livre blanc

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• Publié par: Nishur
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• Langue: Français

Extrait

Externaliser sa gestion de catalogue :
enjeux, risques et limites du procédé
Synthèse du Livre Blanc
13 octobre 2004
Rémi Perrin
Jérôme Lindström
Président
Vice-PrésidentLeader en gestion de contenu
Un des pionniers du contenu électronique en Europe.
20 personnes.
Une technologie de deuxième génération :
Une équipe d’accompagnement et de conseil
à haut niveau d’expertise:
Plus de 40 licences vendues à ce jour :
en France et à l’étranger.
Des clients grands comptes ou PME à la pointe de la gestion de contenu :
Total, EDF, Air liquide, Descours & Cabaud, Saint-Gobain, PPR, Société Générale, Manutan,
Orefi, Sonepar, …
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page 2Pourquoi ce livre blanc ?
Parce que toute direction Achats s’est posé, se pose ou
se posera un jour la question :
N’est-il pas opportun d’externaliser la gestion de catalogue ?
La gestion de catalogues est en effet une tâche
répétitive souvent ingrate qui semble bien éloignée de la
fonction achat.
Mais on oublie souvent qu'un catalogue est le concentré
de l'expertise et de la stratégie de l'acheteur et qu'il
intègre des données souvent très techniques.
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page 3Nos objectifs :
Analyser ce phénomène sur le terrain.
Interroger les différents protagonistes.
Eviter les analyses manichéennes.
Identifier ce qui caractérise ce type de projet.
Donner des recommandations aux acheteurs.
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page 4Comment ?
Compilation d’informations existantes.
Travail avec l'équipe ExsydeExperts.
Analyse auprès d'une douzaine d'acheteurs :
Dont 6 avec audit de données.
Interviews des utilisateurs des catalogues (acheteurs,
responsables e-proc, approvisionneurs).
3 cas concrets types.
Entretiens avec des prestataires (places de marché,
sociétés de service, consultants, …).
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page 5L’externalisation :
bénéfices attendus et limites
Coût et Délais Perte de contrôle
Qualité et compétences Problèmes de qualité
Souplesse et simplicité Coût
Mode d’organisation Perte de savoir-faire et de
compétence
L’externalisation de la gestion de catalogue
n’échappe pas à la règle commune,
mais elle a aussi ses spécificités.
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page 6Externalisation de la gestion de catalogue :
éléments caractéristiques
Le caractère confidentiel et stratégique du catalogue.
Le poids des compétences « acheteurs » et des
compétences « métiers » :
Le temps, la difficulté et les risques de leur transfert chez le
prestataire.
La participation des fournisseurs.
L'aspect "interne" de certaines composantes de la
prestation.
La définition et l'utilisation de standards.
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page 7Externalisation de la gestion de catalogue :
illustration par trois projets types
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page 8Illustration par trois projets types
1. Projet domestique « achats hors production »
Organisation
La complexité relative des projets et l’intégration limitée sont propices à
l’externalisation.
Compétences
Pas un sujet de difficulté.
La connaissance des fournisseurs d’achats généraux par le prestataire peut
même faciliter et accélérer le démarrage du projet.
Coûts
Globalement maîtrisés.
Certains prestataires disent cependant avoir du mal à vendre au juste prix.
Délais
Le sujet le plus sensible.
Satisfaction des acteurs
Dans leur majorité, et hors les délais de réalisation des catalogues, les acheteurs
sont satisfaits.
Les fournisseurs sont partagés, la moitié d’entre eux vivant bien le projet, l’autre
moitié demeurant réticente.
Hors la question du juste prix, les prestataires disent maîtriser le projet.
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page 9Illustration par trois projets types
2. Projet domestique « achats produits stockés et de maintenance »
Organisation
Le travail d’intégration, important, et la multiplication des échanges entre l’interne
et l’externe accroissent rapidement la complexité du projet.
Compétences
Les familles de produits gérées impliquent un contenu riche qui nécessite lui-
même des compétences « achats » et « métiers » que n’a pas le prestataire
(classifications et attributs descriptifs « m », mots-clés et synonymes, …).
Coûts
Ils augmentent de façon exponentielle avec la complexité. Plus question de juste
prix.
Délais
De sensible, la question des délais devient critique.
Satisfaction des acteurs
Les acheteurs se disent très insatisfaits par le rapport qualité/coût.
Les fournisseurs sont unanimes à déplorer le manque de compétence
« métiers » du prestataire.
Dans leur grande majorité, les prestataires avouent vivre mal le projet (« on
souffre beaucoup et on perd de l’argent »).
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