Affaire Marie Colombier QXJATR-lElwIE EDITION- AFFAIRE CONVICTIONPIÈGES A COLOMUIEPMARIEiMM-tralt deJ%vec PA» LA BERNARD &PHOTOTYPIE E. C''' PARIS TOUS LES LIBRAIRESVENTE CHEZEN 1884 ^F'F-A.IFLE GOLOMBIER-BEPiiNHlRDT AFFAIRE PIÈGES A CONVICTION poi'ti'aât éL& IMAItlE COl^C^MEîIKîlAvec PAR LA PHOTOTYPIE E. BERNARD & Cie PARIS LES LIBRAIRESEN VENTE CHEZ TOUS 1884 SOMMAIRE — L'assaut de la rue de Thâiin.I. — /"orII. Banium ey «abominable .. Mais, tandis que la verve humo- ristique de certains articles fantaisistes me faisait . II LETTRE AU RÉDACTEUR DU Centre rire de'bon cœur, votre simple note me donne envie •de causer avec vous entre pays » Voulez-vous ? Oui, je suis d'Auzances mais là s'arrête l'exac-; titude de vos renseignements. Comment nos reçoivent les soufflets,députés je ne le sais, n'entendant rien à la politique. En tout cas, vous pouvez dire à vos lectrices que « les filles de chez nous », môme après un long séjour à Paris, ne sont pas d'humeur à se laisser traiter comme de simples députés. Si la fantastique cravache inventée pai* les —reporters au grand ennui du maréchal que —vous savez eut seulement effleuré l'épiderme «de votre payse », tenez poui* certain, confrère, laissé laque Marie Colombier n'eut pas à troupe des gardes-du-corps madame Sarah Bernhardtde le loisir de saccager tranquillement quelques meubles sans défense. Lepremier objet venu eut été entre mes mains une arme, qui eut transformé l'opérette en drame.