Jane, touriste thailandaise à Paris
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Paul Roccau a une passion : coucher avec des filles des différents pays du monde.
Alors quand on vit à Paris, la première destination touristique au monde, les opportunités sont nombreuses. Tant de belles femmes apprécient de trouver un guide aussi charmant que Paul... De quoi remplir son tableau de chasse et satisfaire son goût pour le sexe « exotique » en initiant ces visiteuses étrangères aux délicieux secrets de Paris… Il faut dire que la plupart n’attendent que cela de leurs vacances.
A quand une mappemonde pour lister les conquête de Paul ?

Cette fois, Paul fait découvrir Paris à Jane, belle trentenaire thaïlandaise... La beauté asiatique est venue dans la ville lumière bien décidée à découvrir toutes les façettes de la vie parisienne... presque du tourisme sexuel! Au fur et à mesure de leurs ébats, Paul découvre alors en Jane, une partenaire très gourmande...
Ils iront très loin dans la réalisation de leurs fantasmes.
Basée sur des histoires vraies.

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Publié le 13 avril 2020
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Langue Français

Extrait

Touriste (s) à Paris N°1 Jane, Touriste Thaïlandaise à Paris Par Double D
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Paul Roccau a une passion : coucher avec des filles des différents pays du monde. Alors quand on vit à Paris, la première destination touristique au monde, les opportunités sont nombreuses. Tant de belles femmes apprécient de trouver un guide aussi charmant que Paul... De quoi remplir son tableau de chasse et satisfaire son goût pour le sexe «
exotique » en initiant ces visiteuses étrangères aux délicieux secrets de Paris… Il faut dire que la plupart n’attendent que cela de leurs vacances. A quand une mappemonde pour lister les conquête de Paul ?
Cette fois, Paul fait découvrir Paris à Jane, belle trentenaire thaïlandaise... La beauté asiatique est venue dans la ville lumière bien décidée à découvrir toutes les façettes de la vie parisienne... presque du tourisme sexuel! Au fur et à mesure de leurs ébats, Paul découvre alors en Jane, une partenaire très gourmande... Ils iront très loin dans la réalisation de leurs fantasmes.
Basée sur des histoires vraies.
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Chapitre 1
La rencontre
En ce dimanche ensoleillé de juin, Paul avait rendez-vous avec Jane. Il patientait depuis dix minutes déjà. Ils s’étaient rencontrés sur Internet. Jane avait posté une annonce «Jeune asiatique, 33 ans, curieuse recherche accompagnateur gentleman pour visiter Paris. Intérêt pour l’art, l’histoire, la gastronomie». Une touriste à la recherche d’un guide… L’annonce était trop tentante… Paul avait répondu, en envoyant une photo de lui en costume, décontracté, façon gentleman parisien. Elle avait transmis sa photo. On voyait Jane, grande et fine asiatique, jolie fille endimanchée dans une jupe longue et noir et une veste motif léopard. Elle semblait poser dans un supermarché, levant la main en guise de petit signe. « Elle a l’air gentille, un peu innocente » estima Paul. L’image de cette jolie fille en photo dans les rayons du magasin, parmi les produits quotidiens était bizarre. Paul avait néanmoins déclaré la trouver très élégante. Elle s’en était amusée «Elégante ? Vil flatteur ! J’étais en train de faire mes courses du samedi…».
Ainsi était née leur histoire. Jane était thaïlandaise, francophile et un peu francophone. Elle vivait à Bangkok où elle exerçait la profession de consultante. Elle venait de lancer son propre cabinet.«Une de ces réussites asiatiques, dans cette zone en croissance…»avait d’abord pensé Paul«Ou bien la famille est derrière et finance une lubie de petite fille riche…».Working girl ou fille à papa ? Telle était la question. De toute façon, Paul le saura bien assez tôt. Peu de temps après son arrivée à Paris, il lui avait fait expédier une boîte de macarons. Elle avait apprécié l’initiative. Elle lui avait, alors, donné rendez-vous à 18.30 pour boire un cocktail, dans un bar cosy « un rooftop » avait-elle réclamé dans son dernier courriel.«Pas vraiment une visite de musée…» avait immédiatement pensé le jeune homme…
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Il attendait maintenant depuis un quart d’heure. Allait-elle venir ? Et si tous ces échanges n’étaient qu’une farce, montée par une personne dissimulée derrière un écran ? Devait-il l’appeler ? Au fil de leur échange sur internet, Jane lui avait avoué être très timide. Pour la rassurer, Paul avait naturellement promis d’être le parfait gentleman… Il se demandait ce qu’il ressortirait de cette rencontre… si elle avait lieu. Il espérait certes la séduire, puis la mettre dans son lit, mais dans combien de temps ?
Les minutes passaient. Paul allait lui envoyer un message quand soudain il la vit : Jane sortait de la bouche du métro. Elle portait une longue veste bleu-ciel, semi-transparente laissant deviner une robe ultra moulante et une paire de jambes interminables, dont la peau mate contrastait avec la pâleur du tissu. De longues manches recouvraient ses bras. C’était un vêtement tape-à-l’œil, une grande marque parisienne, qui clamait au monde entier « je suis une jeune bourgeoise »… Elle avançait tranquillement, très sûre d’elle, dans se soucier des regards appuyés des Parisiens mâles, ni des yeux réprobateurs des Parisiennes. Paul en était époustouflé. La jeune fille qui se disait innocente s’était transformée en call-girl délurée, véritable machine à fantasmes! Sa tenue, dessinée par un grand couturier parisien sentait le vice. Elle s’arrêta devant lui et le toisa. Elle voulait mener le jeu. Petite thaï timide s’était finalement transformée en tête à claque friquée des filles à la mode de sex in the city .
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«Où va-t-on ?» dit-elle simplement...
Paul héla immédiatement un taxi.
Le bar avait cette décoration un peu clinquante, parfois vintage de ces lounges à la mode. Il se situait au 34ème étage et offrait une vue imprenable sur l’ouest parisien. En ce moment, pourtant, Paul avait les yeux rivé sur les jambes de Jane. Assise dans un fauteuil de cuir plan, si près de lui, sa robe ultra serrée laissait deviner le plie de sa petite culotte. Paul se serait damné pour caresser ses cuisses fines et laisser sa main glisser sous ce vêtement. Nonchalamment, elle donnait des petits coups de bassin, provoquant de légers mouvements de son fauteuil. Se savait-elle provocante ? Sûrement. En tout cas, la belle ne disait mots. Elle avait pris des photos du bar et de la vue, qu’elle avait immédiatement postées sur les réseaux sociaux. Presque boudeuse, elle tenait dédaigneusement la carte des boissons.
-«Que désires-tu ?»demanda Paul, espérant briser la glace.
Jane sourit et lui désigna du doigt le cocktail« French Kiss »…
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«Ca tombe bien, c’est ma spécialité…»tenta finement Paul.
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Lui opta pourin Paris»,« Love ce qu’il ne manqua pas de faire remarquer à la jolie Thaïlandaise.
« French Kiss » était un cocktail aux fruits des bois, couleur rouge à lèvres. Jane, serra la paille avec sa main droite, et la porta à sa bouche. Elle en aspira une gorgée.
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«J’espère que nous pourrons partager ce French Kiss» s’enhardit Paul.
Jane le regarda. Elle prit une autre gorgée et attira Paul vers elle. Ses lèvres se collèrent aux siennes. Paul ressentit le liquide chaud et sucré du cocktail couler dans sa bouche, puis dans gorge. La langue de Jane s’enroula autour de la sienne. Ses lèvres étaient brûlantes. Elles avaient pris le goût du cocktail. L’alcool se mélangeait à leur salive. Il se sentait submergé de désir. Sa main se posa sur la jambe lisse et douce de l’asiatique et remontait délicatement. Elle écartait légèrement ses cuisses et Paul sentit même le tissu fin de son petit slip! Soudain, la bouche de Jane s’éloigna. Elle le regardait désormais avec ce sourire satisfait, presque ironique. Paul était possédé ! Il se demandait si les clients du bar les avaient regardés…. Cette idée l’inquiétait mais l’excitait aussi. Les serveurs semblaient vaquer à leurs occupations. Les autres tablées discutaient comme si de rien n’était. Alors Paul but quelques lampées de«Love in Paris»s’approcha de la touriste Thaï. Quand Paul ouvrit sa bouche dans celle de Jane, la boisson sirupeuse s’écoula. Jane avalait. Leur langue se mélangeait. Paul était comblé. Soudain, il sentit la main de la belle sur son entrejambe. Jane semblait vérifier son excitation. Elle frôlait son sexe déjà durci et gonflé ! Paul l’aurait prise sur la table, devant les clients, avec vue sur Paris la nuit… Un instant pourtant, il repris conscience et retira sa bouche…
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« Sais-tu ce que j’aime en France ? »questionna la belle.
« French Kiss ?» répondit Paul. «Non, Orangina… Il n’y a pas Orangina dans mon pays. Alors, j’ai acheté de l’Orangina que j’ai laissé dans ma chambre d’hôtel… »dit-elle en le fixant des yeux.
-« Voudrais-tu venir boire de l’Orangina avec moi? »lui demanda-t-elle alors, avec ce regard brûlant, qui ferait se parjurer un prêtre.
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« Allons boire cet Orangina» répondit Paul, qui à cette idée, sentit une chaleur le traverser.
Ils étaient seuls dans l’ascenseur du bar. 34 étages, cela laissait un peu de temps. Jane s’était collée à Paul. Elle avait soulevé sa robe et frottait ses fesses contre le bas-ventre de l’homme. Son pantalon ne parvenait pas à masquer son excitation. Lentement, très lentement, elle dandinait contre lui, de haut en bas. A chaque mouvement, son sexe se
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durcissait. Paul sentait son engin grossir, prêt à se cabrer mais malheureusement, retenu prisonnier par le tissu du jeans. Les boutons de la braguette tiendront-ils, tant un gonflement impressionnant apparaîssait au niveau de l’entre-cuisse ? Il pensa bloquer l’ascenseur, mais dans cet hôtel ultra moderne, la maintenance interviendrait trop vite. Des caméras aurait sûrement d’ailleurs débusquer leur jeu érotique. En ce moment même, il se demanda s’il était filmé. Jane descendait et remontait lentement. Paul caressait sa petite poitrine. Ses tétons avaient durcis. A chaque frottement de ses fesses contre son pénis en érection, Jane lui lançait ce regard mi-ange, midémon, mi-choquée façon jeune fille bien élevée, mi-perverse façon salope assumée. Il ne restait plus que quelques étages à descendre. La sève de Paul montait. Pour rien au monde, il n’aurait voulu que cet instant s’interrompe. Jane très calme s’éloigna pourtant. Elle rabaissa sa robe et de l’autre bout de l’ascenseur, le contempla avec un sourire narquois.
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Chapitre 2
Sur le balcon
Le taxi roulait dans Paris. Paul et Jane étaient affalés à l’arrière. Les jambes de Jane étaient négligemment posées sur les cuisses de Paul. Ses doigts tapotaient doucement le membre gonflé de Paul, au bord de l’explosion. Elle avait écarté son entrejambe, laissant voir sa culotte de soie blanche. Elle fixait Paul avec des yeux de chienne en chaleur. Jane avait glissé son autre main sous la chemise de Paul. Il sentait ses ongles griffer ses pectoraux. Paul l’aurait pris sur place, mais il percevait déjà le regard méfiant du chauffeur dans le rétroviseur. Il glissa néanmoins ses doigts sur son slip et caressa délicatement le pubis de sa compagne. Une légère pression sur le tissu, et il s’enfonça légèrement. Il sentait la chaleur et l’humidité de la belle. Il poussa délicatement le bout de soie et découvrit son pubis parfaitement rasé. Ses doigts descendaient le long de sa peau douce. Ils caressaient désormais son clitoris, délicatement, très délicatement. Jane le regardait avec cet air faussement choqué, qui ne faisait que renforcer chez Paul, cette envie de viol.
Elle rapprochait sa tête de lui et l’embrassa dans le cou. Sa langue tournoyait sur sa peau. Elle mordait rageusement au-dessus du col, comme si elle cherchait à arracher un bout de chair. Paul sentait défaillir. Elle était désormais à califourchon sur lui. Ses yeux bridés luisaient d’un feu de désir. Avec ses doigts, il poursuivait son exploration dans le corps de Jane, tandis que les rues de Paris défilaient.
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« Tu vas finir par choquer le chauffeur » lui susurra-t-elle à l’oreille, en pouffant.
Le conducteur ne mouftait pas. Il semblait concentré sur sa route. Jane caressait désormais le sexe gonflé de Paul. Elle avait saisi l’engin à travers le jeans et faisait de rapides va et vient, avec sa main. Paul engouffrait ses doigts au plus profond de sa
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cavalière, qui se cabrait de plaisir. Paul sentait sa semence monter sous les mouvements habiles de Jane. Cette fille savait y faire. Elle avait déboutonné son jeans. Elle le masturbait désormais en collant son membre contre son pubis. L’ingénue était devenue catin. La scène était terriblement excitante. Il embrassait maintenant goulument l’asiatique, sans égards pour le chauffeur. Paul voulu la pénétrer, posséder cette fille qui avait pris le contrôle de son âme, au point de faire disparaître toute pudeur. Il saisit son pénis et tenta de le glisser en Jane. Elle le retint.
- «Pas tout de suite »murmura-t-elle.
Maîtresse du jeu elle était, maîtresse du jeu elle demeurait. Elle semblait s’amuser de cette érection qu’elle avait suscitée. Elle reprenait désormais en main le sexe, excitant le pauvre Paul dans un mouvement de haut et bas. Dans un bref moment de conscience, Paul s’aperçut que le taxi approchait de l’hôtel… Il retira ses doigts de Jane et déposa la jeune fille à côté d’elle. Celle-ci rabaissa sa robe, comme si de rien n’était. Elle saisit la main de Paul encore humide et la mit en bouche. Elle suçait chaque doigt, avidement, en
fixant Paul de ses yeux sombres… L’image était insoutenable. Paul sentait qu’il allait jouir sur ce spectacle… La voiture s’arrêta alors. Paul sentit le liquide chaud mouiller son pantalon. Il sortit tant bien que mal et paya le chauffeur improbateur mais néanmoins silencieux. Il était impossible qu’il n’ait rien aperçu… Par prudence et crainte d’un esclandre, le jeune homme n’osa pas réclamer sa monnaie…
L’hôtel se situait dans le XIème arrondissement, boulevard Richard Lenoir, dans un immeuble ancien, typiquement parisien. C’était un Best Western, très classique pour touristes, situé non loin de la Bastille. La chambre assez grande pour Paris donnait sur la rue. Quelques vêtements éparpillés trainaient sur le sol. Une étrange moiteur flottait dans la pièce. Jane prit Paul par la main.
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«Viens voir, il y a même un petit balcon» dit-elle.
Paul s’avança vers le balconnet. Il huma l’air frais et admira un instant la vue sur Paris. A sa gauche, se dressait la Bastille lumineuse. Jane se serra près de lui. Ses yeux bridés laissaient poindre une lueur de désir. Elle tenait un verre d’Orangina, qu’elle tendit à son amant. Paul sentait le désir l’envahir. Il but une gorgée de la boisson gazeuse, puis posa ses lèvres sur celles de Jane. Le liquide s’écoula dans la bouche, puis dans la gorge de la touriste Thaïlandaise… Le baiser devint fougueux. Paul étreignit Jane. Il l’embrassait comme s’il s’agissait de son dernier baisser. Il embrassa le menton de Jane, sa joue, sa
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gorge. Il glissa sa langue sur ses paupières, sur son nez, sur son cou puis sur sa nuque. La belle se laissait faire soumise. Soudain, il lui tira les cheveux en arrière et la fixa : elle était offerte et attendait d’être prise. Son regard était de feu, son corps brulait de désir. Alors Paul dégrapha le corsage de cette femme qui l’avait tant allumé. Sa petite poitrine d’asisatique était à l’air, de petit seins pointus, presque minuscules. Ce corps androgyne achevait d’exciter Paul. Il embrassa cette poitrine discrète et glissa sa langue sur un téton. Jane se laissa faire, oubliant un instant qu’ils étaient sur un balconnet donnant sur un boulevard parisien. Le monde se noyait dans leur passion. Paul penché sur le buste de Jane embrassait ce corps offert. Il avait glissé ses mains sous la robe, faisant glisser la culotte de soie blanche. Elle tomba au sol. Paul la ramassa et la mis dans la poche de sa veste.
- « Mon trophée »se félicita-t-il…
Il continuait de jouer avec sa langue sur les tétons de la belle. Telle une chatte, elle gémissait de plaisir. Parfois, elle laissait échapper un petit rire nerveux. Elle avait ouvert la chemise de Paul. Ses ongles griffaient son torse. Paul l’embrassa avec plus de fougue. Leurs langues s’enroulèrent. Paul glissa sa main sur son pubis. Il caressait ses lèvres humides. Son vagin était encore serré. Il entra un doigt et s’amusait avec le clitoris. Elle aimait ce petit jeu. Paul déboutonna ce qui lui restait de robe. Le vêtement tomba au sol. Jane se retrouvait nue sur un balconnet du XIème arrondissement. Les passants avaient-ème ils conscience de la scène du 5 étage ? Des clients de l’hôtel, des voisins, des habitants du XIème arrondissement pouvait-ils observer la scène ?
- « Rentrons »proposa Jane.
Mais Paul la retint. Jane le regarda, incrédule. Alors, il appuya sur ses épaules et la força à s’agenouiller, ce qu’elle fit mollement. Elle se soumettait Son penis gonflé menaçait de déchirer les coutures de son pantalon. Il ouvrit sa braguette et sorti son engin. Il l’approchait du visage de Jane. Elle s’en saisit et branla Paul énergiquement. L’homme profitait du spectacle. Il admirait cette nymphette à genou devant lui, en train de la masturber. Elle le regardait, droit dans les yeux, admiratif de sa taille, la bouche ouverte, provocante, sa langue tirée s’agitaient dans le vide, terriblement excitante… Alors, Paul n’y tint plus. Il agrippa la nuque Jane et amena son visage vers son sexe. Elle le goba sans hésiter. Sa bouche se referma. Sa langue tournoyait autour du gland. Elle allait et venait lentement, ses lèvres frotait contre sa queue. Elle enfonçait d’elle même le sexe jusqu’au fond de sa gorge puis le retirait. Paul la contempla. Il était au paradis. A ce moment, il se sentait comme l’homme le plus puissant du monde. Il était fier. Il espérait
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ème que tout le quartier les matait : un couple sur un balconnet, au 5 étage. Elle nue, à genou en train de turluter un homme heureux. Elle suçait bien. De sa main gauche, elle saisit le sexe et continua de le sucer, en ajoutant des gestes de va-et-vient. Jane était toute concentrée sur sa tâche. Sa langue rapeuse frôlait la peau du pénis. Paul sentait monter sa sève…Alors, d’elle-même, elle s’interrompit. Elle regarda fixement Paul, presque quemandant. A genou, elle suppliait d’être prise. Cette grosse bite dans sa bouche l’avait rendue folle. Elle attendait d’être pénétrée. Elle voulait Paul en elle, maintenant ! Le vagin détrempé de désir, elle n’était plus qu’une chienne prête à s’offrir. Son amant était expérimenté. Il avait parfaitement interprété ce regard.
- « Tu vas avoir ce que tu attends »dit-il.
Du doigt, il lui fit signe de se relever. Elle s’exécuta. Debout, elle tenait toujours son pénis dans sa main. Elle s’approcha de Paul et dit simplement encore une fois :
- « Rentrons dans la chambre… »
Paul ne répondit pas. Elle était nue devant lui, un homme en rut avec son pantalon déboutonné, son dard pointé et la chemise ouverte. Avec sa main, Jane avait habilement placé son sexe durci contre son entrecuisse. Il frôlait sa vulve avec son pénis. Il était sur le balcon. Le voisinage entier pouvait voir cette asiatique offerte à lui. Des hommes devaient sûrement l’envier en ce moment. A cette seule idée, son muscle se tendit et se gonfla encore plus. Son gland venait titiller la chatte mouillée de Jane. Son vagin ne demandait qu’à être fourré. Paul bougea très doucement son bassin. La belle ferma les yeux, ouvrit sa bouche, emportée par le plaisir. Son prépuce caressait son clito et écartait les lèvres. Il fallait voir cette scène: avec leurs petits mouvements de bassin, on aurait pu croire à deux danseurs. Jane était grande. Elle avait le corps fin de ces filles d’Asie du sud-est. Avec sa peau soyeuse, son visage si doux, sa petite poitrine aux tétons gonflés qui ressortaient et sa chatte si serrée, on aurait pu croire à une adolescente perverse, une Lolita experte. Paul était face à Jane, son sexe entre les jambes de la belle, complétement nue, prête à être emmanchée. Quelques coups de rein et il serait en elle… Dans ce petit corps, il la remplirait. Sa grosse queue allait être enserrée dans ce vagin chaud et humide. La sensation allait être délicieuse. Elle oscillait doucement sur lui, comme une prostituée de Pattaya sur scène. Sans ses vêtements, elle avait abandonné sa supériorité de bourgeoise de Bangkok. Elle était sur le balcon, au vu de tous, offerte à lui. Plaisir démultiplié de l’exhibitionnisme, elle oubliait même où elle était.
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« As-tu des préservatifs ?»eut-elle l’esprit de réclamer.
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Paul s’interrompit. Il n’avait rien prévu. Naïf, imprévoyant, il n’avait jamais imaginé que leur première rencontre se conclurait de la sorte… Il hocha simplement de la tête en signe de négation.
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« Je veux bien que tu me pénètres sans capote. Mais tu ne jouis pas en moi. Pas de bébé, OK ? »proposa Jane, finalement très arrangeante.
Manifestement, la belle Thaï n’avait pas envie d’interrompre une soirée aussi bien engagée. Paul ne se fit pas prier à deux fois. Il acquiessa. D’une main ferme, il força Jane à se retourner, désireux que les éventuels voyeurs puissent admirer cette femme, ce visage, ce corps, ce pubis qu’il allait posséder. Il voulait montrer à quiconque qu’il ferait de Jane ce qu’il voulait, quitte à l’exposer comme un animal. Il allait la prendre par derrière, pénétrer dans son corps, dans son vagin et il voulait que cela se sache. Il força la sexy
Thaï à se plier en deux. Elle s’appuya sur la balustrade de fer forgée, le dos cambré, offrant sa croupe à Paul. Le jeune homme avait ôté sa chemise. Il approcha son pénis du vagin déjà ouvert de Jane. Il pressa son gland contre la vulve et entra lentement dans sa partenaire. Elle poussa de petit cri de plaisir. Elle se cabrait. Elle se sentait remplir par Paul. Il avançait dans Jane. Il sentait ce fourreau humide, serré autour de son membres. C’est ce qu’il aimait chez les asiatiques, leur petit corps, leurs petits seins, leur petite fente, qui multipliaient les sensations. Il venait d’embrocher Jane et poussa alors un cri rauque, presque animal. Jane poussait des petits miaulement comme la chatte en chaleur qu’elle était. Il fourrait désormais Jane avec des coups de bassin de plus en plus forts. Il accélèrait ses va-et-vient. Paul la besognait désormais ardemment. La belle appréciait. Elle avait penché sa tête comme pour être entendu de son amant.
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«Mon Dieu, c’est bon. Tu es gros en moi.»
Paul la saisit par les cheveux et l’amena vers lui.
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«Dis le en thaï…»
L’asiatique prononça une phrase indistincte en Khmer. Paul s’appuya et la tira vers lui de nouveau. Son torse contre son dos, il continuait à la tringler de plus belle. Jane semblait être dans un autre monde, celui de l’extase.
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« Dis le plus fort, en thaï !»
Alors Jane, parla plus fort dans sa langue natale. Entendre Jane exprimer son plaisir dans une langue exotique, qu’il ne comprenait pas, excitait Paul. Il avait l’impression de redevenir une bête. Il accomplissait un pur acte sexuel, sans s’encombrer de sentiments, de discussions ou de séduction. Il était dans le sexe. Il était dans son sexe. Ils ne se
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