Corrigé du baccalauréat S Amérique du Sud novembre
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Description

Niveau: Secondaire, Lycée
Corrigé du baccalauréat S Amérique du Sud novembre 2006 EXERCICE 1 3 points Commun à tous les candidats 1. ???AB ? ? ?3 3 0 ? ? , ???AD ? ? ?1 2 9 ? ?. Il n'existe pas de réel? tel que???AB =????AD . Les points A, B et D ne sont pas alignés. 2. Les égalités 3+1= 4 et 0+4= 4 sont vraies ; les points A et B appartiennent au plan. Donc la droite (AB) est contenue dans le plan d'équation cartésienne : x + y = 4. 3. Les coordonnées des trois points vérifient l'équation. L'équation proposée est bien celle du plan (BCD), ces trois points étant manifestement disjoints deux à deux. 4. Les coordonnées de A ne vérifient pas l'équation précédente. Donc A n'appar- tient pas au plan (BCD). Les points A, B, C et D ne sont pas coplanaires. 5. La sphère de centre A et de rayon 9 est tangente au plan (BCD) si et seulement si la distance de A à ce plan est égale au rayon du cercle, c.à.d si d(A, (BCD))= 81 p 182+92+52 = 9 ?? 81 p 430 = 9 qui est une égalité fausse.

  • a6 ?

  • ?? ln?n

  • lnx ?

  • égalité vectorielle???bm

  • ??

  • points commun

  • solution de lnx


Informations

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Publié le 01 novembre 2006
Nombre de lectures 119
Langue Français

Extrait

Corrigé du baccalauréat S Amérique du Sud novembre 2006
EX E R C IC E1 3points Commun à tous les candidats     31     1., ADAB 3Il n’existe pas de réel2 .αtel que AB=αAD . Les points 0 9 A, B et D ne sont pas alignés. 2.Les égalités 3+1=4 et 0+4=4 sont vraies ; les points A et B appartiennent au plan. Donc la droite (AB) est contenue dans le plan d’équation cartésienne : x+y=4. 3.Les coordonnées des trois points vérifient l’équation. L’équation proposée est bien celle du plan (BCD), ces trois points étant manifestement disjoints deux à deux. 4.Les coordonnées de A ne vérifient pas l’équation précédente. Donc A n’appar tient pas au plan (BCD). Les points A, B, C et D ne sont pas coplanaires. 5.La sphère de centre A et de rayon 9 est tangente au plan (BCD) si et seulement si la distance de A à ce plan est égale au rayon du cercle, c.à.d sid(A, (BCD))= 81 81 p =9⇐⇒ =9 qui est une égalité fausse. La proposition 2 2 2 18+9+5 430 est fausse. 6.Une représentation paramétrique de la droite (BD) est obtenue en traduisant x=2λ −−→l’égalité vectorielle BM=λBD quise traduit par le système :y=4λ z= −5+9λ 1 qui se traduit en posant 2λ=12k⇐⇒λ= −kpar le système proposé par 2 l’énoncé. La proposition est vraie.
EX E R C IC E2 Candidats n’ayant pas suivi l’enseignement de spécialité 1.Cf. cours. 2.
5 points
Corrigé terminale S Amérique du Sud
6
5 5 C 4 4 3 3 2 2 1 1 B A 0 321 12 3 4 5 -1 1 DΩ -2 E2 -3 3 -4
-5
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-7
A. P. M. E. P.
-8 E -3 -2 -1 01 2 3 4 5 6 3. a.On obtientz=5i=zet ′ ′ A Cz= −33i=zD. B b.M(z) est invariant parfsi et seulement siz=z=(1+2i)z24i⇐⇒ 2iz=2+2i⇐⇒z=2i. L’équation ayant une seule solution,fa un seul point invariantΩd’affixeω=2i. 4. a.On azz=2iz24i= −2i(2iz). b.En prenant le module des deux complexes cidessus, on obtientM M= M M | −2i| ×ΩMet siΩ6=M,=2. ΩM zz L’égalité trouvée au a peut, siΩ6=M, s’écrire= −2i. En prenant 2iz ³ ´ −→−−→π les arguments de ces deux complexes, on obtientMΩ,M M= −. 2 c.On en déduit que le triangleΩM Mest un triangle rectangle enM. 2 2 d.On a|zE| =1+3=4=2 . à ! · µ¶ µ¶¸ 1 32π2π2π i DonczE=2− −i=2 cos− +i sin− =2e . 3 2 23 3 Pour placer le point E, il suffit de construire le cercle de centre O et de rayon 2. Le point E est le point de ce cercle d’abscisse 1. ³ ´ π ′ ′ D’après les questions b et c on a EE= 2ΩE etEΩ,E E= −. On 2 construit donc la perpendiculaire en E à la droite (EΩ) et on place sur ³ ´ π ′ ′cette droite le point Etel que EE= 2ΩE etEΩ,E E= −. 2
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Corrigé terminale S Amérique du Sud
A. P. M. E. P.
EX E R C IC Epoints2 5 Candidats ayant suivi l’enseignement de spécialité 1.Cf. cours n 2.– Oncherchentel que 21 mod7 ;n=3 est le premier naturel qui convient. n – Oncherchentel que 37 ;1 modn=6 est le premier naturel qui 6 convient car 3=729=7×104+1. 3. a.SoitaN,a6=7k,kN. Il existerN,r<7 tel quea=7k+r. On a donc 6 6 armod 7, doncarmod 7. Or : 6 – 17 : évident :1 mod ¡ ¢ 2 3 3 – 21 mod27 donc d’après la propriété 1 b cidessus,2 1 mod7 ; 6 – 31 mod7 ; ¡ ¢¡ ¢ 3 2 6 23 3 – 4=2=d’après la propriété 1 b cidessus 22 ;71 mod¡ ¢ 2 3 21 mod7. 6 6 – 5=15 625=7×2 232+1, donc 51 mod7. 6 66 66 – Enfin6=(2×3)=2×3 ,donc d’après la propriété du 1 a, 61 mod 7. 6 Conclusion : on a démontré que dans tous les cas :a7.1 mod k b.On aa7,1 modkétant le plus petit naturel vérifiant cette congruence. D’autre part 6=k q+ravecr<k. ¡ ¢ q 6k q+k r kr kq r On a donca=a=a×a=a×a. Ora1 mod7, donc 6r r aa7. Donc1 moda1 mod7. Orkétant le plus petit naturel vérifiant ka7, il en résulte que1 mod r=0, c’estàdire quekdivise 6. Les valeurs possibles pourksont donc 1, 2, 3 et 6. c.t l’ordre deOn a trouvé l’ordre de 2 : c’est 3, donc l’ordre de 4 est aussi 3 e 3, c’est 6 ; on a vu que l’ordre de 5 est 6. 2006 2006 2006 2006 2006 4.A2006=2+3+4+5+6 . ¡ ¢ 334 2 0066×334+2 6×6 2334 2 On a 2006=6×334+2. Donc 2=2=2×2=2×2 . 6 2006 2 Or 27, donc finalement 21 mod7. De même pour les2 mod 2 2 2 2 2 autres puissances, doncAn2+3+4+5+6 mod7, soitAn906 mod 7 (car 90=7×12+6). FinalementA20067 .6 mod
EX E R C IC Epoints3 4 Commun à tous les candidats 1 1. a.On a une loi de Bernoulli de paramètresp=etn=50. 4 1 b.On a E=n p=50× =12, 5.(tulipes jaunes) 4 µ ¶µ ¶ n50n50n ¡ ¢1 3¡ ¢3 50 50 c.On ap(X=n)== ×. n n50 4 44 µ ¶µ ¶ 15 5015 ¡ ¢1 3 50 d.p(X=15)= ×0, 089. 15 4 4 2. a.Si lot choisi est le 2, on a autant de chances d’avoir une tulipe jaune que 1 le contraire. La loi de Bernoulli a ici pour paramètresn=50 etp=. 2 La probabilité d’obtenirntulipes jaunes est donc : µ ¶µ ¶µ ¶ n50n50 ¡ ¢1 1¡ ¢1¡ ¢ 50 505050 pB(Jn)= ×= =2 . n nn 2 22
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Corrigé terminale S Amérique du Sud
A. P. M. E. P.
µ ¶µ ¶ n50n ¡ ¢1 3 50 b.De la même façon que précédemmentpA(Jn)= ×= n 4 4 50n ¡ ¢3 50 ×. n50 4 A et B forment une partition de l’univers, donc d’après la formule des probabilités totales, p(Jn)=p(AJn)+p(BJn)=p(A)×pA(Jn)+p(B)×pB(Jn)= µ ¶µ ¶ 50n50n50n50 1¡ ¢3 1¡ ¢1 1¡ ¢3 11¡ ¢3+2 50 5050 50 × +× =+ =. n50n50n50 50n50 2 42 22 42 24 50n 1¡ ¢3 50 n50 p(AJn)pA(Jn)×p(A) 2 4 c.p=p(A)= == = n Jnµ ¶ 50n p(Jn)p(Jn) 1¡ ¢3 1 50 + n50 50 2 42 50n 3 50n 3 50 4 =. µ ¶ 50n50 50n50 3+2 3+2 50 4 50n 3¡ ¢ 50n50n50 d.pnÊ0, 9⇐⇒ Ê0, 9⇐⇒3Ê0, 93+2⇐⇒0, 1× 50n50 3+2 ln 9+50 ln 2 50n50 3Ê0, 9×2⇐⇒(50n) ln 3Êln(9)+50 ln 2⇐⇒50nÊ ln 3 ln 9+50 ln 2 ⇐⇒nÉ50− ⇐⇒nÉ16, 45. ln 3 Conclusion : il faut quen<17. Interprétation : Si le nombre de tulipes jaunes est peu élevé (ici moins de 17) la probabilité d’avoir choisi le lot 1 est très grande; si ce nombre de tulipes jaunes se rapproche de 25 sur 50, la probabilité est grande que le lot choisi soit le lot 2.
EX E R C IC Epoints4 8 Commun à tous les candidats 1. a.On a limfn(x)= −∞et limfn(x)= +∞. x0x→+∞ 1 1 Dérivée :f(x)= + >0 sur ]0 ;+∞[. Les fonctionsfnsont donc crois n x n santes de−∞à+∞. b.La fonctionfnest continue comme somme de fonctions continues et croissante de−∞à+∞: il existe donc un réel uniqueαn]0 ;+∞[ tel quefn(αn)=0. 1 11 Commefn(1)= −1<0 etfn(e)=11= >0, on en déduit que n nn 1<αn<e. 2. a.L’équation est de la forme :y=a x+1 ; en utilisant le fait qu’elle contient 1 le pointBn, on obtient 0=an+1⇐⇒a= −. On a doncM(x;y)n 1 Δn⇐⇒y= −x+1 n b.Δ1y= −x+1 1 Δ2y= −x+1 2 1 Δ1y= −x+1 3
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2
1
0
1
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α2α3 1 2
3
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A. P. M. E. P.
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3 1 c.Le point commun àΓetΔna ses coordonnées qui vérigfient lnx= −x+ n 1 1⇐⇒lnx+x1=0⇐⇒fn(x)=0 qui a pour solution uniqueαnsur n ]0 ;+∞[. d.α1est la solution de lnx+x1=0 qui a pour solution évidenteα1=1 (suggéré aussi par le croquis). Toujours d’après le croquis la suite (αn) semble croissante. αnαn 3. a.On sait que lnαn+ −1=0⇐⇒lnαn=1. n n αnαnαnαnαnnn1 b.fn+1(αn)=lnαn+ −1=1− +1== −αn= n+1n n+1n+1n n(n+1) αn − <0. n(n+1) c.Orfn+1(αn+1)=0. Conclusion comme les fonctionsfnsont croissantes et commefn+1(αn)<fn+1(αn+1), il en résulte queαn<αn+1, ce qui si gnifie que la suite (αn) est croissante d.La suite (αn) est croissante et majorée par e : elle est donc convergente vers un réelÉe. αn Par continuité, on alim=0, donc ln1=0⇐⇒ln=1⇐⇒= n→+∞ n e. Z e 4. a.On aA(Dn)=lnxdx. αn En intégrant par parties, on trouve qu’une primitive de la fonctionx7→ lnxest la fonctionx7→xlnxx. ³ ´ αn e eeA(Dn)=[xlnxx]α=αnlnαn+αn=αn(1lnα)=αn11+ = n n 2 α n . n b.
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1
lnαn 0
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αn 1
2
e
A. P. M. E. P.
2 D’après le dessin l’intégrale est comprise entre l’aire du rectangle ha churé de gauche à droite et l’aire du rectangle hachuré de droite à gauche : d’où l’encadrement :
2 α n lnαn(eαn)É É1×(eαn) n c.L’encadrement précédent permet (en multipliant parnet en divisant par lnαn, pourn6=1) d’obtenir les deux inégalités : 2 α n2 eαent donc l’encadrement fi n(eαn)ÉetαnÉn(n). On obti lnαn nal : 2 α 2n αÉ nn(eαn)É lnαn 2 d.Par passage à la limite on a donclimn(eαn)=e .. n→+∞ ³ ´ e On peut en déduite quelimαn=1lim e. n→+∞n→+∞ n µ ¶ 1 La suite (αnc’estàdire lentement.) converge donc comme la suite n
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