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Niveau: Secondaire, Lycée
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Langue Deutsch

Extrait

Pour comprendre les phénomènes économiques, les économistes construisent des modèles. Pour analyser laCONCURRENCE(L12)que se livrent lesENTREPRISES(C12)sur le marché, les économistes ont établi le MODELE (C24-a) de laCONCURRENCE (L12)PURE (C17a) et PARFAITE (L9b). Ce MODELE (C24a) a été construit sur cinq hypothèses : L’ATOMICITE (C21a) qui impose que les vendeurs soient en très grand nombre. L’hypothèse d’ d’HOMOGENEITE (L7) suppose que les produits vendus sur le marché sont strictement identiques. Le modèle impose aussi la MOBILITE (L13) des facteurs de production. Il y a de plus une ENTREE (C27) LIBRE (L2b) desENTREPRISES(C12)sur le marché et une TRANSPARENCE (C24b) totale des informations. Toutes ces hypothèses concourent à faire de l’entreprise un PRENEUR (C20) dePRIX (L17b). En anglais, elle est dite PRICE TAKER (C14). L’entreprise insérée dans un marché ainsi modélisé, doit choisir son VOLUME (L6) de production. Pour cela, en considérant le PRIX(L17b)comme une donnée exogène, l’entreprise rationnelle cherche à maximiser son PROFIT (C8). Pour cela, elle doit produire tant que ce que lui rapporte une unité supplémentaire de production est supérieur à ce qu’elle lui coûte à produire. Elle augmente donc son volume de production tant que la RECETTE (L9a) MARGINALE (C5) est supérieure au COUT (L1) marginal. L’entreprise maximise son PROFIT (C8) non en maximisant son chiffre d’AFFAIRES (L2a) mais quand Rm=Cm. Mais lesENTREPRISES(C12)ne se satisfont pas de leur situation dePRICE-TAKER (C14). Elles recherchent des situations dans lesquelles elles pourront peser sur lesPRIX (L17b), c’est-à-dire avoir du POUVOIR (L37) de marché qui leur permet d’alléger les contraintes liées à laCONCURRENCE(L12)des autresENTREPRISES (C12). Pour cela, elles mettent en œuvre des STRATEGIES (L22) visant à être plus COMPETITIVES (C8b) , c’est-à-dire à gagner des parts de marché : compression du COUT (C10) et baisse de leurPRIX(L17b)pour gagner en compétitivitéPRIX(L17b), stratégie qui peut parfois aller jusqu’à une GUERRE (C14b) des PRIX(L17b)pour éliminer les concurrents les plus fragiles. Cependant, le plus souvent, elles ont conscience de prendre des risques importants et peuvent se fragiliser elles-mêmes. Elles peuvent aussi adopter des STRATEGIES (L22) de DIFFERENCIATION (L26) par l’INNOVATION (L17a) ou le MARKETING (C6) pour gagner en compétitivité-QUALITE (C1). C’est alors l’hypothèse d’HOMOGENEITE (C4) du produit qui disparaît. Elles peuvent ainsi se créer une DEMANDE (C19) CAPTIVE (C21b) prête à payer un produit plus cher pour des raisons de QUALITE (C1) ou d’image (Coca-Cola, Levi’s, Apple…) Pour accroître leur POUVOIR (L37) de marché, lesENTREPRISES (C12)cherchent à grossir. On parle de croissance externe de l’entreprise quand une entreprise réalise une opération de FUSION (C5b)-ACQUISITION (C17b). Les économies d’ECHELLE (C3a) dont elles peuvent bénéficier les incitent à poursuivre le processus de CONCENTRATION (L31) du marché. Quand il ne reste plus que quelquesENTREPRISES(C12)sur le marché – on parle alors d’OLIGOPOLE (L29) – elles peuvent décider conjointement, implicitement ou par un accord secret, de maintenir lesPRIX(L17b)au-dessus du COUT (C10) MARGINAL (C14c). On parle alors d’ENTENTE (C15). Quand le processus de CONCENTRATION (L31) se poursuit jusqu’à son terme, il n’y a plus qu’un seul offreur. Le marché est alors devenu un MONOPOLE (L36). On parle de MONOPOLE (L36) naturel. Cependant, tout monopole n’implique pas forcément que l’entreprise qui le détient soit totalement libre de fixer sesPRIX (L17b)et ses quantités. Si les quantités et lesPRIX(L17b) qu’elle fixe sont trop élevés, elle s’expose à une entrée de concurrents sur son marché. Ainsi, pour maintenir sa position dominante, l’entreprise en monopole sur un marché peut avoir intérêt à fixer unPRIX(L17b)et des quantités proches de l’équilibre concurrentiel. Cela n’est vraiment indispensable pour elle que si le marché en question est « CONTESTABLE (L40) », c’est-à-dire s’il y a sur ce marché uneCONCURRENCE (L12)poten-tielle, et cette concurrence potentielle est d’autant plus vraisemblable que l’ENTREE (C27a) sur le marché est plus LIBRE (L2b). Il faut bien se rendre à l’évidence. Les marchés réels sont des oligopoles sur lesquels quelques entreprises se partagent la demande. Avec de telles tendances à l’imperfection des marchés, l’intervention de l’Etat est indispensable pour protéger les intérêts des consommateurs. La POLITIQUE (C12b) de laCONCURRENCE (L12)cherche à distinguer les nécessaires STRATEGIES (L22) de compétitivité desENTREPRISES (C12)– nécessaires pour accroître leur parts de marché et stabiliser leur situation – des PRATIQUES (C7) véritablement ANTI (L45)-CONCURRENTIELLES (L47) – ABUS (L33) de POSITION (C3b) DOMINANTE (L43) et ENTENTES (C15) (ou COLLUSION) (C18) – qui empêchent toute remise en cause de la répartition des parts de marché et nuisent aux consommateurs. Cette action se situe aujourd’hui principalement à l’échelle EUROPEENNE (L44). Une autre hypothèse du MODELE (C24a) est souvent remise en cause et vient contrarier la concurrence : l’absence de TRANSPARENCE (C24b)de l’information. Différents cas d’ASYMETRIE (L35) INFORMATIONNELLE (C25) sont possibles. Certaines concernent le comportement des co-échangistes : c’est l’exemple de l’assureur qui ne connaît pas le degré de risque auquel s’expose généralement son client. Il ne sait pas non plus si l’assurance qu’il lui fournit va l’inciter à prendre plus de risque. C’est le phénomène d’ALEA (L19) MORAL (C27). D’autres asymétries informationnelles sont inhérentes à la nature des produits échangés : c’est l’exemple du marché des voitures d’occasion, les « lemons », exemple dont Akerlof se sert pour montrer que ces asymétries peuvent conduire à la sortie des bonnes voitures d’occasion et donc à la disparition du marché. C’est un processus de SELECTION (L30) ADVERSE (C21c). Là encore, l’intervention de l’Etat est nécessaire : il peut réglementer (contrôle technique) ou autoriser la création de labels de manière à ce que les offreurs de « bons » produits ne soient pas incités à quitter le marché
 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 1U T M C O 2I R E SF F A  A  L R EI B 3 R N4P G  M T 5 I RR O 6 N V O L U MEE D 7F A NEI T H O M N E O G E 8 L IT P L9R E C E T T ER RT EP A R F A I 10 E IU T11CC P R O12 C O N C U R R E N C E M13Q MI T M O B I L ITE14U PS A CR15A EE K IA16M TL H S E TN M 17O NI N N O V A T I P R I XES O 18T M R TP R 19E O K IAL E A 20E V G E UP R E N R L21 E T EE22S CI E E G I S  N A T T R N23N U D A E CI24 I E PG E EN25 E T R A M TF 26NI O A T C I I F F E R R E N E D  C O 27N V H E Q R 28U D E E M 29G O P O L E L I EM I  O A 30 L A SS E L E C T I O N 31T R A T I O N E C O N C E N  I 32 O G T O 33 A S I B U I N 34N O T  N 35 A NE T R I EY M A S 36O L E F M O N O P DL 37O I O U V CR O  P VL 38S L E O O EE 39N LI I  S R40 I O N T O C B L E S T A ES41 T N P I E UE42R Q  I N S43N A N T E U T  D O M I I44N EP E E N T E  N R O E U 45 A N T I N46 Q47R E N T O N C U R  C I E L L E S48 E S
Rappels :  1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 1 M C O U T2I R E S A F F A  L I B R E3 R N4 G PT M 5 I R O R6 N V O L U MEE D 7F A NEI T N E O G E H O M 8I L T P L9EC E T T R E R RT EP A R F A I 10 E IU T11 P CR O12 C O N C U R R E N C E M13I T M II L O B TE14S A CR15E K IA16S E TN17P R I XESPAE UP R E N RENCEPour comprendre les phénomènes économiques, les économistes construisent des modèles. Pour analyser laCONCURRENCE(L12)que se livrent lesENTREPRISES(C12)MODELE (C24-a) de lasur le marché, les économistes ont établi le CONCURRENCE (L12)cinq hypothèses : L’ATOMICITE (C21a) qui imposeMODELE (C24a) a été construit sur PURE (C17a) et PARFAITE (L9b). Ce que les vendeurs soient en très grand nombre. L’hypothèse d’ d’HOMOGENEITE (L7) suppose que les produits vendus sur le marché sont strictement identiques. Le modèle impose aussi la MOBILITE (L13) des facteurs de production. Il y a de plus une ENTREE (C27) LIBRE (L2b) desENTREPRISES(C12)sur le marché et une TRANSPARENCE (C24b) totale des informations. Toutes ces hypothèses concourent à faire de l’entreprise un PRENEUR (C20) dePRIX (L17b). En anglais, elle est dite PRICE TAKER (C14). L’entreprise insérée dans un marché ainsi modélisé, doit choisir son VOLUME (L 6) de production. Pour cela, en considérant le PRIX(L17b)comme une donnée exogène, l’entreprise rationnelle cherche à maximiser son PROFIT (C8). Pour cela, elle doit produire tant que ce que lui rapporte une unité supplémentaire de production est supérieur à ce qu’elle lui coûte à produire. Elle augmente donc son volume de production tant que la RECETTE (L9a) MARGINALE (C5) est supérieure au COUT (L1) marginal. L’entreprise maximise son PROFIT (C8) non en maximisant son chiffre d’AFFAIRES (L2a) mais quand Rm=Cm.
 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 6E 7N 8T P 9R R 10 E I 11CC P 12 C O N C U R R E N 13Q MI T 14U PS A 15A EE K 16L H M TS E 17I N NI O V A T N O P R I 18R TT M 19E O K I 20 G E V 21T E E 22 N I S T R A T E G I 23 E N U 24G E I 25T R E 26 C E D I F F E R R E 27 H E 28 E 29M O L I G O P O L E 30 L A 31T R AE N  E N C C O 32G O 33S I A B U 34 T N 35 A 36EO L O P M O N  F 37R O P O U V O I 38 O S L E 39I N S I 40E S T I O N T O C 41I E T N P 42 I R Q N 43U TN A N T E O M I  D 44 N ET E 45IN T  A 46 Q 47I E LR E N T O N C U R  C 48 E  S
16 C X E N T A U L
17 E S A C Q U I S I T I O N B R E
18 19 20 21 22 23 24 25 26 27  C D A E P M TI A T I O N N V D E EO NCOLL EUSIO P E E N N ENS
Mais lesENTREPRISES(C12)ne se satisfont pas de leur situation dePRICE-TAKER (C14). Elles recherchent des situations dans lesquelles elles pourront peser sur lesPRIX (L17b), c’est-à-dire avoir du POUVOIR (L37) de marché qui leur permet d’alléger les contraintes liées à laCONCURRENCE(L12)des autresENTREPRISES (C12). Pour cela, elles mettent en œuvre des STRATEGIES (L22) visant à être plus COMPETITIVES (C8b), c’est-à-dire à gagner des parts de marché : compression du COUT (C10) et baisse de leurPRIX(L17b)pour gagner en compétitivitéPRIX(L17b), stratégie qui peut parfois aller jusqu’à une GUERRE (C14b) des PRIX(L17b)pour éliminer les concurrents les plus fragiles. Cependant, le plus souvent, elles ont conscience de prendre des risques importants et peuvent se fragiliser elles-mêmes. Elles peuvent aussi adopter des STRATEGIES (L22) de DIFFERENCIATION (L26) par l’INNOVATION (L17a) ou le MARKETING (C6) pour gagner en compétitivité-QUALITE (C1). C’est alors l’hypothèse d’HOMOGENEITE (C4) du produit qui disparaît. Elles peuvent ainsi se créer une DEMANDE (C19) CAPTIVE (C21b) prête à payer un produit plus cher pour des raisons de QUALITE (C1) ou d’image (Coca-Cola, Levi’s, Apple…) Pour accroître leur POUVOIR (L37) de marché, lesENTREPRISES (C12)cherchent à grossir. On parle de croissance externe de l’entreprise quand une entreprise réalise une opération de FUSION (C5b)-ACQUISITION (C 17b). Les économies d’ECHELLE (C3a) dont elles peuvent bénéficier les incitent à poursuivre le processus de CONCENTRATION (L31) du marché. Quand il ne reste plus que quelquesENTREPRISES(C12)sur le marché – on parle alors d’OLIGOPOLE (L29) – elles peuvent décider conjointement, implicitement ou par un accord secret, de maintenir lesPRIX(L17b)au-dessus du COUT (C10) MARGINAL (C14c). On parle alors d’ENTENTE (C15). Quand le processus de CONCENTRATION (L31) se poursuit jusqu’à son terme, il n’y a plus qu’un seul offreur. Le marché est alors devenu un MONOPOLE (L36). On parle de MONOPOLE (L36) naturel. Cependant, tout monopole n’implique pas forcément que l’entreprise qui le détient soit totalement libre de fixer sesPRIX (L17b)et ses quantités. Si les quantités et lesPRIX(L17b) qu’elle fixe sont trop élevés, elle s’expose à une entrée de concurrents sur son marché. Ainsi, pour maintenir sa position dominante, l’entreprise en monopole sur un marché peut avoir intérêt à fixer unPRIX(L17b)et des quantités proches de l’équilibre concurrentiel. Cela n’est vraiment indispensable pour elle que si le marché en question est « CONTESTABLE (L40) », c’est-à-dire s’il y a sur ce marché uneCONCURRENCE (L12)potentielle, et cette concurrence potentielle est d’autant plus vraisemblable que l’ENTREE (C27a) sur le marché est plus LIBRE (L2b). Il faut bien se rendre à l’évidence. Les marchés réels sont des oligopoles sur lesquels quelques entreprises se partagent la demande. Avec de telles tendances à l’imperfection des marchés, l’intervention de l’Etat est indispensable pour protéger les intérêts des consommateurs. La POLITIQUE (C12b) de laCONCURRENCE (L12)cherche à distinguer les nécessaires STRATEGIES (L22) de compétitivité desENTREPRISES (C12)– nécessaires pour accroître leur parts de marché et stabiliser leur situation – des PRATIQUES (C7) véritablement ANTI (L45)-CONCURRENTIELLES (L47) – ABUS (L33) de POSITION (C3b) DOMINANTE (L43) et ENTENTES (C15) (ou COLLUSION) (C18) – qui empêchent toute remise en cause de la répartition des parts de marché et nuisent aux consommateurs. Cette action se situe aujourd’hui principalement à l’échelle EUROPEENNE (L44).
 20 21 22 23 24 25 26 27 TRAN M S O 18P R 19AL E A 20R L21E22N23CI24EN25F 26O 27R 28M 29A 30O NS E L E C T I 31 I 32 O 33 N 34 N 35E T R I EA S Y M 36DL 37VL 38EE 39R40S41EUne autre hypothèse du MODELE (C24a) est souvent remise en cause et vient contrarier la concurrence : l’absence deTRANSPARENCE (C24b)de l’information. Différents cas d’ASYMETRIE (L35) INFORMATIONNELLE (C25) sont possibles. Certaines concernent le comportement des co-échangistes : c’est l’exemple de l’assureur qui ne connaît pas le degré de risque auquel s’expose généralement son client. Il ne sait pas non plus si l’assurance qu’il lui fournit va l’inciter à prendre plus de risque. C’est le phénomène d’ALEA (L19) MORAL (C27) D’autres asymétries informationnelles sont inhérentes à la nature des produits échangés : c’est l’exemple du marché des voitures d’occasion, les « lemons », exemple dont Akerlof se sert pour montrer que ces asymétries peuvent conduire à la sortie des bonnes voitures d’occasion et donc à la disparition du marché. C’est un processus de SELECTION (L30) ADVERSE (C21c). Là encore, l’intervention de l’Etat est nécessaire : il peut réglementer (contrôle technique) ou autoriser la création de labels de manière à ce que les offreurs de « bons » produits ne soient pas incités à quitter le marché
LIGNES COUT (L1) Chiffre d’AFFAIRES (L2a) LIBRE (L2b) VOLUME (L 6) de production HOMOGENEITE (L7) RECETTE (L9a) PARFAITE (L9b) CONCURRENCE(L12)MOBILITE (L13) des facteurs de production INNOVATION (L17a) PRIX(L17b)ALEA (L19) STRATEGIES (L22) DIFFERENCIATION (L26) OLIGOPOLE (L29) SELECTION (L30)CONCENTRATION (L31) ABUS (L33)ASYMETRIE (L35) MONOPOLE (L36) POUVOIR (L37) de marché DOMINANTE (L43) EUROPEENNE (L44). ANTI (L45)-CONCURRENTIELLES (L47)COLONNES QUALITE (C1) compétitivité-QUALITE (C1). Économies d’ECHELLE (C3a) POSITION (C3b) HOMOGENEITE (C4) MARGINALE (C5) FUSION (C5b) MARKETING (C6) PRATIQUES (C7) PROFIT (C8) COMPETITIVES (C8b) , ENTREPRISES(C12)POLITIQUE (C12b) PRICE TAKER (C14) GUERRE (C14b) ENTENTE (C15) PURE (C17a) ACQUISITION (C 17b) COLLUSION) (C18) DEMANDE (C19) PRENEUR (C20) ATOMICITE (C21a) CAPTIVE (C21b) ADVERSE (C21c) MODELE (C24-a) TRANSPARENCE (C24b) totale des informations. INFORMATIONNELLE (C25) ENTREE (C27) MORAL (C27b) Marché « CONTESTABLE (L40) : marché où la concurrence peut n’être que potentielle
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