Correction du baccalauréat S Centres étrangers 17 juin 2008
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Description

Niveau: Secondaire, Lycée
Durée : 4 heures Correction du baccalauréat S Centres étrangers 17 juin 2008 EXERCICE 1 4 points Commun à tous les candidats 1. Affirmation 1 : VRAI. On a ???AB (?3 ; 1 ; 5) et ???AC (?2 ; ?3 ; ?4) : ces deux vecteurs ne sont pas coli- néaires, donc les points A, B et C définissent un plan. 2. Affirmation 2 : FAUX. On a A ?P ?? 2?2?1+1 = 0 : vrai C ?P ?? 0+4+3+1 = 0 : faux La droite (AC) n'est donc pas incluse dans le plan P . 3. Affirmation 3 : VRAI Dans l'affirmative un vecteur normal à ce plan serait ??n (1 ; 8 ; ?1). On a ???AD (?1 ; 0 ; ?1) et ??n ·???AB = ?3+8?5 = 0, donc ??n est bien orthogonal à ??AB ; de même ??n ·???AD =?1+0+1= 0, donc ??n est bien orthogonal à ???AD . Enfin A appartient à ce plan si ses coordonnées vérifient l'équation proposée soit : 2+8+1?11 = 0 qui est vraie 4. Affirmation 4 : FAUX M(x ; y ; z) ? (AC) ?? il existe? ?R tel que???AM =????AC ?? ? ? ? x ?0 = ?2? y +2 = ?3? z ?3 = 4? ?? ? ? ? x = ?2? y = ?2?3? z = 3+4? En prenant k =?? on obtient : ? ? ? x

  • écriture complexe de la similitude indirecte

  • points réservé aux candidats

  • position du point ?

  • ?? pb

  • similitude d'angle pi

  • ??

  • ?? ?


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Publié le 01 juin 2008
Nombre de lectures 10
Langue Français

Extrait

Durée : 4 heures
Correction du baccalauréat S Centres étrangers 17 juin 2008
EX E R C IC E1 4 points Commun à tous les candidats 1.Affirmation 1 : VRAI. On a AB (3 ; 1 ; 5) et AC (2 ;3 ;4) : ces deux vecteurs ne sont pas coli néaires, donc les points A, B et C définissent un plan. 2.Affirmation 2 : FAUX. On a AP⇐⇒221+1=0 : vrai CP⇐⇒0+4+3+1=0 : faux La droite (AC) n’est donc pas incluse dans le planP. 3.Affirmation 3 : VRAI −→ Dans l’affirmative un vecteur normal à ce plan seraitn8 ;(1 ; 1). On a AD (1 ; 0 ;1) etnAB= −3+85=0, doncnest bien orthogonal à AB ; −→de mêmenAD= −1+0+1=0, doncnest bien orthogonal à AD . Enfin A appartient à ce plan si ses coordonnées vérifient l’équation proposée soit : 2+8+111=0 qui est vraie 4.Affirmation 4 : FAUX x0= −2λ −−→M(x;y;z)(AC)⇐⇒il existeλRtel que AM=λAC⇐⇒y+2= −3λ z3=4λ   x= −2λx=2k   ⇐⇒y= −23λEn prenantk= −λon obtient :y= −2+3k.   z=3+4λz=34k 5.Affirmation 5 : FAUX On a ABCD= −25 : ces vecteurs ne sont pas orthogonaux, les droites non plus. 6.Affirmation 6 : FAUX p |8|8 8 66 4 On ad(C,P)=p = = = . 6 3 1+4+1 6 7.Affirmation 7 : VRAI |122+1|2 2 6 6 On ad(D,P)=p = = = . La distance de D au plan 6 3 1+4+1 6 6 est égale au rayon de la sphère, donc la sphère de centre D et de rayon est 3 bien tangente au planP. 8.Affirmation 8 : VRAI La perpendiculaire àPcontenant C a pour équations paramétriques :   x0=λx=λ   y+2= −2λ⇐⇒y= −22λ   z3=λz− =3+λ Les coordonnées du point E commun à cette droite et au plan vér ifie l’équa tion dePsoitλ2(22λ)+3+λ+1=0⇐⇒λ+4+4λ+4+λ=0⇐⇒ 4 6λ+8=0⇐⇒λ= −. 3 µ ¶ 4 2 5 On a donc E.; ; 3 3 3
Baccalauréat S
A. P. M. E. P.
EX E R C IC E2 5 points Réservé aux candidats n’ayant pas suivi l’enseignement de spécialité 2 2 2 2 2 1.z+4z+8=0⇐⇒(z+2)4+8=0⇐⇒(z+2)= −4⇐⇒(z+2)=(2i) , d’où les deux solutionsz1= −2+2i etz2= −22i. p p 2 2 On a|z1| = |z2| =2+2=2 2. à ! p2 2¡ ¢p3iπ 3π3π D’oùz1=2 2− +i=2 2 cos+i sin=.2 2e 4 4 4 2 2 £ ¡ ¢ ¡ ¢¤3iπ 3π3πDe mêmez2=2 2 cos− +i sin− =.2 2e 4 4 4 2.Figure :
3.
-3 3
B
-2 2
C
3 3
2 2
1 1
0 -1 0O 1 -1 1
-2 2
-3 3
-4 4
-5 5
-6 6
-7
G2
1 1
A
D
2 2
3 3
a.Par définition de la rotation :zCzO=i (zBzO)⇐⇒zC=i(2+2i)= 22i=z2 b.On a :zDzA=i (zCzA)⇐⇒zD=22i+i (22i2+2+2i)=26i c.On a AB (4 ; 4) et DC (4 ; 4), donc AB=DC⇐⇒(ABCD) est un paral lélogramme −→−→ −−−→ −→ a.Par définitionGαexiste car 11+α6=0 et 1GαA1GαB+αGαC=0⇐⇒ −−−→1αCGα=BA⇐⇒CGα=BA (puisqueα6=0. α −−−→b.L’égalité précédente montre que les vecteurs CGαet BA sont colinéaires, donc que le pointGαappartient à la parallèle à la droite (AB) contenant 1 C. CommeαR,R, doncGαne peut être en C. α L’ensemble des pointsGαest donc la parallèle à (BA) contenant C ou encore la droite (CD) privée du point C puisque (ABCD) est un parallélo gramme. c.Par définition (ABCD) est un parallélogramme⇐⇒DB=DA+DC⇐⇒ DADB+DC=0⇐⇒D est le barycentre du système {(A, 1), (B,1), (C, 1). ConclusionGα=D pourα=1.
Centres étrangers
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Baccalauréat S
A. P. M. E. P.
−→−→ On a doncG2barycentre de (A, 1), (B,1) et (C, 2) équivaut àG2AG2B+ 2G2C=0 . p −−→ −−→ −−→ Donc°MAMB+2MC°=4 2⇐⇒ p −−−→°MG2+G2AMG2G2B+2MG2+2G2C°=4 2⇐⇒2MG2=4 2⇐⇒ p p 2G2M=4 2⇐⇒G2M=2 2. Cette dernière égalité montre que les pointsMappartiennent au cercle de centreG2de rayon 2 2. −→1 Construction : comme CG2=BA, on en déduit queG2est le milieu de [CD] 2 et on a facilementG2D=2 2=G2C. L’ensemble cherché est donc le cercle centré au milieu de [CD ] et de diamètre [CD] .
EX E R C IC E2 Réservé aux candidats ayant suivi l’enseignement de spécialité 14.Figure :
3
E
D
2
1
3
2
1
C
O
Ω
1
5 points
2
B
A
1 2.(2 ; 0) et CB On a OA (2 ; 0), donc OA=CB⇐⇒(OABC) est un parallélo p p 2 2 2 2 gramme ; de plus OB=2+3=13 et AC=2+3=13, donc AC = OB ce qui montre que (OABC) est un rectangle. −→De même AE ((; 0) et BD 4, 5 4, 5 ; 0), donc (ABDE) est un parallélogramme et comme (AB) est perpendiculaire à (AE), (ABDE) est un rectangle. De plus le format (rapport longueur sur largeur) de ces deux r ectangles est 3 égal à : ils sont donc semblables. 2 3. Étude d’une similitude directe transformant OABC en ABDE a.L’écriture complexe de la similitude complexesestz=a z+b. A=s(O)⇐⇒2=b; B=s(A)⇐⇒2+3i=b; 3 On obtient doncb=2 eta=i. 2
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Baccalauréat S
A. P. M. E. P.
3 s:z7z=iz+2. 2 3 5 3 b.On azs(B)=i(2+3i)+2= − +i=zDet comme les rectangles sont 2 2 2 semblables, l’image de C est E. c.ilitude estL’image de la droite (OA) est la droite (AB) : l’angle de la sim π donc égale à . 2 d.On ass(O)=B,ss(A)=D. Cette composée de similitudes est une similitude d’angleπ, donc O,Ωet B d’une part, A,Ωet D d’autre part sont alignés :Ωapprtient donc aux droites (OB) et (AD). D’où la position du pointΩ.
4. Étude d’une similitude indirecte transformant OABC en BAED a.L’écriture complexe de la similitude indirecte estz=a z+b. On a donczs(O)=zB=a zO+b⇐⇒2+3i=b, et d’autre part zs(A)=zA⇐⇒2=2a+b. 3 On en déduit queb=2+3i eta= −i. 2 3 ′ ′ s;z7z= −iz+2+3i. 2
3 9 5 b.On azs(B)= −i(23i+2+3i= −3i− +2+3i== − zEet comme les 2 2 2 rectangles sont semblables l’image de C est D. 3 c.Soit F(x;y) un point fixe des; on a doncx+iy= −i(xiy)+2+3i, ce 2 qui donne le système : 3  ½ ½ x= −y+2 2x+3y=4x=2 2 ⇐⇒ ⇐⇒ 3 3x+2y=6y=0 y= −x+3 2 Il y a donc un seul point fixe, le point A. 3 3 Dez= −iz+2+3i et 2= −i×2+2+3i, on obtient par différence : 2 2 3¡ ¢ z2= −iz2 . 2 On voit que si on nommeσla réflexion d’axe (OA) ; on aσ(z)=z1, puis 3 ′ ′ z2= −i (z12) , doncMest l’image deM1d’affixez1par la simili 2 3π tude directe de rapport d’angle et de centre le point A. 2 2
EX E R C IC E3 Commun à tous les candidats
I. Partie A
1.Arbre de probabilités :
Centres étrangers
4
4 points
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Baccalauréat S
2.
0,08
0,82
0,10
I
O
M
0,50
0,50
0,60
0,40
0,25
F
F
F
F
F
A. P. M. E. P.
F 0,75 a.p(M)=10, 080, 82=0, 10. b.p(MF)=0, 10×0, 25=0, 025. c.p(F)=p(FI)+p(FO)+p(FM)=0, 08×0, 5+0, 82×0, 6+0, 1×0, 25= 0, 557.
II. Partie B 1.On a l’arbre suivant :
0,04
0,96
B
B
A
A 0,003
A 0,002
A ³ ´ ³ ´ ³ ´ ´pBA 0, 003 3 On apBA=p(B)×pBA⇐⇒pBA= = =. p04 40(B) 0, 3 37 On en déduit quepB(A)=1− =. 40 40 37 D’oùp(BA)=p(B)×pB(A)=0, 04× =0, 037. 40 ³ ´ 37 2.p(BA)+pBA=0, 04× +0, 002=0, 037+0, 002=0, 039. 40 p(AB) 0, 037 37 3.pA(B)== = . p039 39(A 0,
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Baccalauréat S
EX E R C IC E4 Commun à tous les candidats
A. P. M. E. P.
7 points
I. Restitution organisée des connaissances II. Étude d’une fonctionf 1. a.La fonctionusomme de fonctions dérivables sur ]0 ;+∞[ est dérivable sur ce même intervalle et 1 2 u(x)=3x+2× >0 comme somme de termes positifs. Donc la fonc x tionuest croissante sur ]0 ;+∞[. b.On au(1)=11+2 ln 1=0. Conclusion :u(x)>0 sur ]1 ;+∞[ etu(x)<0 sur ]− ∞; 1[. 2.Étude de la fonctionf lnx a.On a limx=0 et lim= −∞, donc limf(x)= +∞. 2 x x0x0x0 lnx On a limx= +∞et lim=lim0, donc f(x)= +∞. 2 x→+∞x→+∞x→+∞ x b.fest dérivable comme somme de fonctions dérivables sur ]0 ;+∞[ la seconde fonction quotient ayant un dénominateur non nul : elle est donc dérivable sur ]0 ;+∞[ et 1 2 3 ×x2xlnx 12 lnx x1+2 lnx u(x) x f(x)=1− =1− = =. 4 3 3 3 x x x x 3 Doncf(x) est du signe deu(x) puisquex>0 sur ]0 ;+∞[. D’après la question1. b.on en déduit quef(x)>0 sur ]1 ;+∞[ et f(x)<0 sur ]− ∞; 1[. D’où le tableau de variations de la fonctionf:
x f(x)
f(x)
0
+∞
1
0
1
+
+∞
+∞
3.Éléments graphiques et tracés. lnx a.[Comme lim f(x)x]=lim− =0, ceci montre que la droite (Δ) 2 x→+∞x→+∞ x d’équationy=xest asymptote à la courbeCau voisinage de plus l’in fini. lnx b.Comme− <0 pourx>1, ceci montre que la courbeCest au dessous 2 x de (Δ) à partir du point (1 ; 1). Sur l’intervalle ]0 ; 1[,Cest au dessus deΔ. CetΔsont sécantes en (1 ; 1). c.Figure
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5
4
3
2
1
1 e
1
2
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4
Calculs d’aires 1.On suppose dans cette question queα>1. On a vu que pourx>1,f(x)6x; Z µ · ¸¶ Z α α lnxlnx doncA(α)=xxdx=dx. 2 2 1x1x On pose : (1 u(x)=lnx u(x)= x 1 1 v(x)= 2v(x)= − x x Toutes ces fonctions étant dérivables sur [1 ;+∞[ on peut intégrer par parties et ; · ¸ Z · ¸ α α α lnx1 lnx1 lnα1 lnα1 A(α)+= − dx− − += − − = 0+1=1− −. 2 xα α 1 1xx x 1α α lnα1 2.Comme lim=lim0 et =0, on a α→+∞α→+∞ α α
limA(α)==1. α→+∞
1 1 3.Comme e>2, on a< <1. On a vu que dans ce cas la courbeCest au e 2 dessus de la droite (Δ), donc : Z · ¸ 1 lnx A(α)= −dx 2 αx En intégrant par parties comme précédemment les fonctions étant dérivables sur [α; 1], on obtient · ¸ 1 lnx1 lnα1 A(α)= + =1− −. x xα α α 1 ¡ ¢ln 1 1 1 1 e En particulierA=1=− − 1=− − 1=. e 1 1 1 1 e e e e
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