Elle est assise au fond de la classe, elle a placé sa chaise de façon à ce que je la voie. Je continue mon explication à l’ensemble de la classe. Elle est là, à la périphérie de mon champ visuel. Je perçois son visage tourné vers moi. Elle a posé sa cheville sur son genou. J’ignore son invite. La cloche sonne, tout le monde se lève et ramasse ses effets. Elle ne bouge pas. Je ne la regarde pas. Quand tous sont sortis, je lève les yeux vers elle. Sous sa jupe, elle est nue. Pas de culotte. Je prends le temps de détailler ce qu’elle me révèle. Des poils follets blonds comme elle, une fente qui semble humide. Elle dépose son pied par terre et écarte les jambes. Elle continue de me dévisager. Je continue de profiter de ce qu’elle m’offre. Elle place une main sur son genou et la fait glisser en remontant sa jupe. « Merci Annabelle, vous pouvez aller rejoindre vos amies, nous nous reverrons au prochain cours ». Je prends ma mallette et mes copies et je l’attends à la porte. Elle rabat sa jupe, dépitée, se lève et passe près de moi. Je ne lui adresse aucun regard. Je ferme la porte de la classe et je lui tourne le dos. Je parcours le couloir, les élèves se bousculent pour se rendre à leurs locaux de classe. Je me rends à l’escalier. Annabelle est là, plus haut sur le palier, appuyée dos à la rambarde. Elle se penche un peu pour remonter ses bas sur ses mollets. Cette fois, ce sont ses fesses rondes et roses qui me font l’appel.
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