Tes attentes sont gravées dans mes yeux… Les formes fondent dans mes rêves Le visage qu’on voit dans tes photos N’est pas celui de tes sentiments Istanbul… Vivre séparé n’a pas d’impact sur tes mers Les attentes sont tendues dans tes paysages Les pensées ne restent pas sur place Istanbul se pose comme du plomb sur mes solitudes… Les poissons blancs vivent dans vivant dans ton passé Les mouettes flânent dans tes souvenirs Les amitiés moulues veillent jusqu’aux matins L’Anatolie se lève de tes horizons Istanbul… Üzeyir Lokman ÇAYCI Ankara, le 12.01.1980 Traduit par : Yakup YURT