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Résumé
Formation continue en diagnostic
Un bon diagnostic est la moitié du traitement
21/22 septembre 2011, Lausanne
Sommaire
Introduction
Un bon diagnostic est la moitié du traitement
Page 3 Monika Reuschling, Roche Diagnostics (Suisse) SA, Rotkreuz
Un bon diagnostic est la moitié du traitement – le sera-t-il encore en 2030?
Wolfgang Tröbs, Roche Diagnostics (Suisse) SA, Rotkreuz Pages 3-4
e-Patiens: implications pour les soins de santé
Pages 4-5 Prof. Dr theol. Andrea Belliger, Pädagogische Hochschule, Luzern
“Diagnostic moderne des infections: nouvelles chances pour un meilleur
traitement”
Hépatite B – diagnostic, surveillance et traitement
PD Dr Michelle Martinox-Peignoux, INSERM, Hôpital Beaujon Clichy, Paris, France Pages 5-6
Infections TORCH du nouveau-né
Prof. Dr méd. Pascal Meylan, Institut de Microbiologie et Service des Maladies Infectieuses,
Pages 6-7 CHUV, Lausanne
Étude HPV Athena: résultats et conséquences pour le dépistage du cancer du col de
l’utérus
Pages 7-8 Dr Christoph Majewski, Roche Molecular Systems, Pleasanton, États-Unis
“Maladies cancéreuses – sélection ciblée des patients, traitement optimal”
Possibilités diagnostiques et conséquences thérapeutiques lors de cancer du sein
Dr méd. Petra Stieber, München, Allemagne Page 8
Traitement personnalisé du mélanome métastatique
Prof. Dr méd. Reinhard Dummer, Dermatologische Klinik, UniversitätsSpital, Zürich Page 9
“Processus optimisés – haute qualité et efficacité du diagnostic de
laboratoire“
Diagnostic tissulaire: automatisation, organisation, gestion de la qualité
Page 10 Prof. Dr méd. Joachim Diebold, Pathologisches Institut, Luzerner Kantonsspital
La pratique des urgences à l’hôpital de soins aigus: un concept d’organisation réussi
Dr méd. Patrick Sidler, Leiter Notfallzentrum, Stadtspital Waid, Zürich Pages 10-11
Dr Peter Koch, Zentrallabor, Stadtspital Waid, Zürich
Le petit laboratoire de routine prêt à affronter l’avenir
Peter Wyser, Roche Diagnostics SA, Rotkreuz Pages 11-12
Roche Diagnostics (Suisse) SA
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Formation continue en diagnostic, 21/22 septembre 2011, Lausanne
Introduction
Un bon diagnostic est la moitié du traitement
Monika Reuschling, Roche Diagnostics (Suisse) SA, Rotkreuz
Imaginez un patient ou «client» qui poserait directement cette question à un laboratoire: que dois-je faire pour
être assuré d’un bon diagnostic? Cette vision est-elle totalement irréaliste?
Dans son livre éponyme publié en 2007, Nassim Taleb qualifie de «cygnes noirs» les événements totalement
inattendus et improbables qui se caractérisent par des conséquences d’une portée énorme, bien au-delà de
l’événement lui-même, et dont l’explication a posteriori paraît parfaitement logique.
Il peut s’agir de catastrophes naturelles, comme l’accident nucléaire de Fukushima, mais aussi d’événements
provoqués par l’homme. Songeons à Internet ou à la communication mobile, en particulier via l’iPhone et l’iPad. Il
faut de la persuasion, de la conviction et une vision pour la réalisation de ces cygnes noirs. La médecine
personnalisée est elle aussi un cygne soir. Le développement de médicaments destinés au traitement de maladies
à faible prévalence et de tests diagnostiques compagnons – donc la combinaison impérative d’un test
diagnostique et de la prescription de médicaments – n’était-il pas totalement inimaginable il y a encore quelques
années? Aujourd’hui, c’est une réalité.
De ce point de vue, il n’est plus du tout impensable qu’un patient choisisse le laboratoire comme interlocuteur et
décideur direct pour définir les tests qu’il serait opportun de réaliser. Les mutations actuelles du marché de la
santé vont encore faire éclore de nombreuses nouveautés que nous ne pouvons tout simplement pas imaginer à
l’heure actuelle. Par notre croyance et notre conviction (et pas seulement du fait des données!), nous pouvons les
faire devenir réalité. Ainsi le rôle du laboratoire va-t-il se trouver modifié en profondeur. Du simple prestataire de
services, il va en effet se muer en partenaire et décideur.
Un bon diagnostic est la moitié du traitement – le sera-t-il encore en 2030?
Wolfgang Tröbs, Roche Diagnostics (Suisse) SA, Rotkreuz
Le secteur des soins de santé est soumis à un processus de changement permanent, dont les deux grands
catalyseurs sont le progrès technologique et l’augmentation des coûts de santé.
Quatre processus de changement vont marquer le marché des soins de santé de leur empreinte d’ici à 2030:
1) Le patient engagé. En raison de l’accroissement de sa propre participation financière, le patient va de plus
en plus intervenir dans le choix des prestations de santé.
2) La révolution des données. De nouvelles technologies (diagnostiques) vont générer une énorme quantité
de données qui, de plus en plus, constitueront le fondement des lignes directrices médicales et conduiront
à une standardisation des soins.
3) Le traitement intégré. L’interconnexion des acteurs des soins de santé va changer leur rôle en profondeur.
4) La révolution économique des soins de santé. Les analyses coût-bénéfice vont devenir plus strictes et
exiger de nouveaux modèles d’innovation de toutes les parties concernées.
Tous ces changements représentent des défis et des opportunités pour la médecine de laboratoire moderne.
Pour le laboratoire, un patient engagé, c’est le défi d’une présentation simple et intelligible des prestations
médicales. Mais c’est aussi l’opportunité de faire comprendre à ce patient la valeur de la technique diagnostique,
et de mettre en place de nouveaux canaux de distribution. Le laboratoire peut être un partenaire important dans la
gestion des données de santé personnelles.
Le volume croissant des données nécessite d’importants investissements d’infrastructure et soulève des questions
restées à ce jour sans réponse en matière de protection des données. A l’avenir, les données des laboratoires
joueront toutefois un grand rôle dans l’élaboration des lignes directrices et dans l’évaluation du rapport coût-
Roche Diagnostics (Suisse) SA
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Formation continue en diagnostic, 21/22 septembre 2011, Lausanne
bénéfice. Elles offriront donc une importante valeur ajoutée aux nombreuses parties concernées.
Le traitement intégré nécessitera la conclusion de partenariats et la mise en place de nouveaux systèmes de
facturation. Les laboratoires peuvent être l’élément central des nouveaux réseaux et offrir des services
diagnostiques de natures très diverses, y compris des autotests pour les patients.
La dimension économique accrue des soins de santé va intensifier la pression sur les coûts et remettre en
question nombre de processus et de tests existants. Parallèlement, les laboratoires ont cette opportunité unique de
montrer la valeur concrète de la technique diagnostique à la lumière d’études cliniques et de données de la vie
réelle.
Si la médecine de laboratoire exploite ces opportunités, en 2030, un bon diagnostic jouera un rôle encore plus
important qu’aujourd’hui dans le choix de la bonne thérapie.
En véritable partenaire, Roche vous assiste dans la mutation du paysage des laboratoires. Et cette assistance passe
tant par des technologies permettant d’accroître encore l’efficience, que par des innovations médicales. Des
progrès technologiques, tels que ceux réalisés avec le séquençage de molécules uniques, peuvent être la source
de toutes nouvelles découvertes.
e-Patiens: implications pour les soins de santé
Prof. Dr theol. Andrea Belliger, Pädagogische Hochschule, Luzern
Notre comportement de communication a fortement évolué au cours des dernières années. Les bloggeurs révèlent
des détails privés, parfois même intimes, de leur vie, sur Youtube vous pouvez regarder les vidéos des dernières
fêtes et sur StudiVZ, le plus grand portail destiné aux étudiants, les joyeux b