 i+i+= −i. 5 55 55
Asie
4
18 juin 2008
Baccalauréat S
A. P. M. E. P.
µ ¶ 4 31 32 1 b.On az= +i×(i)++ −i= −i. C 5 55 55 5 c.SoitM(x;y) un point du plan avecxR,yR. On az=x+iyet µ ¶ 4 31 3 z= +i (xiy)− +i. 5 55 5 Ce nombre est imaginaire pur si sa partie réelle est nulle soit 4 13 x− +y=0⇐⇒4x1+3y=0⇐⇒4x+3y=1. 5 55 L’ensemble des pointsMtels quezest imaginaire pur est donc la droite (D) d’équation 4x+3y=1. µ ¶µ ¶µ ¶ 2 12 183 d.C ;− ∈D⇐⇒4× +3=× −1⇐⇒ =1 qui est vraie. 5 55 55 Le point Cappartient donc à la droite (D). 2. a.Équation cartésienne de la droite (AB) :M(x;y)(AB)⇐⇒y=αx+β; en particulier : ½ 1=2α+β1 21 1=3α⇐⇒α=; d’oùβ=12α=1− =. 2=5α+β33 3 1 1 M(x;y)(AB)⇐⇒y=x+.M(x;y)(D)⇐⇒4x+3y=1. 3 3 µ ¶ 1 1 Donc un pointΩest commun aux deux droites si et seulement si 4x+3x+ = 3 3 1 1⇐⇒4x+x+1=1⇐⇒5x=0⇐⇒x=0, d’oùy=. L’affixe deΩest donc 3 1 ω=i. 3 b.Les symétries axialess1ets2sont des similitudes indirectes de rapport 1. Leur composée est une similitude directe dont le rapport est le produit des rapports des deux similitudes, donc égal à 1. ′ ′ Plus précisement siz=a z+b,|a| =1 est l’écriture complexe des1et siz= ′ ′ c z+d,|c| =1 est l’écriture complexe des2, alors siM(z) a pour imageM(z) ′′ ′′pars1etM(z) est l’image deMpars2, on a : ′′ ′ z=c z+d ¡ ¢ =c az+b+d ³ ´ =c az+b+d =ac z+bc+d ¯ ¯ ¯¯ qui est l’écriture complexe d’une similitude directe, carac=a× |c| = |a| × |c| =1, d’après les hypothèses. ′ ′ c.L’image de C pars1et comme on vient de démontrer que Cest Cappartient donc à la droite (D) il est invariant pars2. Conclusion :f(C)=C . Ωappartient à (AB), doncs1(Ω)=Ω, maisΩappartient aussi àD, doncs2(Ω)= Ω. Conclusionf(Ω)=Ω. d.fest une similitude directe de rapport 1. Ce n’est ni l’identité, ni une trans lation c’est donc une rotation de centreΩpuisque ce point est invariant par f. 3. a.Le couple (1 ;1) est solution évidente de l’équation (4×1+3×(1)=1 (1)). Si (x;y) est une solution de l’équation on a 4x+3y=; on a donc par1 (2) différence (2)  (1) 4(x1)+3(y+1)=0⇐⇒4(x1)= −3(y+1) (3). 4 divise donc3(y+1), mais comme il est premier avec3 il divisey+1. Il existe donckZtel quey+1=4k⇐⇒y= −1+4k. En remplaçant dans (3), 4(x1)= −3×4k⇐⇒x1= −3k⇐⇒x=13k.
Asie
5
18 juin 2008
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