LOW COST vs LOW FARE : la banque et l'assurance ?

Mvbizouard

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LOW COST vs LOW FARE : la banque et l'assurance ?

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• Publié par: uximoduk
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• Langue: Français

Extrait

L’étude de référence sur : LOW COST vs LOW FARE : Quelles stratégies gagnantes dans la banque et l’assurance ? Face au retour d’une très forte sensibilité aux prix, en particulier dans les services, le lowcost semble voué à une marche triomphale. Les succès remportés par ces stratégies dans d’autres secteurs doivent être une source d’inspiration pour les métiers de la banque et de l’assurance. Pour autant, il serait erroné de croire que «low cost» rime toujours avec «modèle gagnant» ; d’autant que cette configuration spécifique n’est pas applicable dans tous les métiers. L’analyse menée par Precepta dans la banque et l’assurance révèle, en tout état de cause, que le low cost reste encore un concept mal maîtrisé dans les professions financières : ƒlow cost ne signifie plus « si» pour les clients, il est en revanche réducteur de lelow quality confondre avec une approche « low price » ou « low fare », ƒacteurs low cost ne sont pas que « des chasseurs de coûts » et les modèles qu’ils mettent en les place impliquent un certain nombre de conditions essentielles: ainsi, le fait de pouvoir capter des « non clients ». De fait, ces modèles s’appuient avant tout sur une reconfiguration majeure de la chaîne de valeur. Qu’en estil dans le secteur de la banque et de l’assurance ? Y atil la place pour du vrai low cost ou les stratégies ne peuventelles être que low fare ? Pour répondre à cette question cruciale, l’étude de Precepta vous propose une grille d’analyse rigoureuse et pertinente pour décrypter et comprendre ce que recouvre précisément le phénomène du low cost dans la banque et l’assurance. Les experts de Precepta se sont ainsi appuyés sur 4 points essentiels : 1. L’analysedu positionnement et de la communication d’une vingtaine d’opérateurs financiers « apparentésau low cost». Cettepremière cartographie illustre bien la complexité même sémantique à différencier les opérateurs qui se réclament parfois à tort du low cost de ceux qui réfutent cette appellation, alors que leur modèle semble pourtant remplir certaines conditions propres au low cost. Entre modèle économique innovant et argument purement marketing, il devient très difficile de faire la part des choses.

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