La Veille Maritime Enjeux et solutions « Activité continue et en grande partie itérative visant à une surveillance active de l’environnement pour en anticiper les évolutions » Définition de l’AFNOR La veille consiste à : • Collecter les informations stratégiques pour l’entreprise • Traiter ces informations en vue de leur exploitation • Diffuser la bonne information à la bonne personne La veille thématique permet d’être au fait de l'actualité internationale ou nationale, commerciale et concurrentielle de votre secteur. Elle permet : • D’orienter la veille autour de votre environnement professionnel : concurrents, innovations, nouveaux entrants, recherche de fournisseurs... • De ne pas se noyer au milieu d’informations qui ne vous concernent pas mais bien de trouver des informations fiables, pertinentes et récentes selon vos thématiques. La veille maritime: Faire de la veille maritime, c’est mettre en place un dispositif organisé et structuré, à valeurs ajoutées, de collecte, d’analyse, de partage et de diffusion de l’information ciblée dans le but : • D’orienter la veille autour de votre environnement professionnel : concurrents, innovations, nouveaux entrants, recherche de fournisseurs... • De ne pas se noyer au milieu d’informations qui ne vous concernent pas mais bien de trouver des informations fiables, pertinentes et récentes selon vos thématiques.
« Activité continue et en grande partie itérative visant à une surveillance active de l’environnement pour en anticiper les volutions AFNORDfinition de l’La veille consiste à : •Collecter les informations stratgiques pour l’ entreprise•Traiter ces informations en vue de leur exploitation •Diffuser la bonne information à la bonne personne
La veille thématique permetd’ treau fait de l'actualité internationale ou nationale, commerciale et concurrentielle devotreetrusce.Elle permet : •D’ orienter la veille autour devotre professionnel : environnement concurrents, innovations, nouveaux entrants, recherche de fournisseurs... •De ne pas se noyer au milieud’ informationsqui ne vous concernent pas mais bien de trouver des informations fiables, pertinentes et récentes selon vos thématiques.
La veille maritime: Faire de la veille maritime,c’ esten place un dispositif organisé et mettrestructuré, à valeurs ajoutées, de collecte,d’ analyse, partage et de de diffusion del’ information le but :ciblée dans •D’ orienter la veille autour de votre environnement professionnel : concurrents, innovations, nouveaux entrants, recherche de fournisseurs... •De ne pas se noyer au milieud’ informations qui ne vous concernent pas mais bien de trouver des informations fiables, pertinentes et récentes selon vos thématiques. • sonEt donc de surveiller des indices pour: afin de déceler environnement Anticiper l’ volution dumarché maritime, Dégagerlesmenaces,etsaisirlesopportunités.
« Quart » et « Veille maritime » Le champ smantique du web est d’ origine nautique.Le World Wide Web est trufféd’ allusions nautiques, ce qui àd’ ailleurs à tendance brouiller les pistes. Ne dit on pas : Surfer et même naviguer sur le web, utiliser des ancres, rechercher dans le web profond…Le paradoxe estqu’ enFrançais la « veille maritime »n’ existepas plus que «l’ intelligenceéconomique maritime ». En revanche le terme original est utilisé depuis des siècles concernant les activités de quart. « Être de quart » signifiait avoir la responsabilité de surveiller le navire et ses environs.Aujourd’ hui, ce sont des systèmes électroniques qui s’ enchargent. Et sur le web « veille maritime » renvoie vers ces activités de quart. Rapporté àl’ imagedel’ entreprise-navire et de son environnement évoluant rapidement, la veille maritime au sens strict peut donc effectivements’ apparenter.»q«rtuanuà
Cette veille spécifique àl’ universdomaine maritime peut consister à :du •Surveiller l’ volution desentationsréglemmi)etimratimes(dromariti •Suivre de façon permanentel’ actualitse)adcnt(neeursectdu•dIerfitienles acteursdu domaine (concurrents, nouveaux entrants) •Rechercher denouveaux fournisseurs notammen(construction navale •Faire une tude de march pralable (au dveloppement d’ un nouvea service..)
• • •
t) u Identifier de nouveaux marchés Identifier de nouveaux besoins (transport, énergies..) Identifier des brevets et des innovations produits (R&D)…
•Ports •Opérateurs de quais privés •Arrimeurs et terminaux
•Agences gouvernementales •Etablissements de portuaires services •Etablissements de services maritimes •Associations, fédérations
En Europe : • puissance conomique maritime mondialeL’ UE est la premire• 90% du commerce extrieur de l’ UE est transport par mer•37% de son commerce intérieur est transporté par mer (en 2010) • de 60% en 10 ans a augmentéLe trafic européen maritime •1 200 ports •1ère flotte marchande au monde •40% de la flotte mondiale et domineL’ UE reprsente incontestablement le secteur maritime •preosnnilnosed5,4milimearitmruetceselsnadntleilvarates européen avec une prévision à 7 millions à horizon 2020 • Valeur Ajouté (VA) en 2012 milliards deCes emplois ont génèré 495 Source : Euromaritime http://www.euromaritime.fr
En France : •navires opérés par des compagnies françaises dontPlus de 1 100 près de 600 sous pavillon français. • un âge moyen avecde 8 ans (contre 16 ans enUne flotte jeune, Europe). 22 000 emplois directs et 305 000 emplois induits en 2012. • : 14, 6 Md€Chiffre d’ affaires de la filire de transport maritime. •Près de 90 % du transport de marchandises dans le monde s’ effectue par la voie maritime, soit 8, 8 milliards de tonnes de marchandises transportées chaque année. Source : Rapport annuel 2012, Armateurs de France, http://www.armateursdefrance.org.
Plusieurs éléments intrinsèques au secteur maritime complexifient la démarche de veille. On peut citer par exemple : •Un secteur industrield’ une très grande diversité :vrac sec, vrac liquide, conteneurs, passagers (ferries et croisière), recherche et technologie, dragage, extraction, services portuaires (remorquage et pilotage) avec des besoins et acteurs tout à fait différents qui empêchentd’ avoirlobaongvisiune.el •Des acteurs qui souvent communiquent peu.Des sites souvent peu informatifs, et très peu de flux RSS (rendant la surveillance plus difficile). •Une réglementation internationale complexeavec de nombreux niveaux intermédiaires (Instances internationales, organismes internationaux spécialisés, Europe, France). •Un secteur peu tourné vers la veillemais plutôt sur le « business intelligence, ». •Une omniprésence sources de anglo-saxonnes. •Un certain « conservatisme »propre au domaine maritime ?…D’ onulovtrofsdeeumesrcoud’ informationsàeillsurveràl’ chelledione.alm
Première possibi 1) Recherche de sources à partir de moteurs de recherche
lité : La démarche « Amateur »
2) Surveillance régulière de chacune des sources identifiées