Les Aventures Singulières de René : "Avril en Mai"
14 pages
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Description

René, docte médecin à la retraite, bricoleur à ses heures, veut aider son fils François et sa bru Capucine, à aménager la salle de bain de la maison qu'ils viennent d'acheter.Il fait alors une étrange découverte qui le plonge dans un abîme de perplexité.

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Publié le 07 mars 2012
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Licence : Tous droits réservés
Langue Français

Extrait

Avril en Mai  
Témoignage de Jean Paul POIRIER  
Éditions de la Corne d’Or  
      AVIS AU LECTEUR     Vous qui connaissez bien René et avez suivi une à une ses nombreuses « Aventures Singulières , vous ne serez pas particulièrement surpris à la lecture des pages qui vont suivre . »  Nul besoin , en conséquence , de vous rappeler que tout ce qui s’y trouve décrit ne procède aucunement de l’imagination de l’auteur .   Vous avez en effet déjà constaté les multiples compétences de René : musicien, chef d’orchestre , sculpteur, peintre , poète , auteur -compositeur , comédien , chanteur , prestidigitateur et même détective .  Vous ne manquerez donc pas de découvrir à travers cette nouvelle « Aventure Singulière » dont il fut à la fois le témoin et le sujet son talent (encore à ce jour caché) de… bricoleur .                                                                                                      Note de l Éditeur .  
 CHAPITRE 1     Tout en manœuvrant délicatement le volant de sa voiture pour ne pas rater le dernier virage conduisant vers la berge de la Seine, René trépignait intérieurement d’impatience . Enfin il allait découvrir la petite maison acquise depuis peu par François, son fils, et Capucine , sa bru !  Pourvu qu’elle ne soit pas en trop mauvais état ! Avec les jeunes générations , l’on pouvait s’attendre à tout . Le bonheur de pouvoir vivre enfin «  Chez Eux » (avec en prime une première naissance prochaine) ne leur avait -il pas fait perdre le sens des réalités ? François lui avait parlé d’une vieille maison en bon état, mais nécessitant quelques travaux d’aménagement . N’avait -il pas sous-évalué l’importance de ces derniers ?   Compte tenu du prix du mètre carré à Saint -Germain-en-Laye il paraissait impossible à René que François ait pu , pour le prix modeste qu‘il avait annoncé, trouver à quelques kilomètres alentour une battisse convenable . En outre son budget limité, pour ce premier investissement familial, ne lui permettait guère d’importantes dépenses supplémentaires de restauration .  Ayant ainsi parcouru la descente en zigzag conduisant vers la Seine, René tourna à gauche comme le lui avait indiqué Capucine et fut soudainement surpris par la sereine beauté de la petite ville qu’il découvrit .   Conflans-Sainte-Honorine s’étendait devant lui, avec à sa droite de nombreuses péniches garées les unes à coté des autres sur le fleuve et à sa gauche une enfilade de coquettes petites maisons d’un autre âge aux couleurs pastel . La route s’était transformée en une rue étroite où les véhicules peinaient à se croiser . De nombreux piétons la traversaient sans arrêt, sans se préoccuper des voitures, obligeant René à conduire lentement, le pied sur le frein .  L’ensemble dégageait l’impression d’une tranquille bourgade de province préservée du béton, suspendue dans le temps à une époque indéterminée, mais pourtant proche, avec des badauds regardant l’eau à l’ombre des arbres longeant le fleuve, des commerces traditionnels au rez -de-chaussée de demeures familiales, des mariniers vivant sur leurs péniches .  A cet instant, René eut le sentiment que François et Capucine avaient bien trouvé là le « havre de paix » propice à l’épanouissement de leur jeune ménage . Cela ne ressemblait pas à Saint-Germain-en-Laye mais plutôt à un petit village de vacances, avec des restaurants au bord de l’eau, un marché pittoresque, des ruelles en pentes aux noms anciens évocateurs .   Quand la rue qu’il empruntait se mit à tourner vers la droite pour s’enfoncer dans le centre urbain vers la mairie et la gare de chemin de fer, René la quitta pour continuer de longer le fleuve . Puis, après avoir ralenti son allure pour traverser une petite placette pavée comportant en son centre une fontaine, il atteignit le « Quai des Martyrs de la Résistance » .
Contrairement à ce que le nom du lieu pouvait laisser croire, le Quai des Martyrs de la Résistance n avait rien d’un « quai » . Il s’agissait en réalité d’une avenue bordée d’arbres et de réverbères qui longeait la Seine . Le long de celle -ci un chemin piétonnier était séparé de l’avenue par une pelouse verdoyante sur laquelle des bancs publics permettaient aux passants de regarder sereinement les mouvements de l’eau et des péniches .   L’ et ses abords semblaient avoir été rénovés depuis peu ; en tous cas ils témoignaient du avenue soin particulier que les services de la voirie municipale apportaient à leur entretien .  Face à La Seine, les maisons dites « de mariniers » étaient de faible hauteur, tantôt accolées les unes aux autres, tantôt séparées par de petites ruelles, avec des façades de briques ou de crépis multicolores, des volets extérieurs en bois, des rez -de-chaussée surélevés par crainte des crues et des inondations .  La plupart d’entre elles étaient fort anciennes, datant de plusieurs siècles . Ne disait -on pas à Conflans-Sainte-Honorine qu’elles avaient été construites par des mariniers prenant leur retraite après avoir séjourné l’essentiel de leur vie sur leur péniche et qui n’avaient pu s’éloigner de La Seine, passant ainsi la fin de leurs jours à la contempler avec nostalgie ?  Arrivé au niveau d’une péniche « Musée » signalée par un panneau, René s’arrêta afin de pouvoir regarder avec une curiosité accrue la demeure en briques qui se dressait en face, à l’angle du quai et d’ petite ruelle … la maison de François et Capucine . une  A sa vue, il ressentit une singulière émotion . C’était donc vrai : son fils ne lui avait pas raconté de sornettes . Il avait bien déniché à quelques lieues de chez lui (moins de quinze minutes en voiture) une vraie demeure » en bon état d’entretien (à en croire son aspect extérieur) « comportant un rez-de-chaussée surélevé, un étage et des combles, séparée du trottoir par une petite cour avec portail en fer forgé !  En la contemplant, il remarqua à la fenêtre du premier étage la silhouette de Capucine qui, surveillant la rue depuis un moment l‘attendant, se mit à ouvrir la croisée et à lui faire  en comprendre, par gestes, qu’il pouvait se garer juste devant la maison, le long du trottoir à un emplacement de stationnement laissé libre .  Dans sa manœuvre empressée pour la rejoindre, René faillit emboutir le lampadaire situé sur le trottoir et dut, en maugréant quelque peu, s’y reprendre à deux fois !  
 CHAPITRE 2     Dès que René eut gravi les quelques marches extérieures conduisant à l’entrée de la maison, la porte de celle-ci s’ouvrit sur une Capucine radieuse qui l’invita à entrer sans plus attendre, devinant son impatience à visiter les lieux de fond en comble . Effectivement René tout en embrassant Capucine jeta un œil intéressé par dessus son épaule pour regarder derrière elle la pièce dans laquelle ils se trouvaient .   Et ce qu’il vit le désappointa sur le champ ! Le parquet du sol avait disparu, des planches de bois ayant été sommairement posées sur les solives pour créer un passage conduisant vers l’extrémité opposée à l’entrée de la pièce . D’ailleurs il ne s agissait pas à proprement parler d’une pièce, mais plutôt des vestiges de ce qui avait dû constituer à l’origine plusieurs pièces et un corridor . Les murs débarrassés de tout papier d’ornement étaient recouverts de plâtres vétustes comportant des traces de peintures de couleurs différentes . Dans l’un des angles du fond un évier avec une vieille robinetterie témoignaient de la présence en cet endroit d’une ancienne cuisine .  Manifestement d’importants travaux d’aménagement semblaient nécessaires ! L’intérieur de la maison était loin de son aspect coquet extérieur ! Ce qu’il craignait sur l’enthousiasme et l’insouciance de la jeunesse actuelle se vérifiait ! Ce n’était pas « demain la veille » que les lieux seraient en état d’être habités confortablement ! Il aurait dû faire moins confiance en « son » François, dont le budget de jeune ménage était trop limité ! Comment Claude, son épouse ô combien dévouée, allait-elle réagir à la vue de ce pitoyable intérieur, elle qui s’impatientait déjà à l’idée d’être une seconde fois grand’mère ! Devraient -ils héberger pendant de nombreux mois le jeune couple en attendant l’argent indispensable pour lui permettre de s’installer définitivement dans cette maison ?  C’est alors que René vit pénétrer par une porte située au fond de la pièce François souriant, manifestement très détendu, ne paraissant aucunement inquiet par l’état des lieux . Bien au contraire, c’est avec enthousiasme qu’il se mit à lui exposer les « travaux » qu‘il était en train de faire réaliser pour transformer cette partie principale de leur rez -de-chaussée en salle de séjour avec cuisine à « l’américaine ».  Devant les explications détaillées de son fils qui avait programmé pour dès le lendemain matin le coulage d’une dalle -béton, l’inquiétude de René se dissipa quelque peu et il tenta de se représenter ce que deviendrait ce « séjour » dans quelques semaines .  Puis François entreprit de lui faire visiter le reste de la maison . L’invitant à marcher avec précaution sur le passage en planches, il le fit pénétrer par la porte du fond dans une sorte d’entrée (sans porte donnant sur l’extérieur) occupée par un imposant escalier conduisant aux étages . Une seconde pièce y faisait suite, avec des fenêtres ouvrant sur l’arrière de la maison, déjà meublée de table chaises et mobilier divers mais également encombrée de tout un capharnaüm de valises et d’objets en attente d’être rangés plus tard lorsque les «  travaux » seraient achevés ; manifestement c’était dans cette pièce que François et Capucine devaient prendre provisoirement leurs repas .  3
Cette provisoire salle à manger était dans un état d’entretien nettement meilleur que celui de la future salle de séjour . Cela rassura René .  Revenant dans la cage d’escalier et gravissant celui -ci en suivant son fils, René constata que les murs avaient été récemment recouverts d’une toile de fibre de verre et repeints de couleur claire . Sans doute en serait-il de même pour les pièces du dessus .  Effectivement il découvrit à l’étage : à l’arrière de la maison une première pièce vide entièrement refaite « à neuf », la chambre du futur bébé ; puis en façade sur le quai une seconde pièce également « rénovée » et meublée sommairement, la chambre des parents ; enfin entre les deux une petite pièce non aménagée avec fenêtre donnant sur la ruelle, la « future » salle de bains, dans laquelle se trouvaient en attente d‘être posés des boites de carrelage . Tout l’étage venait manifestement d’être restauré depuis peu et René n’osa pas tenter d imaginer dans quel état il se trouvait avant l’acquisition de la maison .   En haut de l’imposant escalier une petite porte conduisait aux combles . Mais l’électricité étant défaillante dans cette partie de la maison, René ne put que distinguer dans la pénombre deux pièces en sous pentes, dans lesquelles l’on pouvait se tenir normalement debout, encombrées de tout un capharnaüm d’objets et meubles divers . L’une, située à l’arrière de la demeure, comportait une fenêtre surplombant les petites maisons d’une ruelle parallèle au quai ; l’autre située en façade était éclairée par un velux .  Tout en les visitant rapidement en l’absence de luminosité suffisante, René écoutait d’une oreille distraite François lui exposer comment il comptait, par la suite, les aménager . Et René se disait à lui-même qu’à bien y réfléchir la demeure de François et Capucine n’était pas dans l’état de délabrement que laissait imaginer le «  Séjour » du rez-de-chaussée . Une fois les travaux de celui-ci terminés et la « salle de bain » du premier étage créée, la maison serait tout à fait convenable et confortable pour le jeune couple .  Redescendant à l’étage dans la chambre «  des parents », il s’approcha de la fenêtre afin de regarder le paysage alentour et, en contemplant de sa position surélevée le calme mouvement de La Seine et de ses péniches, il ressentit de nouveau un sentiment de tranquille bien -être .  Puis, sans raison particulière il fut soudainement empli d’une grande fierté : «  son » François était bien tel qu’il l’avait espéré, réussissant à dénicher le mouton à cinq pattes malgré de faibles finances, faisant réaliser en très peu de temps la majeure partie des travaux de réfection assumant ainsi ses responsabilités de « futur » chef de famille . Capucine avait bien de la chance d’avoir rencontré un tel un mari ! .   Maintenant René n’avait qu’une hâte : retourner d’urgence à Saint -Germain-en-Laye pour raconter à Claude tout ce qu’il venait de voir, lui faire part du bonheur de François et de Capucine, dissiper l’inquiétude dont elle lui avait fait montre depuis l’annonce par François de cet achat immobilier .       4
 CHAPITRE 3     De retour chez lui à Saint-Germain-en-Laye René fit à Claude une description particulièrement enthousiaste de la maison de François et Capucine . A l’écouter, elle était déjà équipée de tout le confort moderne et presque totalement aménagée . Il ne cessait de louer « son » fils qui s’était particulièrement bien débrouillé pour, d’une part la découvrir, d’autre part la faire restaurer sans tarder . Dans moins de huit jours, à coup sûr, ils pourraient Claude et lui goûter au plaisir d’être conviés à y déjeuner par une Capucine dont les talents de cordon -bleu n’étaient plus à démontrer .  Devant la réticence de Claude à partager un tel enthousiasme, René décida qu’il lui fallait lui -même « mettre la main à la pâte » s’il voulait que cette future scène familiale idyllique puisse rapidement se réaliser . Mais que pouvait -il faire ? Il n’allait quand même pas se mêler de la vie des jeunes mariés qui était assez intelligents pour décider eux -même de ce qui leur convenait .  De surcroît René ne se sentait pas le courage de pouvoir participer aux travaux pénibles que nécessitait l’état actuel de la maison de Conflans -Sainte-Honorine : couler du béton, poser du papier peint ou de la peinture sur les murs, installer un parquet ou de la moquette lui paraissaient au dessus de ses forces physiques, d’autant qu’il venait d’être opéré d’un genou qui le faisait encore souffrir .  Bien que, bricoleur-né, il ait déjà effectué toutes ces tâches, notamment lors de l’aménagement de sa résidence secondaire de « La Brousse », il hésitait à proposer son aide pour ce genre de travaux pour lesquels son fils avait d’ailleurs déjà fait appel à des professionnels .   Mais René ne pouvait pour autant s’en satisfaire, trouvant normal d’aider ses enfants et surtout de marquer, d’une manière ou d’une autre, l’empreinte de son savoir -faire dans cette nouvelle demeure .  A bien y réfléchir, un travail ne sollicitait pas trop d’effort physique mais demandait en revanche un certain doigté et beaucoup d’astuce : la réalisation du carrelage mural de la salle de bains .  Or René avait déjà démontré sa compétence en cette matière au moins à deux reprises : une trentaine d’années auparavant dans son domicile de «  Saint-Germain-en-Laye » , puis plus récemment dans sa résidence secondaire de « La Brousse » . Il avait réalisé seul ces travaux avec vélocité et depuis lors personne n’avait trouvé à « redire » sur la qualité de son travail !  Sa décision fut donc à ce moment irrévocablement prise : il allait « offrir » à François et Capucine la pose, par ses soins, du carrelage que ces derniers avaient déjà acheté pour leur future salle de bains . Et tant pis si son genou venait à lui occasionner quelques douleurs désagréables . Avec une ou deux séances supplémentaires de ré -éducation post-opératoire (si le besoin s‘en faisait sentir ) il serait en mesure de pouvoir réaliser de nouveau ce travail artistique rapidement, en tous cas avant l’accouchement de Capucine prévu en Mai .    5
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