15&16/12/2011 Let sArtTunisie
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Description

  • redaction
  • cours - matière potentielle : voyages au maghreb
Théâtre Marni R u e   d e   V e r g n i e s ,   2 5   –   1 0 5 0   B x l Infos  &  Tickets  :  02/639  09  82 www. t h e at r em a rn i . c om 15&16/12/2011 Let'sArtTunisie
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Langue Français

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Let’sArtTunisie
1 5 & 1 6 / 1 2 / 2 0 1 1
Théâtre Marni R u e d e V e r g n i e s , 2 5 – 1 0 5 0 B x l Infos & Tickets : 02/639 09 82 w w w . t h e a t r e m a r n i . c o m
www.lesitinerrances.com
Le projet
Depuis trois ans maintenant, le service Éducation Permanente de Siréas asbl participe à la Journée Internationale des Migrants (18/12) en proposant des activités permettant d’aller à la rencontre des migrants et d’autres cultures. Cette année, nous ne pouvions pas faire l’impasse sur le printemps des peuples arabes et nous vous invitons dès lors à marcher sur les traces de la révolution tunisienne et à discuter avec nous de l’après révolution. Quel avenir pour le pays ? Celui-ci empruntera-t-il enfin la voie de la démocratie ? À quel prix ? Autant de questions et bien d’autres encore auxquelles nous tenterons de répondre pendant ce festival. Au programme une exposition de photographies (du 7/12 au 15/12), une soirée projections/débat en présence d’acteurs de l’après révolution (15/12) et deux concerts (16/12).
Grâce à de multiples animations, le service Éducation Permanente de Siréas cherche à donner à chaque citoyen des clés pour devenir un véritable acteur de la société, pour pouvoir exercer son esprit critique, ses droits sociaux, culturels, environnementaux et économiques.
Personne de contact : Harmony vander Straeten – 02/274.15.50 www.lesitinerrances.com
Programme
Du 7/12 au 15/12  Exposition photos « Traces de révolutions »
15/12 à 17h00  « Les enjeux du cyber Activism : exemple avec la Tunisie »  Intervention de Sofiéne Bel Haj M’Hamed, cyber activiste belgo-tunisien
15/12 à 18h30 Dévernissage de « Traces de Révolutions »
15/12 à 20h 15/12 à 20h00 Projection de « Laïcité Inch’Allah ! »  de Nadia El Fani + débat M. M. Mahfoudh Romdhani (député bruxellois jusqueInterventions de Nadia El Fani (réalisatrice), 2009 et conseiller à la ville de Bruxelles), Sofiène Bel Haj M’Hmed (activiste belgo-tunisien), Amel Bouzid (modératrice)
16/12 à 20h00  Concert de Amine et Hamza M’Raïhi Quintet
16/12 à 21h30 Concert de BooDooRoo
« Les enjeux du cyber Activism : exemple avec la Tunisie » Discussion avec Sofiéne Bel Haj M’Hamed, cyber activiste belgo-tunisien
La révolution tunisienne a cela de particulier qu’elle ne s’est pas seulement déroulée dans les rues, mais également sur la toile. En quelques semaines, les cyber activistes ont propagé leurs idées et insufflé un mouvement contestataire dans toute une région. Qu’est-ce que le Cyber Activism ? Comment et pourquoi a-t-il eu un tel impact en Tunisie ? Pourrait-on imaginer un tel impact dans d’autres pays ? Autant de questions, que nous allons aborder avec Sofiéne Bel Haj M’Hamed, cyber activiste belgo-tunisien
Biographie de Sofiéne Bel Haj M’Hamed
Membre de l’Association des bloggeurs tunisiens, Sofiéne Bel Haj M’Hamed, alias Hamadi Kaloutcha, est un activiste belgo-tunisien connu pour le rôle qu’il a joué dans la contestation qui précèda la révolution tunisienne de 2010-2011. Dès 2005, cet ancien étudiant en science politique, s’intéresse au parcours de Zouhair Yahyaoui, cyberdissident et lance son propre blog « I have a dream : une Tunisie démocratique ». En 2008, sous son nom d’emprunt, il y lutte pour la démocratie jusqu’à ce que son blog soit piraté par le Rassemblement constitutionnel démocratique, parti au pouvoir en Tunisie à l’époque. Fin 2010, il publie sur sa page Facebook des propos de la diplomatie américaine diffusés par Wikileaks, propos accusant le président Ben Ali et son clan d’être corrompus et kleptocrates. Le 6 janvier 2011, il est arrêté. Trois jours plus tard il est libéré.
Exposition « Traces de révolutions »
En novembre 1989, Zine Ben Ali prend le pouvoir après avoir déclaré que Habib Bouguiba, le président alors en place, était atteint de sénilité. Il remporte ses premières élections avec 99% des voix et mène une répression violente contre les islamistes. Lorsque son troisième mandat présidentiel touche à sa fin et alors qu’il devrait céder sa place, il modifie la constitution afin de rester au pouvoir jusqu’à l’âge de 75 ans. Pendant 23 ans, il restera à la tête d’un état policier.
Déclenchée par l’auto-immolation de Mohamed Bouzizi le 17 décembre 2010, la révolution tunisienne se répand rapidement à partir des villes des régions centrales du pays vers les villes côtières jsque dans la capitale Tunis. Pendant que Bouazizi est mourant sur son lit d’hôpital, des troubles à l’ordre public explosent dans les rues. Dans un premier temps, les manifestants attirent l’attention sur le taux de chômage élevé (23% chez les diplômés). La contestation des cyber dissidents se transforme rapidement en tollé contre le régime en général. Les manifestations de masse, le cyber activisme, les émeutes et les grèves auront raison du président Ben Ali et le contraindront à fuir le pays le 14 Janvier 2011.
Les événements en Tunisie ont mis du temps à susciter l’attention des médias occidentaux; , ceux-ci ont d’abord été frileux et ont hésité à casser l’image-cliché de la Tunisie. Avant ces événements, le pays était en effet considéré comme un havre de paix, destination touristique par excellence, et comme un modèle de démocratie et de modernité pour l’Afrique du Nord.
Le 31 octobre 2011, les premières élections tunisiennes ont eu lieu avec un taux de participation de plus de 90 %. Les électeurs tunisiens ont eu le choix entre 81 partis et des centaines de candidats indépendants. Ces élections ont permis d’envoyer 217 Tunisiens à l’Assemblée constituante, assemblée qui aura pour mission de réécrire la constitution du pays et de nommer un nouveau gouvernement. La rédaction d’une nouvelle constitution nécessite une majorité des deux tiers au Parlement intérimaire.
L’exposition photos “Traces de révolutions” nous livre des traces poétiques et insolites de ces moments de liberté retrouvée, mais aussi des souvenirs d’une révolution mêlant parfois le chaud et le froid. L’exposition vous invite aà un voyage vers cette nouvelle vie qui s’offre aux tunisiens. Elle nous propose une mosaïque d’impressions prises parmi ces moments historiques, de la révolution aux premières élections démocratiques. Les photographes ont tenté de capter ces moments et se concentrer davantage sur les « non-événements », sur les individus qui voient leur environnement changer et sur ces détails du quotidien généralement négligés.
Projection de « Laïcité Inch’Allah ! » de Nadia El Fani + débat
« A la veille de la révolution, la réalisatrice franco-tunisienne Nadia El Fani s’est rendue à Tunis avec sa caméra pour engager un débat sur la laïcité. En pleine période de Ramadan et malgré la censure, elle questionne les Tunisiens sur la notion de liberté religieuse, souligne l’incompatibilité de mœurs entre 1 régime islamique et laïcité et s’érige contre l’obscurantisme en vogue. »
Avec « Laïcité Inch’Allhah ! », Nadia El Fani, qui a reçu le grand prix international de la Laïcité en 2011, s’interroge sur l’avenir de la Tunisie« Quel projet avons-nous pour la Tunisie et comment continuer à vouloir que la Tunisie reste dans la modernité et refuser la régression, parce que, pour moi, si les islamistes 2 gagnent du terrain, ce sera le début de la régression. »
La projection sera suivie d’un débat autour de la question de la situation et l’avenir de la Tunisie. Celle-ci empruntera-t-elle enfin la voie de la démocratie ? A quel prix ?
Interventions de : Nadia El Fani – réalisatrice  M. M. Mahfoudh Romdhani – député bruxellois jusque 2009 et conseiller à la ville  de Bruxelles  Sofiène Bel Haj, activiste belgo-tunisien  Amel Bouzid, modératrice
1 http://www.mondomix.com/actualité/1588/sortie-cinema-laicite-inch-allah.htm 2 http://www.elwatan.com/entretien/la-liberte-de-conscience-est-la-premiere- des-libertes-21-09-2011-140591_121.php
Concert de Amine et Hamza Mraïhi Quintet (Oud, kanoun, chant, accordéon, percussions)
Amine et Hamza : deux frères, une passion…
Loin des stéréotypes musicaux, les deux frères prodiges tunisiens Amine et Hamza Mraïhi brandissent leurs instruments en signe d’invitation au voyage et au rêve dans un univers ou les frontières et les barrières géographiques sont abolies.
L’un au oud, l’autre au kanoun, ils ont été très tôt initiés à la musique tunisienne et orientale et ont ouvert leurs oreilles et leurs cœurs aux diverses sonorités venues d’ailleurs. Leur musique est une recherche continue de nouvelles sonorités ; rythmiques et fusions de diverses influences musicales. Dans leur jeu fluide fait de détours imprévus, l’aspect méditatif, voire nostalgique des compositions, se nuance dans les dialogues assez vifs ou les solos débordant d’énergie. Sincère et spontanée, leur inspiration, solidement ancrée au maqam, vire en mélancolies andalouses ou s’apaise dans des phrasés plus éthérés. Les emprunts à la musique indienne ou anatolienne enrichissent encore la gamme des émotions et des timbres entre halètements subtils de cordes, accents spirituels ou chevauchées impétueuses.
Amine et Hamza ont dirigé plusieurs projets avec des musiciens de multiples horizons musicaux ce qui leur a permis de se produire sur les scènes les plus prestigieuses : le Kennedy center à Washington, l’Opéra du Caire, le Théâtre de la Médina de Beyrouth, le Festival International de la Médina de Tunis dont ils assurèrent l’ouverture en 2003, le Festival de Jarach en Jordanie ; le Festival International de Hammamet ; le Festival de Carthage ; Fierra mediteranea en Espagne ; l’Oriental music festival au Danemark; le Festival du Monde Arabe de Montréal…
Ils comptent à leurs actifs sept albums : Ala Mar Azaman (Laika-records, Allemagne, 2003), Il a Hounak (Arion, France, 2004), Asfar (Arion, France, 2005), Things may change (Arion, France, 2006), Mani Nesi (Samaa, 2007), Tunifunk(2009) et Perpetual motion (Network Medien, Allemagne, 2010).
Tunifunk est l’expression même de leur style unique, groovy, haut en couleur mais tellement émouvant. Elu meilleur projet Ethno-Jazz par la Fierra Mediteranea entre 200 autres,Tunifunk a ainsi été clamé comme tournant important de la conception d’un jazz imprégné d’une Tunisie dynamique , renaissante mais bien enracinée dans sa tradition.
http://www.myspace.com/aminehamza
PHOTO
Concert de BooDooRoo
Un Oud électrique tout droit sorti des faubourgs perses, des claviers qui oscillent entre l’Ethiopie et la pop nordique, une section rythmique au groove sans répit et une voix chaude et éraillée qui tantôt chante, tantôt conte le désarroi d’une liberté nouvellement née… Notre tout donne une soul africaine anxieuse, un rock blues sous haute tension, du punk calligraphié aux accents arabes, aux histoires mordantes, aux pulsations citadines, empruntant autant à la culture Chaabi algérienne qu’à Hendrix ou Allen Ginsberg…
« BooDooRoo (…) c’est aussi la rencontre avec Mathieu et Sofyann, en qui j’ai trouvé l’envie commune de donner notre version de la musique arabe, une lecture actuelle qui ne peut faire abstraction de notre propre culture des « musiques actuelles » occidentales, une envie peut être aussi de rompre avec l’image de la musique arabe et sa joliesse, de raconter les sociétés arabes dans leurs complexités et leur contradictions, hors des cartes postales, dans une poésie vernaculaire et concrète, proche du quotidien et imagée à la fois… »
Jawhar Basti « Fonder BooDooRoo, c’est rendre réel un songe qui me trotte en tête depuis longtemps, comme une intuition, une lente et mûrissante obsession. C’est jeter aussi le pont entre deux univers musicaux qui ont été les sources de ma vie musicale le rock et les musiques du Maghreb et du Moyen-Orient. C’est combler ce qui, à ma connaissance, est un trou béant situé entre la musique populaire révolutionnaire de Cheikh Imam par exemple et la musique électronique des boîtes de nuits de Beyrouth. Et pour finir, c’est raconter grâce aux mots de Jawhar Basti et aux arrangements de Sofyann Ben Youssef, une autre Tunisie, une qui me parle, qui me replonge dans des univers que j’ai approchés, une Tunisie bien loin des catalogues turquoises de voyages en promotion. » Mathieu Kouz Jawhar Basti (Tunisie/Belgique) - Chant composition et écriture Comédien et auteur-compositeur-interprète. Jawhar Basti fait ses premiers pas sur les planches avec le théâtre universitaire anglophone à Lille puis au conservatoire d’art dramatique, formation qu’il interrompra au profit d’un départ pour des expériences de création et de formation avec des metteurs en scènes tels que Daniel Fatous, Agathe Alexis, Sophie Loucachevsky… Parallèlement au théâtre, il compose des chansons et développe un univers musical à lui. Il se produit sous le nom de « Jawhar » et se fait remarquer dans plusieurs premières parties d’artistes tels que Susheela Raman, Boubacar Traoré ou Keziah Jones. En 2003, il enregistre son premier album, «When rainbows call, my rainbows fly” salué par la presse comme«un soufflant premier album d’un prodige du song-writing». (Les Inrockuptibles).  Depuis peu, il s’est engagé dans le cinéma et le théâtre tunisiens au sein de la structure les APA (Artistes Producteurs Associés) qu’il co-fonde avec le metteur en scène Lotfi Achour et la comédienne Anissa Daoud autour d’une première création (Hobb Story).
Mathieu Kouz Dupont (Belgique) - Oud électrique et choeurs
Né en 1977 à Bruxelles. Il a commencé son parcours personnel dans la musique à l’adolescence en jouant de la basse électrique dans des groupes rock. Après ses études de son à l’INSAS, il est parti vivre en Tunisie un peu plus d’un an. C’est là qu’il a découvert le oud. Il l’a ensuite apprivoisé au gré de voyages dans le Maghreb et au Moyen-Orient, voyages faits de rencontres avec des maîtres de l’instrument. Fondateur du groupe Mastan et du Trio Valiz, il a aussi joué entre autres dans l’ensemble Mezrab et le Pardis Ensemble, tous les deux dirigés par Hamid Motebassem. Aujourd’hui il joue dans plusieurs ensembles aux influences musicales très différentes comme le Trio Qadmoyo, Kouztoujours, Soundpainting Orchestra...ainsi que pour des spectacles de danse ou de théâtre.
Sofyann Ben Youssef (Tunisie/Belgique)- Arrangements, Claviers et chœurs Sofyann est un pianiste et compositeur tunisien avec un parcours musical particulier. Diplômé e musicologie et en musique arabe de l´institut supérieur de musique de Tunis en 2002, son intérê
n t pour les musiques traditionnelles et orientales le conduisent vers l’ Inde où il s´initie à l´art de la sitar et la tabla indienne avec le maître Musarrat Ali Khan. Aussi compositeur de musique de films et de documentaires, il a appris à intégrer le savoir faire occidental et la spiritualité orientale dans son travail musical. Fondateur de Lunatic Order, il a été aussi arrangeur et claviériste pour Views of Tao, Hopo Hopo et Mofo Jackson…
Cyrille de Haes (ICu) (Belgique)- Basse et chœurs.  Cyrille est formé à la contrebasse au Conservatoire Royal de Bruxelles. Sideman versatile, il loue ses services et enregistre en jazz, rock, électronique ou expérimental. Il se produit en jazz aux côtés de Dorado Schmitt, Angello Debarre, Sylvain Luc et bien d’autres. Il signe également quelques musiques de court-métrages (entre autres : Bonne Nuit de Valéry Rosier, Nomination meilleure musique de film au Festival Lutin du court-métrage 2010, grand prix au festival du court-métrage de Bruxelles 2009, de Belgrade 2009 et de Vaulx-en-Velin, 2009) et d’exposition photographique (Galactical Nature, Bruxelles et Londres 2009). En 2008, impliqué dans le développement et la défense d’idéaux musicaux, il co-fonde le label belge indépendant Spank Me More Records sous lequel il sort un premier album solo iCu_useLess. Depuis 2010, au côté de Laurent Blondiau, il est un des moteurs du développement du Soundpainting en Belgique
Carlo Strazzante (Belgique)- Percussions et Chœurs.  Son parcours musical a commencé avec une guitare qui traînait au fond d’un grenier. Quelques années académiques de piano et contrebasse plus tard, vinrent la chanson et un peu de jazz puis la découverte et l’apprentissage des tablas aux côtés de différents professeurs indiens, des percussions orientales avec Dahmane Khalfa, Habib Yammine et des percussions iraniennes avec Madjid Khaladj. Il a fait partie de formations telles que le Karo Trio, Quattrophage, l’Ensemble Zaman, le Trio Valiz... Il a souvent accompagné des artistes du monde de la musique indienne : Asad Qizilbash (sarod), Gopal Krishan Shah (sitar), Sandip Chatterjee (santur)... Il joue actuellement avec Musicauto, un répertoire inspiré des musiques de transe du Sud de l’Italie.
Guillaume Palomba (France)- Batterie.  Diplômé en 2009 du Conservatoire Jazz de Bruxelles, Guillaume est un batteur polyvalent qui a acquis son expérience aussi bien dans les clubs de jazz, qu’au cours de voyages au Maghreb. Il est aussi leader de son propre groupe, Guillaume Palomba Project, pour lequel il compose du jazz contemporain. Il joue aussi dans diverses formations rock, groove et world music, tel que No Man’s Band et Kel Assous. http://www.myspace.com/boodoorooband
Informations pratiques Lieu du festival :
Tickets Théâtre Marni Rue de Vergnies, 25 1050 Bruxelles Réservations : 02/639 ,9 82 – www.theatremarni.com Prix Pass pour les deux jours de festival : 10 € Entrée pour « Laïcité Inch’Allah ! » : 5 € Entrée pour les concerts: 8€ Infos : www.lesitinerrances.com
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