Nouvelles de Bourg-la-Reine n°32. octobre 2012
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Les Nouvelles page.4. Les Nouvelles n°32 - Oct Obre 12 PA rt I SOcIALISte de Bourg-la-Reine Actu Alités loc Ales de Bourg-la-Reine Les brèves de Bourg-la-Reine n°32 Oct Obre 2012 Le J Ourn AL du PArt I SOcIALISte de bOur G-LA-r eIne services doivent être améliorés ou ac- budget de la ville sera difcile à PLAn LOcAL crus. Exemple : faut-il prévoir une arbitrer dans les années à venir. eDito d’urb AnISme crèche supplémentaire ? Une nou- L’imprévoyance de l’équipe de velle école ou de nouvelles classes M. Chevreau, son refus de plan à partir du 22 octobre, un com- (et où) seront-elles nécessaires ? pluriannuel d’investissement, ren- un Pré SIdent missaire enquêteur recueillera les Je souhaite Quid de lieux de convivialité pour dent l’adaptation à la nouvelle remarques des habitants sur le prendre contact à L’Offen SIve !les jeunes et les plus âgés ? donne de la crise économique avec la section PS Plan local d’urbanisme (PLU). Le de bourg-la-r eine : • Quelle place pour les commerces ? particulièrement périlleuse. Des moment est important car le PLU Touchés par la crise nationale mais dépenses prévisibles depuis des fxe les règles urbanistiques de tout autant par la dégradation de années (ex. réfection du toit des Bourg-la-Reine pour les 20 ou 30 Quelle surprise ! Voilà un président de relance pour compenser les politiques leur situation en centre-ville, ils tennis : 800 K€) n’ont pas été anti- nom :ans à venir.

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Publié le 24 octobre 2012
Nombre de lectures 95
Langue Français
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Extrait

Les Nouvelles de Bourg-la-Reine
 n°32 OctObre 2012 Le JOurnAL du PArtI SOcIALISte de bOurG-LA-reIne
un PréSIdent à L’OffenSIve !
eDito
Quelle surprise ! Voil un prsidentde relance pour compenser les politiques de la Rpublique qui a dit pendantnationales de rigueur. la campagne ce qu’il ferait et qui fait,Derrière ce partage des tâches entre les une fois lu, ce qu’il avait annonc.cenotsur neptur ire taté oe,opurE Cl eltsst Il le fait avec une force tranquillevraie viune epo.ennnoisrue e dnse sitiu pomentonnerpsd  u,t dine qu’on attendait tant après des annesse de moulinets, de coups de menton etnn sta-bilise vacel Allmegaent  e slaidolitar ea lrente ncialloitidarte ellenn de bravache. François Hollande a x un cap : redres-laevmece nlet ss upra ylse  tdeur rsauidn.  inCteesrtn aptliuosn agl nquroan-ser les comptes de la nation mis  mal l’attend. De fait les liens tisss avec par une crise profonde et dix annes de l’administration Obama et la rception gestion catastrophique de la droite. Il n’a des tats africains lors du sommet de la pas cach l ampleur de la tâche pendant la campagne lectorale. Il a simplement francophonie tmoignent dun retour de dit et rpt que si l’effort s’annonçait laFralnecse parueramnige rqsuecllheamntriieter.s ... important, il toucherait d’abord et avanttémoig nt qu’un cap tout ceux qui gagnent le plus. Les Fran-ne çais savent très bien que la crise est pro-cohérent est suivi.’’ fonde mais les sacrifices ne sont accep-tables que sils sont justement rpartis. nài r lpinoturr ipeeurr,m seit tlrae  clrao ismsiasne cee n dœoiut vrree vde-e En 2013, le budget prvoit donc 24 mil-liards dimpôts en plus et 10 milliards de toutes les promesses, les premiers chan--dpenses en moins. tiers dans leise ubrudugsettisc e)p,r ioriss (du Comme il faut viter lengrenage de icnatdiuosnt,r ieilnlte renn,  jmise en alvaa npt otlitmiqoui-e la rigueur (dcroissance, baisse de la gnent qu’un cap cohrent est suivi. Le consommation et des recettes fiscales du chôma e sentretenant), on devine comme un gdreancmee.  Mais les rgs uldtea tsm adsesem aexnidgeen lt udru- partage de tâches avec l’Europe : on at- te L’ a cohrence de tend delle quelle acclère lunication lmps.uees poir en alîat  cdlea rlt de la vision. bancaire et la mise en place des euro-La esp odleituiqx sonett  adu rendez-vous. obligations pour contrer les marchs spculatifs et qu’elle porte une politiqueDenis Peschanski
Je souhaite prendre contact avec la section PS de bourg-la-reine :
nom :
Prnom :
Adresse :
tlphone :
courrier lectronique :
date :
à retourner au PArtI SOcIALISte b.P. 13 92340 bOurG-LA-reIne ps.blr.web@gmail.com http://www.ps-blr.com
Les Nouvelles de Bourg-la-Reine n°32 - OctObre 12
 PArtI SOcIALISte
page.2.
Premier bilan des 5 premiers mois du gouvernement un chAnGementparlent !), l’cole, l’environnement - La rforme  venir de la justice et la dcentralisation. C’est de ce la fin des règles stupides et sonne Sur Le fOnd et Surdialogue entre les diffrents acteurs du tout carcral. inefficaces que naîtront des propositions de - Enfin les propositions de lois lois efficaces, changeant profond- telles aria LA fOrmFerançois Hollandege pque le mo  uelv uo rotsuerngmranet st adleve  eoit snoitcel xua ses dra fainçs. a port le change- sont des avances majeures localesSur le fond des rformes ensuite. ment durant toute notre socit.Nous sommes impatients car la si- pour lcae  ccahmanpgaegnmee. nCt eqsuti   mandature Sarkozy a laiss untuation de certains est  l’urgence. La François Hollande a promis de bilan dsastreux : trois millions de est aujourd’hui misredresser la France dans la justice. 600 milliards d’euros chômeurs, en application parDans cette optique, de nombreuses de dette supplmentaire et une le gouvernement demesures ont dj t prises. conomie qui tourne au ralenti. Jean Marc Ayrault. La gauche ne peut rtablir en 6- La baisse du prix de l’essence a Sur la forme d’abord. Une chose permis une baisse de l’inflation g- mois les destructions de dix ans est sûre, la façon de gouverner du nrale, tandis que les prix auraient de droite. Mais face  l’urgence, les f ch e dû augmenter si la TVA sociale de grandes mesures nmoeunvt eld ue xrcutient. aOngn  radicale-Sarkozy avait t applique. mises en œuvre rheambietnut  saupuixv isce  ddetasc tdesa nconhnoonruceesn s,ta svr aaei-tt  - Des rformes pour une politique tdrua cent drelsas emveoniet  aux lois dcides dans lurgence,  scale plus juste sont dj enga-dont rle France dfaites avant même la  n du ges. be. a a - La politique du logement (enca- soin mandat. Aujourd’hui de grandes drement des loyers cession de ter-Jéremie Soeur et , concertations ont t engages sur rains de l’Etat constructibles) faitEmilie Sakat l’emploi (le MEDEF et la CGT se voluer le march immobilier.
de L’eurOPe « AuStérItAIre » à L’eurOPe de LA crOISSAnce
François Hollande l’avait promis durant la campagne, il engagerait un tournant majeur en faveur de l’Europe de la croissance. Dès son lection, le Prsident de la Rpublique s’est rendu  Berlin pour amorcer le changement. Six mois plus tard, les avances sont notables. Alors que les gouvernements conservateurs plongeaient le conti-
nent dans l’austrit, François Hol- la droite souhaitait inscrire dans la lande a us de sa lgitimit pour Constitution, le gouvernement a poser les fondations d’une Europe limit les contraintes du trait de du progrès au service des peuples. stabilit. les vingt- Dans un contexte financier parti-sPeoput r éltaa tsp rmeemimèbrre esf ooins,t  adopt un culièrement di  cile, cet engage-ensemble de mesures de relance ment europen participe de la po-(emprunts en faveur de l’investisse- litique du gouvernement en faveur ment, mobilisation des crdits non du redressement de la France. Un utiliss, renforcement des crdits redressement dans la justice qui die slea mBeantn)q u e heauurtoepur enden e 1d30i nvmeisl--ncessite que lUnion europenne t s agisse,  l’image loinart dds odnenur loes.u rE anc coourtdr ep, oounr zem eptatyrse  de ce que souhai-taient les pères teino nose u vnrae nucinèer etsa,x ep rsoujre tl eisd etrnatintsaaice- fondateurs, pour r la solidarit et le de la gauche, afin de rompre avec la progrès. archs. En-f onli, el osipn cduel artaitvie  edr elsa  rmègle dor que es PanchiAdskenri
Les Nouvelles -de Bourg-la-Reine 12 OctObre n°32
L’ecOLe une PrIOrIté du GOuvernement
François Hollande a fait de la jeunesse la priorit de sa campagne et de l’cole celle de son quinquennat. En effet, les gouvernements prcdents ont fortement dgrad la situation de l’cole publique avec la suppression de près de 60 000 postes d enseignants, celle de la carte scolaire, et la dvalorisation du mtier d’enseignant.
LA PrIOrIté à L’éducAtIOn dOIt Être AuSSI LOcALe On aimerait que la ville de Bourg-la-Reine fasse aussi de l’ducation une priorit. Ainsi de la question des garderies pour nos enfants. Depuis des annes, la mairie se refuse  respecter, simplement, le cadre lgal : il faudrait 1 adulte pour 10 enfants. Les associations de parents ont rvl ’ en est loin. qu on
La mairie a donc dcid de ponc-tionner doublement les parents. D’une part, une hausse de 3,5 %
 PArtI SOcIALISte
page.3.
Priorité à l’enseignement 
Dès son arrive au pouvoir, le nouveau gouvernement a pris des mesures d’urgence pour la ren-tre 2012 : d’une part, en donnant plus de moyens  l’cole, avec no-tamment le recrutement de 1000 professeurs des coles, le rtablis-sement d’une vritable formation professionnelle des enseignants ; et d’autre part en soutenant les fa-milles avec la revalorisation de 25% de l’allocation de rentre scolaire. Une vritable refondation de l’Ecole de la Rpublique a com-menc par la concertation mene cet t entre les acteurs de l’duca-tion nationale et le gouvernement. A son issue, le prsident de la R-publique a prsent les grands axes
de sa politique pour l’ducation : la diminution du nombre d’enfants par classe, la rduction des in-galits sociales par un emploi du temps adapt (retour  la semaine de 9 demi-journes, devoirs faits  l’cole plutôt qu’ la maison), la va-lorisation du lyce professionnel… En permettant l’galit des chances, ces rformes permettront le redres-sement de la France dans la justice.
  Mathilde Jegoux 
des prestations est prvue. D’autre difficults du RER !) rendent bien part, on passe  une pr-inscrip- compliques ces rigidits. tion pour les garderies du matin Au-del, les annonces si bienvenues et du soir et le service sera donc de Vincent Peillon sur les rythmes scolaires (4 jours et demi, diminu-‘‘ il faudrait 1 adulte pourtion du nombre d’heures de cours 1d0eepnafraennttss.oLnetsraésvséoléciqationsdans la journe) auront des cons-u onquences sur l’offre hors tem ps sco-en est loin. ’’laire en primaire. Il faudra prvoir  payant, que l’enfa des intervenants supplmentaires, nt soit prsent ce qui aura un impact budgtaire. ou pas. La mairie rtorque que la Ne serait-il pas temps de runir s eenxti bpilaiytai t)a nitntreireduirsea it( suenuel  elset ipmra--parents, ducateurs et mairie au-tour d’une table pour mettre  plat tcioonnt rsatiarbel. e ;R leleexvpsr iehnecbed ommoandtarier else  toutes ces questions ?         et moyennes de frquentation suf-Denis Peschanski fisent  prvoir le nombre d’en-cadrants. La vie moderne (et les
dLeeBsoNoluavRelelienes  - OctObre 12 PArtI SOcIALISte n°32page.4. urg- -   ActuAlités locAles  Les brèves de Bourg-la-Reine
PLAn LOcAL d’urbAnISme à partir du 22 octobre, un com-missaire enquêteur recueillera les remarques des habitants sur le Plan local d’urbanisme (PLU). Le moment est important car le PLU fixe les règles urbanistiques de Bourg-la-Reine pour les 20 ou 30 ans  venir. Nous ne reviendrons pas sur les conditions d’laboration de ce plan qui, une fois encore, montrent l’in-capacit de la mairie actuelle  la transparence. Heureusement la loi impose une enquête publique. Alors aux citoyens de s’exprimer. à notre sens le projet propos est  r o lusieurs raisons.  re d eclP uid nerlaà prup voi an d occu-pation des sols (POS), un PLU doit raisonner en volumtrie, fixer des règles plus complexes que l’oc-cupation des sols ou la surface au sol. Il doit porter une vision d’en-semble pour la ville, ce qui n’est pas le cas dans la version que nous connaissons. • On nous demande d’augmenter sensiblement les autorisations  construire dans le centre-ville en demandant en quelque sorte carte blanche. Changeons l’ordre des choses : mettons sur la table le ou les projets en termes gnraux et laborons un PLU en fonction.  On ne peut penser un PLU sans prendre en compte l’accompagne-ment des services publics. On doit indiquer combien d’habitants sup-plmentaires sont attendus et quels
services doivent être amliors ou ac-crus. Exemple : faut-il prvoir une crèche supplmentaire ? Une nou-velle cole ou de nouvelles classes (et où) seront-elles ncessaires ? Quid de lieux de convivialit pour les jeunes et les plus âgs ? • Quelle place pour les commerces ? Touchs par la crise nationale mais tout autant par la dgradation de leur situation en centre-ville, ils doivent être intgrs dans une r-flexion urbanisti d’ensemble. que • Quelle place pour les transports ?à   côt de la rnovation du pôle de la gare et de l’amlioration attendue du RER B, où en est la rflexion sur un bus en site propre de la Croix-de-Berny  la Porte d’Or-lans ? • Quelle place est prvue pour les quartiers priphriques et com-ment surmonter le dfi majeur que constitue le tronçonnage de notre ville en trois axes nord-sud ? Nous savons tous qu’un effort im-portant doit être fait dans notre ville pour offrir des logements fi-nancièrement accessibles tout en prservant la diversit actuelle des quartiers. Ce qu’on nous propose aujourd’hui c’est la sur-densifica-tion en laissant la main aux pro-moteurs pour construire des rsi-dences hors de prix. Ce n’est pas la ville que nous souhaitons. Nous devons le dire au commissaire-en-quêteur. budGet cOmmunALBaisse des dotations de l’Etat, augmentation des charges, le
budget de la ville sera difficile  arbitrer dans les annes  venir. L’imprvoyance de l’quipe de M. Chevreau, son refus de plan pluriannuel d’investissement, ren-dent l’adaptation  la nouvelle donne de la crise conomique particulièrement prilleuse. Des dpenses prvisibles depuis des annes (ex. rfection du toit des tennis : 800 K€) n’ont pas t anti-cipes, tandis que des dpenses non indispensables taient engages. muSée de POche de o vPiallreis  aa  ssoonn   thmuâtsree mpinicahteu, rne.o tràe  peine plus g nd ’ tudio ra qu un s (38 m2), il rassemble des oeuvres du cramiste Dalpayrat achetes par la ville. Situ au 43 avenue du Gnral Leclerc, le muse est ouvert un samedi par mois et sur rendez-vous en semaine. La fr-quentation justifiera-t-elle le gros investissement de la ville ? chômAGe Avec 946 demandeurs d’emploi  la fin du 1er trimestre 2012, le taux de chômage s’lève  9,5 % de la population active dans notre ville. Certes, l’emploi n’est pas de la comptence communale, mais une table ronde runissant les dif-frents acteurs s’avère ncessaire pour faire le point sur la situation. Dans quelle mesure notre ville pourra-t-elle bnficier des em-plois d’avenir prvus par le gouver-nement ? Il s’agit aussi d’anticiper les besoins sociaux.
direction de la publication :Denis Peschanskirdaction en chef :Jérôme Fortin Ont particip  ce numro :Jérôme Fortin, Mathilde Jegoux, Arlette Guedj, Adrien Peschanski, Denis Peschanski, Emilie Sakat, Jérémie Soeur
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