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Elle est assise au fond de la classe, elle a placé sa chaise de façon à ce que je la voie. Je continue mon explication à l’ensemble de la classe. Elle est là, à la périphérie de mon champ visuel. Je perçois son visage tourné vers moi. Elle a posé sa cheville sur son genou. J’ignore son invite. La cloche sonne, tout le monde se lève et ramasse ses effets. Elle ne bouge pas. Je ne la regarde pas. Quand tous sont sortis, je lève les yeux vers elle. Sous sa jupe, elle est nue. Pas de culotte. Je prends le temps de détailler ce qu’elle me révèle. Des poils follets blonds comme elle, une fente qui semble humide. Elle dépose son pied par terre et écarte les jambes. Elle continue de me dévisager. Je continue de profiter de ce qu’elle m’offre. Elle place une main sur son genou et la fait glisser en remontant sa jupe. « Merci Annabelle, vous pouvez aller rejoindre vos amies, nous nous reverrons au prochain cours ». Je prends ma mallette et mes copies et je l’attends à la porte. Elle rabat sa jupe, dépitée, se lève et passe près de moi. Je ne lui adresse aucun regard. Je ferme la porte de la classe et je lui tourne le dos. Je parcours le couloir, les élèves se bousculent pour se rendre à leurs locaux de classe. Je me rends à l’escalier. Annabelle est là, plus haut sur le palier, appuyée dos à la rambarde. Elle se penche un peu pour remonter ses bas sur ses mollets. Cette fois, ce sont ses fesses rondes et roses qui me font l’appel.
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11 août 2013

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Français

Elle est assise au fond de la classe, elle a placé sa chaise de façon à ce que je la voie.Je continue mon explication à l’ensemble de la classe.Elle est là, à la périphérie deJemon champ visuel. perçois son visage tourné vers moi.Elle a posé sa cheville sur son genou.J’ignore son invite. La cloche sonne, tout le monde se lève et ramasse ses effets.Elle ne bouge pas.Je ne la regarde pas. Quandtous sont sortis, je lève les yeux vers elle.Sous sa jupe, elle est nue.Pas de culotte. Je prends le temps de détailler ce qu’elle me révèle.Des poils follets blonds comme elle, une fente qui semble humide.Elle dépose son pied par terre et écarte les jambes.Elle continue de me dévisagcontinue de profiter de ce qu’elle m’offre.Elle place une main sur son genouer. Je et la fait glisser en remontant sa jupe. « MerciAnnabelle, vous pouvez aller rejoindre vos amies, nous nous reverrons au prochain cours ».Je prends ma mallette etElle rabat sa jupe,mes copies et je l’attends à la porte. dépitée, se lève et passe près de moi.Je ne lui adresse aucun regard.Je ferme la porte de la classe et je lui tourne le dos. Je parcours le couloir, les élèves se bousculent pour se rendre à leurs locaux de classe.Je me rends à l’escalier.Annabelle est là, plus haut sur le palier, appuyée dos à la rambarde.Elle se penche un peu pour remonter ses bas sur ses mollets.Cette fois, ce sont ses fesses rondes et roses qui me font l’appel.Sa raiese prolonge dans l’ombre de sa jupe. Elle se retourne et me regarde. Àcôté de moi, un soupir.C’est Samuel, le prof d’anglais.Il se rend compte que j’ai vu la même chose que lui.Il rougit.Je lui souris et lui dit : «C’est l’effet de mademoiselle-pas-de-culotte ».Il est étonné par mon commentaire.Annabelle est toujours là-haut sur le pallier. Samuel et moi avons l’air de discuter comme deux enseignants ayant besoin de se consulter pour un quelconqueJe sais qu’elleproblème académique.se demande ce que nous pouvons bien nous dire.Samuel et moi nous nous retournons pour la regarder ensemble.Son regard passe du mien à celui de Samuel.Annabelle est intriguée.Tant mieux. « Viens Samuel, il faut qu’on parle.» « Excuse-moi, mais jen’ai pas pu m’en empêcher. Elle me cherche cette fille-là! » «Ne t’en fais pas Samuel, je sais ce que ça peut te faire.Elle me fait le même effet » Samuel est surpris. Je lui explique qu’Annabelle me fait son numéro depuis plusieurs mois.Toujours sans culotte, toujours en n’en dévoilant qu’un peu.En portant les chemisiers blancs de son uniforme avec quelques boutons détachés pour que je puisse entrevoir ses seins.Je sais aussi qu’elle a un piercingPour Samuel, c’estau nombril puisqu’elle le frotte souvent au travers de son chemisier. nouveau. Iln’a pas eu à subir en pleineC’est plutôt luiclasse des démonstrations de ce genre. qui la regarde passer dans les couloirs avec sa démarche langoureuse.En fait, tous les garçons bavent en la regardant.Pour les autres enseignants, elle semble un peut trop délurée.Samuel est mortifié.Il ne sait pas comment faire pour ne pas montrer à quel point Annabelle le trouble. «Je vais t’aider, à chaque fois que tu sens que c’est trop, viens me voir». Notre relation commençaainsi. Monbureau étant situé au sous-sol de l’établissement, nous étions bien au calme pour nous soulager de la tempête charnelle provoquée par Annabelle.La première fois, Samuel ne pouvait cacher son érection dans son jean bien moulant.Il cogna à ma porte, je compris tout de suite en le voyant qu’il venait de croiser notre tourment.«Alors? » Samuel me raconte qu’il étaità laAnnabellegym en train d’effectuer sa surveillance du midi.
était en tenue sportive et se préparait pour une partie de basket avec ses amies.Pendant la période d’échauffement.Elle s’estplacédos à Samuel en écartant les jambes.Elle s’est penchée pour toucher le sol et la tête en bas. De cette position,elle fixa Samuel bien dans les yeux et trémoussa son derrière de gauche à droite.Son short était tellement moulant, qu’il pouvait percevoir toutes les formes des sa vulve et de ses fesses.Pendant que Samuel me racontait son histoire, je pris la liberté de caresser son érection.Sur le coup, surpris, il recula. « Continuede raconter.» J’ouvris sa braguette et dégagea un pénis de belle proportion.Il continua à décrire le comportement d’Annabelle pendant que je me mis à le sucer vigoureusement. Sesparoles m’excitaient et je mouillais enJepensant à cette Annabelle. l’imaginais complètement nue dans le récit que Samuel m’en faisait.J’enfonçais sa verge profondément dans ma bouche.Je le lâchais et me mis à engloutir ses couilles en les aspirant. Je le léchais de long en large.Je le pris dans ma bouche à nouveau en le serrant à sa base.Les jambes tremblantes, il se mit à effectuer des va et vient frénétiques dans ma bouche en me poussant la tête de sa main.Il jouit superbement en se déversant complètement.Je le bus goulument, terminant le tout par de petits coups de langue sur toute la surface de son pénis pour bien le nettoyer.Il voulut me donner la pareille mais le temps nous manquait.
Nous sommes en juin. Les classes se terminent.Annabelle va avoir 18 ans le jour même du bal des finissants. Jusqu’àmaintenant, ses relations avec les autres sont restées plutôt banales pour une fille de son âge.Quelques expériences après des fêtes bien arrosées, des rapprochements avec certaines filles. Mais ce qui l’a toujours fait mouiller le plus, c’est le petit jeu instauré depuis 3 ans avec Corinne Laurin, son enseignante d’histoire. Leclou de cette histoire fut sans doute le petit « plus» qu’a apporté monsieur Samuel, l’enseignant d’anglais. Annabelle se doute que madame et luise sont parlé d’elle.Plusieurs fois, elle a tenté de les surprendre tous les deux.Annabelle pense qu’ils ont une aventure mais elle n’en est pas certaine. Ily a des regards, des attitudes qui laissent deviner que peut-être ces deux là partagent quelElle est loin de se douter que c’est d’elle dont il est question.que chose.
Jour de Bal, jour de la majorité d’Annabelle. Elle est époustouflante dans sa robelongue. Bleue retenue dans son cou, elle l’enveloppe à l’avant de part et d’autre de son buste avec un décolleté provocant laissant voir la rondeur de ses seins. L’arrière est nu jusqu’aux fossettes du bas de son dos et le tissu se dépose sur son derrière en laissant devinerqu’elle ne porte qu’un string. Àl’avant, une longue fente sur le côté jusqu’au haut de la cuisse, qui laisse paraître une jambe interminable chaussée de sandales hautes.Ses cheveux sont remontés sur sa nuque. Cela fait très rétro comme look.Le directeur en est bouche bée.Pour ma part, je n’en attendant pas moins.Je chAnnabelleerche des yeux Samuel dans la foule.Il n’en perd pas une miette. regarde son public avec indifférence.Quand elle croise mes yeux, elle soupire et je vois l’attente. Jelui fais un signe de tête.Tout à l’heure, ce sera sa vraie fête.
Nous sommes tous les trois, Annabelle, moi et Samuel.Nous sommes dans mon bureau.Je fais assoir Annabelle sur une chaise.Elle ne dit pas un mot.Elle attend.Elle attend depuis trois ans et nous aussi.Je lui demande d’écarter les jambes.Je prends sa robe et l’écarte pour mettre à la vue son sexe caché par le triangle de son string.Je lui fais avancer les fesses sur le bord de la
chaise et lui demande d’appuyer son dos au dossier.Je place ses bras sur les accoudoirs. Samuel la menotte.Elle ne semble pas surprise.Je prends ses jambes et les place près des pattes de la chaise. Avec une corde, je les attache en m’assurant qu’elle puisse bouger un peu. Annabelle est passive mais ses yeux sont brillants.Elle se lèche les lèvres. Samuelpasse derrière elle et enfoui doucement ses deux mains dans son décolleté.Il libère ses seins du soutien-gorge qui les retient en le laissant en dessous pour faire remonter ceux-ci.Il défait son chignon et ses cheveux descendent en cascade sur ses épaules.Il lui fait une tresse et tire un peu quand elle est terminée.Annabelle proteste un peu. Je suis debout devant Annabelle, Samuel vient me rejoindre.Nous la contemplons.Là, assise, offerte, à notre merci.J’ouvre une bouteille de vin blanc et je nous sers deux verres.Nous buvons sans nous presser.Annabelle se tortille doucement.Je me tourne vers elle. « Impatiente? »« Tunous as tellement excité ma belle, pendant toutes ces années. Nous pouvons attendre encore un peu et toi aussi. L’attente… c’est la clé, n’est-ce pas?la» Je regarde en la détaillant partout.Mes yeux dans ses yeux, sur ses lèvres, sur ses seins et ses tétons rose foncé, son sexe qui mouille au travers de son string.« Tu es vraiment très excitante Annabelle.m’agenouille devant elle et repousse d’un doigt le tissu qui recouvre sa vulve.» Je Je m’avance et sens son odeur.Je vois la cyprine qui coule doucement de sa fente.Je pose un doigt sur sa fente, juste à l’entrée.Annabelle approuve en gémissant.Je fais pénétrer un doigt. C’est chaud, bien trempé.Je mouille à fond.Samuel derrière moi, soulève mon cul et remonte ma robe.Cette fois, c’est moi qui n’ai pas de culotte.Il libère son sexe et le colle sur mon anus en le mouillant de liquide séminal.J’ai maintenant deux doigts à l’intérieur d’Annabelle. Avec mon autre main je titille son clitoris.Je le décapuchonne et le suçote doucement.Je passe ma langue partout dans ses replis.Elle se tortille de plus en plus.Samuel pousse à l’entrée de mon anus ets’enfonce avec douceur de plus en plus loin.Je laJe sens qu’Annabelle en veut plus. lâche. «Non, encore, s’ilJe continue de me faire sodomiser par Samuel sous les-vous-plaît! » yeux d’Annabelle. Elle souffre de ne pas conclure.C’est l’idée de cecadeau que Samuel et moi lui avons préparé.Samuel s’agite dans mon cul de plus en plus vite.Je sens l’orgasme qui monte. Jeplace ma main sur mon sexe et pince mon clitoris.C’est puissant et si bon.J’explose avant Samuel, il continue à me pistonner pendant que je reprends mes esprits. Je me relève vivement pour le faire cesser.Il se retire.Je m’agenouille et le pompe avec vigueur.Il jouit dans ma bouche avec un cri de satisfaction.J’avale mon sperme en gardant un peu du liquide dans ma boum’che. Jeapproched’Annabelle et l’foutre de Samuel dans maembrasse. Le bouche, nos langues se touchant, se mélangeant, Annabelle se mit à me sucer pour bien goûter à cette liqueur.Je continuai à l’embrasser avec délectation.J’en avais souvent rêvé. Jepassai un doigt sur ses lèvres charnues, les mordillai, les suçait. Je descendis le long de sa gorge en un chapelet de coups de langue jusqu’à ses seins.Samuel s’approcha, son érection au retour.Il passa son sexe sur le visage d’Annabelle, pendant j’aspirai ses tétons.Ses seins magnifiques avaient besoin d’un peu de couleur.Je pris sur le bureau un martinet.«Non, pas ça. Je ne veux pas avoir mal, je veux du plaisir» «Ce sera du plaisir, ne t’inquiète pas.» lui dis-je.Je la frappais doucement en atteignant la pointe de ses seins.Elle se cambrait à chaque coup. Samuel pris les pinces à seins que j’avais préparé.Il lécha un des tétons, l’aspira goulument et installa la première pince.Je frappais Annabelle avec le martinet et lui enfonça un doigt dans la chatte. Elle était dans un état proche de l’orgasme.Mais, nous avions le temps.D’un commun accord, Samuel et moi reculons et nous reversons un verre de vin.Je me penchais et en fis boire une gorgée à Annabelle.Son souffle couJ’en pris unert, les yeux fiévreux, elle avala le vin frais. gorgée aussi et l’embrassais à nouveau.Nos langues fraîches se frottaient avec douceur.Une autre gorgée et je léchais le téton emprisonné par la pince.Samuel me caressais les fesses avec
fermeté. Jeme collai à lui en me tortillant et en me caressant la vulve.Il enfonça deux doigts dans ma fente par en arrière et de l’autre main chercha mes seins.Nous nous caressions devons Annabelle sans retenue.Je me décollai de Samuel et entrepris de me déshabiller dans quitter des yeux Annabelle.Je prenais mon temps.Mes sous-vêtements avaient été choisis avec soin. Ma culotte était fendue et mon soutien gorge percé au niveau du mamelon.Samuel me détailla avec appréciation. Annabelle, témoin de notre strip-J’tease n’en pouvait plus.enlevai les vêtements de Samuel, tout aussi lentement en le plaçant face à Annabelle.Derrière lui, je déboutonnai sa chemise et lui retirai dévoilant son corps dur et musclé.Son pantalon glissa facilemeJe lui demandai de se pencher sur le bureau.Je m’accroupi derrière luint jusqu’à terre. et me mis à lui lécher le cul.Par les sons qu’il faisait, je savais qu’il appréciait.Je regardai Annabelle et lui dis «Tu ne t’attendais pas à ça, n’estDétachez-moi, je veux» «-ce pas? participer » «Tu nous as fait attendre, tu nous as excité, nousCe n’est pas encore le moment. t’avons regardé sans pouvoir te toucher,tu peux comprendre maintenant. »«S’il-vous-plaît! » Je pris le martinet et entreprisde frapper à nouveau les parties sensibles d’Annabelle, le sein libre, sa vulve.Les petites billes frappaient le clitoris avec aplomb.Je pris la deuxième pince et lui serra l’autre mamelon.Annabelle était vraimentbandantecomme ça.J’alternais ensuite les coups et les douceurs.Elle était complètement trempée.Je vérifiais le tout en récoltant son jus sur mes doigts et les léchant consciencieusement.« Tu veux te goûter Annabelle? »Je pris encore de son liquide et lui mis mes doigts dans sa bouche.Elle se goûta avec désir.Samuel, abandonné, se colla à moi.« On lui fait le grand jeu? » «Oui, je pense qu’elle est mûre». Nous la détachâmes avec douceur, en lui caressant doucement les poignets et les jambes.Je lui retirai sa robe en retirant l’attache de son cou.Samuel lui enleva son soutien-gorge mais ne retira pas les pinces à seins.Je lui enlevai ses sandales et remontait lentement mes mains vers son sexe.Elle portait toujours son string.Samuel, derrière elle, pressait son sexecontre ses fesses. Iltira sur les ficelles du string etles brisa.Je me mis à lécher le sexe d’Annabelle, c’était bon, doux, chaud.Mes mains sur ses hanches, j’enfonçais ma langue le plus profondément possible dans sa chatte.Samuel pris ses seins eNous lat les titilla à l’aide des pinces. maintenions entre nous fermement.Son plaisir enflait.Ses jambes se mirent à trembler.Je passai ma main sous ses fesses et les écartai.Je trouvai son anus et le poussai avec mon pouce. Je me mis à suceret à mordiller son clitoris tout en enfonçant mon pouce dans son trou. Samuel continuait de tirer sur les pinces.Il les retira vivement et dans une plainte de satisfaction, Annabelle laissa monter son orgasme. Je continuai à la lécher jusqu’à ce que jela sente s’abandonner sur le corps de Samuel.Je me relevai, embrassa ses tétons endoloris et l’embrassa avec ferveur.Samuel fit de même et m’embrassa par la suite. Nous nous tenions ensemble, tous les trois par les bras.Annabelle, la tête sur mon épaule et la mienne sur la joue de Samuel. Annabelle soupira, nous regarda tous les deux «C’était vraiment, vraiment wow!Est-ce que je peux enfin vous faire plaisir à mon tour? »
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