· '\'" ,'f ': ' I1:1 \ .J !, \ 111\ : l q! I III!' t I ,I I II!t\ I . '. , t+' t lt ' , 1 ' 1 ' Ii i'; I 111 11 iI' J . r ... ':t r! j :, 1 It ,I '. ".' .. < l' ',' t I :' .. ';i' ., · II ' t .11' I ì ì " ,i: . . I 1 ;\ -r;Io,p., '.t:' "t! 1 " . j I i . t.', <Voir
· '\'" ,'f ': ' I
1:1 \ .J !, \ 111\ : l q! I III!' t I ,I I II!t\ I
. '. ,
t+' t lt ' , 1 ' 1 ' Ii i'; I 111
11 iI' J . r
...
':t r! j
:, 1 It ,I
'. ".' ..
< l
' ',' t I
:' .. ';i'
., · II ' t .11' I ì ì " ,i:
.
. I 1
;\ -r;Io,p., '.t:
' "t! 1 " . j I i
. t.', <alld leadel' d'Ox(o I'd
conçoit les principe.f\, les devoÙ's, Ips tJ'istesses, les
joies de la vie chJ'étienne. Plusiflll'S se sont de-
nzandé s'il ne serail pa.
hon de IJ'aduh'e illtégl'a-
lenIent les hlli! t'olunu;s. Belle entl'eprise, certes,
et générellse, luais, je Ie crains, bien chir12él'ique!
II nr (aut pas que les Jrl,édiocres s' en
nêlent et
je dOllte 'IiI'un écrivain dr valeul' Sf résigue å
prolonger pendant de." années ce travail décolira- geallt. A l"éditeul> qui uze consliiterait sur les
chances conuneJ'ciales de l' at'ellll( l'e, jf conseille-
rais de s'ahstenir. Les sernlons, dit-on, se veudent
to lljOurs. Oui, les Sel'lnOnS ÙnpeJ'sonnel s et }Ja.f\se-
partollt que n 'Ùnporte qui peltt apP,'endre el
prononcel' au dé!Jotté. Jlais notre Nezvman (era
tOl/joln's pauvrf figure dans la Bibliothèque du
prédicateur. Les Parochial sern10ns ne son! pa.
line nlatière pl'édicabie, pas }Jius quc les Pcnsées
- de Pascal. On ne se les assÙniie pas sans Ull
lung e /fOl't de toute l' ârne et ie p,'êt,'e pressé
qui s' Ùnagincl'ait pOllvoir les re.f\servir tOlit de
go à son aliditoÙ'e, ne ies aurait pas cOl1lpri.'\.
L'unique (afon de les hien entendre e.lit de les
IÙ'c COml11,C llne lectlu'e spil'ituelle et Ie tetnps n "e."t
,\ \ \T-PROPO
I\.
plUí) JÙ les auteuI's "pil'ttuels n'al.'a;cnl à {'()}Jlpl()J'
ItÎ aree le loisir, 11i aeee la patiencr' du lecteul'.
...1 ill."ii, /lOllS aVO/lS été ohli!J':s de (aite un choLe.
...\'fce.....
ité doulolll'ellSe et dOllt je tâc/tp de 1np
('onsolel' en eS/Jél'a1l1 que plll.
ieul'." lnis en gozi!
pal' Ie pn:sent livi'e, vOlldl'fJll1 ahf)l'dpl' It) texte
}}U
nle tips SerIllons.
Jlon n()n, ue rI,,'Crait pa.>; pal'altJ'e Pit 1,11t' de ce
[iel'e qui, en l'pl'ité, Jl'es! pas rip lilOt. Sic YOS non
vobis... J'ai pl'i.'\ I'hOJUlelll' - et, (; nzes ,ljeu.r, il est
Il'ès gl'and -=- d) dOllneJ' all public (I'anfais quel-
ques-ulls des plll.
beau,r Sel'J1l0nS de Saint-
JlaI'Y',
, rnais je n'ai pas été à la peine. Lp vl'ai et
hon et di//icile el n'zél'itoil'e travail, la ll'aduction
de ces che(s-d'ællvl'e, a été (aile dans fOlnhl'e -
1110' ornbl'e cÞal'lnanlp -, pal' dell.)' collalJol'oteurs
qui Ile
'ellleJlt pa.'\ ptN} nOJnJ}u:.
. Leul' jellJll} cou-
J'age a aehevé en qlfpltjue...; ntoÙ; la clu 1 J'e bpSOgllP
qui, rfpjJui s quin:,e ans, In'enc!zanle et /lie déses-
1',11'e. Jp ..;arais d'al..'ance, qu'en lell/' passant (; tou::;
deux la phune, je nzél'itel'ais bien et de 1,TelL'lJUln
ft de toales les (bnps qui aftendent impalieJll1nent
son nzessage.
P H E
I I È R E PAn TIE LES nÉ
\LITÉS I
'TISIBr
ES
i
NEWMAN
l)E L1\ DIFFICUI.JTf
DE RÉ
\LlSER
()S PItI,TILÈGES SACRÉS (1)
Pâques
(( Voici Ie jour que Ie Sei-
gneur a fait; nous nous ré-
jouirons et serons heureux
en ce jour. ))
(Ps. c
nll! 24.)
II est toujours très difficile de réaliscl' une
grande joie ou une grande peine. II ne suffit pas
pour cela de Ie désirer. Ce sont les circonstanccs
et tout ce qui accompagne les joics et les peines
de ce monde qui nous les rendent intinlement et
yi, enle n t scnsibles.
Quand un anlÏ Ineurt, nous ne pouvons d'abord
(i) Diffiëully of ,,'ealising Sacred p,'ivileges, (Parochial and
PlaÌ1L Sel'1Il01lS,
01. YI. Sermon 8.)
.\
LES nÉ.\LITÉS I
YISIßLES
croire quïl nous a été enl
yé. NOllS ne pouyons
pas nous croirc (ìn un nOl1ycl pndroit quand HOllS
venons d'y arriver. (Juand on nous flit une chose,
nous y donnons notrc asscntilllcnt, nons n'cn
doutons pas, lllais nous He la scntons pas yraic,
nous ne la cOlnprenons pns COlnm(ì un fait qui doit
prendre nne place oU unc influcnce dans nos pen-
sées et qui dnit dcvcnir un lnohil(ì Oll hut pour
nos actcs : href, nous HC Ia réalisons pas.
Cela peut être une des raisons pour lcsquclles, lorsque Ie Dieu tout-puissant se ré\
(\le dans
l'Ecriture à tcl ou tcl houllne, cf'lui-ci demande
de son còté quelque signe par oir il cOllnaltra (Iue
Dieu a parlé. Sans doute, Ull peu de notre faute sc
luêle parfois it ccUe infirlnité. .L\iuIo\i Zacharie,
étant prêtre dans Ie Telnplc, dans Ia dCllicure
Dlême du Dietl vivant, OÙ plus qne partout ail-
leurs les A.nges devaicnt êtrp présents et Dieu
devait parler, Zacharie aurait d i'l t'trp tout pl't>paré,
reconnaìtre de lui-nlèule Ia puissance de Dieu,
l'æil vigilant de Dieu, la fidélité de Dietl envcrs la
TIlaison (fIs,-'aël ct ses prêtl'cs.
Dans Ie D\êulC sentÏIllcnt, Blais gallS qu ïl en
soit à hlâmer, Gédéon den13nda Ic nliracle de la
toison. II ne pouvait pas se cOllvaillcre quïI serait
ce que rAnge de Dieu Dyait annonr{'.