Existence Tome 1
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Description

« Quelque part, dans un monde autre que le nôtre, vivent des êtres dotés d’aptitudes intellectuelles beaucoup plus avancées que celles des humains. La paix et l’harmonie régnaient dans ce monde jusqu’à ce que ses habitants décident de se lancer dans un projet très ambitieux. Ce projet entraînera des désaccords parmi ses concepteurs, lesquels désaccords vont s’amplifier progressivement, jusqu’à générer des conséquences totalement imprévues, façonnant la face de ce monde jadis paisible… »

Informations

Publié par
Publié le 13 avril 2019
Nombre de lectures 17
Langue Français
Poids de l'ouvrage 2 Mo

Extrait

EXISTENCE - TOME I
Chiens de faïence
Copyright 2019 Désiré Gnani ZORO
Avertissement « Quelque part, dans un monde autre que le nôtre, vivent des êtres dotés d’aptitudes intellectuelles beaucoup plus avancées que celles des humains. La paix et l’harmonie régnaient dans ce monde jusqu’à ce que ses habitants décident de se lancer dans un projet très ambitieux. Ce projet entraînera des désaccords parmi ses concepteurs, lesquels désaccords vont s’amplifier progressivement, jusqu’à générer des conséquences totalement imprévues, façonnant la face de ce monde jadis paisible… » « Existence » est un feuilleton littéraire relatant une histoire fictive. Le récit est composé de plusieurs tomes. Le présent document ne contient que le premier tome, lequel est intitulé « Chiens de Faïence ». La présente version du récit est disponible en ligne depuis le 19 Février 2019. Les lecteurs se devraient de garder à l’esprit que le récit est avant toutes choses une œuvre de science-fiction. Il faudra donc s’attendre à ce que la plupart des concepts scientifiques et technologies qui y sont évoqués s’écartent assez fortement de la réalité et de la vérité telles qu’elles se présentent à nous de nos jours, voire même de la réalité et de la vérité tout court. Toutefois, l’aspect fiction du récit ne concerne essentiellement que les technologies et concepts scientifiques évoqués, ainsi que la plupart des détails qui y sont mentionnés. Car bien que le récit soit une fiction, l’un de ses principaux objectifs est d’amener les lecteurs non croyant aux thèses chrétiennes à être beaucoup plus critiques envers les opinions négatives qu’ils se seraient forgées, vis-à-vis de ces thèses en particulier, et du récit biblique en général. Par conséquent, à l’exception des noms Yah-Weh et Yahushua, ainsi que d’autres termes faisant référence à des noms, mots et entités bibliques, tout autre personnage ou entité du récit, en particulier ceux (personnages et entités) portant des noms homophones ou homographes à d’autres noms connus par ailleurs par le lecteur, relèvent purement de la fiction, et ne sont donc, en aucune manière, supposer représenter des entités existant réellement, ou ayant réellement existé.
Les liens de téléchargement des deux tomes du feuilleton (Tome 1 & Tome 2) sont les suivants : Lien 1 :https://www.youscribe.com/zionfellow/ Lien 2 :https://www.smashwords.com/profile/view/existence Bonne lecture à tous! L’auteur
CITATIONS « …Ce que Yahushua ayant entendu, il leur dit : ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler les justes, mais les pécheurs. » (La SAINTE BIBLE, Marc 2 :17) « C’est moi Jean, qui ai entendu et vu ces choses. Et quand j’eus entendu et vu, jetombai aux pieds de l’angequi me les montrait,pour l’adorer. Mais il me dit :gardes toi de le faire!Je suis ton compagnon de service, et celui de tes frères les prophètes, et de ceux qui gardent les paroles de ce livre.Adore Dieu. »(La SAINTE BIBLE, Révélation 22 :8-9)
Prologue « Au commencement… »
C’était le moment tant attendu, et bien malheureux celui qui se hasarderait à manquer cet évènement. Ils contribuèrent tous, plus ou moins, au projet qui allait peut-être prendre forme bientôt sous leurs yeux. Nombreux sont ceux qui n’y croyaient pas jusque-là, et qui attendaient de voir s’il pourra être implémenté dans toute sa plénitude. Il y eut des moments de doutes, des moments de désaccords, des périodes d’abandon par certains, des discussions houleuses mais fraternelles, des regains de confiance, et des moments de fortes espérances, pour en arriver enfin à cet stade crucial du projet. Une salle flambant neuve, et composée de matériaux de différentes natures, ayant tous une chose en commun : cet aspect scintillant, et cet éclat de beauté à faire languir nos (nous les humains) meilleurs chercheurs de pierres précieuses. Dans cette salle, se trouvait le générateur de particules gamma-gen (GPG), ou gamma-générateur, ou tout simplement gamma-G. Ce générateur contenait une petite boule d’apparence cristalline. Tout l’ensemble constitué de la boule et du GPG, avait l’air de représenter l’un des éléments les plus importants d’un dispositif technologique. La boule (récepteur de particules gamma-gen ou RPG), qui avait un diamètre d’environ cinq centimètres, contenait différentes sortes de particules baignant dans une substance énergétique. Sous la pression de cette substance, les particules étaient maintenues scotchées à la paroi de la boule. L’ensemble constituant la substance énergétique et les particules était connu sous le nom de plasma de particules gamma-gen, ou 2PG. Toutefois, un œil humain serait incapable de percevoir lesdites particules, et ne verrait qu’une forme sphérique cristalline de couleur verdâtre. Le récepteur de particules gamma-gen semblait flotter au niveau du centre de gravité du gamma-générateur. La principale fonction du récepteur était de contenir, temporairement, le système 2PG généré par le gamma-générateur, dans un espace de dimension suffisamment réduite. Le 2PG était censé grandir par la suite, sous l’effet de la pression énergétique. Le comportement de tout l’ensemble était supposé être commandé par un programme informatique. Ce programme
devait gérer tout ce qu’il pourrait y avoir comme interaction entre particules, ainsi que toutes sortes d’impulsions énergétiques intrasystémiques d’une part, et entre le système (2PG) et l’extérieur d’autre part. La salle comportait en outre un écran géant de la taille d’un écran de salle de cinéma (Moniteur de Visualisation Cosmique ou MVC), qui avait un aspect de vitre tintée de couleur noirâtre. Le GPG, lui, présentait une forme cylindrique, avec un aspect de verre totalement transparent dans la partie centrale, ainsi que des matériaux métalliques grisâtres aux extrémités. Il mesurait environ un mètre de hauteur, avec une base ayant trente centimètres de diamètre. Il était disposé au bas et au niveau de la médiane verticale du MVC. L’un des fleurons de toute cette technologie, consistait en un dispositif de reconnaissance de la parole (ou de la pensée). Un dispositif composé de deux modules : un module permettant d’actionner les différentes commandes du programme par la parole (ou la pensée), et un autre module permettant de convertir une parole (ou une pensée), en lui conférant une identité autre que celle de sa source. Pour sauvegarder la cohérence du système, seule la voix (ou la pensée) du Monarque était capable d’actionner les commandes du programme. Tout ce dispositif existait de par le génie créateur de l’élite intellectuelle de la communauté des Elohim, et à la demande du Roi. L’aventure débuta lorsque dans leurs différentes explorations des mondes du mégavers, des Elohim, à la suite d’un déplacement inter dimensionnel, découvrirent une immense zone essentiellement caractérisée par un vide « absolu » et une obscurité totale. Ce phénomène étrange, qui généra d’abord toutes sortes de conjectures possibles de la part de la communauté scientifique, fut par la suite finalement expliqué, à l’aide d’une théorie globale censée décrire le fonctionnement et les caractéristiques de tous les mondes possibles (Théorie Générale des Mondes ou TGM en abrégé). Cette théorie fut élaborée par l’un des principaux Princes du Royaume. C’est alors que le Roi décida d’emménager ce monde « sauvage », afin d’en faire une zone « vivable », car cela semblait possible d’après la
TGM. Il fallait donc trouver la méthode la plus efficiente en termes de coût et de temps. Parmi plusieurs propositions qui furent faites à cet effet, celle qui s’avéra la plus innovante fut retenue. Celle-ci émana d’un Prince, qui publia ses travaux sous anonymat, en utilisant le pseudonyme de Japhet. Elle était connue sous le vocable de théorie d’auto génération des particules. Selon cette théorie, il n’était pas nécessaire de dépenser un temps fou à créer
directement des quantités énormes d’énergie et de matière, pour pouvoir structurer la « zone vierge » ; une petite quantité initiale d’énergie et de particules, dotées de propriétés spécifiques, suffisait à cet effet. Il était ensuite possible de conférer un dynamisme cybernétique à ce microsystème, en lui fournissant au besoin de petites quantités supplémentaires d’énergie, par le biais d’un dispositif de traitement automatique du message (information). Une fois tout ce dispositif conçu, il devenait alors possible d’impulser au microsystème différentes formes et structures que l’on voudra, en émettant des messages particuliers. C’est alors que Ben-Harnaph, Ben Rousso et Ben Ramcess, trois des grands Princes du Royaume firent leur entrée en scène. Tandis que le Roi méditait sur les éventuelles conséquences du projet sur le futur du Royaume dont il avait en charge la destinée, Ben-Harnaph élabora, en un temps record, et dans les moindres détails, le plan de conception de tout le dispositif technologique. Il conçut ensuite un programme censé donner au microsystème initial un mouvement particulier. Ce programme était capable de permettre au microsystème de croître, et de lui conférer des structures adéquates à des périodes précises, lesquelles structures et périodes étaient prédéterminées dans le code source du programme. Il fit même une innovation de taille : la théorie de la reconversion de la pensée (TRP). Cette théorie stipulait qu’il était possible de convertir une pensée provenant d’un Eloha donné, en lui conférant l’identité d’un autre Eloha. Ce fut l’une des plus grandes découvertes dans le Royaume des Elohim. Réaliser par la suite ce plan ne pouvait se faire sans l’apport de Ramcess. Ce dernier élabora les procédés industriels permettant de produire les matériaux, les particules et les types de substances énergétiques nécessaires au fonctionnement du dispositif. Il possédait également un talent particulier dans les travaux de designing. Il fallait aussi recruter des ouvriers, des techniciens, des ingénieurs et des scientifiques et organiser tout le processus de réalisation des travaux, or l’un des plus grands experts dans ce domaine se trouve être Ben Rousso. Rousso avait cette capacité de détecter les talents nécessaires à l’accomplissement de n’importe quel type de tâche, à organiser une équipe et à faire régner la discipline en son sein, tout en se faisant aimer. Pour beaucoup d’ailleurs, ce savant mélange d’ordre, de discipline et de liberté à la fois, qui caractérisait le royaume des Elohim, était dû au génie de Rousso qui entreprit plusieurs actions et qui élabora plusieurs théories dans le domaine
de l’organisation sociale et politique. Il était d’ailleurs l’un des plus grands spécialistes de la théorie qui faisait référence dans le domaine de l’organisation politique et sociale, théorie connue sous le nom de théorie semite. Ce nom découle de Sem, qui n’est rien d’autre que le pseudonyme de l’auteur, encore une fois anonyme, de cette autre théorie. Le compte à rebours allait bientôt débuter, et chacun pouvait assister à l’évènement, quel que soit le lieu où il se trouvait, en activant un petit objet portable qui, parmi tant d’autres fonctionnalités, permettait de faire de la télé visualisation. Un espace fut néanmoins aménagé dans la salle contenant le dispositif technologique, afin que quelques privilégiés pussent assister directement à la scène. On pouvait remarquer au premier rang Sa Majesté, Ben Izaak[1](nom qui signifie « admirable conseiller »), Ben Harnaph (nom qui signifie « lumière »), Ben Rousso (nom qui signifie « être suprême»), Ben Whezan[38] (nom qui signifie « la parole » ou « grand(e) orateur(oratrice) »), Ben Lynkhôn (nom qui signifie « fidèle avocat »), Ben Khantt[2] (nom qui signifie «l’ami fidèle»), Ben Lao-Tseuh (nom qui signifie « père éternel »), et Ben Ishmael (nom qui signifie « prince de paix »). Toutes ces personnalités constituaient en quelque sorte les principaux dignitaires du Royaume des Elohim. De la salle, l’on pouvait observer en trois dimensions la « zone vierge ». Les spectateurs présents dans la salle étaient par conséquent censés avoir l’impression de se sentir à l’intérieur d’une navette, qui était supposée avoir la capacité de se déplacer dans toutes sortes de directions du cosmos. C’est essentiellement le privilège qu’ils avaient sur ceux qui se trouvaient en dehors de la salle, qui, eux, n’avaient que la possibilité de percevoir la scène par télé visualisation, sur une surface plane, et à l’aide des commandes du dispositif technologique à l’intérieur de la salle. Toutefois, vu que la « zone vierge » était pour l’instant caractérisée par une obscurité totale, et par l’absence de toute forme d’énergie et de matière, les Elohim présents dans la salle ne ressentaient pour le moment aucune impression de mouvement, et ne percevaient que l’obscurité autour d’eux, à chaque fois que les commandes de vue et mouvement en trois dimensions étaient activées. Tout était alors fin prêt. Néanmoins, quelques discours inauguraux devaient être prononcés avant le début du compte à rebours. Trois discours étaient attendus. D’abord celui de Ben Rousso, qui était appelé à inaugurer la série des discours, et qui devait parler au nom de tous les ouvriers, techniciens, ingénieurs, chercheurs, bref, de tous ceux qui œuvrèrent à la
réalisation du projet. Ensuite Ben Khantt devait prendre la parole, au nom de tous les citoyens du royaume. Le troisième et dernier discours qui était le plus attendu devait être prononcé, non pas par le Roi, qui était pourtant le souverain suprême, mais plutôt par Ben Harnaph. Et ça, on le comprendra dans les lignes qui suivent. Ben Harnaph devait prendre la parole au nom de la classe dirigeante, et clôturer ainsi la série des discours. Après quelques prestations artistiques, le maître de cérémonie invita successivement Rousso puis Khantt à prendre la parole. Puis vint le tour de Ben Harnaph. A ce moment précis, le temps sembla se figer. De façon étonnante, cet instant donna l’impression d’avoir beaucoup plus d’importance que l’évènement lui-même, plus d’importance que le moment où le peuple s’attendait à se voir confirmer officiellement la découverte de la « zone vierge », plus d’importance que l’instant où les résultats de la théorie générale des mondes (TGM) devaient être communiqués par son auteur, plus d’importance que le moment où tous s’apprêtèrent à comprendre connaissance des travaux sur la théorie d’auto génération des particules, plus d’importance que l’instant où Ben Harnaph lui-même s’apprêtait à présenter le programme informatique censé commander l’aménagement de la « zone sauvage », et enfin, plus d’importance que l’instant où le peuple s’attendait à se voir confirmer la fin de la conception de tout le dispositif nécessaire à la mise en œuvre de la théorie d’auto génération des particules. Pour quelle raison ? On le saura encore une fois dans les lignes qui suivent. Aussi variées que paraissaient donc les impressions qui émanaient des visages à cet instant-là, une constance semblait se dégager. Tous, spectateurs comme téléspectateurs, avaient bien l’air de faire preuve d’une impatience et d’une attention extrêmes. Tous impatients sûrement de voir Ben Harnaph prendre la parole, et tous attentifs, afin de ne manquer aucun détail de cet évènement dans l’évènement. Même des visages tels que celui du Roi n’échappaient pas à cette constance. Néanmoins, une certaine impassibilité relative se lisait sur le visage de Sa Majesté, malgré l’impatience et la concentration qui s’y dégageaient légèrement. Dans son déplacement de son siège jusqu’à la chaire, chaque pas de Ben Harnaph paraissait durer une éternité. Dire que tout Eloha vouait une admiration sans faille à Ben Harnaph ne serait aucunement une exagération, et le Roi semblait bien avoir contribué à cet état de choses. Les raisons de cette admiration étaient aussi diversifiées que les citoyens qui peuplaient le Royaume, et bon nombre d’Elohim semblaient d’ailleurs attendre peu du discours à proprement dit de Ben
Harnaph. En fait, pour beaucoup d’Elohim, la personne même de Ben Harnaph était une raison entièrement suffisante pour s’intéresser à chacune de ses apparitions. Pour ceux-ci, il devait toujours y avoir quelque chose de nouveau, de beaucoup plus éblouissant, de beaucoup plus fascinant, et de beaucoup plus majestueux à découvrir dans ses traits caractéristiques, à chaque fois que l’occasion était donnée de l’observer. Vint enfin le moment de prendre la parole, et Ben Harnaph commença à débiter ses premiers mots : «Sa Majesté, le Tout-Puissant souverain suprême et Père des Elohim, ultime source d’existence de tout Eloha, et donc de toute création présente comme à venir. Princes et Fils du Royaume des Elohim. Citoyens de tous horizons. Veuillez recevoir mes salutations les plus distinguées, et par ma voix, celle de toute la classe dirigeante du royaume ! Ce moment que nous nous apprêtons à vivre est probablement l’un des plus mémorables qu’il nous sera donné de conserver dans nos annales. Mais que de péripéties, que de vicissitudes, que de cheminements, que de doutes. A propos de doute je vais d’ailleurs vous faire une confidence. Une confidence, mais aussi un petit conseil à certains d’entre vous. La confidence est qu’à un moment donné je n’y croyais pas du tout. Oui, vraiment pas du tout. Et pourtant à aucun moment, quasiment personne n’a pu certainement sentir cela. En effet, à l’instant même où le doute commença à s’installer en moi,Mendeleyve, l’un des conseillers du Roi me recommanda de rencontrer ce dernier, sans donner aucune raison à cela. Ce que je fis aussitôt. Alors que je m’attendais à des discussions importantes concernant le projet, alors que je m’attendais même à ce que mes pressentiments, c’est-à-dire les doutes que je ressentais, vis-à-vis de la faisabilité du projet, soient confirmés, mon entretien avec Sa Majesté ne porta que sur des banalités que je pensais n’avoir aucun rapport avec le projet. Mais de façon étrange, à l’issue de mon audience, un fort sentiment d’optimisme commença à s’emparer de moi. Je commençai subitement à entrevoir de nombreuses opportunités que l’on pouvait tirer de la théorie d’auto génération des particules (TAP), théorie que je m’apprêtais pourtant à attaquer fermement, et contre laquelle je croyais disposer d’arguments indéracinables. C’est donc quelques jours après cet entretien que je me mis à travailler sur certaines applications de cette théorie au projet. Ce qui a abouti quelques décennies plus tard à la théorie de la reconversion de la
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