Je suis le etit être sous la ca uche réservé de la douleur ui dort au-delà de moi Je me penche vers les terres sensibles que l’homme à détruit, oui sous le désert qui avance, le vent s’engouffre sous ma peau, les arbres gris sont attachés auprès du bateau fantôme qui vogue non loin en douceur, en douceur
Et je regarde de l’autre côté ce joli petit escalier qui progresse tel un petit soleil au rayonnement léger, je regarde marche après marche, en douceur, en douceur, en douceur, monte, monte le petit escalier vers les contrées étoilées
Un ciel si bleu pour une éternité qui s’étend , long fleuve ou les papillons d’or s’engouffrent pourtant au cœur, au cœur de la luie doré au miroir de la vie récieux trésor, récieux trésor
Qui se balance encore sur la balançoire du souvenir ? ui se balance encore sur la balan oire du souvenir ?
Je suis le etit être sous la ca uche des larmes coulent du assé au résent futur aradisé Je vous aime en artance, bercé ar vos romances Aux gentilles personnes : quelle est votre chance et préservez la bienveillance qui devrait être aussi sim le u’immense Bouge mes petits doigts, et bercez-moi dans vos cœurs, bercez-moi dans vos cœurs Aimer moi comme e vous aime
Une terre et des enfants ont été blessés ar des hommes…. La bêtise est éternelle….