u. A '*^- (t^ flNivr Mmv 'U{ COURS POLITIQUE.D'ÉCONOMIE TOME CINQUIÈME. , Sôft-H COURS POLITIQUE1)KCONOîil^ OU EXPOSITION DES PRINCIPES 'NfMQtl DM LA DES NATIOKS.PEOSPttm à riotinicttoii deLivAt AtrcttitOamfvqm •••m l«ràAiALBt/bt Craiidt Duc»MCOLAS etHiaiEL. (HbhbiPab Storcb, ) HCk0^i0e dm tOrdrmdm Sis. jtmmm MmuUmtmtCnutHiffd^Eut» , Mmmà^m éms JcmdimUmê dm $i, Pmmrséomrg,émLU ÂÂ. il. dmMmmé^» m dm 8*.-PÉTF.R.SB0URC, a.i«raiMi cax rvvcMAK* bt c«ar. I 8 1 5. SECONDE PARTIE. THÉORIE DE LA CIVILISATION. l i.nthoduction. pourLa ihéuritt Je la ^.tMtê^^iiion a ob« le*-jet de iaini connoiire les lois tuitaiit quelle» les biens inienies oa les élémeiit de la ctvUûation te produisent, s*accuniuleiit etse consonuiieiii dans le sein^'un^ nation. Cette partie de Téconomie poliiic|ue nest point encore réduite en sjaèiuc. C'est une nouvelle» pourdoctrine laquelle les Anciens ont réuseinbiéetlesModernes d'exccUens ma- (i), mais qu'iltériaua importe d'ordonner, compléter etde de réunir pour en former ensemble. L'ébaucheun que je Tais vous en rir Messeigneursolf , , n'est qu'un foible essai, plulùt «idestiné tracer le plan de l'édilice qu'^ présenterle en réalité. Cétoit à Smith, il créer cette branche de réconomie politique car ^; c'est lui que nous derons les matériaux les plus précieux pour cette doctrine; d'ailleurs, comme réforma- teur de la science , il étoit par ley «pi>elé (I) PUtftA. AiÉiian , GdrMi, BacS», Hmmm^ Sailli, fMfWMi. BmhIm». Cmmàmtm. lUUy. Utt^r. Bmtm.