Tokyo Night version illustrée chap 5
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Si la Psy Marina est une bonne mère attentionnée, sa fille fait dans le dévergondage mais avec style!

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Publié le 11 août 2019
Nombre de lectures 30
Langue Français
Poids de l'ouvrage 50 Mo

Extrait

TNchapV Chapitre 5 YUKI Scène 1 :« retour chez la Psy » Les jours suivants, bien que le manège de Ji Young continuait, Toshiro essaya de l’ignorer. Il s’était aperçu qu’elle était plus tempérée en présence de sa soeur Soo. Alors, il passait plus de temps avec la petite soeur. Brusquement, il se souvint de la psy et de ce qu’elle lui avait dit à son propos. Il aurait bien demandé à sa femme qui était la mère de Soo mais Koo refusait de lui parler depuis l’histoire de la salle de bain. Il se décida à retourner voir le Dr Matsushima
Psy :« votre histoire avec les soeurs Kim me passionne de jour en jour ! cette Melle Ji Young à une personnalité très originale... j’aimerais bien la rencontrer... » To : « je peux toujours lui demander... » Psy : « ainsi, elle vous aurait mordu là où ça fait très mal... mais où cela peut aussi faire beaucoup de bien… » (son regard ambigu en disait long sur ses connaissances à ce propos ; elle semblait amusée par les déboires de Toshiro et de son incapacité à contrôler Ji Young)
« cela vous dérange-t-il de me montrer ? » Toshiro, d’abord surpris se ravisa ; après tout, elle était docteur et de plus, en sexologie… Il baissa son pantalon et son slip. La psy s’approcha et observa la blessure recousue sur le gland. Psy :« cela n’a pas l’air d’être très sérieux, juste une petite entaille. Je ne crois pas qu’elle a voulu vous la couper...ou alors elle s’appellerait Abé Sada ! »(ricanement intérieur) « Cette fille espère encore en vous... » To :« je suis allé à l’hôpital pour me faire recoudre, je vous assure que je n’en menais pas large ; le Dr a fait cela à vif : très douloureux et surtout très rabaissant... » La psy eut un sourire compatissant. Psy :« le plus dur, c’est pour cicatriser. A chaque fois que vous banderez, la blessure risque de s’ouvrir à nouveau... » To : « oui, à ce propos, le Dr m’a donné des médicaments pour empêcher cela, surtout la trique du matin... » Psy : « d’habitude, les hommes prennent des pilules pour bander ; vous, c’est l’inverse, amusant, non ? » To : « quand j’étais à l’hôpital, l’assistante du Dr me faisait les yeux doux ; elle avait légèrement dégrafé sa blouse et à chaque fois qu’elle se penchait, j’apercevais le haut de sa poitrine...» Psy : (amusée)« et… était-elle à votre goût ? » To : « de mon goût ou non, son 95 de poitrine aurait fait craquer plus d’un homme. je voyais bien que ça l’amusait de me voir ainsi, une pernicieuse sans doute... » Psy : « et moi, est-ce que je vous fais de l’effet ? » To (surpris par cette question)« et bien... c’est à dire qu’avec ce genre de robe, je ne me rends pas bien compte... » Réponse plutôt hypocrite de Toshiro après avoir aperçue le décolleté très suggestif de la psy... Psy :« ce n’est pas un problème »Le Dr se leva, dégrafa sa robe par derrière et la laissa tomber d’un seul coup. Psy :« excusez du peu, Mr Saotomé. Je n’ai qu’un petit 102cm de tour de poitrine »
Sous sa robe, la psy ne portait qu’un léger dessous composé d’un corset, de jarretelles et de bas nylon, le tout de couleur noire. Cette composite ressortait par l’absence de string et de soutien gorge ! Toshiro resta bouche bée devant une telle sensualité. To : (mentant encore)« ...j’avoue que vous m’avez bluffé ! vous êtes absolument... comment dire... vous êtes très féminine ! » Toshiro s’étonna intérieurement d’exprimer ce spectacle sensuel par une telle platitude verbale… Psy : « et encore, vous m’auriez connue quand j’avais 20 ans... » To : « je n’ai rien contre les femmes mûres... » Psy : (enthousiaste)« attendons que vous soyez bien rétabli...et je crois que nous pourrons nous entendre » Toshiro, qui commençait à bander... To :« excusez-moi mais pourriez-vous vous revêtir ; je sens comme un gonflement là où vous savez... » Le Dr fit un large sourire, heureuse de l’effet qu’elle provoquait chez Toshiro puis se rhabilla. Soudain, le téléphone sonna. Après avoir raccroché… Psy :« Mr Saotomé, vous vous souvenez, je vous ai parlé de ma fille Yuki. Je dois la rencontrer ce midi pour déjeuner. Si vous avez un peu de temps, j’aimerais que vous la rencontriez... » ~~~~~~~~Scène 2: « Sex appeal »
Toshiro accepta de venir déjeuner avec le Dr Matsushima et sa fille. Cette dernière n’était pas encore arrivée... Toshiro n’avait pas dit au Dr qu’il connaissait le passé de sa fille et de l’inceste qu’elle avait vécu avec son père... Le Dr était en train de parler de sa fille, de ses études et de ses hobbies... quand celle-ci arriva en uniforme d’étudiante, trempée des pieds à la tête !
Yuki: «excusez-moi pour mon retard ! la pluie m’a retardée » Psy : « mais où est ton parapluie ma chérie ? te voilà trempé jusqu’aux os ! tu risques d’attraper froid avec l’air conditionné... » Yuki : « ça va aller, maman ; j’ai trop couru, c’est tout ! et j’ai oublié mon parapluie à l’école... » Quand Yuki retira sa veste, Toshiro s’aperçue qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Son corsage mouillé faisait ressortir la forme généreuse de sa poitrine, presque aussi imposante que celle de sa mère. Evidemment, sa mère s’en aperçue aussi mais fit comme si de rien n’était…
Psy :« Yuki, es-tu sûre que tout va bien ? peut-être devrais-tu aller t’essuyer un peu avant que nous commencions à manger ? » Yuki : « je t’assure, maman. Tout va très bien ! » Une autre chose intrigua Toshiro ; Yuki avait ajusté sa jupe très haute au point que l’ourlet lui arrivait en haut des cuisses à la limite de son slip ! Au japon, les jupes des étudiantes sont taillées pour arriver jusqu’aux genoux, voir en dessous. Alors, pour aguicher les garçons ou paraître plus féminine, elles remontent leurs jupes très hautes pour montrer leurs cuisses. Seulement, d’habitude, elles le font en dehors de l’école et pas à la vue de leurs parents. Le Dr Matsushima présenta sa fille à Toshiro, ravie. To :« je suis enchanté de faire votre connaissance. Votre mère m’a dit que vous étiez jolie, mais je ne pensais pas à ce point. vous êtes ravissante même toute mouillée ! » Yuki fut ravie du compliment et se mit à réajuster ses long cheveux en queue de cheval ; en montant ses bras vers le haut, cela fit exagérer le pli de son corsage blanc et remonter d’autant sa lourde poitrine. Le spectacle était plus que provoquant.
Toshiro, tout en matant discrètement la poitrine de Yuki à travers son corsage mouillé, se demandait si elle était consciente de son état ou bien si elle ne se rendait compte de rien… Toshiro s’aperçut qu’elle le regardait dans les yeux au moment où il la matait ; confus, il se tourna vers la psy pour entamer la conversation... C’était un restaurant français avec une cuisine très raffinée ! Toshiro était en train de parler de son travail quand il s’aperçut que 2 boutons du corsage de Yuki était défaits ; pur hasard ? Toshiro était assis à sa gauche alors que sa mère était à sa droite. Donc, si sa mère ne pouvait pas voir l’ouverture du corsage, ce n’était pas le cas de Toshiro, qui essayait de penser à autre chose. En fait, depuis le début du repas, Toshiro essayait de résister au charme attractif de Yuki. Plus il était excité, et plus sa blessure au sexe lui faisait mal. Cette petite gamine de 18 ans ou presque n’avait pas froid aux yeux de montrer ainsi ses formes à un inconnu !
Quand à sa mère, ou bien elle ne voyait rien ou bien elle feignait de ne rien voir... Pour faire baisser son excitation, Toshiro sortit sa boite de pilule prescrit par l’hôpital. Aussitôt, Yuki s’en empara avant même que Toshiro ait pu en avaler une ! Elle essaya de déchiffrer les noms scientifiques écrits sur la boite … Yuki :« dit m’man, qu’est-ce que c’est que ce médicament ? » A une telle question, le Dr Matsushima sentit l’embarras de Mr Saotomé à l’idée que sa fille sache la vérité… Psy : (de manière très professionnelle)« allons Yuki, c’est une question qui ne te regarde pas ; tu risques de gêner notre invité » Tout en rendant la boite à Toshiro, Yuki s’excusa de sa question. Toshiro : (content de revoir sa boite)« tout cela n’est pas bien grave, Docteur ; pour répondre à votre fille, c’est juste des pilules pour la migraine… » Toshiro ouvrit la boite pour en avaler une… mais toutes les pilules avaient disparu !!! Par un tour de passe passe, cette chipie de Yuki avait dérobée toutes les pilules ! Toshiro se demandait bien pourquoi mais n’osa pas les lui demander de peur de commettre une incartade ; peut-être étaient elles tomber dans sa poche… il chercha fébrilement dans toutes ses poches quand il s’aperçue soudain du regard sournois de Yuki à son encontre… Yuki :« auriez-vous perdu quelque chose, Mr Saotomé ? »dit-elle d’une voix légèrement provocante
Après une heure, le Docteur dut repartir travailler ; elle proposa à sa fille de tenir compagnie à son client jusqu’à la fin du repas avant de la rejoindre au cabinet. Toshiro parlait de chose et d’autre à Yuki, qui avait l’air de se désintéresser de la conversation ; depuis le départ de sa mère, elle ne porta pas un regard à Toshiro et envoyait des « texto » avec son keitai portable. Il pensa qu’il s’était trompé sur les intentions de cette fille. Son air aguicheur était-il trompeur ? Toshiro :(pensif)« « comment une jeune fille aussi belle et insouciante pourrait s’intéresser à un vieux de 35 ans ? » » Arrivée au dessert, Yuki commanda une glace avec supplément de chantilly ; Toshiro prit juste un café. Et là arriva l’incroyable ! En mangeant, Yuki fit tomber de la glace sur son corsage !
Toshiro voulut lui en parler mais étant donné l’endroit des dégâts, il s’abstint. Yuki continuait de manger comme si de rien n’était... au contraire, à chaque cuillerée, de la glace ou de la chantilly tombait sur son chemisier et même en dessous... Une fois la glace terminée, Yuki regarda finalement Toshiro avec des yeux tout malicieux et passa doucement sa langue sur ses lèvres... Yuki :« J’aime beaucoup les glaces... »Elle fit un large sourire alors que Toshiro dirigeait son regard vers son corset. Yuki fit de même et aperçu son corsage taché de glace. Elle fit celle surprise et écarta les bras ; elle se tourna vers Toshiro, stoïque. Après quelques secondes qui semblaient durer des heures, Yuki demanda d’un air tout naturel : Yuki :« Mr Saotomé, pourriez-vous m’aider ? »Tout en gardant les bras ouverts tel un chiot sans défense, elle bougea frénétiquement le tronc de chaque côté ce qui fit bouger automatiquement sa poitrine généreuse ! Toshiro s’en aperçue suffisamment pour réveiller sa douleur au sexe. Ses pilules disparues, la moindre excitation faisait gonfler son sexe… Embarrassé, il mit de l’eau sur une serviette et la proposa à Yuki. Mais celle-ci resta les bras écartés sans bouger et les yeux fermés.
La glace avait depuis ce temps coulé entre sa poitrine ; de même qu’à l’intérieur du corsage... Toshiro avait compris le message : aux innocents les mains pleines...de glace ! Cette fille était une manipulatrice née et beaucoup d’homme allait en faire les frais... à commencer par Toshiro. Après une courte hésitation, il s’approcha de Yuki, toujours immobile et les yeux fermés. Avec la serviette, il essuya la glace du corsage entre ouvert. Toshiro pouvait entendre les battements du coeur de Yuki... Sa forte poitrine serrait ce corsage étriqué à la limite de la rupture ; par un mouvement des reins, elle cambra les reins et fit sauter les boutons du haut de son corsage, ce qui eu pour conséquence de faire apparaître le haut de sa poitrine. Entre les 2 boutons du bas déjà défait et ceux du haut à présent disparus ne subsistait plus qu’un seul bouton ! Yuki ouvrit la bouche et poussa de légers gémissements... Toshiro aussi poussa des gémissements, mais de douleur ; son sexe raidit le fit à nouveau souffrir. Yuki fit un dernier mouvement de rein et l’ultime bouton rendit l’âme... Le corsage à présent découvrait une grande partie de sa poitrine maculée de glace... Toshiro restait là, figé et démunit devant une telle candeur et de plus, dans un lieu public. D’ailleurs, plusieurs clients avaient remarqués le manège de Yuki et celle-ci avait l’air d’y prendre goût... Toshiro par contre était plutôt embarrassé de cette situation ; il restait là avec sa serviette tendue à Yuki, à regarder cette poitrine se gonfler et se dégonfler... Yuki :« vous devriez essayer d’essuyer avec vos mains, Mr Saotomé... » L’outrecuidance de cette jeune fille stupéfiait Toshiro, complètement sous le charme de cette créature. Heureusement, lui aussi eu un sursaut de provocation… Toshiro :« et pourquoi pas avec la langue ? moi aussi, j’aime beaucoup la glace... » Au moment où il alla poser les mains sur la poitrine nue, Yuki posa ses mains contre ses seins, privant Toshiro d’un contact tant convoité. Yuki : (avec un sourire au coin des lèvres)« chaque chose vient à qui sait attendre Mr Saotomé, et je crois que votre aide ne me sera plus utile…pour l’instant. où alors, vous risquez de vous déchirer encore la bite ! » Yuki se leva et s’apprêta à partir. Elle se pencha pour ramasser son sac d’écolière en tournant le dos à Toshiro ; il vit qu’elle ne portait pas de culotte ! A nouveau, il ressentit une vive douleur au sexe. Une fois Yuki Matsushima partie, Toshiro vit sur la nappe de la table ses pilules bien en vue, dessinant la lettre « Y » ! ~~~~~~~~
Scène 3: « Jeux subtils » Toshiro faisait route versNagoya cityau volant d’une voiture banalisée...
Tout en conduisant, Toshiro repensait à ce repas ; Yuki avait rejoint sa mère sous la pluie en plantant Toshiro sur place. Il eu du mal à quitter le restaurant tant il savourait encore ces moments passés avec Yuki. Il se sentait bien et n’avait plus mal nulle part...
Tel un film, il se repassait dans sa tête le stratège de cette fille pour arriver à ses fins. Toshiro y voyait même une forme d’art un peu comme ces « Live Performance » qui improvisent le non-dit, l’informulable... Toshiro :« quelle comédienne, cette Yuki ! sa tête et son corps fonctionnent dans le même sens... Son opiniâtreté est débordante de créativité... » Son téléphone le sortit de ses pensées : c’était le Dr Matsushima Psy :« Mr Saotomé ! je pense qu’à présent, on peut se tutoyer... » To : « faites mes compliments à votre fille Yuki ; elle a su tirer à profit le fait de connaître ma condition physique du moment... » Psy : « je les lui ferais. par contre, elle ne vous a pas trouvé à la hauteur sur le moment... » To : « c’est à dire ? » Psy : « trop lent à réagir. Excusez-moi Mr Saotomé, mais ce sont ses propres mots… » To : « alors aucune chance ? » Psy : « je crois qu’elle est prête à vous donner une seconde chance... » To : « trop aimable ! » Psy : « ne croyez pas cela. Yuki, malgré son jeune âge, est très exigeante pour elle-même et donc pour les autres...elle ne souffre pas l’amateurisme... » To :« excusez-moi ! on ne m’avait pas prévenu de ce petit jeu... » Psy : « Idiot ! quel intérêt cela a t’il si vous êtes prévenu à l’avance ? c’était à vous de deviner la situation. Pourtant, je vous avais donné pas mal d’indices avant et Yuki aussi... » To : (réfléchissant)« je ne vois pas... » Psy : « décidément, vous êtes plus idiot que je ne pensais, Toshiro. j’ai parlé de mon tour de poitrine que je ne cachais pas et là, vous avez bien réagis en feignant de ne pas savoir... alors, j’ai pensé à tort que vous affectionniez la malice, la connivence, la subtilité dans les relations humaines... des sentiments somme toute assez rares de nos jours… alors, j’en ai parlé à Yuki ainsi que de votre blessure au gland... » Tos : « vous voulez dire... » Psy : « que croyez-vous Mr Saotomé ? que ma fille va à l’école sans dessous de corps ? qu’elle oublie son parapluie au risque de prendre froid ? qu’elle mange toujours en s’en mettant partout sur ses affaires...et tout cela devant un étranger ! ma fille est une personne très bien éduquée ! » Toshiro se sentait tout honteux de n’avoir pas pu comprendre à temps le stratège de Yuki. Il essaya de rattraper le coup. To :« c’est vrai, Izayoi. j’ai été lamentable ! mais votre fille était trop forte pour moi aujourd’hui ; c’est un maître dans ce domaine... » Psy : « le mot n’est pas trop fort. c’est vrai qu’aujourd’hui, elle m’a agréablement surprise. elle pensait tomber sur un super pro et non sur un louseur ! » Toshiro, découragé par tant d’abaissement, bifurqua vers une autre direction... To :« voyez vous Docteur, j’ai d’abord perdu mes moyens en vous voyant dénudée...et puis, quand j’ai rencontré votre fille et découvert quelle beauté elle était... » Psy : « ouai, ouai, ouai ! arrête tes flatteries, bitte molle ! bon, je te l’accorde ; ma fille, avec ses formes, a de quoi faire craquer n’importe quel prêtre shintoïste ou bouddhiste en méditation... mais ce qu’elle t’a apporté aujourd’hui de sa personne dépasse toutes les relations sexuelles que tu pourrais avoir avec elle... » To : (maladroit)« je ne dirais pas non pourtant... » Psy : « et en plus, t’es vicieux ! »
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