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1 TRS-1650 Théories et travail social (hiver 2012) Groupe 020 Mardi 9h30 à 12h30, local SB-M250 Groupe 040 Jeudi 18h00 à 21h00, local DS-M320 Groupe 050 Vendredi 9h30 à 12h30 local DS-M440 Enseignant groupes 20-50 : François Huot () (514) 987-3000, poste 2636 Bureau au W-4350 Enseignante groupe 40 : Josée-Anne Lapierre (jalapierre@gmail.
  • bibliographie supplémentaire sur le thème
  • revue internationale d'action communautaire
  • pratique en travail social
  • pratique du travail social
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TRS-1650 Théories et travail social(hiver 2012)Groupe 020 Mardi 9h30 à 12h30, local SB-M250 Groupe 040 Jeudi 18h00 à 21h00, local DS-M320 Groupe 050 Vendredi 9h30 à 12h30 local DS-M440 Enseignant groupes 20-50 : François Huot (huot.francois@uqam.ca)  (514) 987-3000, poste 2636  Bureau au W-4350 Enseignante groupe 40 : Josée-Anne Lapierre (jalapierre@gmail.com)  (514) 987-3000, poste 8468  Local de consultation au W-4430 1) Descripteur au programme Étude et analyse des théories du comportement humain et du contexte social dans leurs applications en travail social, tant au niveau des individus, des familles, des groupes que des communautés. Plus spécifiquement, seront examinés la relation entre les théories et les savoirs pratiques, les différentes appropriations (individuelle, communautaire ou organisationnelle) du contenu théorique lors de l’intervention, le rôle du savoir pratique dans la constitution de théories et modèles particuliers au travail social, etc. Pour chacune des situations étudiées, ces questions seront analysées en lien avec les conditions d'émergence, les objets, les objectifs et les stratégies de l'intervention, permettantainsi de réaliser l’évaluation de celle-ci en termes de pertinence et de limites pour la transformation des rapports sociaux existants. 2) Interprétation du descripteur Comment applique-t-on les différentes théories en travail social? Comment le savoir théorique est-il utilisé en travail social? Deux questions qui à première vue semblent identiques, mais qui portent en soi des positionnements très différents quant au rapport entre la connaissance et la pratique. La première question est prescriptive lorsqu’elle laisse entendre que l’acquisition de la connaissance théorique doit précéder la pratique qui devient alors l’application de ce savoir sur une situation socialeau moment de l’intervention. La seconde laisse entendre que le choix des référents théoriques utilisés lors d’une intervention va bien au-delà d’une simple application et se caractérise par un processus complexe de construction sociale de l’intervention dans lequel sont impliqués non seulement les intervenants et les intervenantes mais également les destinataires de services, des acteurs institutionnels et l’ensemble de la population.Au-delà de l’enthousiasme débordant des étudiants et des étudiantes qui apprennent qu’ils doivent se «taper » un autre cours de théorie, quelques problèmes majeurs caractérisent les rapports du travail social avec l’univers de la théorie.
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Parlons premièrement de la difficulté du théorique en travail social. Les praticiens peinent à nommer le théorique qui se retrouve dans leur travail. Lorsque questionnés sur les fondements théoriques de leurs actions, sur l’origine ou la nature des approches ou modèles utilisés, les réponses demeurent difficiles. Selon le cas, on présentera une étiquette qui se limite à nommer une pratique ou à y apposer une étiquette (j’utilise l’approche systémique), sans regarder si celle-ci correspond réellement au modèle proposé. Ou bien, on affirmera que l’on utilise une approche mixte et éclectique et que l’on change de modèle théorique dépendant des situations et des besoins de l’intervention. Au pire, on niera la présence du théorique en travail social, parlant alors d’expérience et d’un savoir indicible qui est limité au monde des intervenantset inaccessible pour le non-initié. Cette difficulté se retrouve également dans l’imprécision théorique qui caractérise le travail social, dans l’absence de théorie unificatrice, de modèle dont le travail social pourrait revendiquer l’utilisation exclusive ou même dans l’inexistence d’un vocabulaire commun dépourvu d’ambiguïté. Mentionnonségalement l’opposition plus ou moins féroce, mais toujours présente, entredifférentes formes de connaissance issues de pratiques et de lieux différents (pratiques de théorisation, de recherche ou d’intervention). Finalement, constatons la multiplicité des référents théoriques, éthiques et politiques qui sont mobilisés dans l’interventionen travail social. Une intervention en délinquance pourra par exemple viser la réadaptation du jeune contrevenant, sa punition ou bien la réparation des dommages causés à la victime. L’action entreprise auprès des jeunes de la rue pourra se baser sur la répression du phénomène, sur la nécessité de sortir les jeunes de cet enfer ou bien sur un support minimal dans leur vie quotidienne. Chacune de ces interventions présente à la fois une cohérence interne et un discours public qui en assure la légitimation. Ces interventions, divergentes quant à leurs finalités, peuvent coexister de manière pacifique ou bien voir leurs promoteurs s’engager dans un conflit qui aura comme enjeu la définition de la bonne intervention. Ces différents modèles d’intervention sont le résultat, non d’un choix individuel exercé par chaque intervenant à partir d’une liste de modèles potentiellement adaptés à chaque situation, mais plutôt celui d’un processus complexe d’interaction entre différents groupes d’acteurs sociaux qui chacun, défendent leur point de vue et leurs intérêts; en bref, le résultat d’un processus de construction sociale. L’enjeu d’un tel cours n’est alors pas l’établissement d’une classification qui permettrait le choix d’un modèle selon des critères de préférence, mais plutôt l’examen du processus de construction des différents modèles de référence et de la manière dont la connaissance, théorique ou autre, est mobilisée dans ce processus etdans l’intervention. La déconstruction des récits sur la pratique en travail social devient alors l’outil principal qui supporte cette analyse.3) Objectifs du cours Ce cours demeure fondamentalement un cours analytique qui permettra à l’étudiante et àl’étudiant, par un processus de recul et de réflexion, de mieux comprendre les enjeux associés aux pratiques en travail social en ce début de siècle. De manière plus précise, les participants auront atteint les objectifs si il ou elle...
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... démontre une connaissance des différents éléments qui composent et structurent les modèles et pratiques d’intervention en travail social en leur donnant une cohérence interne et une légitimité publique. ... possède les outils qui permettent l’analyse, la compréhension et la critique des principales pratiques en travail social utilisées au Québec. ... peut, lorsque mis en présence d’une intervention réalisée dans un contexte donné et en utilisant la déconstruction comme mode opératoire, identifier quelles sont les fondements théoriques, éthiques et politiques de cette pratique et en mesurer le degré de cohérence interne et de pertinence d’application dans le contexte social. 4) Thèmes des rencontres Le cours est divisé en deux parties principales. Pendant les sept premières semaines, nous établirons les bases théoriques, analytiques et méthodologiques qui serviront à l’analyse. Pendant le reste du cours, l’attention se portera sur la déconstruction des récits de pratique et à l’acquisition des outils qui permettront l’analyse de la narrativité, de la grammaire et des jeux de langage qui caractérisent quelques pratiques d’intervention en travail social.Cours #1: Que va-t-il se passer dans ce cours ? Prise de contact, présentation du contenu du cours et de la démarche. Discussion et approbation de la proposition d’évaluation. Présentation du cadre d’analyse qui sera utilisé dans le cours. Modèles d’intervention, multiplicité théorique, savoirs en action dans l’intervention. La déconstruction des pratiques en travail social. KARSZ, S. (2004)). Pourquoi le travail social. Cours #2:Qu’est-ce qu’une théorie? Définition des termes : théorie, hypothèse, méthode, positionnements épistémologiques, objectivité, subjectivité, méthode scientifique, phénoménologie, etc. L’utilité d’une théorie en intervention. Pratiques de théorisation et pratiques d’interventionBATESON, G. (1984). La nature et la pensée. HUOT, F et Y. COUTURIER. (2004).L’examen des usages de la théorie…FOUREZ, G. (2003).Apprivoiser l’épistémologie. Cours #3: En dehors de la théorie, les autres types de connaissance. Tradition, expérience personnelle, valeurs, logique et science. Le savoir d’expérience en travail social. Praxéologie et réflexivité. Critères de regroupement et de distinction entre diverses formes de connaissance. RACINE, G. (2007).De la production du silence aux invitations à l’échange de savoirs. Y. COUTURIER et F. HUOT. (2004). Discours sur la pratique et rapports au théorique
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Cours #4: Comment reconnaître et différencier les théories utilisées ? Proposition de classification théorique. Étude des principales familles théoriques utilisées dans la pratique du travail social. Les approches basées sur une perspective d’adaptation sociale (normativité / fonctionnalisme). Les approches basées sur une perspective de conflit et de changement social (critiques / structurelles). DORVIL, H. et R. MAYER. (2001). Les approches théoriques. KERRFOOT, Michael. (1995).Le programme d’intervention à domicile. MOREAU, M. (1989).L’approche structurelleen travail social Cours #5:D’autres manières de théoriser. La construction sociale de la réalité. Comment un phénomène social devient-il un problème social. Le caractère symbolique et interactif du monde social. Un examen de l’intervention en se basantsur l’interactionnisme symbolique.LE BRETON, D. (2006)L’interactionnisme symbolique. HOHL, J. (1996).Le rapport des parents immigrants à l’écoleCours #6: Le travail social comme construction sociale. La structuration et la systématisation de la pratique en travail social. Approches et modèles. L’appropriation d’une approche et d’un cadre théorique. Le caractère polysémique des faits sociaux. L’idée de déconstruction comme mode d’analyse.JAMESON, F. (2007) Le postmodernisme ou la logique culturelle du capitalisme…POCHÉ, F.. (2007). Penser avec Jacques Derrida. Cours #7: Une validation des apprentissages. Examen mi-session. Portant sur les différentes lectures ainsi que sur le matériel vu en classe, cet examen est construit autour de questions nécessitant de courtes réponses. Cours #8: Parler ou intervenir ? Le virage linguistique en sciences humaines. Ce que communiquer veut dire. Perspectives instrumentales, critiques et interactives sur le langage et la parole. BOURDIEU, P. (1982). Ce que parler veut dire: l’économie des échanges…Cours #9: Au-delà des théories. Les aspects politiques des pratiques en travail social. La définition et la construction d’un problème social. Les normes sociales en action. DUMONT, F. (1994). Approche des problèmes sociaux En seconde partie du cours, laboratoire d’analyse des pratiques en travail social (La présentation de la démarche) Cours #10: Au-delà des théories. Les aspects éthiques des pratiques en travail social. Les différents discours étiques utilisés dans la pratique du travail social.
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METAYER, M. (1997).Le champ de l’éthiqueEn seconde partie du cours, laboratoire d’analyse des pratiques en travail social (La réalisation de l’entrevue)Cours #11: Les contextes organisationnels de la pratique. Les contextes organisationnels de la pratique en travail social. Modes de coordination et de contrôle de la pratique. Marges de manœuvre.MORGAN, G. (1989).Images de l’organisationEn seconde partie du cours, laboratoire d’analyse des pratiques en travail social (L’analyse d’une entrevue)Cours #12: Un exemple de déconstruction de pratique. Présentation d’une déconstruction d’une pratique en travail social. Le choix de la pratique changera dépendant du groupe cours. En seconde partie du cours, laboratoire d’analyse des pratiques en travail social (Les difficultés rencontrées dans le travail) Cours #13: Conclusion du cours. L’analyse d’un modèle de référence en travail social. La négociation ou le débat social qui entoure le choix d’une manière d’intervenir. Les déterminants du choix d’un modèle. Rôle des acteurs sociaux, expertise ou démocratie. Le tableau qui suit présente pour chacun des groupes les dates de rencontre et permet de faire la concordance avec le contenu du cours. Numéro Groupe du Groupe du Jeudi Groupe du du cours mardi(groupe 40)Vendredi (groupe 20) (groupe 50)Cours #1Le mardi 10 janvier Le jeudi 12 janvier Le vendredi 13 janvier Cours #2Le mardi 17 janvier Le jeudi 19 janvier Le vendredi 20 janvier Cours #3Le vendredi 27 janvierLe jeudi 26 janvier Le mardi 24 janvier Cours #4Le vendredi 3 févrierLe jeudi 2 février Le mardi 31 janvier Cours #5Le jeudi 9 février Le vendredi 10 févrierLe mardi 7 février Cours #6Le jeudi 16 février Le vendredi 17 févrierLe mardi 14 février Cours #7Le mardi 21 février Le jeudi 23 février Le vendredi 24 février Cours #8 Le mardi 13 mars Le jeudi 8 mars Le vendredi 9 mars Cours #9 Le mardi 20 mars Le vendredi 16 marsLe jeudi 15 mars Cours #10 Le mardi 27 mars Le vendredi 23 marsLe jeudi 22 mars Cours #11Le jeudi 29 mars Le vendredi 30 mars Le mardi 3 avril Cours #12Le jeudi 5 avril Le vendredi 13 avril Le mardi 10 avril Cours #13Le vendredi 20 avrilLe jeudi 12 avril  Le mardi 17 avril
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5) Approche pédagogique De manière générale, le cours sera construit autour de présentations préparées par l’enseignant. On devra également s’attendre à quelques exercices de groupe qui permettront une application concrète des outils d’analyse. La lecture préalable des textes demeure essentielle afin d’assurer votre participation aux discussions qui auront lieu en classe. 6) Proposition pour l’évaluationL’évaluation formative et la rétroaction sur l’atteinte des objectifs d’apprentissage seront faites par les commentaires et suggestions lors des rencontres du groupe, par les annotations des travaux soumis et, au besoin, lors de rencontres individuelles. Pour réaliser l’évaluation formelle, mesurer le niveau d’apprentissage, l’atteinte des objectifs du cours et attribuer une note, l’utilisation des instruments suivants est proposée.1)Un examen mi-session. Portant sur les différentes lectures ainsi que sur le matériel vu en classe, cet examen qui est construit autour de questions nécessitant de courtes réponses aura lieu lors du cours #7, juste avant la semaine de relâche. On pourra répondre aux questions en quelques lignes et, bien entendu, aucune aide sous la forme de notes personnelles ou de textes ne sera permise. Cette activité représentera 40% de la note finale de l’étudiante ou de l’étudiant.2)Un plan pour le travail final. Un simple document d’environ une page qui présentera la composition de l’équipe de travail, le lieu choisi pour la réalisation de l’entrevue (et possiblementl’identité de la personne), la manière dont vous entendez réaliser le travail et votre échéancier de réalisation. Ce document devra être déposé au plus tard lors du cours #11. Cette activité représentera 10% de la note finale de l’étudiante ou de l’étudiant. 3)Un travail long sur la déconstruction d’une pratique en travail social. Chacun devra produire un travail de recherche, impliquant une entrevue réalisée sur le terrain, travail qui permettra la déconstruction d’un discours sur une pratique en travail social. Ce travail écrit, aura une longueur d’une douzaine de pages (à interligne et demi) et représentera 50% de la note finale. Le travail pourra être fait en équipes de deux personnes et sera remis au plus tard le vendredi 20 avril. Quatre guides contenant des instructions complètes qui permettent la réalisation du travail seront distribués au moment opportun. Dans la seconde partie du cours, une série de laboratoires supporteront la réalisation du travail en familiarisant les participants avec la méthode à employer et en permettant la mise en commun des difficultés rencontrées Pour l’évaluation du travail écrit, les critères suivants seront utilisés à parts égales:
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le niveau de raffinement et de clarté de l’analyse réalisée,l’expression d’une capacité de synthèse et d’attitude critique,les connaissances démontrées et les connaissances nouvelles acquises par l’utilisation du matériel fourni ou bien par une recherche supplémentaire,la qualité de la présentation en termes de clarté, d’organisation etde cohérence. La qualité de la langue sera également évaluée en conformité avec les politiques de la Faculté et de l’école.Le travail final ainsi que le plan pour ce travail devront être soumis par courrier électronique sous forme de pièce jointe en format Word ou Open Doc. Ce qui signifie que les copies papier ne sont pas acceptées dans le cadre de ce cours. Les commentaires et l’évaluation seront consignés électroniquement sur le travail et celui-ci sera retourné à l’étudiante ou à l’étudiante par lamême voie. La présentation des citations, des sources et des références sera faite selon le modèle utilisé par la revueNouvelles Pratiques Socialeset un guide de présentation est disponible à la fin de n’importe lequel numéro de cette excellente revue ou bien sur leursite web, à l’adresse suivante… http://www.nps.uqam.ca/appel/guide.php. Si un travail est remis en retard, sans entente préalable avec la personne enseignante, la note du travail seraréduite d’une fraction de lettre de notation (B à B-) par jour de retard. La politique de notation littérale en vigueur à l’UQAM sera utilisée intégralement.7) Intégrité académique Vu l’ampleur et le nombre d’infractions de nature académique tant dans notre institution que dans les autres universités, l’UQAM a modifié le Règlement no 18 sur les « Infractions de nature académique». Ce dernier s’articule autour d’une philosophie institutionnelle de « tolérance zéro ». En conséquence, tout acte de plagiat, fraude, copiage, tricherie ou falsification de document commis par une étudiante, un étudiant, de même que toute participation à ces actes ou tentative deles commettre, à l’occasion d’un examen ou d’un travail faisant l’objet d’une évaluation ou dans toute autre circonstance, constituent une infraction au sens de ce règlement et feront l’objet d’une dénonciation de notre part au comité de discipline de la Faculté. De manière non limitative, la liste des infractions est définie comme suit : la substitution de personnes ; l’utilisation totale ou partielle du texte d’autrui en le faisant passer pour sien ou sans indication de référence ;la transmission d’un travail pour fins d’évaluation alors qu’il constitue essentiellement un travail qui a déjà été transmis pour fins d’évaluation académique à l’Université ou dans une autre institution d’enseignement ; l’obtention par vol, manœuvre ou corruption de questions ou de réponses d’examen ou de tout autre document ou matériel non autorisés, ou encore d’une évaluation non méritée ; la possession ou l’utilisation, avant ou pendant un examen, de tout document non autorisé ; l’utilisation pendant un examen de la copie d’examen d’une autre personne ; l’obtention de toute aide non autorisée, qu’elle soit collective ouindividuelle ; la falsification d’un document, notamment d’un document transmis par l’Université ou d’un document de l’Université transmis ou non à une tierce
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personne, quelles que soient les circonstances ; la falsification de données de recherche dans un travail, notamment une thèse, un mémoire, un essai, un rapport de stage ou un rapport de recherche. Afin de favoriser une meilleure connaissance de ce règlement et des sanctions prévues, il importe de lire le Règlement no 18 sur les infractions de nature académique qui se trouve à l’adress:e suivante http://www.instances.uqam.ca/reglements. Sur ces questions, on pourra également consulter :http://www.integrite.uqam.ca. 8) Organisation du cours Un recueil de textes a été préparé et devrait être disponible à la COOP dès le début de la session. Les textes sont disposés en ordre de lecture et la bibliographie qui est jointe à ce plan de cours permet deretrouver l’origine des textes. À quelques occasions, une bibliographie supplémentaire sur le thème alors abordé en classe sera également distribuée. À quelques occasions, différents documents reprenant le contenu du cours ainsi que les présentations électroniques utilisées en classe seront expédiés aux étudiantes et aux étudiants par le système courriel UQAM. Si vous avez besoin d’une rencontre ou d’une consultation, l’envoi d’un message électronique demeure un moyen nettement supérieur à un message laissé dans une boîte vocale consultée de manière irrégulière. On doit s’attendre à un délai de 24 heures pour une réponse. Chaque enseignant précisera en classe, lors du premier cours, les périodes de disponibilité qui seront offertes. François Huot Josée-Anne Lapierre Le 16 décembre 2011
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Bibliographie des textes du recueil BATESON, Gregory. (1984). La nature et la pensée. Éditions du Seuil, Paris BOURDIEU, Pierre. (1982). Ce que parler veut dire: l’économie des échanges linguistiques. Fayard. Paris. COUTURIER, Yves et François HUOT. (2003). « Discours sur la pratique et rapports au théorique…» Nouvelles Pratiques SocialesPresses de l’Université du. Vol 16, No. 2. Québec. Sillery. DORVIL, Henri et Robert MAYER (2001). « Les approches théoriques. » Problèmes sociaux : théorie et méthodologie. DORVIL, H., et R. MAYER, Eds. Presses de l’Université du Québec. Sillery.DUMONT, Fernand (1994). « Approche des problèmes sociaux. » Traité des problèmes sociaux. DUMONT, F., LANGLOIS, S. et Y. MARTIN,Eds. Presses de l’Université Laval. Ste-Foy. FOUREZ, Gérard (2003).Apprivoiser l’épistémologie. De Boeck. Bruxelles. HOHL, Jeannine (1996). «Le rapport de parents immigrants analphabètes à l’école.» Revue internationale d’action communautaireÉditions Saint-Martin.. No. 35. Montréal. HUOT, François et Yves COUTURIER. (2003). «L’examen des usages de la théorie en intervention sociale. » Nouvelles Pratiques Sociales. Vol 16, No. 2. Presses de l’Université du Québec. Sillery.JAMESON, Fredric. (2007). Le postmodernisme ou la logique culturelle du capitalisme tardif. Les éditions Beaux-Arts de Paris. Paris. KARSZ, Saül. (2004). Pourquoi le travail social : définitions, figures, clinique. Dunod. Paris. KERFOOT, Michael (1995). «Le programme d’intervention à domicile : une approche…»PRISME, Vol 5, No 4. Hôpital Sainte-Justine. Montréal. LE BRETON, David. (2006).L’interactionnisme symbolique. PUF. Paris. METAYER, Michel. (1997). La philosophie éthique : enjeux et débats actuels. Éditions du renouveau pédagogique. Saint-Lambert. MOREAU, Maurice. (1989). «L’approche structurelle en travail social: implications pratiques». Service Social. Vol 36, No 2-3. Presses de l’Université Laval. Ste-Foy.
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MORGAN, Gareth. (1989).Presses de l’Université Laval. SteImages de l’organisation. -Foy. POCHÉ, Fred. (2007). Penser avec Jacques Derrida : comprendre la déconstruction. Chronique sociale. Lyon. RACINE, Guylaine (2007). « De la production du silence aux invitations au partage du savoir» in DORVIL. H Ed. Problèmes sociaux, Tome 4. Presses de l’Université du Québec. Sillery.
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