(voilà, il est trop tard, je suis perdue ! car noyée sous les “FEUX de L’AMOUR”).
Oui, sans cesse je t’ai cherché, J’ai voyagé, marché, nagé, Ai escaladé des sommets, T’ai recherché à l’infinie... Toute ma vie, j’ai couru Et tu étais à perte de vue.
Un jour, me reposant A l’ombre d’un palmier, Tu es venu me parler.
Une sensation de bien-être m’a alors envahie Et mes sentiments ne m’ont pas trahie.
Où étais-tu ? Tu es là. Je t’ai enfin trouvé !
Ma solitude s’est évanouie, Un immense espoir m’envahit, Un feu terrible me consume, Une finalité qui se résume...
Et tu gardes, depuis ce jour, L’immensité de mon Amour.