ANGLAIS – Épreuve écrite

Laurent Anne

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• Publié par: ejiguwiz
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• Langue: Français

Extrait

ANGLAIS – Épreuve écrite

PECOT Francis

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Le QCM

Il s’agit d’un questionnaire à choix multiples composé de 40 items ; pour chaque item, quatre

solutions sont proposées mais une seule est correcte dans son contexte, lequel doit être clair et non

ambigu. Ce type d’épreuve permet de tester la compétence des candidats dans le domaine des

structures et du lexique avec un large éventail de points de grammaire et de vocabulaire, et un

certain nombre de structures idiomatiques révélant si l’étudiant s’est réellement familiarisé avec la

langue courante.

Le barème

-

réponse juste : 3 points,

-

réponse fausse ou double réponse : - 1 point,

-

pas de réponse : 0 point.

La moyenne générale pour les 324 candidats est de 7,92. Ce qui révèle le manque de richesse et de

rigueur dans les connaissances des étudiants dans les domaines précités.

On pourrait croire que ce type d’épreuve constitue un exercice mécanique qui se « bachote », il

apparait néanmoins que l’étude et la pratique systématique des règles de grammaire et du

vocabulaire restent la base indispensable de l’expression.

La contraction de texte

Elle permet aux candidats de démontrer leurs qualités d’analyse et de synthèse ainsi que leur

capacité d’expression, la richesse et la finesse de leur vocabulaire.

Le texte à contracter était un article de US News & World Report écrit par Bernardine Healy,

médecin, qui utilise un vocabulaire simple, celui de tous les jours, afin de faire passer son message

clair : la médecine préventive pour être efficace doit « mobiliser les mamans ». Cette idée pouvait

servir de fil directeur autour duquel il suffisait d’organiser la structure de la contraction :

-

prevention is not working,

-

it’s time to mobilize mothers,

-

major reasons

.

Alors que la contraction pouvait être structurée en 3 paragraphes clairs, de nombreux candidats se

sont contentés de vaguement résumer tous ou quelques paragraphes sans chercher à les relier.

Une contraction n’est pas une succession de phrases juxtaposées, elle doit former un tout qui se

développe avec fluidité et cohérence.

La moyenne des notes obtenues pour cet exercice est légèrement supérieure à 8, ce qui constitue

une légère amélioration par rapport aux années précédentes. Ceci est sans doute dû au fait que la

compréhension ne posait guère de problèmes en dehors de l’expression « nexus of prevention » que

le contexte pouvait facilement aider à saisir. En effet si on consulte les statistiques sorties des grilles

de correction, on constate que huit candidats seulement ont obtenu 0 (sur 6) en « compréhension du

document » alors que soixante-quinze ont également obtenu 0 (sur 4) pour la « clarté et pertinence