L exploitation des hydrocarbures dans le rift albertin, quels enjeux environnementaux
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L'exploitation des hydrocarbures dans le rift albertin, quels enjeux environnementaux

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L’EXPLOITATION DES HYDROCARBURES DU RIFT ALBERTIN, QUELLES PERSPECTIVES ENVIRONNEMENTALES? Par : L. Pascal AFAZALI SIMBA, Octobre 2013 èreEtudiant en Géologie 1 Licence/Université de Lubumbashi RESUME A l’époque où la république démocratique s’est lancé dans les recherches approfondies et l’explorations de ses ressources minérales pétrolifères dans sa partie Est, les défis des enjeux environnementaux face à la gouvernance mondiale s’imposent aussi ainsi il revient aussi de donner un aperçu sur les points positifs et négatifs de l’exploitation de ces ressources minérales fossiles dont une de sa partie Est sur la plate forme continentale, et malheureusement se prolongeant même dans l’espace Unesco les aires protégés de la Virunga. Ainsi nous estimons par cette présente donner un aperçu important sur la géologie du dit secteur et de donner un résumé sur les conséquences de manque d’Etudes d’Impacts Environnementaux non lucratives dans la région. Ainsi par les travaux liés à l’exploitation des ressources pétrolifères dans cet espace du patrimoine mondial de l’Unesco nous espérons que les EIE et EIES seront en faveur du maintient de l’équilibre naturel ; et contribuer à maintenir un environnement sain pour les générations futures qui justifiera à cet effet leur développement durable.

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Publié le 30 novembre 2012
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Langue Français
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       L’EXPLOITATION DES HYDROCARBURES DU RIFT ALBERTIN, QUELLES  PERSPECTIVES ENVIRONNEMENTALES?       Par : L. Pascal AFAZALI SIMBA, Octobre 2013  Etudiant en Géologie 1ère Licence/Université de Lubumbashi       
 RESUME A l’époque où la république démocratique s’est lané cdans les recherches approfondies et l’explorations de ses ressources mniérales pétrolifères dans sa partie Est, les défis des enjeux environnementaux face à la gouvernance mondiale s’imposent aussi ainsi il revient aussi de donner un aperçu sur les points positifs et négatifs de l’exploitation de ces ressources minérales fossiles dont une de sa partie Est sur la plate forme continentale, et malheureusement se prolongeant même dans l’espace Unesco les aires protégés de la Virunga. Ainsi nous estimons par cette présente donner un aperçu important sur la géologie du dit secteur et de donner un résumé sur les conséquences de manque d’Etudes d’Impacts Environnementaux non lucratives dans la région. Ainsi par les travaux liés à l’exploitation des ressources pétrolifères dans cet espace du patrimoine mondial de l’Unesco nous espérons que les EIE et EIES seront en faveur du maintient de l’équilibre naturel ; et contribuer à maintenir un environnement sain pour les générations futures qui justifiera à cet effet leur développement durable. ABSTRACT                     At the time the Democratic Republic embarked on extensive research and the exploration of its mineral oil in its eastern part, the challenges of environmental issues facing global governance is also needed so as to give it back an overview of the positive and negative aspects of the exploitation of these mineral resources including a fossil of the eastern part of the continental shelf, and unfortunately even extending into space Unesco protected area of the Virunga. Thus we believe that by giving this an important insight on the geology of the said area and give a summary of the consequences of lack of Environmental Impact Studies nonprofit in the region. Thus, for work related to the exploitation of oil resources in this area of the UNESCO World Heritage hopefully EIA and SEA will be in favor of maintaining the natural balance, and help maintain a healthy environment for future generations future will justify this effect sustainable development.           
 INTRODUCTION En plaine siècle où la quête aux ressources énergétiques s’affolent entrainant la mise sur pieux des plusieurs missions d’explorations poru la recherches des nouveaux gisements d’hydrocarbures. Et où les projections de la consommation mondiale de produits pétroliers passent de 70 millions de barils par jour aujourd'hui à 120 millions par jour en 2030 (une augmentation de 55%). Alors que les deux tiers des réserves globales de pétrole connues se trouvent au Moyen-Orient, la production devrait doubler pour satisfaire la demande accrue.  Ainsi , ce si est le cas que connait l’est de la république démocratique du Congo, une zone aussi importante sur le plan géologique avec ses ressources naturelles qui attirent plus d’un investisseurs que ça soit en domaine scientifique pour les recherches, agropastorales, et explorations pétrolières. C’est ce dernier domaine qui va nos itnéresser tout au long de ce travail qui va mettre en évidence tous les aspects environnementaux dans le cas où réellement les travaux d’exploitations et débutaient. Cet article va présenter l’essentiel de l’tuEde d’Impact Environnemental dans cette vallée de la Semliki. Notons que l’exploitation du pétrole dans la vallé ede Semliki vient répondre aux défis énergétiques de la région des grands Lacs et du besoin international qui croit exponentiellement. Sur l’échelle régionale la population recours aux ressources énergétiques polluantes telle est cas des bois et déchets d’origine animale étant donné l’accès à ll’ecétricité réduite à 10% seulement de la population. Tandis que sur l’échelle internationale, les Etat-sUnis qui prévoient de financement au de la de 5 milliards de dollars pour les travaux d’exploratiosn de pétrole.   PRESENTATION DU RIFT ALBERTIN             Le parc des Virunga présente la diversité de faune et de flore la plus élevée en RDC. Des 2.077 espèces de plantes identifiées dans le parc, 230 sont endémiques aux montagnes du Rift Albertin. Les Virunga abritent plus de la moitié des espèces de mammifères connues dans le pays, (218 sur 415 espèces, dont 22 espèces de primates) et deux tiers des espèces d’oiseaux (706 sur 1094 espèces dont 25 sont endémiques à la vallée du Rift). En plus de la célèbre population de gorilles de montagne, estimés à 700 individus répartis entre la RDC, l’Ouganda et le Rwanda, le Parc national des Virunga abrite au Mont Tchiaberimu une petite population d’une autre sou-sespèce de gorilles, le gorille de Grauer. Les chimpanzés sont également présents à plusieurs endroits. Entre 2008 et 2009 le secteur des gorilles a été occupé par les forces rebelles, suscitant l’inquitéude pour la survie de la population de gorilles.  
  LES ECOSYSTEMES DE LA VALEE DE SEMLIKI  - Ecosystème des eaux courantes - écosystèmes lacustres - l’écosystème de la forêt tropicale dense humide - l’écosystème de la savane arboré et/ou arbustive - l’écosystème de la savane semi-aride - l’écosystème aquatique - l’écosystème des montagnes. Le graben albertin nom regroupant le lac Albert et la rivière Semliki, est une partie du rift Est-Africain s’étend sur plus de 600 km de longueur et 40 à 60 km de largeur, il s’agit d’un ensemble géologique en effrontément q usie présente suivant un sillon depuis le Sud-est de l’Afrique au Malawi jusqu’au sud de la ySrie. En République démocratique du Congo Le rift Est-Africain est une zone où s’écartent les parties ouest et est du continent africain à une vitesse qui peut atteindre 1 cm/an. C’est une zone très active sur le plan sismique et volcanologique (toute la chaine de la Virunga jusqu’à la partie méridionale du pays. La plus grande partie de la frontière orientale de la RDC est située le long de la branche occidentale du rift Est-Africain. Depuis de nombreuses années, on suppose que le fossé d’effondrement (graben) qui souligne ce rift, en pratie occupé par des lacs, recèle des réserves pétrolières.  Par l’Ordonnance n° 10/044 du 18 Juin 2010 portanta pprobation du Contrat de Partage de production conclu entre la RDC et SOCO, le Président de la République a attribué les droits d’exploration pétrolière à l’Associatio nDominion Petroleum, SOCO E&P DRC et la Congolaise des Hydrocarbures (COHYDRO) au sein du Bloc V Graben Albertine. Si l’Ordonnance précitée a été favorablement accueillei dans les milieux politiques par les députés nationaux, élus de la province du Nord Kivu, la société civile en matière environnementale du Nord Kivu s’insurge contre unet elle initiative pour des raisons aussi évidentes de protection de cet aire protégé de l’Unesco. D’aucuns se demandent si l’Ordonnance du 18/06/2010 peut elle rendre légalel es activités d’une compagnie pétrolière à l’intérieur du Parc National des Virunga, faisant aprtie des forêts classées selon l’esprit de l’article 10, alinéa 2 de la Loi N° 011/2002 du 29 Août 2002 portant Code Forestier. Si oui, ce texte déclenche – t- elle la procédure de déclassement tacite du Parc National des Virunga ? Les communautés locales qui seront directement affectées par ces activités d’exploration et d’exploitation ont elles été consultées au cours d ela procédure d’étude d’impact environnemental et social ? Que dire du rôle que doit jouer le Ministère de l’Environnement, Conservation de la Nature et Tourisme ? Sans nul doute, des préoccupantes environnementales, économiques et de bien-être des communautés locales s’imposent.           
 LES CONCESSIONS PETROLIERES ATTRIBUEE AUX EXPLORATIONS  La législation Congolaise en matière d’hydrocarbures n’autorise pas l’exploitation des ressources naturelles à l’intéeruir des aires protégés alors que certaines de concessions du rift albertin (blocs III, IV et V) chevauchent le Parc National de Virunga (PNVi) sur environ 85% de sa superficie. Le bloc V recouvre en totalité la partie congolaise du Lac Edouard inclus dans le PNVi. Les blocs IV et III comprennent la totalité des savanes d’Ishango et des massifs forestiers du nord du Par.c Ces concessions congolaises sont limitrophes de blocs d’exploration-exploitation pértolière dans la partie ougandaise du Rift. En Ouganda, certains blocs recouvrent également plusieurs aires protégées et quelques activités d’exploration pétrolière y ont déjà débuét.  Conclusion Partielle : le gouvernement RD Congolais devra se lancer dans la campagne d’exploitation des hydrocarbures de rift albertin ed peur que la loi de stock soit en défaveur de congolais et au profit des Ougandais.  IMPACTS DE L’EXPLOITATION  I. L'IMPACT SUR LES MILIEUX NATURELS  Déjà en juin 2008, l’UNESCO s’inquiétait des conséuqences éventuelles d’une possible exploitation pétrolière sur les écosystèmes et la biodiversité du PNVi. En août 2010, les premières investigations préalables aux travaux d’exploration pétrolière dans le bloc V débutaient, sans qu’une Etude d’Impact Environnementale n’ait été réalisée. La même année le Comité du Patrimoine Mondial, lors de sa 34ème session à Brasilia, demandait à la RDC de lui soumettre avant le 1er février 2011 un rapport sur la conservation dans le PNVi tout en maintenant le Parc sur la liste du Patrimoine Mondial et ceux-ci lors des assises du sommet de Kinshasa organisé sous la thématique des « Enjeux environnementaux et économiques face à la Gouvernance mondiale » , ce sommet organisé sous couverture de la francophonie a permis aux acteurs politique de plus de 100 gouvernements dont 15 chefs de l’Etat à soulever des grands problèmes environnementaux qui guète le siècle présent ainsi le Président F. Hollande a plaidé pour la mise en place d’un Organe International environnemental qui aura le siège en Afrique étant donné qu’il reste le poumon de la planète bien qu’elle reste la partie al plus touchée par les effets de polutions de pays polluants. Nous espérons qu’avec cet organe l aRDC voir financer ses projets par les milliards de dollars du crédit carbone. L'exploitation du pétrole ne peut se faire sans emprise sur les milieux physiques. Cette emprise n'est pas cependant sans impact. En Afrique centrale dans les régions faisant dejà objet de l’exploitation deux milieux sont principalement affectés. Le milieu marin.  Etant donné que l’exploitation du pétrole se fera en partie offshore et l’autre on shore, et cette dernière qui nous inquiète de plus d’autant plus que c’est sur la terre ferme que seront placé les installations de raffinerie et même d’habitation pour les ouvriers de l’entreprise. Ainsi, entraine sur plusieurs dimensoin une déstabilisation de l’equilibre de l’écosystème par des effets par exemples causés pa rdes gaz brulé dans les 
 torchères « Phénomène de Torchage », la découverture des zones pour l’implantations des locaux, et même la disparation de certaines espèces lacustres.  a) L'impact sur le milieu lacustre La pollution par hydrocarbure est en augmentation dans les eaux côtières et sur les plages de zone en exploitation comme le confirment diverses observations menées le long de toute l'Afrique centrale. Les effets observés sur place indiquent que des dommages sont causés aux écosystèmes côtiers aux ressources halieutiques et limite ainsi les possibilités de pêche et les activités touristiques. .  Pollution des plages La géomorphologie définit une plage comme une « accumulation sur le bord de mer de matériaux d'une taille allant des sables fins aux blocs ». La plage ne se limite donc pas aux étendues de sable fin ; on trouve également des plages de galets et, dans les cas des blocs les plus gros, des plages appelées beachrock. On a tendance à restreindre la plage à l'estran, mais elle comprend aussi l'avant-plage. Il est fréquent que des pétroliers dégazent et nettoient leurs moteurs au large. Ainsi, des résidus de pétrole dégradé s'agglomèrent et sont déposés sur les rivages par le vent, les courants et les vagues, sous forme de boules de goudron. Viennent s'y ajouter les fuites provenant des activités de forage de puits de pétrole, de la manipulation du pétrole et des produits pétroliers dans les ports et des raffineries situées en zones côtières (Moanda, Pointe-Noire, Port-Gentil, Douala), ainsi que celles des vedettes et pétroliers. b) Destruction des habitats naturels L'habitat naturel c'est l'habitat de pêche nécessaire pour la production de ressources données pour la survie des riverains et pour l’exportation même.. Il peut s'agir d'alevinières (par exemple, des mangroves et des herbiers marins), ou de frayères (par exemple, des lieux particuliers dans l'océan où les poissons se rassemblent pour se reproduire) 11. Ces habitats naturels font l'objet d'une destruction massive à cause de certaines pratiques de pêche notamment les grands chalutiers traînants et aussi par la pollution des hydrocarbures. Cette pollution n'est pas souvent prise en compte faute d'une preuve de la faute des pétroliers. Dans ce domaine, il faut bien arriver un jour à la mise en place de la responsabilité sans faute des pétroliers dès que l'on constate un cas de pollution liés aux hydrocarbures. Ces habitats sont également détruits par l'activité pétrolière. En effet l'activité pétrolière en polluant les côtes, n'épargne pas les habitats naturels. Cette situation est encore plus accentuée en Afrique centrale. En effet, on relève une destruction accélérée des habitats naturels en Afrique centrale du fait que cette pollution atteint les lieux de reproduction. Aussi dans son rapport sur la diversité biologique, le gouvernement congolais, au titre des menaces qui pèsent sur la diversité biologique ne manque d'affirmer que « la pollution due aux activités pétrolières....engendre naturellement la destruction de la faune, de la flore, des habitats et des zones de fraie ».  c) Diminution des possibilités de pêche Mais aussi et surtout, le développement croissant de l'activité pétrolière et la pollution qui en résulte est source d'une diminution de l'activité dans cette zone. En effet, les rejets d'huiles qui forment une nappe flottante dans la zone entraine un évitement de celle-ci par les espèces notamment les crustacées et les sardinelles. Cela a pour conséquence de contraindre les pêcheurs artisanaux à aller de plus en plus loin au large pour pouvoir attraper quelque chose.  L'une des causes de non intéressement des Etats aux problèmes de pollution marine est aussi le fait que la plupart des pêcheurs artisanaux ne sont pas les ressortissants de ces Etats. Certains indicateurs de la pollution lacustre et marine se caractérise par des biocides réduisent l'adhérence et la fixation des organismes marins sur la coque des navires.  Mais ces substances pénètrent dans l'environnement marin et peuvent affecter défavorablement plusieurs espèces. Un des effets de la contamination par la tributyrine est masculinisation
 d'escargots marins femelles, causant une réduction de reproduction et le déclin des populations. Les escargots femelles présentant un développement anormal d'organes reproductifs mâles (appelés aussi imposex).  d) Diminution des possibilités touristiques.  Jadis la république démocratique du Congo faisait croitre son assiette fiscale par le tourisme au Nord-Kivu avec deux ressources naturelles, ses lacs Edouard et le Lac Albert où le premier avec son potentiel élevé en poisson avait attiré l’attention du Marechal Mobutu jusqu’à lui attribué son nom, de même avec Le plus prestigieux et attirant parc de la planète créer depuis 1925 pet classé parmi le patrimoines de l’Unesco af ortement contribué au budget national avant que cet espace protégé ne fasse objet des mutineries et des diverses rebellions perpetée en son sein. Ainsi ayant occasionné un ralentissement du tourisme dans la région. Ce ralentissement cause du tort non seulement aux passionnés du tourisme, mais également à l'économie de ces pays. e) Dégradation des forets due à l'exploitation pétrolière  L'exploitation du pétrole dans les forêts tropicales exige des défrichages de certaines zones pour l’implantation des oléoducs, te d’autres infrastructures pétrolifères. Ainsi pour la République démocratique du Congo la RDC devrait faire parti des différentes entreprises en quêtes de ses ressources dans l’étude d’Impactesn vironnemental sur les différents blocs du Lac Albert afin d’éviter de voir son écosystème être dsétabilisé. A la fin des études d’impacts environnementales le gouvernement devrait encor se rassurer avoir fait parti de l’équipe de l’établissement du Design d’exploitions pour se rsausrer de la non exploitation dans les secteurs interdits ou ciblé on exploitables. En dehors de cette dégradation directe, les forêts d'Afrique centrale subissent également un effet de serre résultant des torchères des gaz. Le déversement du pétrole dans le milieu forestier ne permet pas le développement normal des espèces. En effet, quand le recouvre les racines aériens des arbres de mangrove, il empêche l'oxygène de circuler dans les tissus des racines enfoncées dans les sols anoxiques. Le pétrole peut être absorbé par les racines, véhiculé jusqu'aux feuilles et bloquer la transpiration. Le pétrole peut perturber les membranes des racines, ce qui provoque une concentration mortelle de sel dans les tissus. Une mortalité soudaine et massive d'arbres de mangrove provoque une érosion des Sédiments.  d) Disparition de la diversité biologique La convention de Rio de 1992 sur la diversité biologique définit la diversité biologique comme étant la « la variabilité des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie ; cela comprend la diversité au sein des espèces et entre espèces ainsi que celle des écosystèmes ». Il est devenu évident que depuis plusieurs années, dans les plus grandes zones forestières tropicales d'Afrique centrale, la diversité biologique se trouve menacée à la suite de la déforestation et de la dégradation des forêts. Le problème de l'extinction de la diversité biologique dans cette région devient ainsi une priorité internationale. Les forêts tropicales de l'Afrique centrale abritent la plus importante réserve de la biodiversité du monde après les forêts amazoniennes. Elles sont riches en espèces emblématiques, rares et ou menacées dont les grands mammifères (Gorilles de montagnes, Chimpanzés, etc.) ou les oiseaux de forêt. Cette importante réserve mondiale est en prise également à la déforestation suite à l'exploitation du pétrole, et à la pollution qui en résulte. Cela entraine une diminution des ressources phytogénétiques.   II. IMPACT DE L’EXPLOITATION PETROLIER SUR L’ECONOMIE L’impact de l’exploitation du pétrole sur des blso calbertins fera ressortir plus de retombées économiques positives susceptibles de pouvoir amener l’économique du pays à un coup de
 tremplin susceptible d’amener le gouvernement de raéliser ses projets et d’améliorer le social et l’aétt financier du peuple. L’estimation envisagée avec les blocs pétroliers attribués au Soco prévoit une réserve estimée à plus de 10 milliards de dollars. Quant en l’ensemble, il avait été estimé à l’issu des travuax d’explorations de la firme Pétrolière Canadienne Hréitage Oil qui a pu estimer une production journalière de 14OOO barils dans sa concession au tour du lac Albert. a) Paupérisation de riverain. En Afrique certaines ressources minérales rendent pauvres la population, ceci a une explication sur le plan environnemental avec les conséquences directes ou lointaines de l’exploitation de ces ressources en déséquilibran tle climax qui existait dans le secteur ainsi occasionnant l’abandons des cultures qui étaient jadis liée aux conditions naturelles qui régnaient c’est pourquoi il y aura disparition conitnu du flux des poissons occasionnant la migration des certaines d’entres-elles cela aura exponentiellement un impact sur la production des poissons. Autre fait à cet état de pauvreté continue c’est l’établissement d’un nouvel équilibre naturel qui va entrainer la disparition des beaucoup des cultures maraîchères et autres cultures agropastorales notamment due à la pollution des eaux, du sol et de l’air avec des conséquences directes sur la population riveraine qui ne s’adaptant à cette déstabilisation de l’équilibre naturel va chercher ailleurs d’autsr econditions naturelles meilleurs non perturbées. C’est pour quoi dit-on souvent que « L ePétrole rends pauvre pour les générations actuelles et futures ». En effet, la plupart les pays producteurs de pétrole d'Afrique centrale sont classés parmi les plus pauvres du monde selon l'indice du développement humain (IDH) de 1998 de la Commission Economique pour l'Afrique et Centre de Développement sous Régional pour l'Afrique Centrale. Cela s'explique surtout par la mauvaise gouvernance et le manque de Leadership des certains dirigeants de l’Afrique qu iprivilégient leurs intérêts au détriment de leurs peuples. C’est ainsi que la RDC devra éviter davanatge ce en respectant les procédures avant , durant et après l’exploitation pour qu’il ne leure srte que une eau noir stérile sans aucune forme de vie et même sur le plan agropastoral pour qu’il n eleur reste de la Terre stérile après des années de pollutions de leurs terres arables .  b) L’augmentation de la dette publique et Manque d’u nemain d’œuvre dans d’autres secteurs.  Si le gouvernement via son institution de Congo Hydro exploitait aussi du pétrole dans cette région, comme vu dans la quasi-totalité des pays de l’Afrique centrale, sa dette publique se verra augmenter. Ce dernier n’est pas déconseillé si la politique de remboursement des milliards pris n’est pas violée et cela au proift du peuple congolais. Avec le boom ressortant de l’exploitation du pétroel, toute la main d’œuvre se tourne vers le champ pétrolifère en oubliant d’auters secteurs de développement de la région. Ainsi l’importation va voir augmenter et le PIB qu iva diminuer à son tour.  III. IMPACTS SANITAIRES  Les mesures de précautions sanitaires devront être envisagé avant le lancement de l’exploitation du pétrole dans la région du lac Albert dans le but de clarifier les zones que la population devra être délocalisé dans le but d’évietr des maladies respiratoires et dermiques à l’issue de cette exploitation.  Maladies respiratoires - La tuberculose La tuberculose est une maladie infectieuse causée par le bacille de Koch. Cette maladie est fréquente en Afrique centrale, surtout dans les zones pétrolières. Cela est dû à la présence dans ce
 minerai (le pétrole) de certaines substances comme les oxydes d'azote, le monoxyde de carbone et surtout le dioxyde de soufre également très cancérigènes. - Le cancer Le cancer est une maladie encore male connue en Afrique centrale, pourtant le nombre de cancéreux va en augmentant et on ignore aujourd'hui les origines de cette maladie. Pourtant les hydrocarbures polycycliques aromatiques font partie des premiers cancérigènes connus. On trouve en Afrique centrale par exemple les cas de cancer d'estomac, de poumon, de foie et bien d'autres. Mais aussi le cancer de la peau qu'on étudiera ci-dessous. Au Congo Brazzaville et notamment à Pointe Noire, on relève 558 patients de cancer en 1999. Cette situation devient encore plus alarmante à cause d'un accès limité aux.   Maladies de la peau   Elles sont plusieurs, les infections dues à l'exploitation du pétrole. Dans le cadre de cette étude, nous nous limiterons aux allergies cutanées et aux cancers de la peau.  -  Les allergies cutanées.  Les pays en développement en général et ceux de l'Afrique centrale en particulier contribuent peu sinon pas à la production industrielle des gaz à effet de serre (GES). Car dans cette région il n'existe pas de grandes industries de fabrication avec une consommation de plus en plus élevée des hydrocarbures, susceptibles d'entrainer un effet de serre et porter atteinte à la santé. Toutefois, les problèmes de santé liés à la pollution de l'environnement demeurent cruciaux. En Afrique centrale, il manque de véritables sociétés de ramassage des ordures ménagères et bien d'autres déchets comme les sachets utilisés pour l'emballage. L'utilisation de plus élevé de sachets crée le problème d'inondation dans certaines zones. Car les eaux de pluies n'arrivent plus à s'infiltrer. Cependant l'exploration et l'exploitation du pétrole dans cette région pollue l'atmosphère à cause des gaz qui sont brulés par les torchères au large des côtes et aussi de l'abandon non-conforme des puits après l'exploitation. Ainsi, du fait de cet effet de serre, on enregistre des cas de certaines allergies cutanées. A Pointe Noire, où près de 1200 personnes cohabitent avec terminal de Djeno, on enregistre cinq à dix cas par mois, auxquels s'ajoutent vingt à vingt quatre dermatoses traitées. Cette situation s'accentue à cause aussi de l'abandon non-conforme des anciens puits et de la mauvaise gestion des déchets. Ainsi, à Pointe-Noire, on trouve un endroit dite « rivière rouge » par la population environnante à cause de la pollution de la dite rivière exploitée par Total dans les années 70, aujourd'hui abandonnée à Zetath.  -  Les cancers de la peau  Les types les plus fréquents de cancer de la peau sont carcinome basocellulaire et Carcinome spinocellulaire. Le carcinome basocellulaire se manifeste souvent sous forme de petits cratères dont la surface est brillante ou perlée. Le cancer de la peau autre que le mélanome débute pratiquement toujours par une plaie ou une marque sur la peau qui n'arrive pas à guérir. Parfois, on remarque une modification de taille, de forme, de sensation, de couleur, d'apparence à la surface et d'élévation par rapport au reste de la peau. La plaie peut également devenir irritée ou douloureuse, ou commencer à saigner ou à s'ulcérer. Cette maladie est très présente en Afrique centrale surtout dans les zones pétrolières. Cependant, faute d'une bonne information cumulée à l'inculturation, peu sont alors les patients qui consultent les médecins. Ceux qui souffrent de cette maladie se considèrent comme étant victime d'un mauvais sort communément appelée « mouandza) en Afrique centrale. En outre, faute de voir un médecin, l'origine de la maladie demeure inconnue du grand public. Pourtant, les quelques cas enregistrés révèlent le rejet des substances cancérigènes dans l'atmosphère par les torchères qui brulent à longueur des journées.  
  IV. IMPACT SUR LES RESSOURCES EN EAUX SOUTERRAINES ET COURANTES PENDANT L’EXPLOITATION  Comme au Katanga, et partout à ailleurs dans le monde les entreprises jettent leurs effluents liquides dans les dépressions lacustres, rivières et fleuves. Dans ce cas précis étant donné les rivières, les lacs et ressources en eaux souterraines incluant par ce fait les ressources d’eaux courantes. Etant donné que le secteur soit traversé par ces ressources en eaux nous estimons que l’implantation des unités des traitements des effleunts liquides est très délicat et important. L’objectif c’est d’éviter de se retrouver face à mlaême situation plus alarmante avec des dégâts comme ceux causés par l’explosion du plate forme au large du Golfe de Mexique. C’est par ce fait que nous demandons au gouvernement de demander à toutes ces entreprises de présenter leur plans d’évacuations de leurs produits finis et déchets sous touts ses formes et où les entreposer ? tout ceci dans le but d’avoir un œil sur la Gestio nenvironnemental.         V. CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS ADRESSEES AU GOUVERNEMENT  Les travaux d’explorations et d’exploitations des yhdrocarbures dans la vallée de la Semliki risqueraient de déboucher à un désastre naturel par la destruction de l’equilibre naturel des écosystèmes. Les travaux d’exploration snécessiterons toujours les travaux de découverture de terrains initialement couverte par de la végétation avec une conséquence directe sur les écosystèmes forestiers. En rapport avec les travaux d’exploitations du pétrole dans le graben, il ressortira que l’environnement esra buté à d’éventuels dérèglements naturels des aires protégés de la Semliki notamment le Parc de Virunga. Dans tous les cas, un meilleur politique de gestion environnementale quotidienne des entreprises opérant sur le secteur d’étude. La politique d’Etude d’Impact Environnemtaeln devra être prise au sérieux dans toutes les démarches d’explorations et d’exploitaotins dans le but de protéger Le Patrimoine mondial de l’Unesco. Nous estimons que étant donné la situation écolo-géographique du lac Albert et ceci sur toutes ses concessions et le parc National de la Virunga, il est inévitable que hors-mis les lois régissant l’exploitations des ressources eds hydrocarbures en RDC il est très capital que le gouvernement mette un Protocol que la partie exploitante doit ratifier afin de ne pas entraver les vœux de Congolais de voir un garder saine aux générations futures ce dit secteur pour son développement dans les centaines d’annéesa venirs. Que le gouvernement entreprenne des projets sociaux pour éviter une paupérisation des riverains de cette manne à la longue. Que le gouvernement exploite aussi les blocs pétroliers qui pourront contribuer aux financements des projets de reconstructions d la république et d’autres projets de recherches d’autres ressources d’or noirs.
 BIBLIOGRAPHIE  - Constitution de la République Démocratique du Congo du 18 Février 2006. Loi 007 2002 du 11 Juillet 2002 portant Code Minier de la République Démocratique du Congo. - Décret n ° 038/2003 du 26 Mars 2003 portant Règlement Minier de la République Démocratique du Congo. - Loi N° 011/2002 du 29 Août 2002 portant Code Forestier de la République Démocratique du Congo. - Les sables mouvants : L’exploration du pétrole dan sle graben et les conflits Congolais. Rapport de Pole Institute Goma, Par Dominic Johnson - Etat des lieux de l’évaluation environnementale startégique de l’Exploration et exploitation pétrolière dans nord du rift albertin, Journal Officiel Aout 2012 -       CONTACTER L’AUTEUR SUR : asafazali@gmail.com +243810909227 LUBUMBASHI, DRCONGO              
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